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5 octobre 2023

suite roman d'aventure ( coïncidence 7/8 )

mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2

128 coïncidences 7/8





     Les préparatifs prirent forme dans le château  du 
domaine des marguerites. 
rangées dans deux sacs de toile. Le programme de 
quitter 
du jour, Comme le moyen de 
l'auto stop, la clarté permis de reconnaître les 
conducteurs qui leurs proposèrent de les transporter.
   Elles traversèrent les champs de blés vers 19h30 et 
se retrouvèrent au bord 
longeait le domaine du château. Leur habillement se
soldait par un foulard pour chacune d'elle et de deux
belles robes aux couleurs 

129 

Elles tenaient leur sac de toile dans une main. Leur 
habillement ressembla à deux paysannes avec leurs 
habits parsemés de 
des champs fraîchement moissonnée. Elles 
petite pose assise sur une bote de paille.
  Au bout 
samaritain ne se proposa de les 
multiples gestes ne portèrent leur fruits.Cela n'abaissa
pas le 
de police se fit entendre 
voyait de loin. La peur d'être repéré les guida 
vers une cachette, elles se couchèrent derrière les bottes
 de pailles. 
remarquée. 
sur le bord de la national en 
  Eva fut impressionné par ce pouvoir qu'Anne avait, 
entendre et pouvoir 
a mener.
 Dans cette voiture de police, une 404 Peugeot 
 se trouvait le 

130

rejoindre le château du domaine des 
plus vite. Les deux jeunes femmes se sentirent traqués, 
certainement que la police venaient pour leur 
disparition. Il faut que la 
qu'une 
 quarante km d'ici. Leur espoir portât ses fruits, un 
grand ensemble 
s'arrêter 
qui chassèrent le surplus d'air.
  Pour un routier un peu pervers, deux jeunes femmes 
bien bâtie, ne 
un sourire c'est certain et qui sais 
  La vitre du camion coté passager s'ouvrit 
électriquement. Le chauffeur 
-      Alors mes demoiselles où désirez vous allez ?
  Anne comprit les paroles du chauffeur, pour lui 
répondre elle lui tendit 
-  (nous somme deux femmes muette, pouvez -vous nous
     emmener 
  Le conducteur de cet ensemble routier, fut ébloui pa

131

la beauté des deux 
invitât pour monter dans la cabine. La 
se trouva sur sa route qu'il suivit. 
  Le lourd véhicule reprit lentement de la vitesse et de 
la cabine les filles 
 des marguerites et le gyrophare de 
stationné devant l'entrée principal. Maintenant   
sont certaine que leur fuite fut remarquée et signalé, 
Anne n'eut pas tort 
derrière les ballots de paille.

    Devant l'entrée du domaine, Yves et le commissaire
descendirent de 
une personne se présentât a leur 
-      Bonsoir messieurs, c'est pour qu'elle sujet ?
-      Madame, avez vous reçu le coup de téléphone de 
centre psychologique ?
  Le commissaire eut sort sa carte de police et la 
présentât a la personne 

132

-     J'aimerai retrouver une personne admis dans votre 
      établissement sous 
      cala deux jours? 
-     Effectivement, monsieur le commissaire,  dans 
       notre établissement une 
      de Liliane fut admisse. Allons faire un tour
       dans le jardin, suivez-moi.
  Enfin, Yves alla retrouver sa bien aimé, il tenta 
d'obtenir de ses nouvelles 
-    Est elle en bonne santé madame ?
-    Bien sûr monsieur, elle a repris confiance en son 
     entourage, car dans 
      emmenée,
-     Qu'entendez -vous madame dans cette explication, 
        fut elle blessée ? 
-      Bien entendu monsieur elle est profondément 
       blessée,, il lui manque 
      des blessures apparente la martyrisent.
       Maintenant elle se trouve en bonne main dans 
       notre 

133

  Cette réponse persuade notre chère Yves qui suit 
cette femme sans hésiter.
-     Vous savez messieurs à cette heure-ci les filles 
       sont en promenade dans 
       bon maintenant à l'extérieur, je suis certaine de 
       les retrouver la bas.
  L'attention des deux visiteurs se laisse impressionner 
par la beauté de ce 
bâtiment ne répond à la comparaison du 
de psychiatrie, c'est comme le jour qui tente de 
ressembler à l'ombre 
  Effectivement les pensionnaires profitèrent de leur 
temps libre pour 
remarqua que tous les bancs son occupé,à
peine quelques jeunes femme se promenaient. 
Qu'il fait bon en cette fin 
jour se dissipa doucement. Au loin dans le ciel
se rassemble se gros nuages, un orage se préparait. 
Cette promenade 
faiblissait. 

134

   L'accompagnatrice questionna par geste plusieurs 
pensionnaires, mais 
de réponse négative. Yves visionna 
Aucune ne fut Eva. L'accompagnatrice lui dit,
-     Je pense qu'elles se trouvent dans le dortoir, 
      suivez moi messieurs.
  Ils suivirent la guide vers le château.
 Une sueur fut visible sur le front d'Yves, bien 
entendu il fait encore 
froide qui le nargua. Remet toi Yves, tu ne 
laisser emporter par une faiblesse quelconque se dit 
Yves. Il 
emporter par la faiblesse devant 
  Avant de pénétrer au dortoir, ils passèrent par le 
réfectoire comme il 
sais, elle pourrait être là ? Personne 
 leur exploration vers l'étage en prenant le grand 
escalier tournât. Dans le couloir du dessus, qui a bien 
50 mètres de 
trouvaient les chambres a couché.

135

La responsable se dirigea vers une porte qu'elle ouvrit 
pour y jeter un 
  Deux minutes se sont écoulé,  ce fut long, si l'on 
espère retrouver celle 
devant cette porte fermé ainsi que  le 
-    Ça n'a pas l'air malpropre cet endroit-là monsieur 
      Yves
-     Non monsieur le commissaire cela me rassure, 
      c'est mieux 
La responsable des lieux revient prête d'eux,
-     J'ai une triste nouvelle à vous annoncer.
Le désespoir reprit ses assises, Yves sentit qu'une 
manche vint de se 
bouche bai.
-    Cette personne Liliane, qui répond au prénom 
     d'Éva a pris la 
     minutes, se sont les filles de sa 
     l'on révélé.
La faiblesse prit le dessus et Yves se retrouva le nez a 
même le sol. 

136

  Cela fait 30 minutes que le camionneur transporte 
nos deux fugueuses. 
alentour ne ressemblèrent qu'à des 
sombres surmontées d'une flambée rougeâtre que 
marquèrent 
tomba.
  Le chauffeur ne fut pas bavard du tout ce jour-là ce 
qui n'est pas une 
féminine, pas habituelle, le tenait en 
pensées se trouvèrent un peut choquer, même 
bouleversé 
fois qu'il ne souffla un seul 
aussi attirantes.Que vas il rapporter le soir 
rendez-vous habituelle des routiers durant leur pose ? 
Il se gardera 
transformer cette histoire dans son 
entendu, sûr la beauté il ni à rient à transformer, elles
sont minions et désirable. Ce fut surtout sur le 
déroulement des actes 
  La ville désignée ne fut plus si loin, qu'à peine 2 km

137. 

Le conducteur 
-      C'est à quel endroit précis que je vous dépose ?
  Ce furent les seuls mots qu'il eut prononcé durant tout 
le parcoure. 
bifurcation a une centaine de 
ralenti, ses freins pincèrent, puis soufflèrent.
  Les voilà a destination. Derrière eux un autre 
ensemble les suit, par 
se bon samaritain de routier. Notre 
fière, de ce fait il lui envoya plusieurs appels de phares.
Dans ses pensées, il réalisa que l'on eut remarqué son 
transport  
embellie 
avec preuve qu'il eut ramené deux paysannes
beauté éclatante. Les deux jeunes femmes lui firent la 
bise puis 
Vingt et une heure passé, Anne et Eva marchèrent sur
 le trottoir allant 
régnait. De nombreux automobilistes 
accoster en lui faisant des propositions.

138

-         Alors mignonne vous cherchez votre maman,
           venez avec moi je 
    La vulgarité de ces propos se multiplièrent mais les 
deux jeunes 
remarqua le danger qui les quêtait, 
Eva de placer une pierre dans le sac en toile qu'elle 
porta. 
petite force de dissuasion  
décintrent insupportable et accablant.
  Ses intentions ne furent pas inutile car à peine ont 
elle parcouru quelque 
La vitesse du véhicule ralenti en se 
d'elles. La vitre du passager fut ouverte et une main
baladeuse en sortie. Sans gêne, la main tenta de 
caresser les jambes 
cette tentative que son réflexe rapide et 
virevolter de toutes ses forces son sac en toile qu'elle 
tenait 
 pare brise du véhicule qui 
  Il fut temps que nos deux copines disparurent de 

139

cette artère. Elles 
aboutir à leur but. Anne connaissait la 
cœur, elles eurent l'intention de rejoindre l'oncle 
d'Anne. Elle 
comprendre leur présence.
  Dans leur parcoure de nombreuses ruelles mal 
éclairé et dominé par 
incertitude. Le silence est traître, pour Anne.
Pour Eva ce fut normal. La venue d'un groupe alcoolisé 
provoqua une 
deux jeunes femmes se 
groupe se rapprocha, en occupant toute 
 de la ruelle. Le vacarme prit possession de l'entourage. 
Anne et Eva avancèrent normalement, il n'y eut aucune 
possibilité de 
Le croupe se rapprocha des 
Anne et Eva restèrent main dans la main .
Elles frôlèrent les vitrines pour tenter de ne point se 
faire remarquer. 
puissantes mains les obligèrent de suivre 

140

démarche. Eva eut bien appris la leçon d'Anne. Elle 
se tient au 
chargé d'une pierre. Son initiative 
par le réflexe d'un individu qui déséquilibra son 
intention. 
-   Alors mes minions, on veut assommer les copains 
     avec une brique 
      main douce dit donc.
  Eva ne protesta pas et l'individu lui jeta un regard 
méprisant. 
  A un moment donné une bouteille vide vola en 
-   Alors Fifi, tu veux épater les deux nouvelles venues 
     avec une 
-   Mais non, je voulais casser la vitrine pour rire un 
     peu.
-    Dans ce cas, Fifi, la fille aux cheveux blond dispose 
     d'une meilleur 
-    Montre la moi Lulu.
l'individu lui donna le sac en toile alourdi par son 
contenu.

141

-    Pas mal Lulu, avec cela je ferais un bon carton.
       Eva ne comprit pas ce qui se passa, elle eut beau 
regarder les 
Fifi fit tournoyer le sac 
monde s'écarta, qui sais, des débris 
victimes.
-   Fifi ne manque pas la cible
-   Je ne rate jamais ma lancé de marteau dans les 
     compétitions.
  La vitesse du tournoiement du sac, a failli lui faire 
perdre l'équilibre 
de la devanture. Un fracas 
suivie d'un sirène qui retentissait.
-   Alors Lulu qu'en penses tu de mon tir?
-    Pas mal Fifi mais maintenant il faut filer au plus 
     vite l'alerte est 
  La loi de ce groupe oublia les deux filles qui tentèrent 
de continuer 
retiennent, elles redeviennent 
de fêtard. Fifi heureux de son exploit invita 

142 

collègues pour qu'ils en face autant.
-  Alors bande de mouchard personne n'est capable de 
     me surpasser.
-   Tu crois cela, je vais te faire une démonstration digne 
     du plus grand
  Voila que Legros se place devant une vitrine. Il forme 
un point avec 
tête pour y concentrer toutes 
incompréhensible il cogne de toute sa 
la vitrine. Le fracas du verre brisé retenti avec en 
la sirène qui déprime.
-   Alors Fifi qu'en dis-tu ?
-    D'accord Legros, mais ta as vu que tu saignes ?
-   Où cas ?
  Sa bêtise ne lui fit ressentir la moindre douleur. Il 
remarqua que son 
d'un mouchoir en guise de bande 
  La nuit fut sombre et au loin la venue de voitures de 
polices se 
gestes compréhensible 

143 

Leur intention fut de prendre la 
Une personne du groupe remarque cette 
tenta de les rattraper mais la rapidité des deux jeunes 
femmes furent plus leste que les réactions et l'équilibre 
des fêtards 
bouteille. Son tire bien 
 femmes. Un liquide rouge sang, 
le visage de la victime, laquelle perdit l'équilibre 
s'étaler sur le trottoir. La seconde femme n'eut rien 
remarqué 
l'avaient convenu.
  Arrivé à une bifurcation, elle remarqua qu'elle fut seule 
dans cette 
pas. Elle remarqua 
sang. Cette ruelle fut vide de 
fêtards ont disparu.
          Une ambulance arriva sur les lieux, le pauvre Yves 
eut perdu 
l'hospitalier. Apprendre 
fugua la fragilisé. Le commissaire 

144

appeler le poste de police pour lancer un appel 
ondes de la radio local et sur les radios amateurs. Tout 
le 
femmes. Il 
    Dans un bar routier de nombreux camions stationnèrent, 
ce fut 
 leur pose.
  Le groupe de chauffeurs qui se réunissaient autour de la 
grande table 
l'accoutume. Des mots sur la 
ainsi que des petites aventures sentimental.
   Notre brave personnage, surnommé Doublemètres fut 
en forme 
transporte de jeunes 
le trajet, il s'imagina quelques 
a ses collègues. La gentillesse de 
toujours intimidé par les vantards qui 
respect.
   Ce soir là, Doublemètres eut du pain sur la planche a 
raconter. 
dut présenter une 

145

-   Salut les routiers, la route a été bonne aujourd'hui ?
-   Oui Doublemètres et chez toi aussi ?
Lui répondit Lalatte un homme aussi maigre que l'épaisseur 
d'une 
-   J'ai eus de la chance cette après midi,
D'un air ironique Lalatte lui dit,
-   Pourquoi tu as failli benner ?
-   Non pas du tout, j'eus dans ma cabine deux auto 
     stoppeuses.
Son air vantard ne changea rien dans le comportement de 
Lalatte qui le n'arquas,
-   Tu as transporté deux grand-mères ?
L'ensemble du groupe s'éclata de rire.
-   Mais non, deux jeunes et belles femmes.
-   Et quant as tu fait d'elles ?
La serveuse du bar vint questionner les routiers,
-   Que prenez vous tous?
-   Un café bien tassé, pour se tenir éveillé a toute 
     l'équipe.
C'est ma tournée, dit Doublemètres d'un air enchanté. 

146

Lalatte ne fut pas si 
la bonté et la simplicité de cette 
a tenter de profiter de cette faiblesse.
-   Alors les routiers, que prenez vous ? un café c'est rien,
     un liquide a 
Doublemètre réfléchi un petit moment et se dit qu'il devra
 piocher dans 
partie de l'autoroute payante 
Il y a six personnes autour de cette table sans la 
la serveuse. Cela me servira de leçon pour la prochaine 
invitation,
-   Alors messieurs les routiers que prenez vous ?
-   Du jaune pour tous, parbleu.
Cria Lalatte.
-   Tu as du gagner le gros lot ?
  Dans se grand local les jeux électroniques émettent 
des sons de billes 
marquant des points sur un compteur a 
plusieurs chiffres. Dans un coin opposé un disque a la 
mode passait. Une 

147

   Doublemètres donna fièrement des explications sur la 
descriptions de 
appareilles effaça un peu son récit.
-     En les apercevant de loin, leur silhouette marqua leur 
      beauté, je ne 
      firent pitié surtout quant je 
      Elles me demandèrent si je peux les eus 
      la grande ville. Je ne sus leur refuser et les fis monter
      a bord. La plus belle des deux se plaça a coté de moi 
      sur la 
      Durant tout le trajet 
      Leur regard eut quelque chose 
       visage. J'aurais aimé m'arrêter a laurés d'un 
       l'une d'elle fit le premier pas en............
  Un routier interrompe la conversation en questionnant 
l'attroupement 
-    Y aurait il l'un d'entre vous qui eut embarqué a la fin 
      de 
      handicape, elles ne parlent pas ?
  Plus personne ne prêta attention au récit de 

148

Doublemètres. Les 
tout le voisinage. Le silence 
   Puis les discutions reprirent.
l'intention de continuer son récit. Se qu'il vint 
d'apprendre le bouleversa. 
  Les bruits des jeux électroniques reprirent 
rythme irrégulier, la musique changea de temps a autre 
de style et 
redevient maître des lieux.
   Au bout de dix minutes, la police fit son apparition 
dans le café 
-    Bonsoir mesdames et messieurs, on vient vous 
      importuner pour 
      jeunes femmes qui furent 
      national a la hauteur du domaine 
     Les jeunes femmes ont une particularisée, 
     muette. Leur disparition remonte a environ 19 heures.
     Il est urgent de les retrouver, si l'un d'entre vous peut 
     nous 
     grand service. Elles 

149

     condamnable mais leur antipape peut leur être 
     fatale. Nous vous serons reconnaissant merci a tous.
  La question que vint de poser la police met en éveille 
l'attitude 
terminèrent leur 
Doublemètres disparu a son 
sut de trots sur les deux jeunes femmes, 
le pourchassèrent, mentir c'est voler la vérité.
  En approchant de leur véhicule, les policiers 
 remarquent un 
personnage qui ne cessa de 
voiture. Il conjugua une culpabilité  et se 
s'il n'eut pas commis de faute ? Il fit signe aux policiers.
-    Messieurs, je ne savais pas que ces deux jeunes 
      femmes sont 
      rendre service en les 
      sur leur demande. Elles n'on
      où elles allaient ?
-     Merci pour votre participation, elles ne sont pas en 
      fuite pour 

150

      se retrouvant seule dans la nuit.
  Cette indication les met sur une piste, sans tarder les 
policiers se 
les recherches. 


 éclat, le 
Cette action fut 
prendre. L'encerclement 
 Sur le trottoir, une jeune femme resta allongé, son visage 
et ses 
  Eva regarda ce corps, et restât bouche bée. La bande de 
copains 
l'approche du 
entreprendre ? A cette 
réactions qu'au jour où son 
elle se penche sur la victime et 
tête pour voir la raison de son 
une pitié l'enlaça , elle dénonça 
larmes envahissante.

151

   A peine eut elle soulevé la tête que la figure d'Anne lui 
souris. 
relever au plus 
évitant les barrages de 
  La fuite prit de la vitesse et Anne l'entraîna a travers des 
ruelles. Ce labyrinthe pavées, fit résonner leur débâcle. 
Enfin, 
Ce que 
direction qui 
par la police.
  Elles parvenaient sur une place où une fontaine permit 
de 
les 
  Anne plongea ses mains dans ce liquide puis aspergea 
sa figure pour enlever cette épaisse pâte rouge tomate car 
avec la nuit et le peut de lumière les couleurs changèrent.
Eva l'aida dans sa toilette comme une besogne de raton 
laveur. L'illusion  sur l'état de la victime abaissa cette peur
qu’Éva eut accumulé. Très collante, cette couleur eut du 
mal a sortie du tissus.

152

  Les voilà reparti, elles disparaissent dans le labyrinthe de 
ruelles en direction du centre de la ville. Des voitures de 
police 
  l'avance de la nuit rendit les rues déserte et Anne fit signe 
a Eva qu'elles sont presque arrivé. La rue longe un large 
cour 
sont de 
Des 
 en fête. 
original. Si 
les chambres 
nue sans prêter 
    Pour Anne, elle eut l'habitude d'y passer mais pour Eva 
cette 
ou voitures 
rapprocher pour ne 
de nationalité différente, 
frôlée. l'un d'entre eux s'écria,
-    Alors la fouine tu n'as pas remarqué ses jolies blonde 
     qui 

153

-    Non, où ça ?
-    Elles travaillent pour qui ces deux là ?
-    Je ne les connais pas, certainement qu'elles viennent 
     d'un
-     Je ne pense pas, je vais appeler Jojo lui doit être au
      courant.
  Il décroche le téléphone d'une cabine, appuis sur une 
touche, 
sur un cadrant 
-      Allô Jojo tu m'entend ?
-      Oui, le Dénicheur, que me proposes tu , y a il du 
       grabuge?
-      Non la soirée est calme, mais regarde voir sur ta 
       gauche, 
       connais ?
   Jojo s'empara d'une paire de jumelle infrarouge et 
observa 
femmes.
-     Allô le Dénicheur, je n'ai jamais vu ses deux nanas, je
      certain que Maxime n'a pas de nouvelles venu, je 
      rajoute 

154

-      Merci Jojo c'est tout ce que je voulais savoir, donc 
        si je  
        plates bandes.
-      Ça je ne sais pas mais une chose que je peux rajouter
       tu n'as pas ton surnom pour rien. 
-      Alors la Fouine on tente de les embobiner ? 
-      D'accord ont leur raconte les mêmes anecdotes que la 
        dernière fois avec les vietnamiennes ?
-       Je pense pas que cela marchera avec elles, je les 
        embobine d'une autre façon.
  Anne et Eva se déplacèrent a une vitesse raisonnable, et
 longèrent une rangé de maisons vétuste aux briques 
apparente. Elles viennent de dépasser la voiture de Jojo 
qui 
communique a la Fouine placé cent mètres plus loin.
-  Es tu prêt la Fouine, je les suis maintenant.
-  Oui fais comme il est prévu.
  Jojo sort de la cabine téléphonique pour suivre les deux  
femmes se tenant par la main.
-  Alors les filles ont cherche  du travail ?

155

  Pas de réponse, elle poursuivirent leur intentions.
-  Ils vous faut une protection les filles ont est là pour ça.
La fouine se rapproche d'elle pour dire,
-   Elles n'ont pas l'intention de répondre je pense pas 
     que tu les intéresses.
  Jojo aime taquiner c'est dans sa nature mais la réponse 
qu'il vient d'obtenir de la part de la Fouine est comme
un avertissement pas bien venu il dis,
-   Alors les filles une protection de la part de nous autres
     qu'en dite vous ?
  Les deux jeunes femmes , bloqué, les regardent d'un air
étonné. La présence ce cette attroupement de quatre 
individus 
intentions de 
fortement la 
-   Alors comme cela vous ne travailler qu'en couple ?
-    Ça se net pas mal la Fouine, d'une pierre tu fais deux
     coups .
  C'est le dénicheuse qui eut dit cela. Jojo caressa 
les 

156

jeunes femmes 
brusque pour donner un 
rapidement les intentions d'Anne,
vite. Les droits larbins les bloquent. Elles 
une fuite, mais ces trois brutes ne leur laissèrent
aucune chance d'évasion. Elles sont retenus contre 
leur 
-    Qu'en penses tu la Fouine, ont les entraîne dans 
      l'ancienne 
      elles trouverons la 
-     A cinq se sera une partie correcte.
-    Pas mal cette idée, mais il faut que l'un d'entre nous 
     monte la garde a tour de rôles.
  Anne réagi sur ce qui vint d'être dit mais elle hésite 
d'entre 
tout en tenant la  
probabilité d'inattentions des 
-   Alors les amoureuses, vous ne vous quitter pas .
Dit Jojo avec un rire ironique.
-   Maraudent ces deux bout de femmes, elles n'ont pas

157

    l'air de nous exprimer leur refus.
Le dénicheur,
-    Mais il me vient une idée j'ai entendu que deux filles
     sont recherché par la police dans le poste de radio.
Jojo,
-     Alors tu déniches des stars ma parole, tu ne portes 
      pas ton nom pour un rien.
Lalatte,
-    Ou seraient elles recherché pour meurtre par hasard ?
La fouine 
-      Mais ne vous en faite pas, la police ne vient pas ici, 
  A ce moment là des gyrophares flanchent les alentours
de plusieurs rues.
-  Je vous l'avais bien fait comprendre, que ces deux là 
   sont recherché par la police, je ne connais pas la 
   raison, attention,
-   Toi tu as peur, de toute façon elle savent qu'elles sont
     recherché, raison de plus de la cacher.
Dit la Fouine d'un air enchanté. Jojo ravis, rajoute.
-     Ne perdons pas de temps et emmenons les dans la

158

      chambre de Lili.
La Fouine est de son avis.
-     D'accord, emmenons les la bas, après le contrôle de
      papier je revient, c'est juste pour que la police me 
      donne les raisons sur ces filles.
  Anne eut comprit le danger qui les enture, d'un coté la
police et de l'autre les macros. Eva sut les actes qu'elle 
eut commise ce qui la transforme en une meurtrière. Elle
ne voulu se laisser prendre.
   les deux jeunes femmes acceptèrent de suivre le fameux
Jojo sur le quais du port pour monter sur une péniche. Il
fit si sombre qu'ils se déplacèrent sans lumière a tâtons. la
lampe de poche  restât dans son étuis.
  Enfin, ils arrivèrent dans cette fameuse chambre de Lili.
Les hublots laissaient apercevoir les policiers qui se 
déplacèrent. Jojo appuya sur un interrupteur qui donna
une faible lumière jaune tamisé. Sur le plafond arrondi 
cette lueur se dispatcha sur des miroites qui refléta la
cabine. 
-   Alors mes mignonnes, que pensez vous de cette cabine ?

159

La main de Jojo caressa la poitrine d'Anne qui le repoussa.
-   Tu ne vas pas me refuser cela, on vient de vous sauver
     du méchant loup.
Une autre lumière plus puissante les éclaira. La cabine a
couché fut éclairé, et une radio actionné par la police 
émettra ceci ,
-   Nous recherchons deux jeunes femmes qui sont muette,
    il est conseillé de nous faire savoir où elles sont  car
    nous savons qu'elles circulent par ici.
Le dénicheur dit a Jojo
-   Fait attention Jojo le quartier est encerclé par la
     police, ce n'est pas un contrôle de routine.
-   Mais que portent elle sur leur dos pour qu'un 
     régiment les recherche ?
Jojo ne se laisse pas intimidé et dit ,
-   Alors ses deux là son muette donc, elles ne diront pas
     un mot 
  Anne remarqua sur les lèvres leur conversation, elle se
sentit plus en danger dans cette cabine qu'auprès de la 
police. Elle fit transmettre son message a Eva par la main.

160

Le dénicheur trouva les intentions de Jojo absorbe et
 sentit qu'un danger les guettait.
-  Je pense qu'il vaut mieux les relâcher.
A cette instant, une personne frappe a la porte de la cabine.
Jojo, surprit réagit;
-  qui est là ?
Les quatre hommes regardent vers cette porte. Une voix
de femme répond,
-   C'est moi Caroline.
D'une voix enroué Jojo criât.
- Mais rentre donc.
  La porte laissa apparaître une jeune femme légèrement
habillé. Anne et Eva la regardèrent dans le miroir. 
Caroline vint les avertir.
-   La police fouille toutes les péniches, faite attention.
  Les trois protecteurs se regarde d'un air ahuri. La fouine
a une solution,
-  Fais les passer par l'autre ruelle Caroline pour les 
    éloigner d'ici.

A suivre au 8/8  161
auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
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