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5 octobre 2023

suite roman d'aventure ( Coïncidence 2/8 )

mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2

suite roman d'aventure Coïncidence 2/8

    












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  Marc enregistra tous ce qui vint d'être dit même que,
- Sais tu que tuas pris des risques on risque de se faire repérer.
  Dix minutes passèrent, Marc resta allongé et gémit, son visage 
paru blanc.
   Les informations indicèrent la somme volé, et parlèrent de 
1 000 000 francs . L'état des victimes reste stable. L'inconnu tué
par balle, de petit calibre, n'a pas encore trouvé de famille. La 
personne répondant au prénom de Liliane reste hospitalisé dans
une clinique spécialisé, elle reste sous le choque .
   Marc gémie de plus belle, il divague et dit,
- Que fait Liliane Luc ?
- Elle se porte bien, il l'on emmené dans un hôpital spécialisé.
- Liliane sens sort bien, je suis comptent moi qui crut qu'elle
  fut morte lorsqu'elle tomba devant moi.
- Ne parle pas plus Marc, ça te fatigue.

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   L'otage remarqua la faiblesse de Marc. Il tente de persuader Luc,
-  Écoute mes conseilles Luc, ci Marc ne vas pas chez un médecin 
   il mourra.
              Bien plus têtu d'un troupeau d'ânes, nos deux copains 
n'approuvèrent cette solution. Luc n'eut confiance aux conseille
de l'otage.
   La santé de Marc se dégrada de plus en plus, il parla sens cesse,
des propos incohérent et parla souvent de Liliane,
- Luc tu crois que Liliane sens est sortie ? on a bien fait de 
   l'abandonner sur le trottoir.
- Oui Marc, on a bien fait.
- Tu sais que je l'aime bien Liliane, j'espère que plus tard on fera les
  quatre cents coups ensemble avec l'argent récolté.
- Bien sur Marc, elle sera rien que pour toi.
   Un sourire net sur les lèvres de Marc, il fut fière de sa copine et 
recompta toutes les possibilités qu'ils feront plus tard avec l'argent.
- J'ai froid Luc, je tremble de haut en bas, même mes doigts et mes  
orteil les temple, 
- C'est une réaction des grand blessé en danger de mort il faut le 
  conduire rapidement à l'hôpital Luc

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 L'otage tenta de nouveau de persuader Luc, mais rien ni fait.
- Je ne veux pas me laisser prendre maintenant que je suis riche,
  je suis persuadé qu'il sens sortira c'est un dure.
L'obstination de Luc résista aux conseilles de l'otage. La chaleur
du soir aggrava la santé de Marc . Luc fut conscient que la santé
de Marc l'emporta vers un monde meilleur. 
Enfin, une fraîcheur souffla entre les arbres. Cela devint supportable
pour l'otage et Luc mais pour Marc la santé l'abandonna. Le pire
engendra la souffrance et ses yeux brins reluisirent des larmes de 
défaite.
     Minuit sonna, le moral d'acier de Luc fut d'une résistance hors 
du commun. Marc eut quitté ce monde et ne représentât plus qu'un
objet encombrant. Luc, décidât de débarrasser de ce corps qui 
l'opportune plus que tout. Sans tarder, il eut fait démarrer la voiture 
pour trouver un endroit où cacher le corps de Marc. Ils 
s'arrêtèrent prêt d'un parc et sur un banc placèrent le corps de Marc.
Luc excité dis,
-  Il faut quitter la ville, trouve une sortie au plus vite.
  De la musique sentimental passe sur le poste de radio, aux 
information, plus question du braquage qui eut lieux. La voie dut

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être libre, ce fut les propos de Luc qui obligea le conducteur de
suivre un chemin permettant de quitter la ville.


stable. Le responsable principal de la banque lui tint compagnie.


volontairement voulu par le service médical. Une nouvelle piqûre
calmante l'eut replongé dans ce vide.
pour passer les informations suivante.
- La police de la ville vint , au cour d'une ronde, de trouver un corps
blessé a mort par balle de petit calibre. La victime porta sur elle un
chéquier répondant au non du policier pris en otage. Une forte prime
fut offerte a la personne qui eut trouvé le corps. 
     L'otage sut a quoi sens tenir, il dit a Luc,
-  Tu sais Luc, je pense que tu as perdu, il vaut mieux que tu te rend,
     continuer de jouer a cache cache n'a plus de sens..
- Ils ne nous ont pour l'intente pas trouver, et ne m'auront pas.

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- Réfléchit Luc, si tu te serait rendu, ton copain Marc aurait eut la
  chance d'être sauvé et ne serait pas mort.
 qu'il est mort, ce fut celui qui nous eut tiré
   comme des lapins qui en est responsable.
- Ci tu te rend, je te promet de te soutenir devant les juges.
   Cette phrase là ne l'inspira point car elle tomba dans le vide. Luc
n'eut qu'un objectif, se sortir de ce guêpier il fut le seul a profiter de
cette manne d'argent. La nuit protégea sa cavale, et la levée du jour 
se rapprocha. Mais, il faut changer de voiture, ils marchèrent en 
vérifiant ci une voiture fut ouverte. Leurs tentatives sont remarqué 
par une personne qui ne perdit pas son sang froid car elle contacta
le poste de police le plus proche. Cet appel fut rapidement pris en 
considération car ils envoyèrent des véhicules de police sur les lieux.
Les éclaires violacé tranchèrent la nuit, ont les aperçu de loin.
     Luc remarqua le danger,
- vite, nous devront partir d'ici. Il faut que nous sortions de la ville le
   plus rapidement possible.
  En se déplaçant ils tapotèrent les voitures pour réussir a en ouvrir
une. La nuit diminua pour s'aider la place au petit matin. Un nouveau
jour alla naître. Luc se sentit impuissant devant l'impossibilité de trouver

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une voiture, il lésa cette petite lumière de vérité lui éclairer cette 
fatalité. L'otage se rendit compte de la situation
- tu sais Luc, je pense 
  Luc écouta , mais ne voulu rien comprendre ni entreprendre contre 
son plans d'action.
-  Alors Luc, tu as bien réfléchi a ma proposition, je suis toujours prêt 
   a te donner mon appui.
- Je ne sais que faire et je réfléchis.
   Des larmes de défaite humilièrent son visage de ce grand et robuste 
chef de quartier.
- Je peux compter sur ton appuis, c'est vrais ?
- Une parole donné a de la valeur, tu peux compter sur moi.
- Dans se cas, je me fis aux paroles et j'abandonne la course.
  De son plein grès Luc donne les deux pistolets a l'otage
- Ce ne sont que des armes a blanc, on n'a tué personne.
    Ils roulent vers le premier barrage de police, avec les deux armes 
placé sur le rebord du tableau de bord. A l'approche des barrages, de
nombreuses lumières violacés se repèrent au loin.  Le conducteur, 
Luc, fait des appelles de phare, puis diminua sa vitesse. Le grand 
projecteur éblouirent la voiture. Du coté d'où promenèrent cette clarté

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des policiers armé, les placèrent dans leur ligne de mire près a cracher
leur armes en cas de danger.
         La voiture continua son avancé en douceur. Il ne restât plus que
 quelques mètres a parcourir. La défaite est amère , Luc ressentit en lui 
s'épanouir son rêve qu'il eut manipulé avec Marc et Liliane durant 
un mois. Son meilleur copain l'eut quitté a jamais, et sa copine fut
blessé. Bref, il a perdu son charme de chef de quartier, mais il lui 
reste l'argent caché dans un endroits du terrain vague, qu'il pourra
récupérer plus tard a sa sortie de prison. A ce moment cette idée lui
redonna confiance et la partie ne fut point perdu.
   Luc attendit que la voiture fut le plus prêt possible du barrage de 
police, puis, il appuya sur l'accélérateur. Le moteur s'emballa en 
tournant a plein régime et les pneu crissèrent, en dérapant sur  
l'enrobe. Les policiers surpris par cette manœuvre soudaine se sentirent
menacé. Une pétarade coupa le silence de la nuit et des impactes
touchèrent de plein grès le véhicule et ses occupants. Le pare-brise 
vola en éclat ainsi que les vitres des portières. La voiture continua sa
course vers un mur d'une habitation. Les visages de deux occupants 
furent transformé en cible  et du sang les défigura. L'habitacle ne fut
plus qu'un cercueil roulant qui s'enchevêtra dans un mur.

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Le véhicule prit feux et les occupants restèrent bloqué dans l'habitacle.
La police eut de la peine a encercler la voiture, la chaleur y  fut
 intense , elle resta témoin de ce drame.










         
Par l'apparition du soleil démarre cette nouvelle journée du mois
d'août. La vie humaine continua sa routine, les rues retrouvèrent leur
tintamarre habituelle et a pollution son acte de malveillance. Les 
banques rouvrirent les portes comme a l'accoutume, la ville fut bien
éveillé. 
     Les journaux eurent frapes leur textes de la nuit et annoncèrent

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en première page, l'action menée par les malfaiteurs et l'état des 
victimes sur des lignes qui exprimèrent ceci,
- Une personne employé de la banque fut agressé sauvagement. Une
cliente pris en otage fut tué par balle de petit calibre a la sortie de
la banque. Les suppositions furent évoqué et l'on pense que l'otage 
devint un fardeau pour les braqueurs qui l'eurent tué.
      La vie continua parmi les citadins, aussi que ceux qui furent dans
les hôpitaux. L'utilité des soins y fut primordiale pour certain, mais 
pour d'autre, la structure d'une prison. Eva se trouva dans cette 
carapace qui la maintenant bloqué comme un animal dans une cage
de fortune. Elle n'eut point faim, chaque matin elle refusa la soupe
que la gardienne tentât de lui donner car elle restât bloqué dans la 
camisole et la pièce capitonnée.
    Les journaux eurent un retard sur les faits de la veille, le 
directeur de la banque concerné lut l'article.
demanda,
 - Monsieur le directeur, comment se porte Yves ? 
- Son état reste stable et sa volonté de rester en vie remarquable.
- A t'il prononcé un mot ?
- Pas une seul mot Anne

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- Et sa femme Eva fut elle auprès de lui ?
- Non, je n'eus vue personne.
- Cela je m'en suis douté, personne meut prévenu sa femme.
  Cette dernière question bouleversa monsieur Pierre, le directeur
de la banque.
- Avec tous se tumulus, je vint d'oublier d'avertir la Femme d'Yves. Il
   faut que je remédie a cela au plus vite.
  Cette oubli le bouleversa, bien entendu Yves ne travail que depuis 
quelques semaine a son nouveau poste, cette épeure le troubla il 
partit sans tarder trouver le logement d'Yves pour trouver sa femme
Eva. En arrivant au troisième étage, il se trouva devant la porte 
entre ouverte. Il frappa une première fois, personne ne répondis. Il 
se dit , mais oui sa femme est sourde et muette. Il poussa la porte 
et trouva devant lui un remue ménage étonnant. Cette attention ne
correspondit au comportement d'Yves qui fut minutieux dans son 
travail. Un courant d'air fit claquer la porte d'entrée qui se claqua.
Il remarqua qu'une fenêtre donnant sur l'avenu fut grande ouverte.
IL la referma et découvris que tous les habits furent éparpillé dans
l'ensemble de l'appartement. Sa curiosité le mena dans la cuisine, là
aussi personne ne s'y trouva et dut éviter de marcher sur les ustensiles

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éparpillés. On cru qu'un ouragan dévastateur fut passé par là.
Cette réalité l'entraîna vers des doutes incompréhensible. Il décrochât
le téléphone pour contacter la police. 
   Eva eut bien disparut avec tous ce qui eut de valeur. Les coupes en
firent partie, les deux fusils, les munitions
persistèrent, qui fut le meneur de ce cambriolage où serais se Eva la 
manipulatrice ? Le banquier eut des doutes, il téléphona a l'hôpital de
la ville pour savoir ci une admission au prénom d’Éva eut lieux et ne
manqua point de prendre des nouvelles d'Yves. Yves se trouva dans le
 comma mais sa santé fut stable.
   La police releva toutes les indications dispensable pour suivre les
enquêtes. Monsieur Pierre quitta l’appartement et laissa libre cour 
aux policiers.
   Derrière son bureau monsieur Pierre chercha a comprendre la 
raison de cette mis en scène. Il relit les journaux pour tenter de 
connaître toutes les attentions sur le braquage de sa banque. Il 
regarda sur les photos des victimes et tenta de comparer la photo
de la victime avec celle d’Éva. Il eut récupéré une photo d'elle dans
l'appartement. Il remarqua que ce ne fut pas Eva qui fut tué mais 
une inconnue. Il ne fut pas certain et appela Anne,

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- Madame Anne que pensez vous de cette photo, ressemble telle a 
   la femme d'Yves ?
- Je ne l'ai vue qu'une seule fois mais je suis certaine que ce n'est
   Eva la femme d'Yves.
-  Mais ce visage, vous dit il quelque chose dans notre clientèle ?
- Je n'ai jamais rencontré cette personne là, ce fut bien la première
   fois. Il se peut que ce fut une clientes qui n'allait que chez 
    Monsieur Yves ? 
 Une autre employé fut questionné. Elle aussi n'eut vue la victime
auparavant mais elle ne connaissait pas Eva..
.   Je vous demande cette question car la femme de monsieur
Yves eut disparut de leur habitation.
        Au centre de repos, Eva n'eut acquit que des faiblesses, son 
obstination de faire la grève de la faim devint dangereux pour sa vie.
L'angoisse la martyrisa, elle sut qu'elle eut commis une grave faute 
serais se pour cette raison qu'il fut enfermé de la sorte ? Elle tenta
en vin de se faire comprendre, avec les bras bloqué pas question de
s'expliquer. Ses grimasse et bougèrent de la tête ne servie a rien au 
contraire, le personnelle lui donna des piqûres pour la faire dormir.
A force de tenter de s'opposer a leur traitements elle changea de 

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stratégie et accepta de manger.
   Persuadé que Yves vie encore elle se donna la peine de laisser du
mous dans ses réactions. La conscience eut raison mais la
mal a se rétablir. Des traces de coups marquèrent son visage.
       Yves n'eut pas les pieds sur terre, il fut encore plongé dans son
comma. Un univers étrange où la lumière se confond avec les sons
et où le temps et la douleur ne fut plus présent. Il ne dépend que de
ces appareilles branchées a son corps  qui le maintenaient en vie. 
Les 
sortira et un autre, peut être avec des séquelles.


un lien avec le cambriolage 
être une complice. La police décida de lancer des recherches avec
une photo.


reste bouleversé par ce qui vint d'arriver et surtout sur l'état d'Yves.
Elle décidât de passer a l'hôpital pour encourager Yves a sens sortir
Anne lui accorder toute sa confiance elle n'eut de doute sur lui .

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Elle questionna l'infirmière de garde pour savoir où se trouva Yves
- Il se trouve dans le couloir sur votre droite, mais, il est gardé par 
   la police.
- Pour quelle raison le garde il ainsi ont ils des doutes ?
- Je ne peux vous répondre, madame.
  Anne en fut étonné, mais que peut bien lui reprocher ?
- Sur l'état de sa santé, est il possible d'avoir une réponse ?
- Oui, il se rétablit, son état devient encourageant. Vous pouvez le 
   voir a travers la porte vitré sur votre droite.
  Anne s'aventura près de cette vitre. Les nombreux instruments qui
le maintenaient en vie l'impressionna. Son regard se place sur la
personne assise a coté d'Yves. Celle ci dort confortablement 
recoquillé sur la chaise.
    Elle observa Yves et n'arriva point a lui infliger une accusation 
aussi ingrate. Elle quitta ce lieu avec une nausée inexplicable.


répartit dans les pièces du grand couloir la ( pâtée) des anormaux ceux
qui furent attaché dans des chambres capitonnées. Ils arrivent devant la
porte de mademoiselle Liliane .La personne lut a haute voix la notice 

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qui figure sous le non de Liliane,
- Mademoiselle Liliane se trouve dans la démanche, elle est dangereuse 
  et ne veut pas manger.
  Cette nouvelle venu ne connut pas les réactions de (Liliane) comme 
elle y passe 
compléter sa formation de médecin psychiatre. Elle se méfia en ouvrant
la porte, et contraire a son imagination rencontra une jeune femme blotti
sur elle même dans un recoin. Cette attention lui donna un choque de 
pitié. Le silences qui les entour ne répond pas aux indications que l'on 
peut lire sur la 
n'eut jamais rencontré cela. Sa méfiance fut sur le qui-vive car Liliane
peut a tout moment faire basculer cette monotonie. L'apprenti médecin
s’avança avec prudence. Chaque pas, devint risqué, ce fut ce qu'elle
redouta mais Liliane restât sans la moindre réaction, serait elle morte ?
La boule de chair humaine garda sa position, la médecin se baisse pour
la regarder de plus prêt et remarqua des larmes couler le long de son 
visage. Ses yeux bleu furent limpide et brillant . Son regard se leva vers
la médecin, le flache d'une sympathie naisse entre elles. La médecin lui
parla avec douceur, 
- Liliane te sent tu bien ?

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  Aucune réponse, juste un hochement de tête.
- Liliane pour quelle raison est tu malheureuse?
- ;;;;;;;;;;;;;;
  Rien en somme, la tentative n'eut servi a rien .La médecin parla encore
en lui tenant la main. Les yeux de la malade regardèrent dans ceux du 
médecin, ils implorèrent une pitié. La sincérité de son comportement 
fut la réflexion sur son désistement agressif, seule une autre personne
put lui venir en aide. Là, elle eut trouvé son point de confiance.
   La médecin se senti gagnante, dire que la patiente lui fait confiance
cela personne dans le centre spécialisé eut réussi a l'amadouer.
- Pour quelle raison ne veut pas manger Liliane, tu risques de tomber
   gravement malade.
  Elle n'obtint pas de réponse et répétât sa phrase. Aucune réponse, 
- Tu t'appelle bien Liliane ? 
  Pas une mouvement de tête ne fut remarqué, seul ses yeux observèrent
la médecin.
- Pour quelle raison ne mange tu pas ? 
    Cette malade a quelque chose de particulier, sa réaction ne 
correspond a aucune des autres malades. La médecin se déplace vers la
porte d'entrée et relie les remarques souligné de rouge.



JJM

Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
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