Membres

5 octobre 2023

suite roman d'aventure ( coïncidence 8/8 )

mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2

161  Coïncidence
















cette pièce pour 
 travers les places du  port .Elles 
grande cour entourée de maisons. Caroline entendit 
des sifflements, elle leur fit signe que tous n'est pas perdu et
les emmena 
pas se répercutèrent aux 
 sont, des cries d'enfants se fond 
couloir s’arrêta et la lumière fut. Elles 
tâtant. Elles arrivèrent devant la porte d'où provenaient les
pleurs d'enfants. Anne et Eva suivirent Caroline qui ne les 
l
dans une pièce où la tristesse du 
des deux filles.

162 

  Des lamelles de tapisserie 
a désirer. Il y a une fenêtre sous laquelle se  trouve un petit
lits d'enfant. Les pleurs venaient de cet endroit. L'enfant se 
débattit 
entendit ses pleures,
la direction de ce lit. Elle prit le 
le réconforter. Pendant ce temps, Caroline 
vers une cachette situé sous le grand lit. Anne continua de 
porter l'enfant d'environ neuf mois. A peine que cinq 
minutes passèrent que 
résonnent.
-   Ouvrez la porte, c'est la police.
-    J'arrive, un petit moment.
  Caroline s'approche de la porte fermé a clé a deux tours.
-   Vous voyez monsieur l'agent, je vous présente ma belle 
     sœur 
-    Il est a qui ce bébé là.
-    Mais c'est le mien ça ne se voit pas, il me ressemble.
-    Il ressemble plus tôt a un chinois    
-    Je ne le crois pas car a cette époque je passais mes 

163

      nuits avec votre 
-    Tu en as de bonne toi
-    Il passe encore de temps a autre, je peux toujours lui 
      siffler un mot 
-    C'est bon les filles, comme il n'y a personne d'autre, 
      on peu partir 
   Avant de quitter les lieux il prête attention a une photo 
placé au mur 
ressembla aux deux filles 
referma brusquement.
  Il fallut plus de vingt minutes pour que la police quitta 
l'endroit. Le 
cachette. Elle fut un peu 
courbatures disparurent au bout de quelques 
  Caroline leur proposa de faire du thé, elles ne refusèrent 
pas. 
par la curiosité et 
-   Quel est ton nom jeune fille et quel âge as tu, a 
     chacune d'elle.
  Anne demanda du papier et de quoi écrire,

164

-    Je m'appelle Anne et ma copine c'est Eva, j'ai vingt 
     trois ans et Eva
      de même. 
  Caroline lut ses écrits, puis elle demanda,
-    Comment se fait il que vous venez de prendre contacte 
      avec les 
Cette question fait hésiter Anne  qui mit quelques instant 
pour répondre.
-     La police est a notre recherche car nous somme 
       partie du domaine 
       On a prit peur en voyant la 
       lorsque ces hommes nous ont proposer 
       en aide nous les avions suivi.
  Caroline continu de la questionner par écrit,
-    Vous voyer ce que je suis devenu en acceptant leur 
       protection, peut 
      leur besoin. Vous me paraissez 
      cette raison que je vous aide car ci vous 
      police pour un crime, là je vous dénonce sans hésiter. 
      Le 

165.

   Eva lit ces quelques mots et garde en elle une part de vérité, 
celle de 
et surtout le 
  Anne marqua quelques mots sur le papier
-   Ma copine Eva est une pauvre victime de la police qui la 
     fait 
     car elle 
      d'une banque. 
      cavale pour retrouver 
      le 
      respectueux.
   Pendant ce temps, Eva se trouve prêt du petit lit 
d'enfant qu'elle 
avec elle en gesticulant et 
pas l'air d'avoir sommeille. La lumière 
le déranger. A ce moment un pré-sentiment de 
d'attention fit maître en elle une réaction maternelle. 
Elle se 
envie. Son chagrin 
remplis de solitude. 

166

  Caroline regarda dans sa direction et se laissa 
amadoué par le 
  La poignée de la porte de cette chambre fut brutalement 
manipulé.
de la pousser puis elle 
Caroline fit signe aux filles de se cacher 
demande d'un air étonné,
-    Qui est là ?
-     C'est moi le Dénicheur ouvre.
Caroline s'assura que les filles se sont bien caché puis 
elle dit,
-     Je viens attend 
Le comportement de cette individu fut brutal il demanda,
-     Qu'as tu fais avec les filles ?
-      Elle se sont volatilisé car la police nous avaient suivi.
Cette homme mériterais une offense pour lui redonner 
son bon sens.
Eva se trouva en première ligne sous le lit, elle remarqua 
que cette 
-   Pour quelle raison as tu laissé s’échapper ces filles 

167

     elles auraient 
     les cacher quelques temps.
Cette brute frappa a nouveau Caroline, son enfant 
pleurait sans 
Anne ne voyait rien mais entendit les agressions.
-       Alors Caroline qu'as tu fait avec les deux filles ?
-      J'ai suivi les consignes que les autres m'ont donné 
        même que 
        de la cour donnant sur les friches.
D'autres frappes résonnèrent. 
-     Fait moi taire ce sale cosse, ici c'est moi qui 
       donne des ordres 
Caroline se rapproche de l'enfant qui continue de 
pleurer comme une 
sa maman eut subit. 
-   Pour quelle raison as tu refermé la porte a clé?
-   La police est passé ici pour recherche les filles.
Caroline lui donna quelques indication,
-    Elles mon demandé  qu'elle direction prendre 
      pour rejoindre le 

168

      du port
   le Dénicheur, sous l'empire de consommation de 
drogues,
avec une 
 
cette 
du Dénicheur qui
ne souffla un seul mot de dénonciation . Le petit 
enfant continua 
    Quelle pénibilité que de devoir passer une nuit 
sous un lit 
car la peur les tint en 


crainte, ouf de 
 qu'elle heure somme nous ,
 dans cette pièce. Il regarde sur sa 
-    Dix heures du matin, alors Caroline, réveille toi.
   Il poussa de son pied Caroline pour qu'elle se réveille. 
Rien ni 

169

se raser.
  L'enfant se réveilla en pleure se qui énerva le Dénicheur.
-   Sale cosse, tu reprend ton pleurnichement, tu es bien 
     une fille.
  Il s'approcha du petit lit et tenta de lui donner sa tétine 
en 
Une 
que cette 
-     Sale cosse tu prend cette tétine ?
  Rien ne servi, l'enfant continua de pleurer.
-      Tu m'énerves sale cosse t'a mère doit s'occuper de toi.
  Cette forme caoutchouteux ne remplace pas la faim et 
cette 
lever elle 
cheveux.
-    Mais tu te réveille bientôt ?
   Malgré cette brutalité il n'obtint de réponse. Comme 
sa 
coula 
-    Merde, elle est morte, il ne manque plus que cela 

170

      maintenant 
  Sans tarder il se lave la figure, remet ses chaussures, 
tourne 
l"enfant qui pleure. 
trousses. 
  Un ouf pour que les filles qui peuvent enfin sortir de 
sous le lit. Il 
rapidement possible pas que 
pensées Anne, se rapproche du petit lit 
pleures lui 
de Caroline sur laquelle horrible traces de coups de 
ceinture l'on 
le  drame de cette nuit 
   Anne s'occupa du Bébé avec peine car l'enfant 
n’arrêta pas de 
biberon qu'elle lui donna. 
Elle fit signe a Eva de partir au plus vite, l'enfant c'est 
endormie 
Cette orpheline lui 
malheur. Eva fit comprendre a 

171

Bébé avec elles. IL faut reconnaître que  
les eut protégé au détriment de sa vie, c'est a elles de
lui venir en aide a ce bébé livré a lui même. Pour que 
plus tard 
Caroline, Eva emporta l
femmes.
La cloche de l’église tonna 
fut danse 
facile de se faufiler 




172


   Yves se réveilla a l'heure de midi, mais que c'est il 
passé ? Il 
-   Monsieur Yves, comment allez vous ?
-   Bonjour monsieur le commissaire, je vais bien 
     merci
-   Nous suivons votre femme qui se trouve dans cette 
     ville, les 
     Elle n'est pas seule 
     des marguerites l'accompagne.
-   Je souhaite que rien ne lui est arrivé. 
  le commissaire n'eut pas fermé l’œil de la nuit, il  
suivit les 
-    Monsieur Yves j'ai une nouvelle a vous annoncer, 
       au sujet 
      d'apprendre qu'elle 
      que les agresseurs et qu'elle 
      Elle ne fut qu'une otage fictif. Mais 
      résultat me prouve que l'axe du tir venait de votre
      habitation. Cela pourrait  être votre femme qui 
       eut tiré ou 

173

       valeurs en votre 
-     Je suis de votre avis pour certaine remarque mais
       pour 
-     Les quelles monsieur Yves ?
-     Je doute que ma femme Eva eut tiré.
-     Vous prenez la défense de votre femme,
-     Je prend la défense de ma femme car j'ai confiance 
      en elle.
    Sur leur parcoure une foule de personnes passèrent, 
certains 
et une certaine 
Parfois c'est Eva qui la 
vers un magasin de chaussure 
il fut temps qu'elles
malgré qu'elle le portèrent de temps a autre.
      Une patrouille de police arrive dans l'habitation 
d'où sont 
les bras. Une 
disparition de l'enfant. Pour 
c'est un crime qui fut commis dans la 

174

    Les inspecteurs spécialise arrivent aussi sur les 
lieux du 
l'acharnement sur 
voisine et le petit lit d'enfant 
d'enfant. La ceinture ensanglanté fut mis comme
étant l'objet du crime. De nombreuses empreintes sont
prise aussi que des photos.
-   Ceci est bien l'objet du crime, il faut l'envoyer au labo.
Dit l'inspecteur qui s'occupe de cette enquête. 
  Les deux jeunes femmes et l'enfant ce trouve a cette 
instant là 
fermé, normal, 
leur 
Anne se dirige vers la sonnette de l'appartement, le bébé 
pleure 
le chagrine et 
mouillé. Anne appui sur 
électrique qui permis d'ouvrir 
plaça au milieu du trottoir pour que sa 
voir de la fenêtre. C'est Eva qui tient l'enfant , 

175

une personne se penche par la fenêtre. L'enfant pleure
encore, 
-    Qui est là, Anne que fait tu là,
 Elle lui fit des signes de la 
hésiter. 
Anne souri et fit des signes de la main.
-    Viens voir Edoire, c'est notre chère Anne qui nous 
      rend 
Une puissante voix résonna.
-   Mais, ouvre lui la porte Édite au lieu de parler par 
      la 
  Une personne disparu pour mettre en fonction le 
mécanisme 
la poignée et l'
que celle ci la suive. 
Une tache humidité 
vêtements. La chaleur de 
situation plus que pénible je dirais 
pour tous. 
Édite vint les rejoindre dans les escaliers.

176

-   Mais Anne que nous rapportes tu là ? 
Anne vint de relayer Eva. Elle fit des signes de la tête 
pour 
-     Tu sais Anne nous venons de terminer notre repas, 
       mais 
       recevoir.
Elles arrivèrent devant la porte ouverte du logement. 
Eva 
correcte. 
une jeune femme 
-   Bonjour les filles, que nous rapportes tu de beau, 
     qu'il 
Eva le reprend dans ses bras et Anne dialogue par  
signe pour représenter le sexe de l'enfant. 
-  Donc c'est une fille, elle est mignonne pour quelle
     raison 
Les filles se dirige vers la cuisine, là une personne 
occupe la 
tente de deviner les 

177

eut beau travailler 
positionna ce personnage.
L'homme fit bouger ses lèvres, son visage devient 
expressif. 
moi ?
-  Il a certainement faim, et doit être langé.
Ce personnage prit sa pipe qu'il bourra par habitude 
puis 
-  Edoire a raison, Sabine donne leurs de quoi langer
   ce 
-   Anne puis je m'en occuper personnellement?
Anne fit signe a Sabine qu'elle peut s'occuper de l'enfant.
Eva accepta et lui tendit le bébé qui pleurait encore. Le 
grand monsieur restât sur sa chaise et dit d'un air 
curieux,
-   Mais Anne quelle est la raison de ta visite,
Anne demanda de quoi écrire . Elle prit place autour de
cette 
-     Hier soir nous avions quitté le domaine des marguerites
      en stop. Nous somme arrivé la nuit. Les rues sont

178 

     devenu dangereuse, de nombreux anecdotes nous ont
     contrains a nous cacher. La maman de cet enfant  nous
     a hébergé a ses risque et périls. Cette réaction ne lui eut
     porté chance car son meneur la battu a mort pendant que
     nous étions caché sous le lit. De notre cachette ont fut 
      témoin de cette agression. Même l'enfant subit des sévis.
      Il pleurait sans arrêt. Lorsque le meurtrier fut partie on
      l'emmena.
  Monsieur Edoire lit ces mots avec de l'attention.
Il passe ensuite le morceau de papier a sa femme et 
dit d'un 
-   Mais pour quelle raison avez vous quitté le 
     domaine des 
Anne ne tarde a rédiger une réponse. Pendant ce temps la 
dame Édite, leur prépare deux assiettes. Eva eut prit place 
a coté de ce robuste personnage, songeur et  sympathique
a la fois. Sur la feuille vierge elle commence par y figurer
 les 
-     L'on a quitté le château pour pouvoir retrouver le mari
       de ma copine Eva qui fut dérouté lorsqu'elle voulu  le 

179

      suivre a l'hôpital suite a une agression dans une 
      banque. Comme elle ne put donner des explications
      un policier la retenu, elle lut mordu et a partir de là 
       elle fut considéré comme agressive et placé dans un
      asile de détraqué. Une fiche suiveuse lui donna un 
       faux nom. Elle eut la chance de se retrouver au
       Domaine des marguerites grâce a l'attention  d'une
       femme médecin.
Monsieur Edoire prit cette feuille qu'il lut avec attention 
puis d'un air songeur il lui répond,
-   Tu as toujours bon cœur Anne avec les autres mais te 
     rendu conte de se que vous venez de faire, l'enfant ne
     vous appartient pas il faut absolument l’emmener a 
      la police.
  Sabine revient de la salle de bain, sont étonnement est
marqué profondément sur son visage. 
-   Maman vient voir pour quelle raison cette enfant 
     pleure, il est marqué d’atroce blessures. 
Édite se leva ainsi que les autres qui la suivirent jusqu'à
la petite salle de bain. Il ne resta plus de place pour 
bouger. L'enfant fut couché sur le ventre et son dos marqué

180

de blessures fut visible par tous. Monsieur Edoire dit,
-   Je suis d'avis a emmener cette enfant le plus rapidement
     à l'hôpital.
-    Je suis te ton avis Edoire, mais laissons les terminer 
     leur repas le temps que Sabine s'occupe de l'enfant.
  Trois heures de l'après midi, Yves a terminé son repas.
Ce fut la première fois qu'il le dévora. Il eut retrouver ses 
forces et fut prêt a affronter le pire.
   Le commissaire vint le trouver. Cette présence le rendit
nerveux. 
-   Monsieur Yves je vous apporte des rapports de la police.
     Figurez vous que l'on eut retrouvé des traces du 
     passage de votre femme pas loin du port. La suite des 
      événements risque de vous choquer.
  A ce moment là, Yves prend place sur le rebord de son lit
en tube blanc et écoute attentivement.
-      Ils ont trouvé une jeune femme lâchement assassiné, se
       n'est pas de votre femme qu'il s'agit, rassurez vous.
  Yves transpira ses pensées restaient endormie. Les paroles
du commissaire le blessaient.
-       Cette jeune femme au nom de Caroline fut tué a coup 

181

      de ceinture, l'arme du crime trouve sur les lieux. Le 
      rapport  dit que cette acte fut commit par un dément. Si
      je vous rapporte cette histoire c'est que votre femme fut
      dans la pièce au moment du crime car on a trouvé ses
      empreintes sur les meubles mais pas sur la ceinture.
-     Monsieur le commissaire, je ne sais pas a quoi vous 
       voulez en venir ?
-     Votre femme, désirait elle un enfant  ?
-     Non car Eva eut peur que l'enfant ne sache pas entendre
       et parler.
-      Donc, elle eut commis un rapt d'enfant cette nuit comme
        mes collègues pensent.
-     Un rapt d'enfant, mais de quel enfant ?
-      Mais de celui qu'a commis votre femme cette nuit ?
-      Ce n'est pas possible toute cette salade je n'en revient 
        pas. 
-       Cela est possible car après avoir séjourné dans une
        maison de fou, elle a disjoncté.
-       Je peux certifier que ma femme ne fut jamais violente
       ni agressif.

182

-       Et le crime qu'elle eut commis en tirant de sang froid
        sur les agresseurs, expliquez moi cela. 
 La dureté d'un mensonge efface la réalité ses accusations 
non justifier et sens preuve ne font que l’intimider. 
-    Mais je précise que votre femme ne fut pas seule car 
     d'autres traces d’empreintes furent prélevé. La 
      personne partie avec elle y était aussi. Mais l'acte du 
      crime fut 
  Le commissaire quitta la pièce d'un air embarrassé, et 
fatigué. Yves fut bouleversé une nouvelle fois. Ses pensées
sont en ébullition, de question a ses poser, sur  le vrais ou
le mal, sur les faits et les suppositions. Ce mélange de 
questions étouffe la pièce, l’hétaïre médical enivre le 
patient. Yves ne tenait plus et décida de sortir de se lever
et s'habiller. Il a ras le bol de cette injustice, de cette 
prison qui devient insupportable. Il s’habille et décide de
quitter cette hôpital.


Anne et Eva. A l’accueil la responsable du guichet 

183

demanda 
pleurait.
-    Qui est la maman de cette enfant ?
Les trois jeune femme se regardèrent, collé. Sabine dit,
-     Aucune de nous trois n'est la maman de ce bébé, 
-     Bon, je veux bien mais comment se fait il que vous
       avez cette enfant.
Eva donna la photo qu'elle eut emporté de la chambre où
elles s'étaient cacher, et pointa du doigt Caroline la
 maman. Sabine expliqua,
-     Un malheur est arrivé a sa mère suite a un accident, 
      c'est pour cette raison  que nous apportons l'enfant.
-    Mais vous rendez vous compte que vous n'avez pas le
      droit de transporter une personne victime d'un 
      accident ?
-     Cette enfant ne fut pas accidenté mais maltraité par
       un inconnu.
Sabine ne sut rajouter d'autres explications.
-      Bon, prenez place dans la salle d'attente sur votre

184

       gauche, je fais mon possible pour que cette enfant
       sois soigné.
Cette personne de l’accueille téléphona a qui de droit. 
Depuis la salle d'attente on peut apercevoir les alentours
par la fenêtre ouverte. 


hôpital sans que le personnelle soignant le remarque. Il 
prit l’escalier de secoure. 
  Au poste de police les renseignements émit par l'hôtesse
d'accueil le de l'hôpital correspondaient aux avis de 
recherche . La police se mit en marche pour interroger 
les trois jeunes femmes suspectes. Deux véhicules se 
déplacèrent.
    Yves arriva à la dernière marche de l'escalier de 
secoure. Il aperçut la venue des deux voitures de police.
Dans sa tête il n'y eut pas de doute, c'est pour lui que la 
police arrive. Il se baissa pour se confondre avec les 
marches métallique. Puis, il se dit, et si Eva venait a sa
rencontre dans la voiture de police ? il avança et  

185

l'escalier de secoure se releva par le contre poids. il 
contourne le bâtiment et regarde vers le ciel. Il fait un 
point d’arrêt.


d'attente. Eva s'impatiente, elle se lève et s'approche 
de la fenêtre grande ouverte.Elle aperçois les deux 
voitures de police. Une sensation de renouveau la 
pourchasse.
  La police questionne l’hôtesse d'accueil le. Cette 
présence d'uniforme fut remarqué par Eva qui a 
leur vue réagi spontanément. Elle se dirige vers
la fenêtre.
  A cette instant, Yves se trouve sous la fenêtre, il
aperçoit cette vie humaine en équilibre sur les rebords.
Entre les deux amoureux il ne reste plus que le vide.
Quelques étages, cela fut suffisant pour.
-     Mais, non de Dieu, c'est Eva qui se trouve là,
       Eva, Eva,
Cria Yves de toute ses forces en courant sous l'axe d

186

l'éventuelle chute de la fenêtre.
-     Eva, Eva, c'est moi Yves.
  
La vie fait que certaines personnes entendent et d'autres
pas. Là Eva n'entendit rien, je crois, non attendez elle 
remarque les gestes d'Yves, 
( LA SUITE DÉPEND DE VOTRE IMAGINATION, A 
ELLE SAUTE ?)
Le commissaire continua de faire son enquête et tomba
sur la photo qu’Éva eut donné a l'hôtesse d’accueil de 
l'hôpital. Il y eut Caroline, la femme tué, et a coté d'elle
sa sœur, Liliane tué elle aussi. Cette coïncidence fut 
suspect comme le passage qui mena sur  le terrain 
vague où furent caché les agresseurs avec leur otage 
policier. Quant a l'argent certainement qu'il se trouve 
par ici allez savoir.


JJM


 Écrit par Jean Jacques Mutz écrivain amateur
a ce jour, 04 04 2019, 8 566 lecteurs.
a ce jour, 18 09 2019, 8 880 lecteurs.
a ce jour, 29 10 2019, 9 031 lecteurs.
A ce jour, 30 07 2020, 9 595 lecteurs.
A ce jour, 12 10 2020, 9 667 lecteurs.
A ce jour, 05 10 2023, 17 660 lecteurs.



Aucun commentaire: