mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2
Coïncidence
Dans la cabine du conducteur, un dialogue se poursuit,
- Tu as eu peur que ce qui vient de se passer sera su par la direction ?
le chauffeur le regarda d'un air blizzard puis dit,
- Cette fille-là n'est pas une salope comme tu me la fait croire elles est
sérieuse.
- Même si elle est sérieuse, elle ne parle pas, n(entend pas et puis pour
une fois, elle y aurait pris plaisir.
- Peut-être, mais c'est une lâcheté de notre part de vouloir abuser d'elle.
- Je sais que tu as peur, qu'elle nous dénonce mais il est bien marqué
dans la lettre qu'elle est muette et sourde, il n'y a pas eut de risque.
- On reprend la route.
Dans la cabine arrière, Liliane (Eva) tremble durant dix minutes de route,
elle ne fut pas rassurée suite à cette tentative. Le véhicule se mit de nouveau
à l'arrêt. Serais se une nouvelle tentative de viol ?
Coïncidence
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Dans la cabine du conducteur, un dialogue se poursuit,
- Tu as eu peur que ce qui vient de se passer sera su par la direction ?
le chauffeur le regarda d'un air blizzard puis dit,
- Cette fille-là n'est pas une salope comme tu me la fait croire elles est
sérieuse.
- Même si elle est sérieuse, elle ne parle pas, n(entend pas et puis pour
une fois, elle y aurait pris plaisir.
- Peut-être, mais c'est une lâcheté de notre part de vouloir abuser d'elle.
- Je sais que tu as peur, qu'elle nous dénonce mais il est bien marqué
dans la lettre qu'elle est muette et sourde, il n'y a pas eut de risque.
- On reprend la route.
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Dans la cabine arrière, Liliane (Eva) tremble durant dix minutes de route,
elle ne fut pas rassurée suite à cette tentative. Le véhicule se mit de nouveau
à l'arrêt. Serais se une nouvelle tentative de viol ?
La porte s'ouvre et la clarté extérieure éblouit un cour instant Liliane
(Eva) qui restait recoquillé dans son coin.
Les deux odieux personnages se trouvent de nouveau devant la porte du
Les deux odieux personnages se trouvent de nouveau devant la porte du
fourgon . Ils ne pénètrent pas dans la cabine.
Un moment passe , personne ne rentre. Liliane (Eva) jeta son regard sur
l'extérieur pour tenter de découvrir l'entourage. Elle laisse s'échapper
des larmes qu'elle essui temps bien que mal.
l'extérieur pour tenter de découvrir l'entourage. Elle laisse s'échapper
des larmes qu'elle essui temps bien que mal.
Elle remarque que le véhicule se trouve dans une cour pavées. Chaque
détaille peut lui servir de basse pour une éventuelle fuite. Une troisième
personne vient a la porte du fourgon. C'est une femme élégante, d'une
trentaine d'année en blouse blanche a moitié fermé, une partie de sa robe
bleutée pouvait se voyait.
trentaine d'année en blouse blanche a moitié fermé, une partie de sa robe
bleutée pouvait se voyait.
Liliane(Eva) reste terrée dans son coin, recoquillé. Cette hôtesse
d'accueil lui inspira peu de confiance, tout l'entourage parut hostile.
- Mademoiselle Liliane, venez me rejoindre.
L'onde du son de cette voix résonne aimablement dans le fourgon.
d'accueil lui inspira peu de confiance, tout l'entourage parut hostile.
- Mademoiselle Liliane, venez me rejoindre.
L'onde du son de cette voix résonne aimablement dans le fourgon.
Liliane ( Eva ) ne bouge pas. L'hôtesse eut lu l'entête de la lettre qui
accompagne Liliane ( Eva ) et qui indiqua les références, et demande
aux convoyeurs,
- C'est bien comme cela qu'elle s'appelle ?
que l'la maison de repos d'où elle vient n'a rien de gracieux.
Ce fut le chauffeur du fourgon qui vint de prononcer cette phrase, son
compagnon rajouta,
- Comme elle est sourde et muette nous ne pouvons lui demander
- C'est bien comme cela qu'elle s'appelle ?
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- Oui madame la directrice, lissez la lettre complètement et vous verrezque l'la maison de repos d'où elle vient n'a rien de gracieux.
Ce fut le chauffeur du fourgon qui vint de prononcer cette phrase, son
compagnon rajouta,
- Comme elle est sourde et muette nous ne pouvons lui demander
grand - chose.
La directrice lit son dossier et ses coordonnées. Puis elle monta
dans le fourgon pour prendre place en face de Liliane (Eva). Elle tente
La directrice lit son dossier et ses coordonnées. Puis elle monta
dans le fourgon pour prendre place en face de Liliane (Eva). Elle tente
de lui donner sa main, le refus fut catégorique. La directrice bougea
ses mains d'une certaine manière qui veulent dire,
- La maison d'où tu viens ne t'a pas arrangé, pauvre petite.
En s'exprimant que Liliane (Eva) réussi à comprendre ses gestes.
La voie du dialogue s'ouvre ce qui fait naitre une confiance . Les
- La maison d'où tu viens ne t'a pas arrangé, pauvre petite.
En s'exprimant que Liliane (Eva) réussi à comprendre ses gestes.
La voie du dialogue s'ouvre ce qui fait naitre une confiance . Les
présentations sont faite et Liliane(Eva) suivi la directrice de cette
établissement. Elles parcoururent la cour pavée où la propreté fut
maîtresse des lieux. Au-delà sur la droite , l'ombre d une montagne
prend place sur l'étendu du champs de blée.
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son charme. Bien entendu, cet endroit fur un nouveau point de
départ, pour mettre en action un plans d'évasion . La vue des
champs de blés l'inspire plus que tout. Elle observe le grand
bâtiment qui se trouve derrière elle, un ancien château semble
t'il, plus que centenaire. Les hautes fenêtres laissent entrevoir
des plafonds ornée de moulures doré. De nombreux objets
sculptés décorent l'entourage. Tout y est d'une remarquable
beauté comme si l'on se trouve dans un conte de fée. Sa
propreté réveilla la qualité de l'établissement
Les deux femmes s'approchèrent d'un homme jardinier
Les deux femmes s'approchèrent d'un homme jardinier
courbé dans une allé de fleurs. Celui-ci se relève à leur
présence et dit,
- Madame la directrice, les lys a longue tiges ont terminé
- Madame la directrice, les lys a longue tiges ont terminé
leur floraison je coupe le dernier bouquet.
- Ils sont d'une beauté remarquable cette année monsieur
- Ils sont d'une beauté remarquable cette année monsieur
Charles.
- Je place ce bouquet dans la salle à manger ?
- Oui monsieur Charles, c'est une bonne chose. Je vous
- Je place ce bouquet dans la salle à manger ?
- Oui monsieur Charles, c'est une bonne chose. Je vous
présente une nouvelle venu, elle nous arrive du centre
psychiatrique, la malheureuse.
Le regard de Charles croise celui de Liliane (Eva) qui en
Le regard de Charles croise celui de Liliane (Eva) qui en
fut bouleversé. Les personnes masculin ne lui donnent
peut de confiance. Pour elle, ils représente le mal.
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La main du jardinier lève le chapeau de paille en guise depolitesse. Même ce geste ne la fit sourire mais elle répondit
par un hochement de la tête.
Elles avancent vers le château, et montent plusieurs marches
par un hochement de la tête.
Elles avancent vers le château, et montent plusieurs marches
pour aboutir a la grande entée grande ouverte. Les personnes
que l'on croisent sont d'une politesse accueillantes. Le respect
et la gentillesse sont de rigueur car chaque personnes leurs
attribuent des salutations respectueux.
Elles pénétrèrent dans une immense salle entouré de portes
et au centre, un large escalier en bois de chêne et hêtre. Elles
( Quant une personne est atteinte d'une maladie ou d'une
incapacité physique elle prête attention à d'autres qui ont
plus d'invalidité, par tous les moyens elle tente de l'aider.
Pour une personne normale, très peut ont le courage de
leur donner de l'importance en les aidant.)
Voilà ce qu'Anne ressentit et ce qu'elle a envie de partager
le malheur et bonheur à la fois. Elle vint de conclure un pacte
d'amitié qui circule sous forme de lignes de signes et de gestes.
Les deux jeunes femmes reprirent la direction de leur chambre.
Eva fit le signe de demander où se trouvèrent les douches. Anne
lui répondit en signes,
- Avant que tu prennes une douche, il faut que tu changes tes
choisiras ce que bon te semble, comme on a la même taille
il n'y a pas de problème.
Eva eut pris ce qui lui plus et les mis, pour cela elle enlève
Le roman est en cour de construction des changements peuvent suivre.
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continuent leur découverte en se dirigeant vers cet escalier qui
les mène à l'étage. Liliane (Eva) suit cette femme qui lui fait
découvrir le château comme une guide.
Au bout de cette ascension, le pallié de l'étage donne
Au bout de cette ascension, le pallié de l'étage donne
l'impression que nos chaussures s'enfoncent dans l'épais tapis
de soie qui l'orne .
Elles aboutent dans un croisement de long couloirs, elles
prennent la direction d'une porte sur laquelle est ciselé
un numéraux dans un morceau de bois carré placé au-dessus
du linteau. D'autres jeunes femmes y séjournent dans cette
immense pièce où 10 lits sont superposés.
La curiosité des filles les attire toutes vers la porte d'entrée.
Liliane (Eva) fut surprise de se devenir importante à leur yeux.
Liliane (Eva) fut surprise de se devenir importante à leur yeux.
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Son accompagnatrice donne des signes compréhensibles et cette attroupement se place en rang . Liliane (Eva) observa les
réactions de celles qui l'entourent et se rendit compte qu'elle
est entouré de personnes répondant aux même handicaps.
Cette découverte lui redonne du courage, enfin elle put
s'exprimer et dénoncer la faute sur son nom, mais, il faut
patienter, la pleine confiance n'est pas pour ce jour.
Elles sont nombreuses dans cette pièce et Liliane (Eva) a du
mal à repérer une attache sur qui elle put reposer sa confiance.
Cette masse silencieuse mérite un peu de temps pour pouvoir
Elles sont nombreuses dans cette pièce et Liliane (Eva) a du
mal à repérer une attache sur qui elle put reposer sa confiance.
Cette masse silencieuse mérite un peu de temps pour pouvoir
les connaîtrais toutes.
Sur un geste de la responsable de l'établissement, le groupe se
disperse chacune dans une direction différente. Aucun personnel
d'encadrement n'entoure les occupantes, l'ordre, le respect et le
savoir vivre compta pour toutes. Liliane (Eva) put avec la
directrice découvrir les détails de l'endroit où elle passe ses
nuits. Le lit, qu'elle lui proposa, se trouvait en dessous d'un autre
sur la droite de l'entrée pas loin d'une grande fenêtre. Cette
proposition ne trouve de refus de sa part. Liliane (Eva) dispose
d'une armoire en bois, qui comporte deux portes.
Une de ces portes lui fut attribuée, mais, elle n'avait rien à y
placer. La responsable ouvrit l'autre porte pour que Liliane
Sur un geste de la responsable de l'établissement, le groupe se
disperse chacune dans une direction différente. Aucun personnel
d'encadrement n'entoure les occupantes, l'ordre, le respect et le
savoir vivre compta pour toutes. Liliane (Eva) put avec la
directrice découvrir les détails de l'endroit où elle passe ses
nuits. Le lit, qu'elle lui proposa, se trouvait en dessous d'un autre
sur la droite de l'entrée pas loin d'une grande fenêtre. Cette
proposition ne trouve de refus de sa part. Liliane (Eva) dispose
d'une armoire en bois, qui comporte deux portes.
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L'armoire permît de départager les lits.Une de ces portes lui fut attribuée, mais, elle n'avait rien à y
placer. La responsable ouvrit l'autre porte pour que Liliane
(Eva) puisse voir le rangement de sa voisine. Cette découverte la
chagrine, à la vue des beaux vêtements de qualité et le rangement
parfait de sa voisine.
chagrine, à la vue des beaux vêtements de qualité et le rangement
parfait de sa voisine.
Cette concentration d'observation multiplie ses intentions de
retrouver Yves et le bien être de son passé. Rien n'est à critiquer
pas même le parfum qu'émettent les vêtements dans cette armoire.
La couleur bleu ciel des murs lui rappelle la mer et le ciel , ce
qu'elle observe la rassure.
Liliane ( Eva ) place son regard en direction des grandes
fenêtre du château . De là , sur sont tracé, elle peut apercevoir
une cour qui passe a l'arrière du château. Là aussi la propreté et
l'ordre vont de paire ce qui est remarquable.
Dans ses découvertes, Liliane ( Eva ) remarque des vases, placé
sur les tableaux , remplit de bouquets de fleurs saisonnier. Une
odeur de lavande embellit son entourage. Tous fut merveille , sauf
que Liliane (Eva) ne se trouve pas auprès de son mari Yves ce
que Liliane (Eva) ne se trouve pas auprès de son mari Yves ce
qui la chagrinait plus que tout.
Le déséquilibre de ses pensées, la font trembler car la peur
Le déséquilibre de ses pensées, la font trembler car la peur
qu'un éventuel acte de haine, puisse retomber sur elle.
Sur la porte de son armoire et du lit un nom fut placé, Liliane.
vêtements différents de qualité ainsi des coiffures parfaites .
Il y a des jeunes femmes d'âge différent mais qui variait entre
vingt et trente ans. Chacune vient se présenter avec politesse en
montrant sur un morceau de papier le nom, le prénom et leur
âge même que le temps qu'elles ont passé dans cette école.
Liliane (Eva) reçu un morceau de papier pour y marquer ses
références. Cette demande lui pose du soucie, elle hésita de
marquer son vrais nom et prénom car au fond elle se sentit
coupable d'avoir tiré sur les personnes sortant de la banque.
Elle eut peur qu'elle dut retourner a l'asile et marqua sur le
papier, Liliane 26 ans. Sur une pancarte est marqué,
- Il faut aller manger.
L'ensemble propose par gestes à Liliane (Eva) qu'elle doit
les suivre. Toutes descendent dans cette vaste et belle salle
où le soupé fut servie. Une bonne centaine de personnes s'y
sont attablé. Liliane (Eva) reste debout par respect, telle une
Sur la porte de son armoire et du lit un nom fut placé, Liliane.
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Autour d'elle 16 personnes sont présente, chacune porte desvêtements différents de qualité ainsi des coiffures parfaites .
Il y a des jeunes femmes d'âge différent mais qui variait entre
vingt et trente ans. Chacune vient se présenter avec politesse en
montrant sur un morceau de papier le nom, le prénom et leur
âge même que le temps qu'elles ont passé dans cette école.
Liliane (Eva) reçu un morceau de papier pour y marquer ses
références. Cette demande lui pose du soucie, elle hésita de
marquer son vrais nom et prénom car au fond elle se sentit
coupable d'avoir tiré sur les personnes sortant de la banque.
Elle eut peur qu'elle dut retourner a l'asile et marqua sur le
papier, Liliane 26 ans. Sur une pancarte est marqué,
- Il faut aller manger.
L'ensemble propose par gestes à Liliane (Eva) qu'elle doit
les suivre. Toutes descendent dans cette vaste et belle salle
où le soupé fut servie. Une bonne centaine de personnes s'y
sont attablé. Liliane (Eva) reste debout par respect, telle une
spectatrice sans savoir où se placer ?
Le repas fut sur le point d'être servie, Liliane (Eva) reste
debout, comme délaissé. La jeune femme qui occupe la
Elle lui tend la main pour que Liliane ( Eva ) la suive à la table
Le repas fut sur le point d'être servie, Liliane (Eva) reste
debout, comme délaissé. La jeune femme qui occupe la
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même armoire qu'elle, remarque sa position et vient la trouver.Elle lui tend la main pour que Liliane ( Eva ) la suive à la table
qui lui est réservé. Autour de cette table six personnes ont prit
leur place.
Chaque femme se présente avec des mouvements de mains
et de mimes que Liliane (Eva) déchiffre. Cette correspondance
fait partie du programme d'apprentissage qui met en confiance
les occupantes. Enfin, c'est au tour de Liliane (Eva ) de se
présenter en dialoguant avec gestes et mimes. Sur le moment,
Liliane (Eva ) elle ne voulu donner le moindre détails car ci
elle dévoile sa vrai identité, les personnes présente risque de
ne plus lui faire confiance, et son plans d'évasion pourrai
flancher .
La douleur de ses bras persiste , elle à du mal pour couper
le morceau de viande dans son assiette. Sa voisine remarque
sa faiblesse et lui propose de la couper. Cette personne possède
tous les atouts pour que Liliane (Eva) lui accorde sa confiance.
Le soupé terminé, la salle se vide rapidement. Liliane (Eva)
ne se laisse entraîner par cette foule et attendit que la salle
fut vide. Puis, Liliane ( Eva ) parcoure seule le château, sa
tous les atouts pour que Liliane (Eva) lui accorde sa confiance.
Le soupé terminé, la salle se vide rapidement. Liliane (Eva)
ne se laisse entraîner par cette foule et attendit que la salle
fut vide. Puis, Liliane ( Eva ) parcoure seule le château, sa
curiosité se conjugue a la mise en place d'une éventuelle
évasion.
Une grande bais vitrée l'attire , elle égare son regard vers
Une grande bais vitrée l'attire , elle égare son regard vers
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l'extérieure, celui de la liberté. Elle poursuit sa visite vers laporte de sortie . Elle descend les marches, du château , avec
rejoindre une petite cour pavée. De magnifique rosier rouge
vif la bordent. La régularité de leur hauteur se signe par la
référence d'un jardinier parfait. Une fontaine se trouve au
centre de cette courette. Du débit coule une source d'eau
transparente et fine qui retombe dans des bassins à
plusieurs niveaux. Son rayon de trois mètre donne l'exemple
qu'une parfaite harmonie. La comparaison avec le précédant
établissement , d'où elle vient n'a pas de comparaison. Ici les
personnes se déplacèrent librement. A partir de là ses doutes
de réussir ses intentions l'incitent de partir au plus vite avant
que la vérité vient occuper son dossier.
Par la droite, aucune possibilité car un ruisseau de 2 mètres
de large coupa la possibilité. Par la gauche, oui, mais il faut
trouver le moment idéal pour s'y engager. Un chemin conduit
à travers champs vers cette liberté tant recherché. De l'espoir
transforme son comportement, elle devient forte et motivé. La
fascination de la verdure et d'autres couleurs du paysage
augmentèrent se désir.
Sur un banc de pierre, elle y égare quelques minutes de
évasion qui devra la guider vers Yves.
Liliane ( Eva ) sursaute, une main vient de la toucher. Ce
Par la droite, aucune possibilité car un ruisseau de 2 mètres
de large coupa la possibilité. Par la gauche, oui, mais il faut
trouver le moment idéal pour s'y engager. Un chemin conduit
à travers champs vers cette liberté tant recherché. De l'espoir
transforme son comportement, elle devient forte et motivé. La
fascination de la verdure et d'autres couleurs du paysage
augmentèrent se désir.
Sur un banc de pierre, elle y égare quelques minutes de
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réflexions tout en gardant le regard figé vers la porte de sonévasion qui devra la guider vers Yves.
Liliane ( Eva ) sursaute, une main vient de la toucher. Ce
poids spontanée, provoque une crainte qui la fait trembler.
Elle n'a le courage de se retourner et laisse échapper ses ides
d'évasion. La personne qui vint de la touché se place devant
elle. Elle découvre celle qui lui eut coupé la viande dans
Elle n'a le courage de se retourner et laisse échapper ses ides
d'évasion. La personne qui vint de la touché se place devant
elle. Elle découvre celle qui lui eut coupé la viande dans
son assiette durant le repas. Sa peur s'éclipse et Liliane
(Eva) retrouve le réconfort de cette jeune femme qui lui souri.
Une réaction analogue marqua le visage de Liliane (Eva).
La méfiance est une réaction digne d'une personne déchu,
Liliane (Eva) pour cette raison elle n'inspire de confiance à
(Eva) retrouve le réconfort de cette jeune femme qui lui souri.
Une réaction analogue marqua le visage de Liliane (Eva).
La méfiance est une réaction digne d'une personne déchu,
Liliane (Eva) pour cette raison elle n'inspire de confiance à
qui que ce soit.
La rancune signe l'égoïsme parfait d'une personne sans
pardon, cette lacune n'a pas sa raison d'être chez Liliane (Eva)
qui n'abandonne pas, elle suit le dialogue et répond par
pardon, cette lacune n'a pas sa raison d'être chez Liliane (Eva)
qui n'abandonne pas, elle suit le dialogue et répond par
mimes sourient que cette jeune femme est la bienvenu.
Celle-ci sortit de sa poche un morceau de papier et un
craillon , elle y marqua,
- Je m'appelle Anne, je ne peux pas parler mais je capte tous
suis pas marié.
Liliane (Eva) lut cette ligne, son cœur se rassure sans tarder,
elle gribouilla une réponse,
- Je ne suis pas Liliane, comme ils m'appellent, mon vrai
prénom est Eva. Toute cette parodie est dut a une erreur
d'admission du a l'interprétation de la police qui m'ont
incarner dans un hôpital psychiatrique car je ne sus
m'exprimer. Par la suite l'on ma pas donné la possibilité
- Je m'appelle Anne, je ne peux pas parler mais je capte tous
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les bruits et comprend toutes les paroles. J'ai 23 ans et je nesuis pas marié.
Liliane (Eva) lut cette ligne, son cœur se rassure sans tarder,
elle gribouilla une réponse,
- Je ne suis pas Liliane, comme ils m'appellent, mon vrai
prénom est Eva. Toute cette parodie est dut a une erreur
d'admission du a l'interprétation de la police qui m'ont
incarner dans un hôpital psychiatrique car je ne sus
m'exprimer. Par la suite l'on ma pas donné la possibilité
de pouvoir m'exprimer car mes mains étaient liée dans
une camisole durant les jours et les nuits. Mon entourage
m'eut maltraité à plusieurs reprises et tout cela parce que
j'avais tenté d'accompagner mon mari a l'hôpital car les
m'eut maltraité à plusieurs reprises et tout cela parce que
j'avais tenté d'accompagner mon mari a l'hôpital car les
malfaiteurs l'avaient agressé et blessé .
Eva évite de préciser qu'elle fit feux par deux fois sur
Eva évite de préciser qu'elle fit feux par deux fois sur
les malfaiteurs en blessant grièvement deux personnes. Cette
pensée laisse s'échapper quelque larmes qui tombe sur la
pensée laisse s'échapper quelque larmes qui tombe sur la
papier. Eva garde au fond d'elle-même ces détailles-là, qui
sais, elle risqua de retourner dans l'asile ?
Pouvoir enfin s'exprimer avec une personne la soulage.
Pouvoir enfin s'exprimer avec une personne la soulage.
Qui sait, il se peut que cette personne pourrait lui venir
Anne lut attentivement les lignes d'Éva , elle est consciente
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en aide ?Anne lut attentivement les lignes d'Éva , elle est consciente
de l'injustice qu' Eva a subit et de l'aide qu' elle peut lui
donner.
- Tu sais Eva, ton malheur me touche profondément, la
tristesse suit ma sagesse. Je suis prête à t'aider s'il le
faut, je possède une faculté que tu n'as pas, je parle pas
mais j'écouterais a t'a place. Je traduirais ce que les
autres parlent entre eux. Notre amitié nous donnera une
force que seule une union parfaite peut concevoir.
- Tu sais Eva, ton malheur me touche profondément, la
tristesse suit ma sagesse. Je suis prête à t'aider s'il le
faut, je possède une faculté que tu n'as pas, je parle pas
mais j'écouterais a t'a place. Je traduirais ce que les
autres parlent entre eux. Notre amitié nous donnera une
force que seule une union parfaite peut concevoir.
( Quant une personne est atteinte d'une maladie ou d'une
incapacité physique elle prête attention à d'autres qui ont
plus d'invalidité, par tous les moyens elle tente de l'aider.
Pour une personne normale, très peut ont le courage de
leur donner de l'importance en les aidant.)
Voilà ce qu'Anne ressentit et ce qu'elle a envie de partager
le malheur et bonheur à la fois. Elle vint de conclure un pacte
d'amitié qui circule sous forme de lignes de signes et de gestes.
Les deux jeunes femmes reprirent la direction de leur chambre.
Eva fit le signe de demander où se trouvèrent les douches. Anne
lui répondit en signes,
- Avant que tu prennes une douche, il faut que tu changes tes
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habilles pour cela on prend la direction de mon armoire tuchoisiras ce que bon te semble, comme on a la même taille
il n'y a pas de problème.
Eva eut pris ce qui lui plus et les mis, pour cela elle enlève
ses vêtements , les partie dénudé laissent apparaître des
blessures , ce qui choque Anne . Cette attention prouve que les
écrits correspondent. L'injustice et les actes de barbaries sont
le fruit d'un désordre parfait envers les imparfaits. Les bras
d'Éva eurent du mal pour se rhabiller, Anne l'aide puis
l'accompagne dans les douches pour qu'elle puisse se laver.
La robe violette, parsemé de brindilles dorées, qu'Éva eut
choisies, lui vas a merveilleusement. Elle ressembla de nouveau
à une femme coquette.
Anne lui proposa de faire une promenade dans un des parcs
du château. La coquetterie possède ses valeurs, le montrer
charme les admiratrices et admirateurs. Eva ne refuse point,
cela lui permit de visiter dans les détailles les failles pour son
évasion. Les deux amies circulèrent entre les allées de rosiers
et les chemins qui contournèrent les autres fleurs du jardin. La
roseraie dégage autant de parfums que de sortes de rosiers.
griffe. Eva se laissa attirer par ces senteurs qu'elle hume avec
bonheur. Les chemins sillonnèrent entre les haies pour aboutir
devant une porte faite en lattes de toit qu'il suffit de pousser
pour aboutir dans les champs de blés.
La chaleur de la journée s'échappa pour céder la place à la
fraîcheur du soir. Anne fit signe a Eva de la suivre sur un
chemin en plein dans les champs pour découvrir la route
départementale qui permettra de s'enfuir. Puis elle lui fit signe
que le soleil fut très bas et qu'ils durent rentrer. La nuit se
présenta et la fatigue se ressentit chez Eva. Cette nuit fut la
première depuis longtemps où Eva peut dormir avec le cœur
plein d'espérance et un moral prêt à affronter le futur.
Dans l'Hôpital d'Yves, les gardes occupèrent leur poste, l'un
dans sa chambre et l'autre devant la porte. Yves s'inquiétât de cette
présence, et surtout la raison ? Quelle peut être le facteur de cette
garde à vue ? Il eut beau s'imaginer des raisons aucune ne lui
donna une bonne réponse.
Au petit matin, à peine eut 'il avalé sa tasse de café et son morceau
de pain, le commissaire se trouva prêt de son lit. Il lui posa la
- Votre femme Eva a-t-elle des amies ou amis en ville ?
- Non, ma femme Eva n'a pas d'amies ni amis dans cette ville.
- Fit-elle partie d'une association ?
- Oui, elle est inscrite dans la même société de tir au fusil que
moi.
- Vient elle souvent vous rentre visite dans la banque ?
- Elle vient rarement dans la banque.
Yves, surpris par ce questionnaire a répétition se demanda que
cache cette phrase ? Où se trouve sa femme Eva ?
Un moment de silence naquit dans cette pièce. Les deux personnes
réfléchir. Yves fut poussé à prononcer en premier une question,
- Pourrez vous me dire où se trouve ma femme Eva ?
Le commissaire lui annonça,
- Votre femme Eva fut victime des agresseurs, la mort eut raison
d'elle.
Cette réponse transforme les réactions d'Yves, l'émotions provoqua
une forte douleur dans son cœur. Des larmes humidifièrent son visage
et ses yeux reflétèrent la lumière de cette vie injuste et cruelle. Des
doutes persévèrent il demanda,
pas.
Dans les pensées du commissaire il n'y eut pas de surnaturelle, la
morte est bien là.
- Monsieur Yves, vous sentez vous capable de supporter de voir
le corps de votre femme Eva ?
Cette question bouleversa Yves, il réalise que les mots du
blessures , ce qui choque Anne . Cette attention prouve que les
écrits correspondent. L'injustice et les actes de barbaries sont
le fruit d'un désordre parfait envers les imparfaits. Les bras
d'Éva eurent du mal pour se rhabiller, Anne l'aide puis
l'accompagne dans les douches pour qu'elle puisse se laver.
La robe violette, parsemé de brindilles dorées, qu'Éva eut
choisies, lui vas a merveilleusement. Elle ressembla de nouveau
à une femme coquette.
Anne lui proposa de faire une promenade dans un des parcs
du château. La coquetterie possède ses valeurs, le montrer
charme les admiratrices et admirateurs. Eva ne refuse point,
cela lui permit de visiter dans les détailles les failles pour son
évasion. Les deux amies circulèrent entre les allées de rosiers
et les chemins qui contournèrent les autres fleurs du jardin. La
roseraie dégage autant de parfums que de sortes de rosiers.
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Pas de doute, la main d'un jardinier de renom y eut plantée sagriffe. Eva se laissa attirer par ces senteurs qu'elle hume avec
bonheur. Les chemins sillonnèrent entre les haies pour aboutir
devant une porte faite en lattes de toit qu'il suffit de pousser
pour aboutir dans les champs de blés.
La chaleur de la journée s'échappa pour céder la place à la
fraîcheur du soir. Anne fit signe a Eva de la suivre sur un
chemin en plein dans les champs pour découvrir la route
départementale qui permettra de s'enfuir. Puis elle lui fit signe
que le soleil fut très bas et qu'ils durent rentrer. La nuit se
présenta et la fatigue se ressentit chez Eva. Cette nuit fut la
première depuis longtemps où Eva peut dormir avec le cœur
plein d'espérance et un moral prêt à affronter le futur.
Dans l'Hôpital d'Yves, les gardes occupèrent leur poste, l'un
dans sa chambre et l'autre devant la porte. Yves s'inquiétât de cette
présence, et surtout la raison ? Quelle peut être le facteur de cette
garde à vue ? Il eut beau s'imaginer des raisons aucune ne lui
donna une bonne réponse.
Au petit matin, à peine eut 'il avalé sa tasse de café et son morceau
de pain, le commissaire se trouva prêt de son lit. Il lui posa la
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question suivante,- Votre femme Eva a-t-elle des amies ou amis en ville ?
- Non, ma femme Eva n'a pas d'amies ni amis dans cette ville.
- Fit-elle partie d'une association ?
- Oui, elle est inscrite dans la même société de tir au fusil que
moi.
- Vient elle souvent vous rentre visite dans la banque ?
- Elle vient rarement dans la banque.
Yves, surpris par ce questionnaire a répétition se demanda que
cache cette phrase ? Où se trouve sa femme Eva ?
Un moment de silence naquit dans cette pièce. Les deux personnes
réfléchir. Yves fut poussé à prononcer en premier une question,
- Pourrez vous me dire où se trouve ma femme Eva ?
Le commissaire lui annonça,
- Votre femme Eva fut victime des agresseurs, la mort eut raison
d'elle.
Cette réponse transforme les réactions d'Yves, l'émotions provoqua
une forte douleur dans son cœur. Des larmes humidifièrent son visage
et ses yeux reflétèrent la lumière de cette vie injuste et cruelle. Des
doutes persévèrent il demanda,
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- Vos me dite commissaire qu'elle est morte, moi, je ne le croispas.
Dans les pensées du commissaire il n'y eut pas de surnaturelle, la
morte est bien là.
- Monsieur Yves, vous sentez vous capable de supporter de voir
le corps de votre femme Eva ?
Cette question bouleversa Yves, il réalise que les mots du
commissaire pourraient être juste . Sur le coup, Yves hésite mais,
il est certitude que le commissaire eut dort . La vérité peut diminuer
sa douleur ou l'augmenter ci c'est bien Eva qui est morte ?
L'importance de revoir Eva est primordiale , même si c'est la
victime .
- Mes souvenirs me rappelle bien qu'elle ne fut présente le jour du
braquage de la banque.
- Je veux bien vous croire, alors si le corps a la morgue n'est pas
celui de votre femme, elle portera la responsabilité de beaucoup
d'autres suppositions. En premier, elle eut emporté le précieux
livre que la ville fui eut confié ainsi que la disparition de vos biens
monsieur Yves.
- Ces présomptions en forme d'accusations, ne sont que des
suppositions, tous ce que vous venez de me dire ne sont que des
illusions.
vide et qu'il ne reste plus d'objets aillant de la valeur. Votre
femme eut mimé un cambriolage pour effacer la disparition de
plusieurs ouvrages de valeurs.
- Cette accusation me lacère le cœur, elle est une femme honnête. et
je la défend. Elle ne parle pas, n'entend pas comment aurait 'elle
manigancé une mise en scène de la sorte et de cette ampleur
monsieur le commissaire ?
- Il se peut qu'un meneur eut programmé toute cette mise en scène.
Yves garda la défense de sa femme Eva, toute accusation provoqué par
le commissaire fut détournée. A partir de cet instant-là, une haine naquit
envers cette accusateur. Ce qu'il dit sont des leurres destinés pour que
l'accusé perde le nord et se laisse intimidé pour le conduire à l'erreur.
On dit que prêcher le faux permet de récolter la vérité. Une lumière
éclaira les pensées d'Yves, voilà la raison de la présence du service
d'ordre, car ils le soupçonnent lui et Eva comme activiste dans cette
histoire. La méfiance accumulé reflua chaque question posées qui ne
sont que des accusations injuste.
- Monsieur la commissaire, je suis apte pour vous suivre, je veux
avoir la certitude qu'Éva n'est pas morte.
- Comme vous le voulez, je vous accompagne à la morgue pour
que vous l'identifier.
braquage de la banque.
- Je veux bien vous croire, alors si le corps a la morgue n'est pas
celui de votre femme, elle portera la responsabilité de beaucoup
d'autres suppositions. En premier, elle eut emporté le précieux
livre que la ville fui eut confié ainsi que la disparition de vos biens
monsieur Yves.
- Ces présomptions en forme d'accusations, ne sont que des
suppositions, tous ce que vous venez de me dire ne sont que des
illusions.
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- Je peux vous affirmer monsieur Yves que votre appartement estvide et qu'il ne reste plus d'objets aillant de la valeur. Votre
femme eut mimé un cambriolage pour effacer la disparition de
plusieurs ouvrages de valeurs.
- Cette accusation me lacère le cœur, elle est une femme honnête. et
je la défend. Elle ne parle pas, n'entend pas comment aurait 'elle
manigancé une mise en scène de la sorte et de cette ampleur
monsieur le commissaire ?
- Il se peut qu'un meneur eut programmé toute cette mise en scène.
Yves garda la défense de sa femme Eva, toute accusation provoqué par
le commissaire fut détournée. A partir de cet instant-là, une haine naquit
envers cette accusateur. Ce qu'il dit sont des leurres destinés pour que
l'accusé perde le nord et se laisse intimidé pour le conduire à l'erreur.
On dit que prêcher le faux permet de récolter la vérité. Une lumière
éclaira les pensées d'Yves, voilà la raison de la présence du service
d'ordre, car ils le soupçonnent lui et Eva comme activiste dans cette
histoire. La méfiance accumulé reflua chaque question posées qui ne
sont que des accusations injuste.
- Monsieur la commissaire, je suis apte pour vous suivre, je veux
avoir la certitude qu'Éva n'est pas morte.
- Comme vous le voulez, je vous accompagne à la morgue pour
que vous l'identifier.
JJM
A suivre au 6/8 96
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateurA suivre au 6/8 96
Le roman est en cour de construction des changements peuvent suivre.
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