mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2
cette pièce pour
travers les places du port .Elles
grande cour entourée de maisons. Caroline entendit
des sifflements, elle leur fit signe que tous n'est pas perdu et
les emmena
pas se répercutèrent aux
sont, des cries d'enfants se fond
couloir s’arrêta et la lumière fut. Elles
tâtant. Elles arrivèrent devant la porte d'où provenaient les
pleurs d'enfants. Anne et Eva suivirent Caroline qui ne les
l
dans une pièce où la tristesse du
des deux filles.
a désirer. Il y a une fenêtre sous laquelle se trouve un petit
lits d'enfant. Les pleurs venaient de cet endroit. L'enfant se
débattit
entendit ses pleures,
la direction de ce lit. Elle prit le
le réconforter. Pendant ce temps, Caroline
vers une cachette situé sous le grand lit. Anne continua de
porter l'enfant d'environ neuf mois. A peine que cinq
minutes passèrent que
résonnent.
- Ouvrez la porte, c'est la police.
- J'arrive, un petit moment.
Caroline s'approche de la porte fermé a clé a deux tours.
- Vous voyez monsieur l'agent, je vous présente ma belle
sœur
- Il est a qui ce bébé là.
- Mais c'est le mien ça ne se voit pas, il me ressemble.
- Il ressemble plus tôt a un chinois
- Je ne le crois pas car a cette époque je passais mes
- Tu en as de bonne toi
- Il passe encore de temps a autre, je peux toujours lui
siffler un mot
- C'est bon les filles, comme il n'y a personne d'autre,
on peu partir
Avant de quitter les lieux il prête attention a une photo
placé au mur
ressembla aux deux filles
referma brusquement.
Il fallut plus de vingt minutes pour que la police quitta
l'endroit. Le
cachette. Elle fut un peu
courbatures disparurent au bout de quelques
Caroline leur proposa de faire du thé, elles ne refusèrent
pas.
par la curiosité et
- Quel est ton nom jeune fille et quel âge as tu, a
chacune d'elle.
Anne demanda du papier et de quoi écrire,
trois ans et Eva
de même.
Caroline lut ses écrits, puis elle demanda,
- Comment se fait il que vous venez de prendre contacte
avec les
Cette question fait hésiter Anne qui mit quelques instant
pour répondre.
- La police est a notre recherche car nous somme
partie du domaine
On a prit peur en voyant la
lorsque ces hommes nous ont proposer
en aide nous les avions suivi.
Caroline continu de la questionner par écrit,
- Vous voyer ce que je suis devenu en acceptant leur
protection, peut
leur besoin. Vous me paraissez
cette raison que je vous aide car ci vous
police pour un crime, là je vous dénonce sans hésiter.
Le
celle de
et surtout le
Anne marqua quelques mots sur le papier
- Ma copine Eva est une pauvre victime de la police qui la
fait
car elle
d'une banque.
cavale pour retrouver
le
respectueux.
Pendant ce temps, Eva se trouve prêt du petit lit
d'enfant qu'elle
avec elle en gesticulant et
pas l'air d'avoir sommeille. La lumière
le déranger. A ce moment un pré-sentiment de
d'attention fit maître en elle une réaction maternelle.
Elle se
envie. Son chagrin
remplis de solitude.
amadoué par le
La poignée de la porte de cette chambre fut brutalement
manipulé.
de la pousser puis elle
Caroline fit signe aux filles de se cacher
demande d'un air étonné,
- Qui est là ?
- C'est moi le Dénicheur ouvre.
Caroline s'assura que les filles se sont bien caché puis
elle dit,
- Je viens attend
Le comportement de cette individu fut brutal il demanda,
- Qu'as tu fais avec les filles ?
- Elle se sont volatilisé car la police nous avaient suivi.
Cette homme mériterais une offense pour lui redonner
son bon sens.
Eva se trouva en première ligne sous le lit, elle remarqua
que cette
- Pour quelle raison as tu laissé s’échapper ces filles
les cacher quelques temps.
Cette brute frappa a nouveau Caroline, son enfant
pleurait sans
Anne ne voyait rien mais entendit les agressions.
- Alors Caroline qu'as tu fait avec les deux filles ?
- J'ai suivi les consignes que les autres m'ont donné
même que
de la cour donnant sur les friches.
D'autres frappes résonnèrent.
- Fait moi taire ce sale cosse, ici c'est moi qui
donne des ordres
Caroline se rapproche de l'enfant qui continue de
pleurer comme une
sa maman eut subit.
- Pour quelle raison as tu refermé la porte a clé?
- La police est passé ici pour recherche les filles.
Caroline lui donna quelques indication,
- Elles mon demandé qu'elle direction prendre
pour rejoindre le
le Dénicheur, sous l'empire de consommation de
drogues,
avec une
cette
du Dénicheur qui
ne souffla un seul mot de dénonciation . Le petit
enfant continua
Quelle pénibilité que de devoir passer une nuit
sous un lit
car la peur les tint en
crainte, ouf de
qu'elle heure somme nous ,
dans cette pièce. Il regarde sur sa
- Dix heures du matin, alors Caroline, réveille toi.
Il poussa de son pied Caroline pour qu'elle se réveille.
Rien ni
L'enfant se réveilla en pleure se qui énerva le Dénicheur.
- Sale cosse, tu reprend ton pleurnichement, tu es bien
une fille.
Il s'approcha du petit lit et tenta de lui donner sa tétine
en
Une
que cette
- Sale cosse tu prend cette tétine ?
Rien ne servi, l'enfant continua de pleurer.
- Tu m'énerves sale cosse t'a mère doit s'occuper de toi.
Cette forme caoutchouteux ne remplace pas la faim et
cette
lever elle
cheveux.
- Mais tu te réveille bientôt ?
Malgré cette brutalité il n'obtint de réponse. Comme
sa
coula
- Merde, elle est morte, il ne manque plus que cela
Sans tarder il se lave la figure, remet ses chaussures,
tourne
l"enfant qui pleure.
trousses.
Un ouf pour que les filles qui peuvent enfin sortir de
sous le lit. Il
rapidement possible pas que
pensées Anne, se rapproche du petit lit
pleures lui
de Caroline sur laquelle horrible traces de coups de
ceinture l'on
le drame de cette nuit
Anne s'occupa du Bébé avec peine car l'enfant
n’arrêta pas de
biberon qu'elle lui donna.
Elle fit signe a Eva de partir au plus vite, l'enfant c'est
endormie
Cette orpheline lui
malheur. Eva fit comprendre a
les eut protégé au détriment de sa vie, c'est a elles de
lui venir en aide a ce bébé livré a lui même. Pour que
plus tard
Caroline, Eva emporta l
femmes.
La cloche de l’église tonna
fut danse
facile de se faufiler
Yves se réveilla a l'heure de midi, mais que c'est il
passé ? Il
- Monsieur Yves, comment allez vous ?
- Bonjour monsieur le commissaire, je vais bien
merci
- Nous suivons votre femme qui se trouve dans cette
ville, les
Elle n'est pas seule
des marguerites l'accompagne.
- Je souhaite que rien ne lui est arrivé.
le commissaire n'eut pas fermé l’œil de la nuit, il
suivit les
- Monsieur Yves j'ai une nouvelle a vous annoncer,
au sujet
d'apprendre qu'elle
que les agresseurs et qu'elle
Elle ne fut qu'une otage fictif. Mais
résultat me prouve que l'axe du tir venait de votre
habitation. Cela pourrait être votre femme qui
eut tiré ou
- Je suis de votre avis pour certaine remarque mais
pour
- Les quelles monsieur Yves ?
- Je doute que ma femme Eva eut tiré.
- Vous prenez la défense de votre femme,
- Je prend la défense de ma femme car j'ai confiance
en elle.
Sur leur parcoure une foule de personnes passèrent,
certains
et une certaine
Parfois c'est Eva qui la
vers un magasin de chaussure
il fut temps qu'elles
malgré qu'elle le portèrent de temps a autre.
Une patrouille de police arrive dans l'habitation
d'où sont
les bras. Une
disparition de l'enfant. Pour
c'est un crime qui fut commis dans la
lieux du
l'acharnement sur
voisine et le petit lit d'enfant
d'enfant. La ceinture ensanglanté fut mis comme
étant l'objet du crime. De nombreuses empreintes sont
prise aussi que des photos.
- Ceci est bien l'objet du crime, il faut l'envoyer au labo.
Dit l'inspecteur qui s'occupe de cette enquête.
Les deux jeunes femmes et l'enfant ce trouve a cette
instant là
fermé, normal,
leur
Anne se dirige vers la sonnette de l'appartement, le bébé
pleure
le chagrine et
mouillé. Anne appui sur
électrique qui permis d'ouvrir
plaça au milieu du trottoir pour que sa
voir de la fenêtre. C'est Eva qui tient l'enfant ,
encore,
- Qui est là, Anne que fait tu là,
Elle lui fit des signes de la
hésiter.
Anne souri et fit des signes de la main.
- Viens voir Edoire, c'est notre chère Anne qui nous
rend
Une puissante voix résonna.
- Mais, ouvre lui la porte Édite au lieu de parler par
la
Une personne disparu pour mettre en fonction le
mécanisme
la poignée et l'
que celle ci la suive.
Une tache humidité
vêtements. La chaleur de
situation plus que pénible je dirais
pour tous.
Édite vint les rejoindre dans les escaliers.
Anne vint de relayer Eva. Elle fit des signes de la tête
pour
- Tu sais Anne nous venons de terminer notre repas,
mais
recevoir.
Elles arrivèrent devant la porte ouverte du logement.
Eva
correcte.
une jeune femme
- Bonjour les filles, que nous rapportes tu de beau,
qu'il
Eva le reprend dans ses bras et Anne dialogue par
signe pour représenter le sexe de l'enfant.
- Donc c'est une fille, elle est mignonne pour quelle
raison
Les filles se dirige vers la cuisine, là une personne
occupe la
tente de deviner les
positionna ce personnage.
L'homme fit bouger ses lèvres, son visage devient
expressif.
moi ?
- Il a certainement faim, et doit être langé.
Ce personnage prit sa pipe qu'il bourra par habitude
puis
- Edoire a raison, Sabine donne leurs de quoi langer
ce
- Anne puis je m'en occuper personnellement?
Anne fit signe a Sabine qu'elle peut s'occuper de l'enfant.
Eva accepta et lui tendit le bébé qui pleurait encore. Le
grand monsieur restât sur sa chaise et dit d'un air
curieux,
- Mais Anne quelle est la raison de ta visite,
Anne demanda de quoi écrire . Elle prit place autour de
cette
- Hier soir nous avions quitté le domaine des marguerites
en stop. Nous somme arrivé la nuit. Les rues sont
contrains a nous cacher. La maman de cet enfant nous
a hébergé a ses risque et périls. Cette réaction ne lui eut
porté chance car son meneur la battu a mort pendant que
nous étions caché sous le lit. De notre cachette ont fut
témoin de cette agression. Même l'enfant subit des sévis.
Il pleurait sans arrêt. Lorsque le meurtrier fut partie on
l'emmena.
Monsieur Edoire lit ces mots avec de l'attention.
Il passe ensuite le morceau de papier a sa femme et
dit d'un
- Mais pour quelle raison avez vous quitté le
domaine des
Anne ne tarde a rédiger une réponse. Pendant ce temps la
dame Édite, leur prépare deux assiettes. Eva eut prit place
a coté de ce robuste personnage, songeur et sympathique
a la fois. Sur la feuille vierge elle commence par y figurer
les
- L'on a quitté le château pour pouvoir retrouver le mari
de ma copine Eva qui fut dérouté lorsqu'elle voulu le
banque. Comme elle ne put donner des explications
un policier la retenu, elle lut mordu et a partir de là
elle fut considéré comme agressive et placé dans un
asile de détraqué. Une fiche suiveuse lui donna un
faux nom. Elle eut la chance de se retrouver au
Domaine des marguerites grâce a l'attention d'une
femme médecin.
Monsieur Edoire prit cette feuille qu'il lut avec attention
puis d'un air songeur il lui répond,
- Tu as toujours bon cœur Anne avec les autres mais te
rendu conte de se que vous venez de faire, l'enfant ne
vous appartient pas il faut absolument l’emmener a
la police.
Sabine revient de la salle de bain, sont étonnement est
marqué profondément sur son visage.
- Maman vient voir pour quelle raison cette enfant
pleure, il est marqué d’atroce blessures.
Édite se leva ainsi que les autres qui la suivirent jusqu'à
la petite salle de bain. Il ne resta plus de place pour
bouger. L'enfant fut couché sur le ventre et son dos marqué
- Je suis d'avis a emmener cette enfant le plus rapidement
à l'hôpital.
- Je suis te ton avis Edoire, mais laissons les terminer
leur repas le temps que Sabine s'occupe de l'enfant.
Trois heures de l'après midi, Yves a terminé son repas.
Ce fut la première fois qu'il le dévora. Il eut retrouver ses
forces et fut prêt a affronter le pire.
Le commissaire vint le trouver. Cette présence le rendit
nerveux.
- Monsieur Yves je vous apporte des rapports de la police.
Figurez vous que l'on eut retrouvé des traces du
passage de votre femme pas loin du port. La suite des
événements risque de vous choquer.
A ce moment là, Yves prend place sur le rebord de son lit
en tube blanc et écoute attentivement.
- Ils ont trouvé une jeune femme lâchement assassiné, se
n'est pas de votre femme qu'il s'agit, rassurez vous.
Yves transpira ses pensées restaient endormie. Les paroles
du commissaire le blessaient.
- Cette jeune femme au nom de Caroline fut tué a coup
rapport dit que cette acte fut commit par un dément. Si
je vous rapporte cette histoire c'est que votre femme fut
dans la pièce au moment du crime car on a trouvé ses
empreintes sur les meubles mais pas sur la ceinture.
- Monsieur le commissaire, je ne sais pas a quoi vous
voulez en venir ?
- Votre femme, désirait elle un enfant ?
- Non car Eva eut peur que l'enfant ne sache pas entendre
et parler.
- Donc, elle eut commis un rapt d'enfant cette nuit comme
mes collègues pensent.
- Un rapt d'enfant, mais de quel enfant ?
- Mais de celui qu'a commis votre femme cette nuit ?
- Ce n'est pas possible toute cette salade je n'en revient
pas.
- Cela est possible car après avoir séjourné dans une
maison de fou, elle a disjoncté.
- Je peux certifier que ma femme ne fut jamais violente
ni agressif.
sur les agresseurs, expliquez moi cela.
La dureté d'un mensonge efface la réalité ses accusations
non justifier et sens preuve ne font que l’intimider.
- Mais je précise que votre femme ne fut pas seule car
d'autres traces d’empreintes furent prélevé. La
personne partie avec elle y était aussi. Mais l'acte du
crime fut
Le commissaire quitta la pièce d'un air embarrassé, et
fatigué. Yves fut bouleversé une nouvelle fois. Ses pensées
sont en ébullition, de question a ses poser, sur le vrais ou
le mal, sur les faits et les suppositions. Ce mélange de
questions étouffe la pièce, l’hétaïre médical enivre le
patient. Yves ne tenait plus et décida de sortir de se lever
et s'habiller. Il a ras le bol de cette injustice, de cette
prison qui devient insupportable. Il s’habille et décide de
quitter cette hôpital.
Anne et Eva. A l’accueil la responsable du guichet
pleurait.
- Qui est la maman de cette enfant ?
Les trois jeune femme se regardèrent, collé. Sabine dit,
- Aucune de nous trois n'est la maman de ce bébé,
- Bon, je veux bien mais comment se fait il que vous
avez cette enfant.
Eva donna la photo qu'elle eut emporté de la chambre où
elles s'étaient cacher, et pointa du doigt Caroline la
maman. Sabine expliqua,
- Un malheur est arrivé a sa mère suite a un accident,
c'est pour cette raison que nous apportons l'enfant.
- Mais vous rendez vous compte que vous n'avez pas le
droit de transporter une personne victime d'un
accident ?
- Cette enfant ne fut pas accidenté mais maltraité par
un inconnu.
Sabine ne sut rajouter d'autres explications.
- Bon, prenez place dans la salle d'attente sur votre
sois soigné.
Cette personne de l’accueille téléphona a qui de droit.
Depuis la salle d'attente on peut apercevoir les alentours
par la fenêtre ouverte.
hôpital sans que le personnelle soignant le remarque. Il
prit l’escalier de secoure.
Au poste de police les renseignements émit par l'hôtesse
d'accueil le de l'hôpital correspondaient aux avis de
recherche . La police se mit en marche pour interroger
les trois jeunes femmes suspectes. Deux véhicules se
déplacèrent.
Yves arriva à la dernière marche de l'escalier de
secoure. Il aperçut la venue des deux voitures de police.
Dans sa tête il n'y eut pas de doute, c'est pour lui que la
police arrive. Il se baissa pour se confondre avec les
marches métallique. Puis, il se dit, et si Eva venait a sa
rencontre dans la voiture de police ? il avança et
contourne le bâtiment et regarde vers le ciel. Il fait un
point d’arrêt.
d'attente. Eva s'impatiente, elle se lève et s'approche
de la fenêtre grande ouverte.Elle aperçois les deux
voitures de police. Une sensation de renouveau la
pourchasse.
La police questionne l’hôtesse d'accueil le. Cette
présence d'uniforme fut remarqué par Eva qui a
leur vue réagi spontanément. Elle se dirige vers
la fenêtre.
A cette instant, Yves se trouve sous la fenêtre, il
aperçoit cette vie humaine en équilibre sur les rebords.
Entre les deux amoureux il ne reste plus que le vide.
Quelques étages, cela fut suffisant pour.
- Mais, non de Dieu, c'est Eva qui se trouve là,
Eva, Eva,
Cria Yves de toute ses forces en courant sous l'axe d
- Eva, Eva, c'est moi Yves.
La vie fait que certaines personnes entendent et d'autres
pas. Là Eva n'entendit rien, je crois, non attendez elle
remarque les gestes d'Yves,
( LA SUITE DÉPEND DE VOTRE IMAGINATION, A
ELLE SAUTE ?)
Le commissaire continua de faire son enquête et tomba
sur la photo qu’Éva eut donné a l'hôtesse d’accueil de
l'hôpital. Il y eut Caroline, la femme tué, et a coté d'elle
sa sœur, Liliane tué elle aussi. Cette coïncidence fut
suspect comme le passage qui mena sur le terrain
vague où furent caché les agresseurs avec leur otage
policier. Quant a l'argent certainement qu'il se trouve
par ici allez savoir.
JJM
161 Coïncidence
cette pièce pour
travers les places du port .Elles
grande cour entourée de maisons. Caroline entendit
des sifflements, elle leur fit signe que tous n'est pas perdu et
les emmena
pas se répercutèrent aux
sont, des cries d'enfants se fond
couloir s’arrêta et la lumière fut. Elles
tâtant. Elles arrivèrent devant la porte d'où provenaient les
pleurs d'enfants. Anne et Eva suivirent Caroline qui ne les
l
dans une pièce où la tristesse du
des deux filles.
162
Des lamelles de tapisseriea désirer. Il y a une fenêtre sous laquelle se trouve un petit
lits d'enfant. Les pleurs venaient de cet endroit. L'enfant se
débattit
entendit ses pleures,
la direction de ce lit. Elle prit le
le réconforter. Pendant ce temps, Caroline
vers une cachette situé sous le grand lit. Anne continua de
porter l'enfant d'environ neuf mois. A peine que cinq
minutes passèrent que
résonnent.
- Ouvrez la porte, c'est la police.
- J'arrive, un petit moment.
Caroline s'approche de la porte fermé a clé a deux tours.
- Vous voyez monsieur l'agent, je vous présente ma belle
sœur
- Il est a qui ce bébé là.
- Mais c'est le mien ça ne se voit pas, il me ressemble.
- Il ressemble plus tôt a un chinois
- Je ne le crois pas car a cette époque je passais mes
163
nuits avec votre- Tu en as de bonne toi
- Il passe encore de temps a autre, je peux toujours lui
siffler un mot
- C'est bon les filles, comme il n'y a personne d'autre,
on peu partir
Avant de quitter les lieux il prête attention a une photo
placé au mur
ressembla aux deux filles
referma brusquement.
Il fallut plus de vingt minutes pour que la police quitta
l'endroit. Le
cachette. Elle fut un peu
courbatures disparurent au bout de quelques
Caroline leur proposa de faire du thé, elles ne refusèrent
pas.
par la curiosité et
- Quel est ton nom jeune fille et quel âge as tu, a
chacune d'elle.
Anne demanda du papier et de quoi écrire,
164
- Je m'appelle Anne et ma copine c'est Eva, j'ai vingttrois ans et Eva
de même.
Caroline lut ses écrits, puis elle demanda,
- Comment se fait il que vous venez de prendre contacte
avec les
Cette question fait hésiter Anne qui mit quelques instant
pour répondre.
- La police est a notre recherche car nous somme
partie du domaine
On a prit peur en voyant la
lorsque ces hommes nous ont proposer
en aide nous les avions suivi.
Caroline continu de la questionner par écrit,
- Vous voyer ce que je suis devenu en acceptant leur
protection, peut
leur besoin. Vous me paraissez
cette raison que je vous aide car ci vous
police pour un crime, là je vous dénonce sans hésiter.
Le
165.
Eva lit ces quelques mots et garde en elle une part de vérité,celle de
et surtout le
Anne marqua quelques mots sur le papier
- Ma copine Eva est une pauvre victime de la police qui la
fait
car elle
d'une banque.
cavale pour retrouver
le
respectueux.
Pendant ce temps, Eva se trouve prêt du petit lit
d'enfant qu'elle
avec elle en gesticulant et
pas l'air d'avoir sommeille. La lumière
le déranger. A ce moment un pré-sentiment de
d'attention fit maître en elle une réaction maternelle.
Elle se
envie. Son chagrin
remplis de solitude.
166
Caroline regarda dans sa direction et se laissaamadoué par le
La poignée de la porte de cette chambre fut brutalement
manipulé.
de la pousser puis elle
Caroline fit signe aux filles de se cacher
demande d'un air étonné,
- Qui est là ?
- C'est moi le Dénicheur ouvre.
Caroline s'assura que les filles se sont bien caché puis
elle dit,
- Je viens attend
Le comportement de cette individu fut brutal il demanda,
- Qu'as tu fais avec les filles ?
- Elle se sont volatilisé car la police nous avaient suivi.
Cette homme mériterais une offense pour lui redonner
son bon sens.
Eva se trouva en première ligne sous le lit, elle remarqua
que cette
- Pour quelle raison as tu laissé s’échapper ces filles
167
elles auraientles cacher quelques temps.
Cette brute frappa a nouveau Caroline, son enfant
pleurait sans
Anne ne voyait rien mais entendit les agressions.
- Alors Caroline qu'as tu fait avec les deux filles ?
- J'ai suivi les consignes que les autres m'ont donné
même que
de la cour donnant sur les friches.
D'autres frappes résonnèrent.
- Fait moi taire ce sale cosse, ici c'est moi qui
donne des ordres
Caroline se rapproche de l'enfant qui continue de
pleurer comme une
sa maman eut subit.
- Pour quelle raison as tu refermé la porte a clé?
- La police est passé ici pour recherche les filles.
Caroline lui donna quelques indication,
- Elles mon demandé qu'elle direction prendre
pour rejoindre le
168
du portle Dénicheur, sous l'empire de consommation de
drogues,
avec une
cette
du Dénicheur qui
ne souffla un seul mot de dénonciation . Le petit
enfant continua
Quelle pénibilité que de devoir passer une nuit
sous un lit
car la peur les tint en
crainte, ouf de
qu'elle heure somme nous ,
dans cette pièce. Il regarde sur sa
- Dix heures du matin, alors Caroline, réveille toi.
Il poussa de son pied Caroline pour qu'elle se réveille.
Rien ni
169
se raser.L'enfant se réveilla en pleure se qui énerva le Dénicheur.
- Sale cosse, tu reprend ton pleurnichement, tu es bien
une fille.
Il s'approcha du petit lit et tenta de lui donner sa tétine
en
Une
que cette
- Sale cosse tu prend cette tétine ?
Rien ne servi, l'enfant continua de pleurer.
- Tu m'énerves sale cosse t'a mère doit s'occuper de toi.
Cette forme caoutchouteux ne remplace pas la faim et
cette
lever elle
cheveux.
- Mais tu te réveille bientôt ?
Malgré cette brutalité il n'obtint de réponse. Comme
sa
coula
- Merde, elle est morte, il ne manque plus que cela
170
maintenantSans tarder il se lave la figure, remet ses chaussures,
tourne
l"enfant qui pleure.
trousses.
Un ouf pour que les filles qui peuvent enfin sortir de
sous le lit. Il
rapidement possible pas que
pensées Anne, se rapproche du petit lit
pleures lui
de Caroline sur laquelle horrible traces de coups de
ceinture l'on
le drame de cette nuit
Anne s'occupa du Bébé avec peine car l'enfant
n’arrêta pas de
biberon qu'elle lui donna.
Elle fit signe a Eva de partir au plus vite, l'enfant c'est
endormie
Cette orpheline lui
malheur. Eva fit comprendre a
171
Bébé avec elles. IL faut reconnaître queles eut protégé au détriment de sa vie, c'est a elles de
lui venir en aide a ce bébé livré a lui même. Pour que
plus tard
Caroline, Eva emporta l
femmes.
La cloche de l’église tonna
fut danse
facile de se faufiler
172
Yves se réveilla a l'heure de midi, mais que c'est il
passé ? Il
- Monsieur Yves, comment allez vous ?
- Bonjour monsieur le commissaire, je vais bien
merci
- Nous suivons votre femme qui se trouve dans cette
ville, les
Elle n'est pas seule
des marguerites l'accompagne.
- Je souhaite que rien ne lui est arrivé.
le commissaire n'eut pas fermé l’œil de la nuit, il
suivit les
- Monsieur Yves j'ai une nouvelle a vous annoncer,
au sujet
d'apprendre qu'elle
que les agresseurs et qu'elle
Elle ne fut qu'une otage fictif. Mais
résultat me prouve que l'axe du tir venait de votre
habitation. Cela pourrait être votre femme qui
eut tiré ou
173
valeurs en votre- Je suis de votre avis pour certaine remarque mais
pour
- Les quelles monsieur Yves ?
- Je doute que ma femme Eva eut tiré.
- Vous prenez la défense de votre femme,
- Je prend la défense de ma femme car j'ai confiance
en elle.
Sur leur parcoure une foule de personnes passèrent,
certains
et une certaine
Parfois c'est Eva qui la
vers un magasin de chaussure
il fut temps qu'elles
malgré qu'elle le portèrent de temps a autre.
Une patrouille de police arrive dans l'habitation
d'où sont
les bras. Une
disparition de l'enfant. Pour
c'est un crime qui fut commis dans la
174
Les inspecteurs spécialise arrivent aussi sur leslieux du
l'acharnement sur
voisine et le petit lit d'enfant
d'enfant. La ceinture ensanglanté fut mis comme
étant l'objet du crime. De nombreuses empreintes sont
prise aussi que des photos.
- Ceci est bien l'objet du crime, il faut l'envoyer au labo.
Dit l'inspecteur qui s'occupe de cette enquête.
Les deux jeunes femmes et l'enfant ce trouve a cette
instant là
fermé, normal,
leur
Anne se dirige vers la sonnette de l'appartement, le bébé
pleure
le chagrine et
mouillé. Anne appui sur
électrique qui permis d'ouvrir
plaça au milieu du trottoir pour que sa
voir de la fenêtre. C'est Eva qui tient l'enfant ,
175
une personne se penche par la fenêtre. L'enfant pleureencore,
- Qui est là, Anne que fait tu là,
Elle lui fit des signes de la
hésiter.
Anne souri et fit des signes de la main.
- Viens voir Edoire, c'est notre chère Anne qui nous
rend
Une puissante voix résonna.
- Mais, ouvre lui la porte Édite au lieu de parler par
la
Une personne disparu pour mettre en fonction le
mécanisme
la poignée et l'
que celle ci la suive.
Une tache humidité
vêtements. La chaleur de
situation plus que pénible je dirais
pour tous.
Édite vint les rejoindre dans les escaliers.
176
- Mais Anne que nous rapportes tu là ?Anne vint de relayer Eva. Elle fit des signes de la tête
pour
- Tu sais Anne nous venons de terminer notre repas,
mais
recevoir.
Elles arrivèrent devant la porte ouverte du logement.
Eva
correcte.
une jeune femme
- Bonjour les filles, que nous rapportes tu de beau,
qu'il
Eva le reprend dans ses bras et Anne dialogue par
signe pour représenter le sexe de l'enfant.
- Donc c'est une fille, elle est mignonne pour quelle
raison
Les filles se dirige vers la cuisine, là une personne
occupe la
tente de deviner les
177
eut beau travaillerpositionna ce personnage.
L'homme fit bouger ses lèvres, son visage devient
expressif.
moi ?
- Il a certainement faim, et doit être langé.
Ce personnage prit sa pipe qu'il bourra par habitude
puis
- Edoire a raison, Sabine donne leurs de quoi langer
ce
- Anne puis je m'en occuper personnellement?
Anne fit signe a Sabine qu'elle peut s'occuper de l'enfant.
Eva accepta et lui tendit le bébé qui pleurait encore. Le
grand monsieur restât sur sa chaise et dit d'un air
curieux,
- Mais Anne quelle est la raison de ta visite,
Anne demanda de quoi écrire . Elle prit place autour de
cette
- Hier soir nous avions quitté le domaine des marguerites
en stop. Nous somme arrivé la nuit. Les rues sont
178
devenu dangereuse, de nombreux anecdotes nous ontcontrains a nous cacher. La maman de cet enfant nous
a hébergé a ses risque et périls. Cette réaction ne lui eut
porté chance car son meneur la battu a mort pendant que
nous étions caché sous le lit. De notre cachette ont fut
témoin de cette agression. Même l'enfant subit des sévis.
Il pleurait sans arrêt. Lorsque le meurtrier fut partie on
l'emmena.
Monsieur Edoire lit ces mots avec de l'attention.
Il passe ensuite le morceau de papier a sa femme et
dit d'un
- Mais pour quelle raison avez vous quitté le
domaine des
Anne ne tarde a rédiger une réponse. Pendant ce temps la
dame Édite, leur prépare deux assiettes. Eva eut prit place
a coté de ce robuste personnage, songeur et sympathique
a la fois. Sur la feuille vierge elle commence par y figurer
les
- L'on a quitté le château pour pouvoir retrouver le mari
de ma copine Eva qui fut dérouté lorsqu'elle voulu le
179
suivre a l'hôpital suite a une agression dans unebanque. Comme elle ne put donner des explications
un policier la retenu, elle lut mordu et a partir de là
elle fut considéré comme agressive et placé dans un
asile de détraqué. Une fiche suiveuse lui donna un
faux nom. Elle eut la chance de se retrouver au
Domaine des marguerites grâce a l'attention d'une
femme médecin.
Monsieur Edoire prit cette feuille qu'il lut avec attention
puis d'un air songeur il lui répond,
- Tu as toujours bon cœur Anne avec les autres mais te
rendu conte de se que vous venez de faire, l'enfant ne
vous appartient pas il faut absolument l’emmener a
la police.
Sabine revient de la salle de bain, sont étonnement est
marqué profondément sur son visage.
- Maman vient voir pour quelle raison cette enfant
pleure, il est marqué d’atroce blessures.
Édite se leva ainsi que les autres qui la suivirent jusqu'à
la petite salle de bain. Il ne resta plus de place pour
bouger. L'enfant fut couché sur le ventre et son dos marqué
180
de blessures fut visible par tous. Monsieur Edoire dit,- Je suis d'avis a emmener cette enfant le plus rapidement
à l'hôpital.
- Je suis te ton avis Edoire, mais laissons les terminer
leur repas le temps que Sabine s'occupe de l'enfant.
Trois heures de l'après midi, Yves a terminé son repas.
Ce fut la première fois qu'il le dévora. Il eut retrouver ses
forces et fut prêt a affronter le pire.
Le commissaire vint le trouver. Cette présence le rendit
nerveux.
- Monsieur Yves je vous apporte des rapports de la police.
Figurez vous que l'on eut retrouvé des traces du
passage de votre femme pas loin du port. La suite des
événements risque de vous choquer.
A ce moment là, Yves prend place sur le rebord de son lit
en tube blanc et écoute attentivement.
- Ils ont trouvé une jeune femme lâchement assassiné, se
n'est pas de votre femme qu'il s'agit, rassurez vous.
Yves transpira ses pensées restaient endormie. Les paroles
du commissaire le blessaient.
- Cette jeune femme au nom de Caroline fut tué a coup
181
de ceinture, l'arme du crime trouve sur les lieux. Lerapport dit que cette acte fut commit par un dément. Si
je vous rapporte cette histoire c'est que votre femme fut
dans la pièce au moment du crime car on a trouvé ses
empreintes sur les meubles mais pas sur la ceinture.
- Monsieur le commissaire, je ne sais pas a quoi vous
voulez en venir ?
- Votre femme, désirait elle un enfant ?
- Non car Eva eut peur que l'enfant ne sache pas entendre
et parler.
- Donc, elle eut commis un rapt d'enfant cette nuit comme
mes collègues pensent.
- Un rapt d'enfant, mais de quel enfant ?
- Mais de celui qu'a commis votre femme cette nuit ?
- Ce n'est pas possible toute cette salade je n'en revient
pas.
- Cela est possible car après avoir séjourné dans une
maison de fou, elle a disjoncté.
- Je peux certifier que ma femme ne fut jamais violente
ni agressif.
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- Et le crime qu'elle eut commis en tirant de sang froidsur les agresseurs, expliquez moi cela.
La dureté d'un mensonge efface la réalité ses accusations
non justifier et sens preuve ne font que l’intimider.
- Mais je précise que votre femme ne fut pas seule car
d'autres traces d’empreintes furent prélevé. La
personne partie avec elle y était aussi. Mais l'acte du
crime fut
Le commissaire quitta la pièce d'un air embarrassé, et
fatigué. Yves fut bouleversé une nouvelle fois. Ses pensées
sont en ébullition, de question a ses poser, sur le vrais ou
le mal, sur les faits et les suppositions. Ce mélange de
questions étouffe la pièce, l’hétaïre médical enivre le
patient. Yves ne tenait plus et décida de sortir de se lever
et s'habiller. Il a ras le bol de cette injustice, de cette
prison qui devient insupportable. Il s’habille et décide de
quitter cette hôpital.
Anne et Eva. A l’accueil la responsable du guichet
183
demandapleurait.
- Qui est la maman de cette enfant ?
Les trois jeune femme se regardèrent, collé. Sabine dit,
- Aucune de nous trois n'est la maman de ce bébé,
- Bon, je veux bien mais comment se fait il que vous
avez cette enfant.
Eva donna la photo qu'elle eut emporté de la chambre où
elles s'étaient cacher, et pointa du doigt Caroline la
maman. Sabine expliqua,
- Un malheur est arrivé a sa mère suite a un accident,
c'est pour cette raison que nous apportons l'enfant.
- Mais vous rendez vous compte que vous n'avez pas le
droit de transporter une personne victime d'un
accident ?
- Cette enfant ne fut pas accidenté mais maltraité par
un inconnu.
Sabine ne sut rajouter d'autres explications.
- Bon, prenez place dans la salle d'attente sur votre
184
gauche, je fais mon possible pour que cette enfantsois soigné.
Cette personne de l’accueille téléphona a qui de droit.
Depuis la salle d'attente on peut apercevoir les alentours
par la fenêtre ouverte.
hôpital sans que le personnelle soignant le remarque. Il
prit l’escalier de secoure.
Au poste de police les renseignements émit par l'hôtesse
d'accueil le de l'hôpital correspondaient aux avis de
recherche . La police se mit en marche pour interroger
les trois jeunes femmes suspectes. Deux véhicules se
déplacèrent.
Yves arriva à la dernière marche de l'escalier de
secoure. Il aperçut la venue des deux voitures de police.
Dans sa tête il n'y eut pas de doute, c'est pour lui que la
police arrive. Il se baissa pour se confondre avec les
marches métallique. Puis, il se dit, et si Eva venait a sa
rencontre dans la voiture de police ? il avança et
185
l'escalier de secoure se releva par le contre poids. ilcontourne le bâtiment et regarde vers le ciel. Il fait un
point d’arrêt.
d'attente. Eva s'impatiente, elle se lève et s'approche
de la fenêtre grande ouverte.Elle aperçois les deux
voitures de police. Une sensation de renouveau la
pourchasse.
La police questionne l’hôtesse d'accueil le. Cette
présence d'uniforme fut remarqué par Eva qui a
leur vue réagi spontanément. Elle se dirige vers
la fenêtre.
A cette instant, Yves se trouve sous la fenêtre, il
aperçoit cette vie humaine en équilibre sur les rebords.
Entre les deux amoureux il ne reste plus que le vide.
Quelques étages, cela fut suffisant pour.
- Mais, non de Dieu, c'est Eva qui se trouve là,
Eva, Eva,
Cria Yves de toute ses forces en courant sous l'axe d
186
l'éventuelle chute de la fenêtre.- Eva, Eva, c'est moi Yves.
La vie fait que certaines personnes entendent et d'autres
pas. Là Eva n'entendit rien, je crois, non attendez elle
remarque les gestes d'Yves,
( LA SUITE DÉPEND DE VOTRE IMAGINATION, A
ELLE SAUTE ?)
Le commissaire continua de faire son enquête et tomba
sur la photo qu’Éva eut donné a l'hôtesse d’accueil de
l'hôpital. Il y eut Caroline, la femme tué, et a coté d'elle
sa sœur, Liliane tué elle aussi. Cette coïncidence fut
suspect comme le passage qui mena sur le terrain
vague où furent caché les agresseurs avec leur otage
policier. Quant a l'argent certainement qu'il se trouve
par ici allez savoir.
JJM
Écrit par Jean Jacques Mutz écrivain amateur
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