mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2
Caroline les sorts de cette pièce pour quelle puissent
travers les places du port . Elles arrivent temps bien que
- Je suis de votre avis pour certaines remarques mais
pour d'autres ?
lieux et concluent que l'acharnement sur la victime
Les deux jeunes femmes et l'enfant ce trouve a cette
instant là dans le magasin de chaussures. Elles
- Anne quelle plaisir de te revoir .
Elle répète ses paroles par gestes.
Anne souri et fit des signes de la main.
- Viens voir Edoire, c'est notre chère Anne qui nous
rend visite.
Une puissante voix résonne.
- Mais, ouvre lui la porte Édite au lieu de parler
depuis le couloir.
le loquet de sécurité de l'appartement est décroché,
- Je suis d'avis a emmener cette enfant le plus rapidement
à l'hôpital.
Trois heures de l'après midi, Yves a terminé son repas.
Ce fut la première fois qu'il le dévora aussi vite. Il a
161 Coïncidence
Caroline les sorts de cette pièce pour quelle puissent
travers les places du port . Elles arrivent temps bien que
mal dans une grande cour entourée de maisons. Des
des sifflements instructif , les suivent, un signe que tous
des sifflements instructif , les suivent, un signe que tous
n'est pas perdu . Caroline les emmène dans un couloir
où des cries de joie d'enfants se fond entendre. la lumière
s'éteint. Elle tâte le mur pour trouver un interrupteur. La
où des cries de joie d'enfants se fond entendre. la lumière
s'éteint. Elle tâte le mur pour trouver un interrupteur. La
lumière revient, elles se dirigent devant une porte d'où
proviennent les rires d'enfants . Anne et Eva suivirent
Caroline qui ne les fait entrer dans cette pièce un peu
triste mais accueillant avec les enfants qui regardent un
passage de cirque. Sur les murs, de la tapisserie déchiré
162
l'aise a désirer. Il y a une fenêtre sous laquelle se trouveun petit lits d'enfant, celui ci pleurs a la vie de Caroline.
L'enfant se débat pour quelle le prend dans se bras.
Anne se dirige vers se lit et elle prit l'enfant dans ses
Anne se dirige vers se lit et elle prit l'enfant dans ses
bras. Cela le réconforte. Pendant ce temps, Caroline
aménage une cachette situé sous le grand lit . Anne
continue de porter l'enfant d'environ neuf mois tout
en le berçant . A peine arrivé, que des frapes sur la
porte résonnent.
- Ouvrez la porte, c'est la police.
- J'arrive, un petit moment.
Caroline s'approche de la porte fermé a clé a deux tours.
- Vous voyez monsieur l'agent, je vous présente ma belle
sœur
- Il est a qui ce bébé là.
- Mais c'est le mien ça ne se voit pas, il me ressemble.
- Il ressemble plus tôt a un chinois
- Je ne le crois pas car a cette époque je passais mes
- Tu en as de bonne toi
- Il passe encore de temps a autre, je peux toujours lui
siffler un mot
- C'est bon , comme il n'y a personne d'autre,
on peu partir.
Avant de quitter les lieux il prête attention a une photo
placé au mur, il n'y a pas de ressemblance avec les deux
porte résonnent.
- Ouvrez la porte, c'est la police.
- J'arrive, un petit moment.
Caroline s'approche de la porte fermé a clé a deux tours.
- Vous voyez monsieur l'agent, je vous présente ma belle
sœur
- Il est a qui ce bébé là.
- Mais c'est le mien ça ne se voit pas, il me ressemble.
- Il ressemble plus tôt a un chinois
- Je ne le crois pas car a cette époque je passais mes
163
nuits avec votre supérieur.- Tu en as de bonne toi
- Il passe encore de temps a autre, je peux toujours lui
siffler un mot
- C'est bon , comme il n'y a personne d'autre,
on peu partir.
Avant de quitter les lieux il prête attention a une photo
placé au mur, il n'y a pas de ressemblance avec les deux
filles recherché !
Il a fallut plus de vingt minutes pour que la police quitte
l'endroit. La cachette d'Eva fut parfait, ils ne l'on trouvé
l'endroit. La cachette d'Eva fut parfait, ils ne l'on trouvé
elle ressenti des courbatures un peu partout.
Caroline leur propose de faire du thé, elles ne refusent
pas. Une autre fillette se trouve avec eux, c'est la fille de
pas. Une autre fillette se trouve avec eux, c'est la fille de
la voisine un peut curieuse , elle les questionne ,
- Quel est ton nom mademoiselle et quel âge as tu ?
Eva écrit sur un tableau,
- Moi c'est Eva et elle c'est Anne on a vingt trois ans
chacune.
164.
Caroline et cette fille lut ses écrits, puis demande,
- Comment se fait il que vous venez de prendre contacte
avec les racoleurs ?
Cette question fait hésiter Anne qui mit quelques instant
pour répondre par écrit,
- La police est a notre recherche ont c'est enfuit du
domaine des marguerite. Nous avions pris peur en
avec les racoleurs ?
Cette question fait hésiter Anne qui mit quelques instant
pour répondre par écrit,
- La police est a notre recherche ont c'est enfuit du
domaine des marguerite. Nous avions pris peur en
voyant la police nous rechercher. Lorsque ces hommes
nous ont proposer leur aide on les suivis.
Caroline continu de la questionner par écrit,
- Vous voyer ce que je suis devenu en acceptant leur
protection, je suis a la merci de leur besoin, sexuelle
- Vous voyer ce que je suis devenu en acceptant leur
protection, je suis a la merci de leur besoin, sexuelle
et financier. Vous me paraissez sympathique, c'est la
raison qui fait que je vous aide. Au cas ou j'apprend
raison qui fait que je vous aide. Au cas ou j'apprend
que les recherches font suite a un crime, je n'hésite
pas a vous dénoncer a la police sans hésiter.
165.
Eva lit ces quelques mots et garde en elle une partde vérité .
Anne marque quelques mots sur le papier
- Ma copine Eva est une victime de la police , il la
recherche suite a l'agression d'une banque commis
Anne marque quelques mots sur le papier
- Ma copine Eva est une victime de la police , il la
recherche suite a l'agression d'une banque commis
par d'autres personnes . Son mari travaille dans
cette banque où il fut agressé . Ne pouvant
s'exprimer, pour justifier sa présence, Eva fut
diriger dans un hôpital pour dépressif.
Eva se trouve prêt du petit lit d'enfant qu'elle
cajole jusqu'à ce que l'enfant s'endorme. Eva fait
signe qu'elle aussi est fatigué. Caroline a renvoie
la voisine .
Lees rêves d' Eva naviguent dans son sommeille,
un pré-sentiment de maternité font renaitre un
chagrin qui remplis sa solitude.
166
Caroline, amadoué par Eva endormis prêt du bébétrouve dans cette séquence un sentiment attachant.
La poignée de la porte de cette chambre fut brutalement
manipulé. Heureusement qu'elle était fermé a clé .
Caroline réveille Eva et leur fait signe de se cacher.
D'un air étonné, elle dit,
- Qui est là ?
- C'est moi le Dénicheur ouvre.
Caroline s'assura que les filles se sont bien caché puis
dit,
- Je viens attend
Le comportement de cette individu fut brutal il demanda,
- Qu'as tu fais avec les filles ?
La poignée de la porte de cette chambre fut brutalement
manipulé. Heureusement qu'elle était fermé a clé .
Caroline réveille Eva et leur fait signe de se cacher.
D'un air étonné, elle dit,
- Qui est là ?
- C'est moi le Dénicheur ouvre.
Caroline s'assura que les filles se sont bien caché puis
dit,
- Je viens attend
Le comportement de cette individu fut brutal il demanda,
- Qu'as tu fais avec les filles ?
Caroline,
- Elle se sont volatilisé car la police nous avaient suivi.
Cet homme mérite une offense pour lui redonner son
- Elle se sont volatilisé car la police nous avaient suivi.
Cet homme mérite une offense pour lui redonner son
bon sens. Eva se trouva en première ligne sous le lit, elle
remarque, entre les draps qui dépassent, le comportement
agressif de l'individu qui bouscule brutalement Caroline.
- Pour quelle raison as tu laissé s’échapper ces filles ?
se met a pleurer .
Anne ne voyait rien mais entendit les agressions.
- Alors Caroline qu'as tu fait avec les deux filles ?
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Cette brute frappe a nouveau Caroline, son enfantse met a pleurer .
Anne ne voyait rien mais entendit les agressions.
- Alors Caroline qu'as tu fait avec les deux filles ?
Caroline,
- J'ai suivi les consignes que les autres m'ont donné.
D'autres frappes résonnent.
- Fait moi taire ce sale cosse, ici c'est moi qui donne
des ordres
Caroline se rapproche de l'enfant qui continue de
pleurer , elle l'entour de ses bras pour abaisser sa peur
- J'ai suivi les consignes que les autres m'ont donné.
D'autres frappes résonnent.
- Fait moi taire ce sale cosse, ici c'est moi qui donne
des ordres
Caroline se rapproche de l'enfant qui continue de
pleurer , elle l'entour de ses bras pour abaisser sa peur
sa douleur et ses pleurs.
- Pour quelle raison as tu fermé la porte a clé?
- Pour quelle raison as tu fermé la porte a clé?
Caroline,
- La police est passé ici pour recherche les filles.
- La police est passé ici pour recherche les filles.
J'avais des doutes sur leur départ et peur que la
police revient.
Caroline souffle un peut , et lui donne quelques
Caroline souffle un peut , et lui donne quelques
indication,
- Les filles mon demandé la direction a prendre
pour rejoindre le terrain vague en passant par
le Dénicheur, sous l'empire de consommation de
drogues, devient plus violant. Caroline ne souffle un
- Les filles mon demandé la direction a prendre
pour rejoindre le terrain vague en passant par
168
le port.le Dénicheur, sous l'empire de consommation de
drogues, devient plus violant. Caroline ne souffle un
seul mot de dénonciation . Le petit enfant continue
de pleurer.
Quelle pénibilité que de devoir passer une nuit
sous un lit pour les deux filles. La peur les tient en
sous un lit pour les deux filles. La peur les tient en
garde et en éveille. Il est qu'elle heure ?
Le Dénicheur se réveille, il regarde sur sa montre.
- Dix heures du matin, alors Caroline, réveille toi.
Il poussa de son pied Caroline pour qu'elle se
Il poussa de son pied Caroline pour qu'elle se
réveille. Rien ni fait, Caroline ne ses réveille pas.
Le Dénicheur se rase et fait un brin de toilette puis
169
se parfume. L'enfant se réveille en pleure se quiénerve le Dénicheur.
- Sale cosse, tu reprend ton pleurnichement, tu es
bien une fille.
Il s'approcha du petit lit et tente de lui donner sa tétine.
- Sale cosse tu prend cette tétine ?
Rien ne servi, l'enfant continue de pleurer.
- Tu m'énerves sale cosse t'a mère doit s'occuper de toi.
Cette forme caoutchouteux ne remplace pas la faim . Il
tire les cheveux de Caroline,
- Mais tu te réveille bientôt ?
Malgré cette brutalité il n'obtint de réponse. Il se
Il s'approcha du petit lit et tente de lui donner sa tétine.
- Sale cosse tu prend cette tétine ?
Rien ne servi, l'enfant continue de pleurer.
- Tu m'énerves sale cosse t'a mère doit s'occuper de toi.
Cette forme caoutchouteux ne remplace pas la faim . Il
tire les cheveux de Caroline,
- Mais tu te réveille bientôt ?
Malgré cette brutalité il n'obtint de réponse. Il se
rapproche d'elle et,
- Merde, elle est morte, il ne manque plus que cela
Sans tarder il lave tous ce qu'il a prit en main , remet
- Merde, elle est morte, il ne manque plus que cela
170
maintenant .Sans tarder il lave tous ce qu'il a prit en main , remet
ses chaussures, tourne l'enfant qui pleure, puis quitte la
pièce au plus vite.
Un ouf pour les filles, elles peuvent enfin sortir de
leur cachette sous le lit. Anne, se rapproche du bébé qui
pleures et Eva regarde sur le corps ensanglanté de
leur cachette sous le lit. Anne, se rapproche du bébé qui
pleures et Eva regarde sur le corps ensanglanté de
Caroline. Son visage a d'horrible traces de coups de
ceinture, les marques du drame de cette nuit .
Anne s'occupa du Bébé avec peine car l'enfant
n’arrête pas de pleurer Elle lui fait un biberon pour lui
ceinture, les marques du drame de cette nuit .
Anne s'occupa du Bébé avec peine car l'enfant
n’arrête pas de pleurer Elle lui fait un biberon pour lui
donner. Anne fait signe a Eva de partir au plus vite,
quant l'enfant sera langé . Cette orpheline fait mal
a Eva qui fit comprendre a Anne,
171
- nous prenons le Bébé avec nous. IL faut reconnaître que Caroline les a protégé
au détriment de sa vie, c'est au deux filles de venir en
au détriment de sa vie, c'est au deux filles de venir en
aide a ce bébé orphelin pour le protéger.
qu'il occupe. Le commissaire arrive de la chambre d'a
coté ; lui aussi a récupéré en sommeil mais aussi en
informations .
Yves un peu sonné demande,
- mais que c'est il passé ?
Le commissaire,
- Monsieur Yves, comment allez vous ?
- Monsieur Yves, comment allez vous ?
Yves,
- Bonjour monsieur le commissaire, je vais bien
merci.
- Bonjour monsieur le commissaire, je vais bien
merci.
Le commissaire,
- Nous suivons votre femme, qui se trouve en
ville, elle n'est pas seule, je viens apprendre
- Nous suivons votre femme, qui se trouve en
ville, elle n'est pas seule, je viens apprendre
qu'elles sont deux a avoir fugué du domaine
des marguerites .
Yves,
- Je souhaite que rien ne lui est arrivé.
le commissaire n'a fermé l’œil de la nuit, qu'a
moitié,
- Monsieur Yves j'ai une nouvelle a vous annoncer,
au sujet de votre femme Eva, nous avons déterminé
le commissaire n'a fermé l’œil de la nuit, qu'a
moitié,
- Monsieur Yves j'ai une nouvelle a vous annoncer,
au sujet de votre femme Eva, nous avons déterminé
que l'axe du tir venait de votre habitation . Nous
pensons que votre femme eut tiré sur les agresseurs.
173
Yves,- Je suis de votre avis pour certaines remarques mais
pour d'autres ?
Le commissaire,
- Les quelles monsieur Yves ?
- Les quelles monsieur Yves ?
Yves,
- Je doute que ma femme Eva eut tiré sur les agresseurs
- Je doute que ma femme Eva eut tiré sur les agresseurs
Le commissaire,
- Vous prenez la défense de votre femme,
- Vous prenez la défense de votre femme,
Yves,
- Je prend la défense de ma femme car j'ai confiance
en elle.
Les trois filles rencontre sur leur parcoure une foule
- Je prend la défense de ma femme car j'ai confiance
en elle.
Les trois filles rencontre sur leur parcoure une foule
de personnes . Parfois c'est Eva qui porte le bébé. Les
filles sont devant un magasin de chaussures . Une
patrouille de police arrive . Elles pénètrent dans le
magasin pour se protéger. Il fut temps, car le bébé
nécessite une toilette et le magasin reste ouvert durant
la pose de midi.
Une patrouille de police arrive dans l'habitation de
Une patrouille de police arrive dans l'habitation de
Caroline car la petite voisine a remarqué le drame et
la disparition du bébé et la signalé a ses parents qui
avertisse la police. Pas de doute, c'est un crime et un
enlèvement d'enfant ?
174
Les inspecteurs spécialise arrivent aussi sur leslieux et concluent que l'acharnement sur la victime
avec une ceinture est l'arme du crime. La ceinture
ensanglanté est emballé et placé comme objet du
crime. De nombreuses empreintes sont relevés et
des photos de toute la pièce.
- L'objet du crime, fut l'envoyer au labo.
Résume l'inspecteur qui s'occupe de cette enquête.
- L'objet du crime, fut l'envoyer au labo.
Résume l'inspecteur qui s'occupe de cette enquête.
Les deux jeunes femmes et l'enfant ce trouve a cette
instant là dans le magasin de chaussures. Elles
attendent que la voie se libère.
Les filles repartent, il ne reste plus que quelque
Les filles repartent, il ne reste plus que quelque
pâtées de maisons pour atteindre leur but.
Elles se trouvent devant l'entrée du bâtiment de
appartement qu'Anne envisage de contacter . Anne
appui sur la sonnette.
A l'étage, une personne se penche par une fenêtre,
puis elle déclenche l'ouverture de la porte d'entrée.
175
C'est Eva qui porte l'enfant qui pleure a vive voie .- Anne quelle plaisir de te revoir .
Elle répète ses paroles par gestes.
Anne souri et fit des signes de la main.
- Viens voir Edoire, c'est notre chère Anne qui nous
rend visite.
Une puissante voix résonne.
- Mais, ouvre lui la porte Édite au lieu de parler
depuis le couloir.
le loquet de sécurité de l'appartement est décroché,
la porte d'entré s'ouvre et Edite leur fait signe de la
suive. Une tache humidité , que le bébé a fait, laisse
des traves sur le vêtements d Anne. La chaleur devient
suive. Une tache humidité , que le bébé a fait, laisse
des traves sur le vêtements d Anne. La chaleur devient
pénible je pour tous.
Édite vient a leur rencontre dans les escaliers.
Anne vient de relayer Eva. Elle fait des signes de la tête
pour
- Tu sais Anne nous venons de terminer notre repas,
mais nous allons vous recevoir temp bien que mal.
Il y a toujours une assiette pour les visiteurs.
Édite vient a leur rencontre dans les escaliers.
176
- Mais Anne que nous rapportes tu là ?Anne vient de relayer Eva. Elle fait des signes de la tête
pour
- Tu sais Anne nous venons de terminer notre repas,
mais nous allons vous recevoir temp bien que mal.
Il y a toujours une assiette pour les visiteurs.
Les filles arrivent devant la porte grande ouverte de la
salle a manger.
Edoire,
- Bonjour les filles, que nous rapportes tu de beau,
- Bonjour les filles, que nous rapportes tu de beau,
Anne ?
Eva reprend l'enfant dans ses bras, pour que Anne
Eva reprend l'enfant dans ses bras, pour que Anne
puisse faire la bise a son ongle. Puis Anne dialogue
par signe pour représenter le sexe de l'enfant.
Edoire,
- Donc c'est une fille, elle est mignonne, es tu devenue
- Donc c'est une fille, elle est mignonne, es tu devenue
mère ? J'en suis fière.
L'ongle dirige les filles vers la cuisine, là c'est Edite
qui fait de son mieux pour élaborer deux assiettes de
crudités. Un autre homme se trouve dans la cuisine et
ses lèvres, deviennent expressif en saluant les jeunes
177
ses lèvres, deviennent expressif en saluant les jeunes
filles.
- Le bébé a certainement faim, et doit être langé.
Ce personnage prit sa pipe qu'il bourra par habitude
puis,
- Edoire a raison, Edite donne leurs de quoi langer
pour ce bébé .
Ce personnage prit sa pipe qu'il bourra par habitude
puis,
- Edoire a raison, Edite donne leurs de quoi langer
pour ce bébé .
Edite,
- Anne puis je m'en occuper personnellement?
Anne fit signe a Edite qu'elle peut s'occuper de l'enfant.
Eva accepte et lui tendit le bébé qui pleure encore. Le
grand monsieur reste sur sa chaise et dit d'un air
curieux,
- Mais Anne quelle est la raison de ta visite,
Anne demanda de quoi écrire . Elle prit place sur une
- Anne puis je m'en occuper personnellement?
Anne fit signe a Edite qu'elle peut s'occuper de l'enfant.
Eva accepte et lui tendit le bébé qui pleure encore. Le
grand monsieur reste sur sa chaise et dit d'un air
curieux,
- Mais Anne quelle est la raison de ta visite,
Anne demanda de quoi écrire . Elle prit place sur une
chaise de cette large table en chêne, puis écrit,
- Hier soir nous avons quitté le domaine des
marguerites en stop. Nous somme arrivé la nuit.
178
Les rue sont devenu dangereuse, de nombreux anecdotes d'accrochage, nous ont contrains a nous
cacher. La maman de cet enfant nous a hébergé a
ses risque et périls. Cette réaction ne lui porta
chance car son meneur la battu a mort pendant que
nous étions caché sous le lit. De notre cachette ont fut
témoin de cette agression. Même l'enfant subit des
nous étions caché sous le lit. De notre cachette ont fut
témoin de cette agression. Même l'enfant subit des
sévis. Il pleurait sans arrêt. Lorsque le meurtrier fut
partie on décida de l'emmener.
Monsieur Edoire lit ces mots avec de l'attention. Il passe
le morceau de papier a sa femme qui par la suite le
Monsieur Edoire lit ces mots avec de l'attention. Il passe
le morceau de papier a sa femme qui par la suite le
donne l'autre personne puis dit d'un air intéressé,
- Mais pour quelle raison avez vous quitté le
domaine des Marguerites c'est un endroit sérieux ?
Anne ne tarde a rédiger une réponse. Pendant ce
- Mais pour quelle raison avez vous quitté le
domaine des Marguerites c'est un endroit sérieux ?
Anne ne tarde a rédiger une réponse. Pendant ce
temps la dame Édite, leur prépare deux assiettes. Eva
eut prit place a coté de ce robuste personnage, songeur
et sympathique a la fois et qui fume sa pipe bien bourré
a grande boulées . Sur la feuille vierge Anne commence
a rédiger,
- L'on a quitté le château pour pouvoir retrouver le
mari de ma copine Eva fut dérouté lorsqu'elle voulu
179
suivre son mari blessé a l'hôpital dans l'ambulance . Une agression dans une banque en est la raison et
son mari y travaillait . Comme Eva ne put donner
des explications un policier l'avait retenu, et elle la
mordu pour qu'il la lâche.. A partir de là Eva fut
considéré comme agressive, ils eut droit a une
camisole et placé dans un asile de détraqué. Une
fiche suiveuse lui donna un faux nom car ils se sont
basé sur une carte de banque qui se trouvait a terre a
ses cotés. Grace a une médecin raisonnable, elle c'est
retrouver au Domaine des marguerites.
Monsieur Edoire prit cette feuille qu'il lut avec attention
puis d'un air songeur répond,
- Tu as toujours bon cœur Anne avec les autres mais te
rend tu conte de ce que vous venez de faire ? l'enfant
puis d'un air songeur répond,
- Tu as toujours bon cœur Anne avec les autres mais te
rend tu conte de ce que vous venez de faire ? l'enfant
ne vous appartient pas il faut absolument l’emmener
a la police.
Edite appelle de la salle de bain. Sont étonnement a
marqué profondément son visage. Elle porte l'enfant
Edite appelle de la salle de bain. Sont étonnement a
marqué profondément son visage. Elle porte l'enfant
pour le montrer aux hommes.
- Edoire et grand père venez regarder pour quelle
- Edoire et grand père venez regarder pour quelle
raison cette enfant pleure, il a d’atroces blessures.
Tout le monde l'entour Edite , il ne reste plus de
place dans la salle de bain , on a du mal a bouger.
180
Monsieur Edoire ,- Je suis d'avis a emmener cette enfant le plus rapidement
à l'hôpital.
Edite,
- Je suis te ton avis Edoire, mais laissons les terminer
leur repas le temps que je m occupe de l'enfant. Nous
- Je suis te ton avis Edoire, mais laissons les terminer
leur repas le temps que je m occupe de l'enfant. Nous
allons appeler notre fille Sabine pour qu'elle vienne
nous aidez.
Sabine a le même âge que Anne et la même corpulence,
ont dirait des jumelles.
Trois heures de l'après midi, Yves a terminé son repas.
Ce fut la première fois qu'il le dévora aussi vite. Il a
retrouver ses forces et est fin prêt a affronter le pire.
Le commissaire le retrouve et sa présence le rend
nerveux.
- Monsieur Yves je vous apporte des rapports de la police.
Figurez vous que l'on a retrouvé des traces du passage
de votre femme pas loin du port. La suite risque de
Le commissaire le retrouve et sa présence le rend
nerveux.
- Monsieur Yves je vous apporte des rapports de la police.
Figurez vous que l'on a retrouvé des traces du passage
de votre femme pas loin du port. La suite risque de
vous choquer.
A ce moment là, Yves prend place sur le rebord de son lit
fait en tube blanc et écoute attentivement.
A ce moment là, Yves prend place sur le rebord de son lit
fait en tube blanc et écoute attentivement.
Le commissaire,
- Mes collègues ont trouvé une jeune femme lâchement
- Mes collègues ont trouvé une jeune femme lâchement
assassiné, se n'est pas de votre femme qu'il s'agit, rassurez
vous.
Yves transpire et ses pensées restent endormie. Les paroles
Yves transpire et ses pensées restent endormie. Les paroles
du commissaire le blessent profondément.
- Cette jeune femme au nom de Caroline fut tué a coup
rapport dit que cette acte fut commit par un dément. Si
je vous rapporte cette histoire c'est que votre femme
- Cette jeune femme au nom de Caroline fut tué a coup
181
de ceinture, l'arme du crime est retrouvé sur les lieux. Lerapport dit que cette acte fut commit par un dément. Si
je vous rapporte cette histoire c'est que votre femme
était dans la pièce au moment du crime ; on a trouvé
ses empreintes sur les meubles, mais pas sur la ceinture ?
Yves,
- Monsieur le commissaire, je ne sais pas a quoi vous
voulez en venir ?
- Monsieur le commissaire, je ne sais pas a quoi vous
voulez en venir ?
Le commissaire,
- Votre femme, désirait elle un enfant ?
- Votre femme, désirait elle un enfant ?
Yves,
- Non car Eva eut peur que l'enfant n' entendre pas et
- Non car Eva eut peur que l'enfant n' entendre pas et
ne parle pas comme elle.
Le commissaire,
- Donc, elle a commis un rapt d'enfant cette nuit comme
le suppose mes collègues ?
- Donc, elle a commis un rapt d'enfant cette nuit comme
le suppose mes collègues ?
Yves,
- Un rapt d'enfant, mais de quel enfant ?
- Un rapt d'enfant, mais de quel enfant ?
Le commissaire,
- Mais du rap qu'a commis votre femme cette nuit ?
- Mais du rap qu'a commis votre femme cette nuit ?
Yves,
- Ce n'est pas possible toute cette salade je n'en revient
pas.
- Ce n'est pas possible toute cette salade je n'en revient
pas.
Le commissaire,
- Cela est possible car après avoir séjourné dans une
maison de fou, elle a disjoncté.
- Cela est possible car après avoir séjourné dans une
maison de fou, elle a disjoncté.
Yves,
- Je peux certifier que ma femme ne fut jamais violente
ni agressif.
- Je peux certifier que ma femme ne fut jamais violente
ni agressif.
182
Le commissaire,- Et le crime qu'elle eut commis en tirant de sang froid
sur les agresseurs, expliquez moi cela.
La dureté d'un mensonge efface la réalité des accusations
non justifier et sens preuve ne font qu’ intimider Yves.
- Mais je précise que votre femme ne fut pas seule car
d'autres traces d’empreintes furent prélevé. La
personne partie avec elle y était aussi. Mais la raison
sur les agresseurs, expliquez moi cela.
La dureté d'un mensonge efface la réalité des accusations
non justifier et sens preuve ne font qu’ intimider Yves.
- Mais je précise que votre femme ne fut pas seule car
d'autres traces d’empreintes furent prélevé. La
personne partie avec elle y était aussi. Mais la raison
de ce crime nous déstabilise, le pourquoi ?
Le commissaire quitte la pièce d'un air embarrassé, et
fatigué. Yves fut bouleversé une nouvelle fois. Ses pensées
sont en ébullition, et des questions sont a se poser, sur ce
Le commissaire quitte la pièce d'un air embarrassé, et
fatigué. Yves fut bouleversé une nouvelle fois. Ses pensées
sont en ébullition, et des questions sont a se poser, sur ce
qui peut être vrais ou faux. Ses suppositions étouffent l'air
de cette pièce. Yves ne tenait plus et décide de se lever
et s'habiller. Il en a ras le bol de cette injustice, de cette
hôpital qui devient prison.
hôpital qui devient prison.
3 jeunes femmes et un bébé se présentent a la secrétaire
- Qui est la maman de cette enfant ?
Les trois jeune femme se regardèrent, collé. Sabine dit,
- Aucune de nous trois n'est la maman de ce bébé,
- Bon, je veux bien mais comment se fait il que vous
avez cette enfant ?
Eva donne la photo qu'elle eut emporté de la
183
médicale. Celle ci leur demande,- Qui est la maman de cette enfant ?
Les trois jeune femme se regardèrent, collé. Sabine dit,
- Aucune de nous trois n'est la maman de ce bébé,
- Bon, je veux bien mais comment se fait il que vous
avez cette enfant ?
Eva donne la photo qu'elle eut emporté de la
chambre où elles s'étaient cacher, et pointa du doigt
la photo de Caroline la maman. Sabine explique,
- Un malheur est arrivé a sa mère suite a un accident,
c'est pour cette raison que nous apportons l'enfant ?
- Un malheur est arrivé a sa mère suite a un accident,
c'est pour cette raison que nous apportons l'enfant ?
La secrétaire,
- Mais vous rendez vous compte que vous n'avez pas le
droit de transporter une personne victime d'un
- Mais vous rendez vous compte que vous n'avez pas le
droit de transporter une personne victime d'un
accident il fallait appeler les pompiers ?
Sabine,
- Cette enfant ne fut pas accidenté mais maltraité par
un inconnu.
Sabine ne sut rajouter d'autres explications.
- Bon, prenez place dans la salle d'attente sur votre
sois soigné.
Cette personne de l’accueille téléphone a qui de droit.
Depuis la salle d'attente on peut apercevoir les alentours
par la fenêtre ouverte. La chaleur règne dans cet hôpital.
- Cette enfant ne fut pas accidenté mais maltraité par
un inconnu.
Sabine ne sut rajouter d'autres explications.
- Bon, prenez place dans la salle d'attente sur votre
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gauche, je fais mon possible pour que cette enfantsois soigné.
Cette personne de l’accueille téléphone a qui de droit.
Depuis la salle d'attente on peut apercevoir les alentours
par la fenêtre ouverte. La chaleur règne dans cet hôpital.
Yves passe par l'escalier de secoure pour que le
personnel soignant le remarque.
Au poste de police les renseignements émit par l'hôtesse
d'accueil de l'hôpital correspondent a l' avis de recherche.
Au poste de police les renseignements émit par l'hôtesse
d'accueil de l'hôpital correspondent a l' avis de recherche.
La police se mit en marche pour interroger les trois
jeunes femmes suspectes. Deux véhicules se déplacèrent.
Yves arriva à la dernière marche de l'escalier de
secoure. Il aperçut la venue des deux voitures de police.
Dans sa tête il n'y eut pas de doute, c'est pour lui que la
police arrive. Il se baissa pour se confondre avec les
marches métallique. Puis, il se dit, et si Eva venait a sa
rencontre dans la voiture de police ?
Yves arriva à la dernière marche de l'escalier de
secoure. Il aperçut la venue des deux voitures de police.
Dans sa tête il n'y eut pas de doute, c'est pour lui que la
police arrive. Il se baissa pour se confondre avec les
marches métallique. Puis, il se dit, et si Eva venait a sa
rencontre dans la voiture de police ?
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Yves sort de l hôpital et contourne le bâtiment pour seobserver la venue de la police. Il fait un point d’arrêt
l'instinct le guide. Un pressentiment qu'Eva est là ?
Eva s'impatiente, se lève et s'approche de la fenêtre
Eva s'impatiente, se lève et s'approche de la fenêtre
grande ouverte. Elle aperçois les deux voitures de
police. Une sensation de renouveau la pourchasse.
La police questionne l’hôtesse d'accueil . Cette
présence d'uniforme la nargue, elle se rapproche de
La police questionne l’hôtesse d'accueil . Cette
présence d'uniforme la nargue, elle se rapproche de
la fenêtre et observe les voiture de police.
A cette instant, Yves se trouve prêt des voitures de
police sous la fenêtre où Eva tente de se jeter dans le
vide ? Yves l'aperçoit, en équilibre sur le rebords.
Entre les deux amoureux il ne reste que le vide.
Quelques étages, cela fut suffisant pour.
Entre les deux amoureux il ne reste que le vide.
Quelques étages, cela fut suffisant pour.
Yves,
- Mais, non de Dieu, c'est Eva qui se trouve là,
Eva, Eva,
Cria Yves de toute ses forces en courant sous l'axe de
- Eva, Eva, c'est moi Yves.
La vie fait que certaines personnes entendent et d'autres
pas. Là Eva n'entendit rien, je crois, non attendez elle
remarque les gestes d'Yves,
( LA SUITE DÉPEND DE VOTRE IMAGINATION, A
T ELLE SAUTE ?)
Le commissaire continua de faire son enquête et tomba
sur la photo qu’Éva eut donné a l'hôtesse d’accueil de
l'hôpital. Il y eut Caroline, la femme tué, et a coté d'elle
sa sœur, Liliane tué elle aussi. Cette coïncidence fut
suspect comme le passage qui le mena sur le terrain
vague où furent caché les agresseurs avec leur otage
policier. Quant a l'argent certainement qu'il se trouve
par ici allez savoir.
JJM
- Mais, non de Dieu, c'est Eva qui se trouve là,
Eva, Eva,
Cria Yves de toute ses forces en courant sous l'axe de
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l'éventuelle chute de la fenêtre.- Eva, Eva, c'est moi Yves.
La vie fait que certaines personnes entendent et d'autres
pas. Là Eva n'entendit rien, je crois, non attendez elle
remarque les gestes d'Yves,
( LA SUITE DÉPEND DE VOTRE IMAGINATION, A
T ELLE SAUTE ?)
Le commissaire continua de faire son enquête et tomba
sur la photo qu’Éva eut donné a l'hôtesse d’accueil de
l'hôpital. Il y eut Caroline, la femme tué, et a coté d'elle
sa sœur, Liliane tué elle aussi. Cette coïncidence fut
suspect comme le passage qui le mena sur le terrain
vague où furent caché les agresseurs avec leur otage
policier. Quant a l'argent certainement qu'il se trouve
par ici allez savoir.
JJM
SVP ne modifier pas mes textes je ne gagne rien .
Écrit par Jean Jacques Mutz écrivain amateur
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