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28 novembre 2024

Coïncidence 5/8 ( roman d'aventure )

mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2
Coïncidence

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Dans la cabine du conducteur, un dialogue se poursuit,
-    Tu as eu peur que ce qui vient de se passer sera su par la direction ?
le chauffeur le regarda d'un air blizzard puis dit,
-    Cette fille-là n'est pas une salope comme tu me la fait croire elles est
      sérieuse.
-    Même si elle est sérieuse, elle ne parle pas, n(entend pas et puis pour 
     une fois, elle y aurait pris  plaisir.
-    Peut-être, mais c'est une lâcheté de notre part de vouloir abuser d'elle.
-    Je sais que tu as peur, qu'elle nous dénonce mais il est bien marqué 
      dans la lettre qu'elle est muette et sourde, il n'y a pas eut de risque.
-     On reprend la route.

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  Dans la cabine arrière, Liliane (Eva) tremble durant dix minutes de route,
elle ne fut pas rassurée suite à cette tentative. Le véhicule se mit de nouveau
à l'arrêt. Serais se une nouvelle tentative de viol ? 
   La porte s'ouvre et la clarté extérieure éblouit un cour instant Liliane 
(Eva) qui restait recoquillé dans son coin.
   Les deux odieux personnages se trouvent de nouveau devant la porte du 
fourgon .  Ils ne pénètrent pas dans la cabine. 
   Un moment passe , personne ne rentre. Liliane (Eva) jeta son regard sur 
l'extérieur pour tenter de découvrir l'entourage. Elle laisse s'échapper
des larmes qu'elle essui temps bien que mal. 
    Elle remarque que le véhicule se trouve dans une cour pavées. Chaque 
détaille peut lui servir de basse pour une éventuelle fuite. Une troisième 
personne vient a la porte du fourgon. C'est une femme élégante, d'une
trentaine d'année en blouse blanche a moitié fermé, une partie de sa robe 
bleutée pouvait se voyait.
   Liliane(Eva) reste terrée dans son coin, recoquillé. Cette hôtesse 
d'accueil lui inspira peu de confiance, tout l'entourage parut hostile.
-     Mademoiselle Liliane, venez me rejoindre.
   L'onde du son de cette voix résonne aimablement dans le fourgon. 
Liliane ( Eva ) ne bouge pas.  L'hôtesse eut lu  l'entête de la lettre qui 
accompagne Liliane ( Eva ) et qui indiqua les références, et demande 
aux convoyeurs,
-     C'est bien comme cela qu'elle s'appelle ?

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-      Oui madame la directrice, lissez la lettre complètement et vous verrez
        que l'la maison de repos d'où elle vient n'a rien de gracieux.
  Ce fut le chauffeur du fourgon qui vint de prononcer cette phrase, son 
compagnon rajouta,
-      Comme elle est sourde et muette nous ne pouvons lui demander 
     grand - chose.
         La directrice lit son dossier et ses coordonnées. Puis elle monta 
dans le fourgon pour prendre place en face de Liliane (Eva). Elle tente
de lui donner sa main, le refus fut catégorique. La directrice bougea 
ses mains d'une certaine manière qui veulent dire,
-    La maison d'où tu viens ne t'a pas arrangé, pauvre petite.
     En s'exprimant que Liliane (Eva) réussi à comprendre ses gestes.
    La voie du dialogue s'ouvre ce qui fait naitre une confiance . Les 
présentations sont faite et Liliane(Eva) suivi la directrice de cette 
établissement. Elles parcoururent la cour pavée où la propreté fut 
maîtresse des lieux. Au-delà sur la droite , l'ombre d une montagne
prend place sur l'étendu du champs de blée.
 
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        Liliane(Eva) retrouve cette ardeur d'être et la vie reprit 
son charme. Bien entendu, cet endroit fur un nouveau point de 
départ, pour mettre en action un plans d'évasion . La vue des 
champs de blés l'inspire plus que tout. Elle observe le grand 
bâtiment qui se trouve derrière elle, un ancien château semble
t'il, plus que centenaire. Les hautes fenêtres laissent entrevoir 
des plafonds ornée de moulures doré. De nombreux objets 
sculptés décorent l'entourage. Tout y est d'une remarquable 
beauté comme si l'on se trouve dans un conte de fée. Sa 
propreté réveilla la qualité de l'établissement
   Les deux femmes s'approchèrent d'un homme jardinier 
courbé dans une allé de fleurs. Celui-ci se relève  à leur 
présence et dit,
-    Madame la directrice, les lys a longue tiges ont terminé 
    leur floraison je coupe le dernier bouquet.
-    Ils sont d'une beauté remarquable cette année monsieur 
    Charles.
-     Je place ce bouquet dans la salle à manger ?
-     Oui monsieur Charles, c'est une bonne chose. Je vous 
    présente une  nouvelle venu, elle nous arrive du centre 
    psychiatrique, la malheureuse. 
  Le regard de Charles croise celui de Liliane (Eva) qui en 
fut bouleversé. Les personnes masculin ne lui donnent 
peut de confiance. Pour elle,  ils représente le mal.

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    La main du jardinier lève le chapeau de paille en guise de 
politesse. Même ce geste ne la fit sourire mais elle répondit 
par un hochement de la tête.
  Elles avancent vers le château, et montent plusieurs marches 
pour aboutir a la grande entée grande ouverte. Les personnes 
que l'on croisent sont d'une politesse accueillantes. Le respect 
et la gentillesse sont de rigueur car chaque personnes leurs 
attribuent des salutations respectueux. 
   Elles pénétrèrent dans une immense salle entouré de portes 
et au centre, un large escalier en bois de chêne et hêtre. Elles
continuent leur découverte en se dirigeant vers cet escalier qui 
les mène à l'étage. Liliane (Eva) suit cette femme qui lui fait 
découvrir le château comme une guide.
   Au bout de cette ascension, le pallié de l'étage donne 
l'impression que nos chaussures s'enfoncent dans l'épais tapis 
de soie qui l'orne . 
    Elles aboutent dans un croisement de long couloirs, elles 
prennent la direction d'une porte sur laquelle est ciselé 
un numéraux dans un morceau de bois carré placé au-dessus 
du linteau. D'autres jeunes femmes y séjournent dans cette 
immense pièce où 10 lits sont superposés. 
    La curiosité des filles les attire toutes vers la porte d'entrée. 
Liliane (Eva) fut surprise de se devenir importante à leur yeux.

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   Son accompagnatrice donne des signes compréhensibles et
 cette attroupement se place en rang . Liliane (Eva) observa les 
réactions de celles qui l'entourent et se rendit compte qu'elle 
est entouré de personnes répondant aux même handicaps.   
   Cette découverte lui redonne du courage, enfin elle put 
s'exprimer et dénoncer la faute sur son nom, mais, il faut 
patienter, la pleine confiance n'est pas pour ce jour.
    Elles sont nombreuses dans cette pièce et Liliane (Eva) a du 
mal à repérer une attache sur qui elle put reposer sa confiance.
Cette masse silencieuse mérite un peu de temps pour pouvoir
les  connaîtrais toutes.
    Sur un geste de la responsable de l'établissement, le groupe se
disperse chacune dans une direction différente. Aucun personnel
d'encadrement n'entoure les occupantes, l'ordre, le respect et le 
savoir vivre  compta pour toutes. Liliane (Eva) put avec la 
directrice découvrir les détails de l'endroit où elle passe ses 
nuits. Le lit, qu'elle lui proposa, se trouvait en dessous d'un autre
sur la droite de l'entrée pas loin d'une grande fenêtre. Cette 
proposition ne trouve de refus de sa part. Liliane (Eva) dispose
d'une armoire en bois, qui comporte deux portes.

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L'armoire permît de départager les lits.
    Une de ces portes lui fut attribuée, mais, elle n'avait rien à y 
placer. La responsable ouvrit l'autre porte pour que Liliane 
(Eva) puisse voir le rangement de sa voisine. Cette découverte la 
chagrine, à la vue des beaux vêtements de qualité et le rangement
parfait de sa voisine. 
   Cette concentration d'observation multiplie ses intentions de 
retrouver Yves et le bien être de son passé. Rien n'est à critiquer 
pas même le parfum qu'émettent les vêtements dans cette armoire. 
La couleur bleu ciel des murs lui rappelle la mer et le ciel , ce
qu'elle observe la rassure. 
    Liliane ( Eva ) place son regard en direction des grandes 
fenêtre du château . De là , sur sont tracé, elle peut apercevoir 
une cour qui passe a l'arrière du château. Là aussi la propreté et 
l'ordre vont de paire ce qui est remarquable. 
     Dans ses découvertes, Liliane ( Eva )  remarque des vases, placé
sur les tableaux ,  remplit de bouquets de fleurs saisonnier. Une 
odeur de lavande embellit son entourage. Tous fut merveille , sauf 
que Liliane (Eva) ne se trouve pas auprès de son mari Yves ce
qui la chagrinait plus que tout.
   Le déséquilibre de  ses pensées, la font trembler car  la peur 
qu'un éventuel acte de haine, puisse retomber sur elle.
  Sur la porte de son armoire et du lit un nom fut placé, Liliane.

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   Autour d'elle 16 personnes sont présente, chacune porte des 
vêtements différents de qualité ainsi des coiffures parfaites .
Il y a des jeunes femmes d'âge différent mais qui variait entre
vingt et trente ans. Chacune vient se présenter avec politesse en 
montrant sur un morceau de papier le nom, le prénom et leur
âge même que le temps qu'elles ont passé dans cette école.
   Liliane (Eva) reçu un morceau de papier pour y marquer ses 
références. Cette demande lui pose du soucie, elle hésita de
marquer son vrais nom et prénom car au fond elle se sentit 
coupable d'avoir tiré sur les personnes sortant de la banque.
Elle eut peur qu'elle dut retourner a l'asile et marqua sur le 
papier, Liliane 26 ans. Sur une pancarte est marqué,
- Il faut aller manger.
    L'ensemble propose par gestes à Liliane (Eva) qu'elle doit
les suivre. Toutes descendent dans cette vaste et belle salle 
où le soupé fut servie. Une bonne centaine de personnes s'y
sont attablé. Liliane (Eva) reste debout par respect,  telle une 
spectatrice sans savoir où se placer ?
  Le repas fut sur le point d'être servie, Liliane (Eva) reste  
debout, comme délaissé. La jeune femme qui occupe la 

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même armoire qu'elle, remarque sa position et vient la trouver.
Elle lui tend la main pour que Liliane ( Eva ) la suive à la table 
qui lui est réservé. Autour de cette table six personnes ont prit 
leur place.
    Chaque femme se présente avec des mouvements de mains 
et de mimes que Liliane (Eva) déchiffre. Cette correspondance 
fait partie du programme d'apprentissage qui met en confiance 
les occupantes. Enfin, c'est au tour de Liliane (Eva ) de se 
présenter en dialoguant avec gestes et mimes. Sur le moment, 
Liliane (Eva ) elle ne voulu donner le moindre détails car ci
elle dévoile sa vrai identité, les personnes présente risque de
ne plus lui faire confiance, et son plans d'évasion pourrai 
 flancher .
     La douleur de ses bras persiste , elle à du mal pour couper 
le morceau de viande dans son assiette. Sa voisine remarque 
sa faiblesse et lui propose de la couper. Cette personne possède
tous les atouts pour que Liliane (Eva) lui accorde sa confiance.
    Le soupé terminé, la salle se vide rapidement. Liliane (Eva)
ne se laisse entraîner par cette foule et attendit que la salle 
fut vide. Puis, Liliane ( Eva ) parcoure seule le château, sa 
curiosité se conjugue a la mise en place d'une éventuelle 
évasion. 
  Une grande bais vitrée l'attire , elle égare son regard vers 

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l'extérieure, celui de la liberté. Elle poursuit sa visite vers la 
porte de sortie . Elle descend les marches, du château , avec 
rejoindre une petite cour pavée.  De magnifique rosier rouge 
vif la bordent. La régularité de leur hauteur se signe par la 
référence d'un jardinier parfait. Une fontaine se trouve au 
centre de cette courette. Du débit coule une source d'eau 
transparente et fine qui retombe dans des bassins à 
plusieurs niveaux. Son rayon de trois mètre donne l'exemple
qu'une parfaite harmonie. La comparaison avec le précédant
établissement , d'où elle vient n'a pas de comparaison. Ici les 
personnes se déplacèrent librement. A partir de là ses doutes 
de réussir ses intentions l'incitent de partir au plus vite avant 
que la vérité vient occuper son dossier.
  Par la droite, aucune possibilité car un ruisseau de 2 mètres
de large coupa la possibilité. Par la gauche, oui, mais il faut
trouver le moment idéal pour s'y engager. Un chemin conduit
à travers champs vers cette liberté tant recherché. De l'espoir
transforme son comportement, elle devient forte et motivé. La 
fascination de la verdure et d'autres couleurs du paysage 
augmentèrent se désir.
  Sur un banc de pierre, elle y égare quelques minutes de 

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réflexions tout en gardant le regard figé vers la porte de son 
évasion qui devra la guider vers Yves.
  Liliane ( Eva ) sursaute, une main vient de la toucher. Ce 
poids spontanée, provoque une crainte qui la fait trembler.
Elle n'a le courage de se retourner et laisse échapper ses ides
d'évasion. La personne qui vint de la touché se place devant 
elle.  Elle découvre celle qui lui eut coupé la viande dans 
son assiette durant le repas. Sa peur s'éclipse et Liliane
(Eva) retrouve le réconfort de cette jeune femme qui lui souri.
Une réaction analogue marqua le visage de Liliane (Eva).
   La méfiance est une réaction digne d'une personne déchu,
Liliane (Eva)  pour cette raison elle n'inspire de confiance à 
qui que ce soit.
        La rancune signe l'égoïsme parfait d'une personne sans 
pardon, cette lacune n'a pas  sa raison d'être chez Liliane (Eva)
qui n'abandonne pas, elle suit le dialogue et répond par 
mimes sourient que cette jeune femme est la bienvenu. 
    Celle-ci sortit de sa poche un morceau de papier et un 
craillon , elle y marqua,
-    Je m'appelle Anne, je ne peux pas parler mais je capte tous 

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     les bruits et comprend toutes les paroles. J'ai 23 ans et je ne
     suis pas marié.
   Liliane (Eva) lut cette ligne, son cœur se rassure sans tarder, 
elle gribouilla une réponse,
-     Je ne suis pas Liliane, comme ils m'appellent, mon vrai 
      prénom est Eva. Toute cette parodie est dut a une erreur 
      d'admission du a l'interprétation de la police qui m'ont 
      incarner dans un hôpital psychiatrique car je ne sus
      m'exprimer. Par la suite l'on ma pas donné la possibilité 
      de pouvoir m'exprimer car mes mains étaient liée dans 
      une camisole durant les jours et les nuits. Mon entourage
      m'eut maltraité à plusieurs reprises et tout cela parce que 
      j'avais tenté d'accompagner mon mari a l'hôpital car les 
      malfaiteurs l'avaient agressé et blessé .
           Eva évite de préciser qu'elle fit feux par deux fois sur 
les malfaiteurs en blessant grièvement deux personnes. Cette 
pensée laisse s'échapper quelque larmes qui tombe sur la 
papier. Eva garde au fond d'elle-même ces détailles-là, qui 
sais, elle risqua de retourner dans l'asile ?
Pouvoir enfin s'exprimer avec une personne la soulage.
Qui sait, il se peut que cette personne pourrait lui venir

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en aide ?
  Anne lut attentivement les lignes d'Éva , elle est consciente 
de l'injustice qu' Eva a subit et de l'aide qu' elle peut lui 
donner.
-     Tu sais Eva, ton malheur me touche profondément, la 
       tristesse suit ma sagesse. Je suis prête à t'aider s'il le 
       faut, je possède une faculté que tu n'as pas, je parle pas 
       mais j'écouterais a t'a place. Je traduirais ce que les 
       autres parlent entre eux. Notre amitié nous donnera une
       force que seule une union parfaite peut concevoir.

   ( Quant une personne est atteinte d'une maladie ou d'une 
incapacité physique elle prête attention à d'autres qui ont 
plus d'invalidité, par tous les moyens elle tente de l'aider.
Pour une personne normale, très peut ont le courage de 
leur donner de l'importance en les aidant.)

     Voilà ce qu'Anne ressentit et ce qu'elle a envie de partager
le malheur et bonheur à la fois. Elle vint de conclure un pacte
d'amitié qui circule sous forme de lignes de signes et de gestes.
Les deux jeunes femmes reprirent la direction de leur chambre.
Eva fit le signe de demander où se trouvèrent les douches. Anne
lui répondit en signes,
-    Avant que tu prennes une douche, il faut que tu changes tes

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     habilles pour cela on prend la direction de mon armoire tu
     choisiras ce que bon te semble, comme on a la même taille
     il n'y a pas de problème.
      Eva eut pris ce qui lui plus et les mis, pour cela elle enlève 
ses vêtements , les partie dénudé laissent apparaître des  
blessures , ce qui choque Anne . Cette attention prouve que les
écrits correspondent. L'injustice et les actes de barbaries sont
le fruit d'un désordre parfait envers les imparfaits. Les bras 
d'Éva eurent du mal pour se rhabiller, Anne l'aide puis 
 l'accompagne dans les douches pour qu'elle puisse se laver.
La robe violette, parsemé de brindilles dorées, qu'Éva eut 
choisies, lui vas a  merveilleusement. Elle ressembla de nouveau
à une femme coquette. 
  Anne lui proposa de faire une promenade dans un des parcs
du château. La coquetterie possède ses valeurs, le montrer 
charme les admiratrices et admirateurs. Eva ne refuse point, 
cela lui permit de visiter dans les détailles les failles pour son
évasion. Les deux amies circulèrent entre les allées de rosiers
et les chemins qui contournèrent les autres fleurs du jardin. La
roseraie dégage autant de parfums que de sortes de rosiers.

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Pas de doute, la main d'un jardinier de renom y eut plantée sa 
griffe. Eva se laissa attirer par ces senteurs qu'elle hume avec
bonheur. Les chemins sillonnèrent entre les haies pour aboutir
 devant une porte faite en lattes de toit qu'il suffit de pousser
pour  aboutir dans les champs de blés. 
   La chaleur de la journée s'échappa pour céder la place à la
fraîcheur du soir. Anne fit signe a Eva de la suivre sur un 
chemin en plein dans les champs pour découvrir la route 
départementale qui permettra de s'enfuir. Puis elle lui fit signe
que le soleil fut très bas et qu'ils durent rentrer. La nuit se 
présenta et la fatigue se ressentit chez Eva. Cette nuit fut la 
première depuis longtemps où Eva  peut dormir avec le cœur 
plein d'espérance  et un moral prêt à affronter le futur.
     Dans l'Hôpital d'Yves, les gardes occupèrent leur poste, l'un
dans sa chambre et l'autre devant la porte. Yves s'inquiétât de cette
présence, et surtout la raison ? Quelle peut être le facteur de cette
garde à vue ? Il eut beau s'imaginer des raisons aucune ne lui 
donna une bonne réponse.
   Au petit matin, à peine eut 'il avalé sa tasse de café et son morceau
de pain, le commissaire se trouva prêt de son lit. Il lui posa la

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question suivante,
-     Votre femme  Eva a-t-elle des amies ou amis en ville ?
-     Non, ma femme Eva n'a pas d'amies ni amis dans cette ville.
-     Fit-elle partie d'une association ?
-      Oui, elle est inscrite dans la même société de tir au fusil que
        moi.
-       Vient elle souvent vous rentre visite dans la banque ?
-       Elle vient rarement dans la banque.
  Yves, surpris par ce questionnaire a répétition se demanda que
cache cette phrase ? Où se trouve sa femme Eva ? 
  Un moment de silence naquit dans cette pièce. Les deux personnes
réfléchir. Yves fut poussé à prononcer en premier une question,
-        Pourrez vous me dire où se trouve ma femme Eva ?
Le commissaire lui annonça,
-        Votre femme Eva fut victime des agresseurs, la mort eut raison
          d'elle.
    Cette réponse transforme les réactions d'Yves, l'émotions provoqua
une forte douleur dans son cœur. Des larmes humidifièrent son visage
et ses yeux reflétèrent la lumière de cette vie injuste et cruelle. Des 
doutes persévèrent il demanda,

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-        Vos me dite commissaire qu'elle est morte, moi, je ne le crois
          pas.
  Dans les pensées du commissaire il n'y eut pas de surnaturelle, la 
morte est bien là.
-        Monsieur Yves, vous sentez vous capable de supporter de voir
          le corps de votre femme Eva ?
      Cette question bouleversa Yves, il réalise que les mots du 
commissaire pourraient être juste . Sur le coup, Yves hésite mais, 
il est certitude que le commissaire eut dort . La vérité peut diminuer
sa douleur ou l'augmenter ci c'est bien Eva qui est morte ?
    L'importance de revoir Eva est primordiale , même si c'est la 
victime . 

-        Mes souvenirs me rappelle bien qu'elle ne fut présente le jour du
          braquage de la banque.
-         Je veux bien vous croire, alors si le corps a la morgue n'est pas 
           celui de votre femme, elle portera la responsabilité de beaucoup
           d'autres suppositions. En premier, elle eut emporté le précieux
           livre que la ville fui eut confié ainsi que la disparition de vos biens
           monsieur Yves.
-          Ces présomptions en forme d'accusations, ne sont que des
            suppositions, tous ce que vous venez de me dire ne sont que des
            illusions.

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-           Je peux vous affirmer monsieur Yves que votre appartement est 
            vide et qu'il ne reste plus d'objets aillant de la valeur. Votre 
            femme eut mimé un cambriolage pour effacer la disparition de
            plusieurs ouvrages de valeurs.
-           Cette accusation me lacère le cœur, elle est une femme honnête. et
             je la défend. Elle ne parle pas, n'entend pas comment aurait 'elle
             manigancé une mise en scène de la sorte et de cette ampleur 
             monsieur le commissaire ?
-            Il se peut qu'un meneur eut programmé toute cette mise en scène.
Yves garda la défense de sa femme Eva, toute accusation provoqué par 
le commissaire fut détournée. A partir de cet instant-là, une haine naquit
envers cette accusateur. Ce qu'il dit sont des leurres destinés pour que 
l'accusé perde le nord et se laisse intimidé pour le conduire à l'erreur.
On dit que prêcher le faux permet de récolter la vérité. Une lumière 
éclaira les pensées d'Yves, voilà la raison de la présence du service 
d'ordre, car ils le soupçonnent lui et Eva comme activiste dans cette 
histoire. La méfiance accumulé reflua chaque question posées qui ne
sont que des accusations injuste.
-         Monsieur la commissaire, je suis apte pour vous suivre, je veux
           avoir la certitude qu'Éva n'est pas morte.
-          Comme vous le voulez, je vous accompagne à la morgue pour 
           que vous l'identifier.

JJM


A suivre au 6/8 96


Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
Le roman est en cour de construction des changements peuvent suivre.
A ce jour, 04 04 2019, 8 566 lecteurs.
A ce jour, 29 10 2019, 9 031 lecteurs.
A ce jour, 30 07 2020, 9 595 lecteurs.
A ce jour, 12 10 2020, 9 667 lecteurs.
A ce jour, 05 10 2023, 17 660 lecteurs.
A ce jour, 03 12 2024, 20 255 lecteurs.













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