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5 octobre 2023

L'ART D'AIMER ( chansonnette n1 )

mirages au dessus des nuages sages n 2

Réécouter ca fait plaisir . 

suite roman d'aventure ( coïncidence 8/8 )

mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2

161  Coïncidence
















cette pièce pour 
 travers les places du  port .Elles 
grande cour entourée de maisons. Caroline entendit 
des sifflements, elle leur fit signe que tous n'est pas perdu et
les emmena 
pas se répercutèrent aux 
 sont, des cries d'enfants se fond 
couloir s’arrêta et la lumière fut. Elles 
tâtant. Elles arrivèrent devant la porte d'où provenaient les
pleurs d'enfants. Anne et Eva suivirent Caroline qui ne les 
l
dans une pièce où la tristesse du 
des deux filles.

162 

  Des lamelles de tapisserie 
a désirer. Il y a une fenêtre sous laquelle se  trouve un petit
lits d'enfant. Les pleurs venaient de cet endroit. L'enfant se 
débattit 
entendit ses pleures,
la direction de ce lit. Elle prit le 
le réconforter. Pendant ce temps, Caroline 
vers une cachette situé sous le grand lit. Anne continua de 
porter l'enfant d'environ neuf mois. A peine que cinq 
minutes passèrent que 
résonnent.
-   Ouvrez la porte, c'est la police.
-    J'arrive, un petit moment.
  Caroline s'approche de la porte fermé a clé a deux tours.
-   Vous voyez monsieur l'agent, je vous présente ma belle 
     sœur 
-    Il est a qui ce bébé là.
-    Mais c'est le mien ça ne se voit pas, il me ressemble.
-    Il ressemble plus tôt a un chinois    
-    Je ne le crois pas car a cette époque je passais mes 

163

      nuits avec votre 
-    Tu en as de bonne toi
-    Il passe encore de temps a autre, je peux toujours lui 
      siffler un mot 
-    C'est bon les filles, comme il n'y a personne d'autre, 
      on peu partir 
   Avant de quitter les lieux il prête attention a une photo 
placé au mur 
ressembla aux deux filles 
referma brusquement.
  Il fallut plus de vingt minutes pour que la police quitta 
l'endroit. Le 
cachette. Elle fut un peu 
courbatures disparurent au bout de quelques 
  Caroline leur proposa de faire du thé, elles ne refusèrent 
pas. 
par la curiosité et 
-   Quel est ton nom jeune fille et quel âge as tu, a 
     chacune d'elle.
  Anne demanda du papier et de quoi écrire,

164

-    Je m'appelle Anne et ma copine c'est Eva, j'ai vingt 
     trois ans et Eva
      de même. 
  Caroline lut ses écrits, puis elle demanda,
-    Comment se fait il que vous venez de prendre contacte 
      avec les 
Cette question fait hésiter Anne  qui mit quelques instant 
pour répondre.
-     La police est a notre recherche car nous somme 
       partie du domaine 
       On a prit peur en voyant la 
       lorsque ces hommes nous ont proposer 
       en aide nous les avions suivi.
  Caroline continu de la questionner par écrit,
-    Vous voyer ce que je suis devenu en acceptant leur 
       protection, peut 
      leur besoin. Vous me paraissez 
      cette raison que je vous aide car ci vous 
      police pour un crime, là je vous dénonce sans hésiter. 
      Le 

165.

   Eva lit ces quelques mots et garde en elle une part de vérité, 
celle de 
et surtout le 
  Anne marqua quelques mots sur le papier
-   Ma copine Eva est une pauvre victime de la police qui la 
     fait 
     car elle 
      d'une banque. 
      cavale pour retrouver 
      le 
      respectueux.
   Pendant ce temps, Eva se trouve prêt du petit lit 
d'enfant qu'elle 
avec elle en gesticulant et 
pas l'air d'avoir sommeille. La lumière 
le déranger. A ce moment un pré-sentiment de 
d'attention fit maître en elle une réaction maternelle. 
Elle se 
envie. Son chagrin 
remplis de solitude. 

166

  Caroline regarda dans sa direction et se laissa 
amadoué par le 
  La poignée de la porte de cette chambre fut brutalement 
manipulé.
de la pousser puis elle 
Caroline fit signe aux filles de se cacher 
demande d'un air étonné,
-    Qui est là ?
-     C'est moi le Dénicheur ouvre.
Caroline s'assura que les filles se sont bien caché puis 
elle dit,
-     Je viens attend 
Le comportement de cette individu fut brutal il demanda,
-     Qu'as tu fais avec les filles ?
-      Elle se sont volatilisé car la police nous avaient suivi.
Cette homme mériterais une offense pour lui redonner 
son bon sens.
Eva se trouva en première ligne sous le lit, elle remarqua 
que cette 
-   Pour quelle raison as tu laissé s’échapper ces filles 

167

     elles auraient 
     les cacher quelques temps.
Cette brute frappa a nouveau Caroline, son enfant 
pleurait sans 
Anne ne voyait rien mais entendit les agressions.
-       Alors Caroline qu'as tu fait avec les deux filles ?
-      J'ai suivi les consignes que les autres m'ont donné 
        même que 
        de la cour donnant sur les friches.
D'autres frappes résonnèrent. 
-     Fait moi taire ce sale cosse, ici c'est moi qui 
       donne des ordres 
Caroline se rapproche de l'enfant qui continue de 
pleurer comme une 
sa maman eut subit. 
-   Pour quelle raison as tu refermé la porte a clé?
-   La police est passé ici pour recherche les filles.
Caroline lui donna quelques indication,
-    Elles mon demandé  qu'elle direction prendre 
      pour rejoindre le 

168

      du port
   le Dénicheur, sous l'empire de consommation de 
drogues,
avec une 
 
cette 
du Dénicheur qui
ne souffla un seul mot de dénonciation . Le petit 
enfant continua 
    Quelle pénibilité que de devoir passer une nuit 
sous un lit 
car la peur les tint en 


crainte, ouf de 
 qu'elle heure somme nous ,
 dans cette pièce. Il regarde sur sa 
-    Dix heures du matin, alors Caroline, réveille toi.
   Il poussa de son pied Caroline pour qu'elle se réveille. 
Rien ni 

169

se raser.
  L'enfant se réveilla en pleure se qui énerva le Dénicheur.
-   Sale cosse, tu reprend ton pleurnichement, tu es bien 
     une fille.
  Il s'approcha du petit lit et tenta de lui donner sa tétine 
en 
Une 
que cette 
-     Sale cosse tu prend cette tétine ?
  Rien ne servi, l'enfant continua de pleurer.
-      Tu m'énerves sale cosse t'a mère doit s'occuper de toi.
  Cette forme caoutchouteux ne remplace pas la faim et 
cette 
lever elle 
cheveux.
-    Mais tu te réveille bientôt ?
   Malgré cette brutalité il n'obtint de réponse. Comme 
sa 
coula 
-    Merde, elle est morte, il ne manque plus que cela 

170

      maintenant 
  Sans tarder il se lave la figure, remet ses chaussures, 
tourne 
l"enfant qui pleure. 
trousses. 
  Un ouf pour que les filles qui peuvent enfin sortir de 
sous le lit. Il 
rapidement possible pas que 
pensées Anne, se rapproche du petit lit 
pleures lui 
de Caroline sur laquelle horrible traces de coups de 
ceinture l'on 
le  drame de cette nuit 
   Anne s'occupa du Bébé avec peine car l'enfant 
n’arrêta pas de 
biberon qu'elle lui donna. 
Elle fit signe a Eva de partir au plus vite, l'enfant c'est 
endormie 
Cette orpheline lui 
malheur. Eva fit comprendre a 

171

Bébé avec elles. IL faut reconnaître que  
les eut protégé au détriment de sa vie, c'est a elles de
lui venir en aide a ce bébé livré a lui même. Pour que 
plus tard 
Caroline, Eva emporta l
femmes.
La cloche de l’église tonna 
fut danse 
facile de se faufiler 




172


   Yves se réveilla a l'heure de midi, mais que c'est il 
passé ? Il 
-   Monsieur Yves, comment allez vous ?
-   Bonjour monsieur le commissaire, je vais bien 
     merci
-   Nous suivons votre femme qui se trouve dans cette 
     ville, les 
     Elle n'est pas seule 
     des marguerites l'accompagne.
-   Je souhaite que rien ne lui est arrivé. 
  le commissaire n'eut pas fermé l’œil de la nuit, il  
suivit les 
-    Monsieur Yves j'ai une nouvelle a vous annoncer, 
       au sujet 
      d'apprendre qu'elle 
      que les agresseurs et qu'elle 
      Elle ne fut qu'une otage fictif. Mais 
      résultat me prouve que l'axe du tir venait de votre
      habitation. Cela pourrait  être votre femme qui 
       eut tiré ou 

173

       valeurs en votre 
-     Je suis de votre avis pour certaine remarque mais
       pour 
-     Les quelles monsieur Yves ?
-     Je doute que ma femme Eva eut tiré.
-     Vous prenez la défense de votre femme,
-     Je prend la défense de ma femme car j'ai confiance 
      en elle.
    Sur leur parcoure une foule de personnes passèrent, 
certains 
et une certaine 
Parfois c'est Eva qui la 
vers un magasin de chaussure 
il fut temps qu'elles
malgré qu'elle le portèrent de temps a autre.
      Une patrouille de police arrive dans l'habitation 
d'où sont 
les bras. Une 
disparition de l'enfant. Pour 
c'est un crime qui fut commis dans la 

174

    Les inspecteurs spécialise arrivent aussi sur les 
lieux du 
l'acharnement sur 
voisine et le petit lit d'enfant 
d'enfant. La ceinture ensanglanté fut mis comme
étant l'objet du crime. De nombreuses empreintes sont
prise aussi que des photos.
-   Ceci est bien l'objet du crime, il faut l'envoyer au labo.
Dit l'inspecteur qui s'occupe de cette enquête. 
  Les deux jeunes femmes et l'enfant ce trouve a cette 
instant là 
fermé, normal, 
leur 
Anne se dirige vers la sonnette de l'appartement, le bébé 
pleure 
le chagrine et 
mouillé. Anne appui sur 
électrique qui permis d'ouvrir 
plaça au milieu du trottoir pour que sa 
voir de la fenêtre. C'est Eva qui tient l'enfant , 

175

une personne se penche par la fenêtre. L'enfant pleure
encore, 
-    Qui est là, Anne que fait tu là,
 Elle lui fit des signes de la 
hésiter. 
Anne souri et fit des signes de la main.
-    Viens voir Edoire, c'est notre chère Anne qui nous 
      rend 
Une puissante voix résonna.
-   Mais, ouvre lui la porte Édite au lieu de parler par 
      la 
  Une personne disparu pour mettre en fonction le 
mécanisme 
la poignée et l'
que celle ci la suive. 
Une tache humidité 
vêtements. La chaleur de 
situation plus que pénible je dirais 
pour tous. 
Édite vint les rejoindre dans les escaliers.

176

-   Mais Anne que nous rapportes tu là ? 
Anne vint de relayer Eva. Elle fit des signes de la tête 
pour 
-     Tu sais Anne nous venons de terminer notre repas, 
       mais 
       recevoir.
Elles arrivèrent devant la porte ouverte du logement. 
Eva 
correcte. 
une jeune femme 
-   Bonjour les filles, que nous rapportes tu de beau, 
     qu'il 
Eva le reprend dans ses bras et Anne dialogue par  
signe pour représenter le sexe de l'enfant. 
-  Donc c'est une fille, elle est mignonne pour quelle
     raison 
Les filles se dirige vers la cuisine, là une personne 
occupe la 
tente de deviner les 

177

eut beau travailler 
positionna ce personnage.
L'homme fit bouger ses lèvres, son visage devient 
expressif. 
moi ?
-  Il a certainement faim, et doit être langé.
Ce personnage prit sa pipe qu'il bourra par habitude 
puis 
-  Edoire a raison, Sabine donne leurs de quoi langer
   ce 
-   Anne puis je m'en occuper personnellement?
Anne fit signe a Sabine qu'elle peut s'occuper de l'enfant.
Eva accepta et lui tendit le bébé qui pleurait encore. Le 
grand monsieur restât sur sa chaise et dit d'un air 
curieux,
-   Mais Anne quelle est la raison de ta visite,
Anne demanda de quoi écrire . Elle prit place autour de
cette 
-     Hier soir nous avions quitté le domaine des marguerites
      en stop. Nous somme arrivé la nuit. Les rues sont

178 

     devenu dangereuse, de nombreux anecdotes nous ont
     contrains a nous cacher. La maman de cet enfant  nous
     a hébergé a ses risque et périls. Cette réaction ne lui eut
     porté chance car son meneur la battu a mort pendant que
     nous étions caché sous le lit. De notre cachette ont fut 
      témoin de cette agression. Même l'enfant subit des sévis.
      Il pleurait sans arrêt. Lorsque le meurtrier fut partie on
      l'emmena.
  Monsieur Edoire lit ces mots avec de l'attention.
Il passe ensuite le morceau de papier a sa femme et 
dit d'un 
-   Mais pour quelle raison avez vous quitté le 
     domaine des 
Anne ne tarde a rédiger une réponse. Pendant ce temps la 
dame Édite, leur prépare deux assiettes. Eva eut prit place 
a coté de ce robuste personnage, songeur et  sympathique
a la fois. Sur la feuille vierge elle commence par y figurer
 les 
-     L'on a quitté le château pour pouvoir retrouver le mari
       de ma copine Eva qui fut dérouté lorsqu'elle voulu  le 

179

      suivre a l'hôpital suite a une agression dans une 
      banque. Comme elle ne put donner des explications
      un policier la retenu, elle lut mordu et a partir de là 
       elle fut considéré comme agressive et placé dans un
      asile de détraqué. Une fiche suiveuse lui donna un 
       faux nom. Elle eut la chance de se retrouver au
       Domaine des marguerites grâce a l'attention  d'une
       femme médecin.
Monsieur Edoire prit cette feuille qu'il lut avec attention 
puis d'un air songeur il lui répond,
-   Tu as toujours bon cœur Anne avec les autres mais te 
     rendu conte de se que vous venez de faire, l'enfant ne
     vous appartient pas il faut absolument l’emmener a 
      la police.
  Sabine revient de la salle de bain, sont étonnement est
marqué profondément sur son visage. 
-   Maman vient voir pour quelle raison cette enfant 
     pleure, il est marqué d’atroce blessures. 
Édite se leva ainsi que les autres qui la suivirent jusqu'à
la petite salle de bain. Il ne resta plus de place pour 
bouger. L'enfant fut couché sur le ventre et son dos marqué

180

de blessures fut visible par tous. Monsieur Edoire dit,
-   Je suis d'avis a emmener cette enfant le plus rapidement
     à l'hôpital.
-    Je suis te ton avis Edoire, mais laissons les terminer 
     leur repas le temps que Sabine s'occupe de l'enfant.
  Trois heures de l'après midi, Yves a terminé son repas.
Ce fut la première fois qu'il le dévora. Il eut retrouver ses 
forces et fut prêt a affronter le pire.
   Le commissaire vint le trouver. Cette présence le rendit
nerveux. 
-   Monsieur Yves je vous apporte des rapports de la police.
     Figurez vous que l'on eut retrouvé des traces du 
     passage de votre femme pas loin du port. La suite des 
      événements risque de vous choquer.
  A ce moment là, Yves prend place sur le rebord de son lit
en tube blanc et écoute attentivement.
-      Ils ont trouvé une jeune femme lâchement assassiné, se
       n'est pas de votre femme qu'il s'agit, rassurez vous.
  Yves transpira ses pensées restaient endormie. Les paroles
du commissaire le blessaient.
-       Cette jeune femme au nom de Caroline fut tué a coup 

181

      de ceinture, l'arme du crime trouve sur les lieux. Le 
      rapport  dit que cette acte fut commit par un dément. Si
      je vous rapporte cette histoire c'est que votre femme fut
      dans la pièce au moment du crime car on a trouvé ses
      empreintes sur les meubles mais pas sur la ceinture.
-     Monsieur le commissaire, je ne sais pas a quoi vous 
       voulez en venir ?
-     Votre femme, désirait elle un enfant  ?
-     Non car Eva eut peur que l'enfant ne sache pas entendre
       et parler.
-      Donc, elle eut commis un rapt d'enfant cette nuit comme
        mes collègues pensent.
-     Un rapt d'enfant, mais de quel enfant ?
-      Mais de celui qu'a commis votre femme cette nuit ?
-      Ce n'est pas possible toute cette salade je n'en revient 
        pas. 
-       Cela est possible car après avoir séjourné dans une
        maison de fou, elle a disjoncté.
-       Je peux certifier que ma femme ne fut jamais violente
       ni agressif.

182

-       Et le crime qu'elle eut commis en tirant de sang froid
        sur les agresseurs, expliquez moi cela. 
 La dureté d'un mensonge efface la réalité ses accusations 
non justifier et sens preuve ne font que l’intimider. 
-    Mais je précise que votre femme ne fut pas seule car 
     d'autres traces d’empreintes furent prélevé. La 
      personne partie avec elle y était aussi. Mais l'acte du 
      crime fut 
  Le commissaire quitta la pièce d'un air embarrassé, et 
fatigué. Yves fut bouleversé une nouvelle fois. Ses pensées
sont en ébullition, de question a ses poser, sur  le vrais ou
le mal, sur les faits et les suppositions. Ce mélange de 
questions étouffe la pièce, l’hétaïre médical enivre le 
patient. Yves ne tenait plus et décida de sortir de se lever
et s'habiller. Il a ras le bol de cette injustice, de cette 
prison qui devient insupportable. Il s’habille et décide de
quitter cette hôpital.


Anne et Eva. A l’accueil la responsable du guichet 

183

demanda 
pleurait.
-    Qui est la maman de cette enfant ?
Les trois jeune femme se regardèrent, collé. Sabine dit,
-     Aucune de nous trois n'est la maman de ce bébé, 
-     Bon, je veux bien mais comment se fait il que vous
       avez cette enfant.
Eva donna la photo qu'elle eut emporté de la chambre où
elles s'étaient cacher, et pointa du doigt Caroline la
 maman. Sabine expliqua,
-     Un malheur est arrivé a sa mère suite a un accident, 
      c'est pour cette raison  que nous apportons l'enfant.
-    Mais vous rendez vous compte que vous n'avez pas le
      droit de transporter une personne victime d'un 
      accident ?
-     Cette enfant ne fut pas accidenté mais maltraité par
       un inconnu.
Sabine ne sut rajouter d'autres explications.
-      Bon, prenez place dans la salle d'attente sur votre

184

       gauche, je fais mon possible pour que cette enfant
       sois soigné.
Cette personne de l’accueille téléphona a qui de droit. 
Depuis la salle d'attente on peut apercevoir les alentours
par la fenêtre ouverte. 


hôpital sans que le personnelle soignant le remarque. Il 
prit l’escalier de secoure. 
  Au poste de police les renseignements émit par l'hôtesse
d'accueil le de l'hôpital correspondaient aux avis de 
recherche . La police se mit en marche pour interroger 
les trois jeunes femmes suspectes. Deux véhicules se 
déplacèrent.
    Yves arriva à la dernière marche de l'escalier de 
secoure. Il aperçut la venue des deux voitures de police.
Dans sa tête il n'y eut pas de doute, c'est pour lui que la 
police arrive. Il se baissa pour se confondre avec les 
marches métallique. Puis, il se dit, et si Eva venait a sa
rencontre dans la voiture de police ? il avança et  

185

l'escalier de secoure se releva par le contre poids. il 
contourne le bâtiment et regarde vers le ciel. Il fait un 
point d’arrêt.


d'attente. Eva s'impatiente, elle se lève et s'approche 
de la fenêtre grande ouverte.Elle aperçois les deux 
voitures de police. Une sensation de renouveau la 
pourchasse.
  La police questionne l’hôtesse d'accueil le. Cette 
présence d'uniforme fut remarqué par Eva qui a 
leur vue réagi spontanément. Elle se dirige vers
la fenêtre.
  A cette instant, Yves se trouve sous la fenêtre, il
aperçoit cette vie humaine en équilibre sur les rebords.
Entre les deux amoureux il ne reste plus que le vide.
Quelques étages, cela fut suffisant pour.
-     Mais, non de Dieu, c'est Eva qui se trouve là,
       Eva, Eva,
Cria Yves de toute ses forces en courant sous l'axe d

186

l'éventuelle chute de la fenêtre.
-     Eva, Eva, c'est moi Yves.
  
La vie fait que certaines personnes entendent et d'autres
pas. Là Eva n'entendit rien, je crois, non attendez elle 
remarque les gestes d'Yves, 
( LA SUITE DÉPEND DE VOTRE IMAGINATION, A 
ELLE SAUTE ?)
Le commissaire continua de faire son enquête et tomba
sur la photo qu’Éva eut donné a l'hôtesse d’accueil de 
l'hôpital. Il y eut Caroline, la femme tué, et a coté d'elle
sa sœur, Liliane tué elle aussi. Cette coïncidence fut 
suspect comme le passage qui mena sur  le terrain 
vague où furent caché les agresseurs avec leur otage 
policier. Quant a l'argent certainement qu'il se trouve 
par ici allez savoir.


JJM


 Écrit par Jean Jacques Mutz écrivain amateur
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suite roman d'aventure ( coïncidence 7/8 )

mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2

128 coïncidences 7/8





     Les préparatifs prirent forme dans le château  du 
domaine des marguerites. 
rangées dans deux sacs de toile. Le programme de 
quitter 
du jour, Comme le moyen de 
l'auto stop, la clarté permis de reconnaître les 
conducteurs qui leurs proposèrent de les transporter.
   Elles traversèrent les champs de blés vers 19h30 et 
se retrouvèrent au bord 
longeait le domaine du château. Leur habillement se
soldait par un foulard pour chacune d'elle et de deux
belles robes aux couleurs 

129 

Elles tenaient leur sac de toile dans une main. Leur 
habillement ressembla à deux paysannes avec leurs 
habits parsemés de 
des champs fraîchement moissonnée. Elles 
petite pose assise sur une bote de paille.
  Au bout 
samaritain ne se proposa de les 
multiples gestes ne portèrent leur fruits.Cela n'abaissa
pas le 
de police se fit entendre 
voyait de loin. La peur d'être repéré les guida 
vers une cachette, elles se couchèrent derrière les bottes
 de pailles. 
remarquée. 
sur le bord de la national en 
  Eva fut impressionné par ce pouvoir qu'Anne avait, 
entendre et pouvoir 
a mener.
 Dans cette voiture de police, une 404 Peugeot 
 se trouvait le 

130

rejoindre le château du domaine des 
plus vite. Les deux jeunes femmes se sentirent traqués, 
certainement que la police venaient pour leur 
disparition. Il faut que la 
qu'une 
 quarante km d'ici. Leur espoir portât ses fruits, un 
grand ensemble 
s'arrêter 
qui chassèrent le surplus d'air.
  Pour un routier un peu pervers, deux jeunes femmes 
bien bâtie, ne 
un sourire c'est certain et qui sais 
  La vitre du camion coté passager s'ouvrit 
électriquement. Le chauffeur 
-      Alors mes demoiselles où désirez vous allez ?
  Anne comprit les paroles du chauffeur, pour lui 
répondre elle lui tendit 
-  (nous somme deux femmes muette, pouvez -vous nous
     emmener 
  Le conducteur de cet ensemble routier, fut ébloui pa

131

la beauté des deux 
invitât pour monter dans la cabine. La 
se trouva sur sa route qu'il suivit. 
  Le lourd véhicule reprit lentement de la vitesse et de 
la cabine les filles 
 des marguerites et le gyrophare de 
stationné devant l'entrée principal. Maintenant   
sont certaine que leur fuite fut remarquée et signalé, 
Anne n'eut pas tort 
derrière les ballots de paille.

    Devant l'entrée du domaine, Yves et le commissaire
descendirent de 
une personne se présentât a leur 
-      Bonsoir messieurs, c'est pour qu'elle sujet ?
-      Madame, avez vous reçu le coup de téléphone de 
centre psychologique ?
  Le commissaire eut sort sa carte de police et la 
présentât a la personne 

132

-     J'aimerai retrouver une personne admis dans votre 
      établissement sous 
      cala deux jours? 
-     Effectivement, monsieur le commissaire,  dans 
       notre établissement une 
      de Liliane fut admisse. Allons faire un tour
       dans le jardin, suivez-moi.
  Enfin, Yves alla retrouver sa bien aimé, il tenta 
d'obtenir de ses nouvelles 
-    Est elle en bonne santé madame ?
-    Bien sûr monsieur, elle a repris confiance en son 
     entourage, car dans 
      emmenée,
-     Qu'entendez -vous madame dans cette explication, 
        fut elle blessée ? 
-      Bien entendu monsieur elle est profondément 
       blessée,, il lui manque 
      des blessures apparente la martyrisent.
       Maintenant elle se trouve en bonne main dans 
       notre 

133

  Cette réponse persuade notre chère Yves qui suit 
cette femme sans hésiter.
-     Vous savez messieurs à cette heure-ci les filles 
       sont en promenade dans 
       bon maintenant à l'extérieur, je suis certaine de 
       les retrouver la bas.
  L'attention des deux visiteurs se laisse impressionner 
par la beauté de ce 
bâtiment ne répond à la comparaison du 
de psychiatrie, c'est comme le jour qui tente de 
ressembler à l'ombre 
  Effectivement les pensionnaires profitèrent de leur 
temps libre pour 
remarqua que tous les bancs son occupé,à
peine quelques jeunes femme se promenaient. 
Qu'il fait bon en cette fin 
jour se dissipa doucement. Au loin dans le ciel
se rassemble se gros nuages, un orage se préparait. 
Cette promenade 
faiblissait. 

134

   L'accompagnatrice questionna par geste plusieurs 
pensionnaires, mais 
de réponse négative. Yves visionna 
Aucune ne fut Eva. L'accompagnatrice lui dit,
-     Je pense qu'elles se trouvent dans le dortoir, 
      suivez moi messieurs.
  Ils suivirent la guide vers le château.
 Une sueur fut visible sur le front d'Yves, bien 
entendu il fait encore 
froide qui le nargua. Remet toi Yves, tu ne 
laisser emporter par une faiblesse quelconque se dit 
Yves. Il 
emporter par la faiblesse devant 
  Avant de pénétrer au dortoir, ils passèrent par le 
réfectoire comme il 
sais, elle pourrait être là ? Personne 
 leur exploration vers l'étage en prenant le grand 
escalier tournât. Dans le couloir du dessus, qui a bien 
50 mètres de 
trouvaient les chambres a couché.

135

La responsable se dirigea vers une porte qu'elle ouvrit 
pour y jeter un 
  Deux minutes se sont écoulé,  ce fut long, si l'on 
espère retrouver celle 
devant cette porte fermé ainsi que  le 
-    Ça n'a pas l'air malpropre cet endroit-là monsieur 
      Yves
-     Non monsieur le commissaire cela me rassure, 
      c'est mieux 
La responsable des lieux revient prête d'eux,
-     J'ai une triste nouvelle à vous annoncer.
Le désespoir reprit ses assises, Yves sentit qu'une 
manche vint de se 
bouche bai.
-    Cette personne Liliane, qui répond au prénom 
     d'Éva a pris la 
     minutes, se sont les filles de sa 
     l'on révélé.
La faiblesse prit le dessus et Yves se retrouva le nez a 
même le sol. 

136

  Cela fait 30 minutes que le camionneur transporte 
nos deux fugueuses. 
alentour ne ressemblèrent qu'à des 
sombres surmontées d'une flambée rougeâtre que 
marquèrent 
tomba.
  Le chauffeur ne fut pas bavard du tout ce jour-là ce 
qui n'est pas une 
féminine, pas habituelle, le tenait en 
pensées se trouvèrent un peut choquer, même 
bouleversé 
fois qu'il ne souffla un seul 
aussi attirantes.Que vas il rapporter le soir 
rendez-vous habituelle des routiers durant leur pose ? 
Il se gardera 
transformer cette histoire dans son 
entendu, sûr la beauté il ni à rient à transformer, elles
sont minions et désirable. Ce fut surtout sur le 
déroulement des actes 
  La ville désignée ne fut plus si loin, qu'à peine 2 km

137. 

Le conducteur 
-      C'est à quel endroit précis que je vous dépose ?
  Ce furent les seuls mots qu'il eut prononcé durant tout 
le parcoure. 
bifurcation a une centaine de 
ralenti, ses freins pincèrent, puis soufflèrent.
  Les voilà a destination. Derrière eux un autre 
ensemble les suit, par 
se bon samaritain de routier. Notre 
fière, de ce fait il lui envoya plusieurs appels de phares.
Dans ses pensées, il réalisa que l'on eut remarqué son 
transport  
embellie 
avec preuve qu'il eut ramené deux paysannes
beauté éclatante. Les deux jeunes femmes lui firent la 
bise puis 
Vingt et une heure passé, Anne et Eva marchèrent sur
 le trottoir allant 
régnait. De nombreux automobilistes 
accoster en lui faisant des propositions.

138

-         Alors mignonne vous cherchez votre maman,
           venez avec moi je 
    La vulgarité de ces propos se multiplièrent mais les 
deux jeunes 
remarqua le danger qui les quêtait, 
Eva de placer une pierre dans le sac en toile qu'elle 
porta. 
petite force de dissuasion  
décintrent insupportable et accablant.
  Ses intentions ne furent pas inutile car à peine ont 
elle parcouru quelque 
La vitesse du véhicule ralenti en se 
d'elles. La vitre du passager fut ouverte et une main
baladeuse en sortie. Sans gêne, la main tenta de 
caresser les jambes 
cette tentative que son réflexe rapide et 
virevolter de toutes ses forces son sac en toile qu'elle 
tenait 
 pare brise du véhicule qui 
  Il fut temps que nos deux copines disparurent de 

139

cette artère. Elles 
aboutir à leur but. Anne connaissait la 
cœur, elles eurent l'intention de rejoindre l'oncle 
d'Anne. Elle 
comprendre leur présence.
  Dans leur parcoure de nombreuses ruelles mal 
éclairé et dominé par 
incertitude. Le silence est traître, pour Anne.
Pour Eva ce fut normal. La venue d'un groupe alcoolisé 
provoqua une 
deux jeunes femmes se 
groupe se rapprocha, en occupant toute 
 de la ruelle. Le vacarme prit possession de l'entourage. 
Anne et Eva avancèrent normalement, il n'y eut aucune 
possibilité de 
Le croupe se rapprocha des 
Anne et Eva restèrent main dans la main .
Elles frôlèrent les vitrines pour tenter de ne point se 
faire remarquer. 
puissantes mains les obligèrent de suivre 

140

démarche. Eva eut bien appris la leçon d'Anne. Elle 
se tient au 
chargé d'une pierre. Son initiative 
par le réflexe d'un individu qui déséquilibra son 
intention. 
-   Alors mes minions, on veut assommer les copains 
     avec une brique 
      main douce dit donc.
  Eva ne protesta pas et l'individu lui jeta un regard 
méprisant. 
  A un moment donné une bouteille vide vola en 
-   Alors Fifi, tu veux épater les deux nouvelles venues 
     avec une 
-   Mais non, je voulais casser la vitrine pour rire un 
     peu.
-    Dans ce cas, Fifi, la fille aux cheveux blond dispose 
     d'une meilleur 
-    Montre la moi Lulu.
l'individu lui donna le sac en toile alourdi par son 
contenu.

141

-    Pas mal Lulu, avec cela je ferais un bon carton.
       Eva ne comprit pas ce qui se passa, elle eut beau 
regarder les 
Fifi fit tournoyer le sac 
monde s'écarta, qui sais, des débris 
victimes.
-   Fifi ne manque pas la cible
-   Je ne rate jamais ma lancé de marteau dans les 
     compétitions.
  La vitesse du tournoiement du sac, a failli lui faire 
perdre l'équilibre 
de la devanture. Un fracas 
suivie d'un sirène qui retentissait.
-   Alors Lulu qu'en penses tu de mon tir?
-    Pas mal Fifi mais maintenant il faut filer au plus 
     vite l'alerte est 
  La loi de ce groupe oublia les deux filles qui tentèrent 
de continuer 
retiennent, elles redeviennent 
de fêtard. Fifi heureux de son exploit invita 

142 

collègues pour qu'ils en face autant.
-  Alors bande de mouchard personne n'est capable de 
     me surpasser.
-   Tu crois cela, je vais te faire une démonstration digne 
     du plus grand
  Voila que Legros se place devant une vitrine. Il forme 
un point avec 
tête pour y concentrer toutes 
incompréhensible il cogne de toute sa 
la vitrine. Le fracas du verre brisé retenti avec en 
la sirène qui déprime.
-   Alors Fifi qu'en dis-tu ?
-    D'accord Legros, mais ta as vu que tu saignes ?
-   Où cas ?
  Sa bêtise ne lui fit ressentir la moindre douleur. Il 
remarqua que son 
d'un mouchoir en guise de bande 
  La nuit fut sombre et au loin la venue de voitures de 
polices se 
gestes compréhensible 

143 

Leur intention fut de prendre la 
Une personne du groupe remarque cette 
tenta de les rattraper mais la rapidité des deux jeunes 
femmes furent plus leste que les réactions et l'équilibre 
des fêtards 
bouteille. Son tire bien 
 femmes. Un liquide rouge sang, 
le visage de la victime, laquelle perdit l'équilibre 
s'étaler sur le trottoir. La seconde femme n'eut rien 
remarqué 
l'avaient convenu.
  Arrivé à une bifurcation, elle remarqua qu'elle fut seule 
dans cette 
pas. Elle remarqua 
sang. Cette ruelle fut vide de 
fêtards ont disparu.
          Une ambulance arriva sur les lieux, le pauvre Yves 
eut perdu 
l'hospitalier. Apprendre 
fugua la fragilisé. Le commissaire 

144

appeler le poste de police pour lancer un appel 
ondes de la radio local et sur les radios amateurs. Tout 
le 
femmes. Il 
    Dans un bar routier de nombreux camions stationnèrent, 
ce fut 
 leur pose.
  Le groupe de chauffeurs qui se réunissaient autour de la 
grande table 
l'accoutume. Des mots sur la 
ainsi que des petites aventures sentimental.
   Notre brave personnage, surnommé Doublemètres fut 
en forme 
transporte de jeunes 
le trajet, il s'imagina quelques 
a ses collègues. La gentillesse de 
toujours intimidé par les vantards qui 
respect.
   Ce soir là, Doublemètres eut du pain sur la planche a 
raconter. 
dut présenter une 

145

-   Salut les routiers, la route a été bonne aujourd'hui ?
-   Oui Doublemètres et chez toi aussi ?
Lui répondit Lalatte un homme aussi maigre que l'épaisseur 
d'une 
-   J'ai eus de la chance cette après midi,
D'un air ironique Lalatte lui dit,
-   Pourquoi tu as failli benner ?
-   Non pas du tout, j'eus dans ma cabine deux auto 
     stoppeuses.
Son air vantard ne changea rien dans le comportement de 
Lalatte qui le n'arquas,
-   Tu as transporté deux grand-mères ?
L'ensemble du groupe s'éclata de rire.
-   Mais non, deux jeunes et belles femmes.
-   Et quant as tu fait d'elles ?
La serveuse du bar vint questionner les routiers,
-   Que prenez vous tous?
-   Un café bien tassé, pour se tenir éveillé a toute 
     l'équipe.
C'est ma tournée, dit Doublemètres d'un air enchanté. 

146

Lalatte ne fut pas si 
la bonté et la simplicité de cette 
a tenter de profiter de cette faiblesse.
-   Alors les routiers, que prenez vous ? un café c'est rien,
     un liquide a 
Doublemètre réfléchi un petit moment et se dit qu'il devra
 piocher dans 
partie de l'autoroute payante 
Il y a six personnes autour de cette table sans la 
la serveuse. Cela me servira de leçon pour la prochaine 
invitation,
-   Alors messieurs les routiers que prenez vous ?
-   Du jaune pour tous, parbleu.
Cria Lalatte.
-   Tu as du gagner le gros lot ?
  Dans se grand local les jeux électroniques émettent 
des sons de billes 
marquant des points sur un compteur a 
plusieurs chiffres. Dans un coin opposé un disque a la 
mode passait. Une 

147

   Doublemètres donna fièrement des explications sur la 
descriptions de 
appareilles effaça un peu son récit.
-     En les apercevant de loin, leur silhouette marqua leur 
      beauté, je ne 
      firent pitié surtout quant je 
      Elles me demandèrent si je peux les eus 
      la grande ville. Je ne sus leur refuser et les fis monter
      a bord. La plus belle des deux se plaça a coté de moi 
      sur la 
      Durant tout le trajet 
      Leur regard eut quelque chose 
       visage. J'aurais aimé m'arrêter a laurés d'un 
       l'une d'elle fit le premier pas en............
  Un routier interrompe la conversation en questionnant 
l'attroupement 
-    Y aurait il l'un d'entre vous qui eut embarqué a la fin 
      de 
      handicape, elles ne parlent pas ?
  Plus personne ne prêta attention au récit de 

148

Doublemètres. Les 
tout le voisinage. Le silence 
   Puis les discutions reprirent.
l'intention de continuer son récit. Se qu'il vint 
d'apprendre le bouleversa. 
  Les bruits des jeux électroniques reprirent 
rythme irrégulier, la musique changea de temps a autre 
de style et 
redevient maître des lieux.
   Au bout de dix minutes, la police fit son apparition 
dans le café 
-    Bonsoir mesdames et messieurs, on vient vous 
      importuner pour 
      jeunes femmes qui furent 
      national a la hauteur du domaine 
     Les jeunes femmes ont une particularisée, 
     muette. Leur disparition remonte a environ 19 heures.
     Il est urgent de les retrouver, si l'un d'entre vous peut 
     nous 
     grand service. Elles 

149

     condamnable mais leur antipape peut leur être 
     fatale. Nous vous serons reconnaissant merci a tous.
  La question que vint de poser la police met en éveille 
l'attitude 
terminèrent leur 
Doublemètres disparu a son 
sut de trots sur les deux jeunes femmes, 
le pourchassèrent, mentir c'est voler la vérité.
  En approchant de leur véhicule, les policiers 
 remarquent un 
personnage qui ne cessa de 
voiture. Il conjugua une culpabilité  et se 
s'il n'eut pas commis de faute ? Il fit signe aux policiers.
-    Messieurs, je ne savais pas que ces deux jeunes 
      femmes sont 
      rendre service en les 
      sur leur demande. Elles n'on
      où elles allaient ?
-     Merci pour votre participation, elles ne sont pas en 
      fuite pour 

150

      se retrouvant seule dans la nuit.
  Cette indication les met sur une piste, sans tarder les 
policiers se 
les recherches. 


 éclat, le 
Cette action fut 
prendre. L'encerclement 
 Sur le trottoir, une jeune femme resta allongé, son visage 
et ses 
  Eva regarda ce corps, et restât bouche bée. La bande de 
copains 
l'approche du 
entreprendre ? A cette 
réactions qu'au jour où son 
elle se penche sur la victime et 
tête pour voir la raison de son 
une pitié l'enlaça , elle dénonça 
larmes envahissante.

151

   A peine eut elle soulevé la tête que la figure d'Anne lui 
souris. 
relever au plus 
évitant les barrages de 
  La fuite prit de la vitesse et Anne l'entraîna a travers des 
ruelles. Ce labyrinthe pavées, fit résonner leur débâcle. 
Enfin, 
Ce que 
direction qui 
par la police.
  Elles parvenaient sur une place où une fontaine permit 
de 
les 
  Anne plongea ses mains dans ce liquide puis aspergea 
sa figure pour enlever cette épaisse pâte rouge tomate car 
avec la nuit et le peut de lumière les couleurs changèrent.
Eva l'aida dans sa toilette comme une besogne de raton 
laveur. L'illusion  sur l'état de la victime abaissa cette peur
qu’Éva eut accumulé. Très collante, cette couleur eut du 
mal a sortie du tissus.

152

  Les voilà reparti, elles disparaissent dans le labyrinthe de 
ruelles en direction du centre de la ville. Des voitures de 
police 
  l'avance de la nuit rendit les rues déserte et Anne fit signe 
a Eva qu'elles sont presque arrivé. La rue longe un large 
cour 
sont de 
Des 
 en fête. 
original. Si 
les chambres 
nue sans prêter 
    Pour Anne, elle eut l'habitude d'y passer mais pour Eva 
cette 
ou voitures 
rapprocher pour ne 
de nationalité différente, 
frôlée. l'un d'entre eux s'écria,
-    Alors la fouine tu n'as pas remarqué ses jolies blonde 
     qui 

153

-    Non, où ça ?
-    Elles travaillent pour qui ces deux là ?
-    Je ne les connais pas, certainement qu'elles viennent 
     d'un
-     Je ne pense pas, je vais appeler Jojo lui doit être au
      courant.
  Il décroche le téléphone d'une cabine, appuis sur une 
touche, 
sur un cadrant 
-      Allô Jojo tu m'entend ?
-      Oui, le Dénicheur, que me proposes tu , y a il du 
       grabuge?
-      Non la soirée est calme, mais regarde voir sur ta 
       gauche, 
       connais ?
   Jojo s'empara d'une paire de jumelle infrarouge et 
observa 
femmes.
-     Allô le Dénicheur, je n'ai jamais vu ses deux nanas, je
      certain que Maxime n'a pas de nouvelles venu, je 
      rajoute 

154

-      Merci Jojo c'est tout ce que je voulais savoir, donc 
        si je  
        plates bandes.
-      Ça je ne sais pas mais une chose que je peux rajouter
       tu n'as pas ton surnom pour rien. 
-      Alors la Fouine on tente de les embobiner ? 
-      D'accord ont leur raconte les mêmes anecdotes que la 
        dernière fois avec les vietnamiennes ?
-       Je pense pas que cela marchera avec elles, je les 
        embobine d'une autre façon.
  Anne et Eva se déplacèrent a une vitesse raisonnable, et
 longèrent une rangé de maisons vétuste aux briques 
apparente. Elles viennent de dépasser la voiture de Jojo 
qui 
communique a la Fouine placé cent mètres plus loin.
-  Es tu prêt la Fouine, je les suis maintenant.
-  Oui fais comme il est prévu.
  Jojo sort de la cabine téléphonique pour suivre les deux  
femmes se tenant par la main.
-  Alors les filles ont cherche  du travail ?

155

  Pas de réponse, elle poursuivirent leur intentions.
-  Ils vous faut une protection les filles ont est là pour ça.
La fouine se rapproche d'elle pour dire,
-   Elles n'ont pas l'intention de répondre je pense pas 
     que tu les intéresses.
  Jojo aime taquiner c'est dans sa nature mais la réponse 
qu'il vient d'obtenir de la part de la Fouine est comme
un avertissement pas bien venu il dis,
-   Alors les filles une protection de la part de nous autres
     qu'en dite vous ?
  Les deux jeunes femmes , bloqué, les regardent d'un air
étonné. La présence ce cette attroupement de quatre 
individus 
intentions de 
fortement la 
-   Alors comme cela vous ne travailler qu'en couple ?
-    Ça se net pas mal la Fouine, d'une pierre tu fais deux
     coups .
  C'est le dénicheuse qui eut dit cela. Jojo caressa 
les 

156

jeunes femmes 
brusque pour donner un 
rapidement les intentions d'Anne,
vite. Les droits larbins les bloquent. Elles 
une fuite, mais ces trois brutes ne leur laissèrent
aucune chance d'évasion. Elles sont retenus contre 
leur 
-    Qu'en penses tu la Fouine, ont les entraîne dans 
      l'ancienne 
      elles trouverons la 
-     A cinq se sera une partie correcte.
-    Pas mal cette idée, mais il faut que l'un d'entre nous 
     monte la garde a tour de rôles.
  Anne réagi sur ce qui vint d'être dit mais elle hésite 
d'entre 
tout en tenant la  
probabilité d'inattentions des 
-   Alors les amoureuses, vous ne vous quitter pas .
Dit Jojo avec un rire ironique.
-   Maraudent ces deux bout de femmes, elles n'ont pas

157

    l'air de nous exprimer leur refus.
Le dénicheur,
-    Mais il me vient une idée j'ai entendu que deux filles
     sont recherché par la police dans le poste de radio.
Jojo,
-     Alors tu déniches des stars ma parole, tu ne portes 
      pas ton nom pour un rien.
Lalatte,
-    Ou seraient elles recherché pour meurtre par hasard ?
La fouine 
-      Mais ne vous en faite pas, la police ne vient pas ici, 
  A ce moment là des gyrophares flanchent les alentours
de plusieurs rues.
-  Je vous l'avais bien fait comprendre, que ces deux là 
   sont recherché par la police, je ne connais pas la 
   raison, attention,
-   Toi tu as peur, de toute façon elle savent qu'elles sont
     recherché, raison de plus de la cacher.
Dit la Fouine d'un air enchanté. Jojo ravis, rajoute.
-     Ne perdons pas de temps et emmenons les dans la

158

      chambre de Lili.
La Fouine est de son avis.
-     D'accord, emmenons les la bas, après le contrôle de
      papier je revient, c'est juste pour que la police me 
      donne les raisons sur ces filles.
  Anne eut comprit le danger qui les enture, d'un coté la
police et de l'autre les macros. Eva sut les actes qu'elle 
eut commise ce qui la transforme en une meurtrière. Elle
ne voulu se laisser prendre.
   les deux jeunes femmes acceptèrent de suivre le fameux
Jojo sur le quais du port pour monter sur une péniche. Il
fit si sombre qu'ils se déplacèrent sans lumière a tâtons. la
lampe de poche  restât dans son étuis.
  Enfin, ils arrivèrent dans cette fameuse chambre de Lili.
Les hublots laissaient apercevoir les policiers qui se 
déplacèrent. Jojo appuya sur un interrupteur qui donna
une faible lumière jaune tamisé. Sur le plafond arrondi 
cette lueur se dispatcha sur des miroites qui refléta la
cabine. 
-   Alors mes mignonnes, que pensez vous de cette cabine ?

159

La main de Jojo caressa la poitrine d'Anne qui le repoussa.
-   Tu ne vas pas me refuser cela, on vient de vous sauver
     du méchant loup.
Une autre lumière plus puissante les éclaira. La cabine a
couché fut éclairé, et une radio actionné par la police 
émettra ceci ,
-   Nous recherchons deux jeunes femmes qui sont muette,
    il est conseillé de nous faire savoir où elles sont  car
    nous savons qu'elles circulent par ici.
Le dénicheur dit a Jojo
-   Fait attention Jojo le quartier est encerclé par la
     police, ce n'est pas un contrôle de routine.
-   Mais que portent elle sur leur dos pour qu'un 
     régiment les recherche ?
Jojo ne se laisse pas intimidé et dit ,
-   Alors ses deux là son muette donc, elles ne diront pas
     un mot 
  Anne remarqua sur les lèvres leur conversation, elle se
sentit plus en danger dans cette cabine qu'auprès de la 
police. Elle fit transmettre son message a Eva par la main.

160

Le dénicheur trouva les intentions de Jojo absorbe et
 sentit qu'un danger les guettait.
-  Je pense qu'il vaut mieux les relâcher.
A cette instant, une personne frappe a la porte de la cabine.
Jojo, surprit réagit;
-  qui est là ?
Les quatre hommes regardent vers cette porte. Une voix
de femme répond,
-   C'est moi Caroline.
D'une voix enroué Jojo criât.
- Mais rentre donc.
  La porte laissa apparaître une jeune femme légèrement
habillé. Anne et Eva la regardèrent dans le miroir. 
Caroline vint les avertir.
-   La police fouille toutes les péniches, faite attention.
  Les trois protecteurs se regarde d'un air ahuri. La fouine
a une solution,
-  Fais les passer par l'autre ruelle Caroline pour les 
    éloigner d'ici.

A suivre au 8/8  161
auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
a ce jour, 04 04 2019, 8 566 lecteurs.
a ce jour, 18 09 2019, 8 880 lecteurs.
a ce jour, 29 10 2019, 9 031 lecteurs.
A ce jour, 30 07 2020, 9 595 lecteurs.
A ce jour, 12 10 2020, 9 667 lecteurs.
A ce jour, 05 10 2023, 17 660 lecteurs.