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5 octobre 2023

suite roman aventure (coïncidence 5/8)

mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2
Coïncidence

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-    Tu as eu peur que ce qui vient de se passer sera su par la direction?
le chauffeur le regarda d'un air blizzard puis dit,
-    Cette fille-là n'est pas une salope comme tu me la fait croire elles est
      sérieuse.
-    Même si elle est sérieuse, elle ne parle pas, n(entend pas et puis pour 
     une fois, elle y prendra plaisir.
-    Peut-être, mais c'est une lâcheté de notre part de vouloir abuser d'elle.
-    Je sais que tu as peur, qu'elle nous dénonce mais il est bien marqué 
      dans la lettre qu'elle est muette et sourde, il n'y a pas eut de risque.
-     On reprend la route.

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  Dans la cabine arrière, Liliane(Eva) trembla durant dix minutes de route,
elle ne fut pas rassurée suite à cette tentative. Le véhicule se mit de nouveau
à l'arrêt. Serais se une nouvelle tentative de viol ? La porte s'ouvrit et la 
clarté extérieure éblouit un cour instant Liliane(Eva) qui restait recoquillé 
sur elle -même. Les deux odieux personnages se trouvèrent de nouveau 
devant la porte du fourgon ais, ils ne pénétraient pas dans la cabine. Un 
moment passa, personne ne rentra. Liliane(Eva) jeta son regard sur 
l'extérieur pour tenter de découvrir l'entourage. Elle laissa s'échapper
des larmes qu'elle essuya temps bien que mal. Elle remarqua que le véhicule
se trouva dans une cour pavées. Chaque détaille lui servira  de  basse 
une éventuelle fuite. Une troisième personne vint, une femme élégante, d'une
trentaine d'année en blouse blanche a moitié fermé, une partie de sa robe 
bleutée se voyait.
   Liliane(Eva) resta terrée dans son coin, recoquillé. Cette hôtesse 
d'accueil lui inspira peu de confiance, tout l'entourage parut hostile.
-     Mademoiselle Liliane, venez me rejoindre.
   L'onde du son de cette voix résonna aimablement dans le fourgon, rien
   ni fait, elle fut l'entête de la lettre qui indiqua les références de Liliane(Eva)
et demande aux convoyeurs,
-     C'est bien comme cela qu'elle s'appelle ?

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-      Oui madame la directrice, lissez la lettre complètement et vous verrez
        que le d'où elle vient ne fut pas gracieux.
  Ce fut le chauffeur du fourgon qui vint de prononcer cette phrase, son 
compagnon rajouta,
-      Comme elle est sourde et muette nous ne pouvons lui demander grand-
        chose.
  La directrice ouvra son dossier et lut ses coordonnées. Puis elle monta 
dans fourgon pour prendre place en face de Liliane(Eva). Elle tenta de 
lui donner sa main, le refus fut catégorique. La directrice bougea ses 
mains d'une certaine manière qui voulurent dire,
-    La maison d'où tu viens ne t'a pas arrangé, pauvre petite.
  En s'exprimant de cette sorte Liliane(Eva) réussi à comprendre ses 
gestes.
  La voix du dialogue fut ouverte ce qui entraîna une confiance naissante. 
Liliane(Eva) suivi la directrice de cette établissement. Elles parcoururent 
la cour pavée où une propreté fut maîtresse des lieux. Au-delà sur la 
droite 
montagnes. 
embellissait son 
augmentât l'ombre du 

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   Liliane(Eva) eut retrouvé cette ardeur d'être et la vie reprit son charme.
Bien entendu, cet endroit fur autre pour un nouveau point de départ. Elle
 mit en action un plans d'évasion, à la vue des champs de blés. Elle 
regarda le grand bâtiment se trouvant derrière elle, un ancien château 
plus que centenaire. Les hautes fenêtres laissent entrevoir des plafonds
 ornée de moulures doré. De nombreux objets sculptés décorent 
l'entourage. Tout y fut d'une remarquable beauté comme si l'on se 
trouva dans un conte de fée. Sa propreté réveilla la qualité de 
l'établissement
Les deux femmes s'approchèrent d'un homme jardinier courbé dans une
allé de fleurs. Celui-ci se releva à leur présence et dit,
-    Madame la directrice, les lys a longue tiges ont terminé leur floraison
     je suis en train de couper le dernier bouquet.
-    Ils furent d'une beauté remarquable cette année monsieur Charles.
-     Je place ce bouquet dans la salle à manger ?
-     Oui monsieur Charles, c'est une bonne chose. Je vous présente une
       nouvelle venu, elle nous arrive du centre psychiatrique, la 
       malheureuse 
  Le regard de Charles croise celui de Liliane(Eva) qui en fut bouleversé.
Les personnes masculin ne lui donnèrent peut de confiance. Pour elle ils

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ne représente que le mal. La main du jardinier leva le chapeau de paille
en guise de politesse. Même ce geste ne la fit sourire mais elle répondit 
par un hochement de la tête.
  Elles avancèrent vers le château, et montèrent plusieurs marches pour
aboutir devant la grande entée ouverte. Plusieurs personnes d'une 
politesse accueillantes, les croisèrent. Le respect et la gentillesse fut 
de rigueur car chaque personnes leur attribuaient des salutations 
respectueux. Elles pénétrèrent dans une immense salle entouré de 
portes et un large escalier centrale en bois de chêne et hêtre. Elles
continuèrent leur découverte en se dirigeant vers cet escalier qui les
mena à l'étage. Liliane(Eva) suit cette femme qui lui fit découvrir le
château comme une guide.
   Au bout de cette ascension, le pallié de l'étage permit d'enfoncer 
ses chaussures dans d'épais tapis de soie. Elle aboutirent dans un 
croisement de long couloirs, elle prirent ensuite la direction d'une 
porte comportant un numéraux ciselé dans un morceau de bois 
carré placé au-dessus du linteau. D'autres jeune femmes y 
séjournèrent dans cette immense pièce où 20 lits superposés s'y 
trouvaient. La curiosité les attira toutes vers la porte d'entrée. 
Liliane(Eva) en fut surprise de se devenir importante à leur yeux.

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Son accompagnatrice donna des signes compréhensibles par cette
attroupement. Liliane(Eva) observa les réactions de celles qui 
l'entourèrent et se rendit compte qu'elle se trouva entouré de 
personnes répondant aux critère qu'elle. Cette découverte lui 
redonna du courage, enfin elle put s'exprimer et dénoncer la faute
sur son nom, mais il faut patienter, la pleine confiance ne fut pas
pour ce jour.
    Elles sont nombreuses dans cette pièce et Liliane(Eva) eut du 
mal à repérer une attache sur qui elle put reposer sa confiance.
Cette masse silencieuse mérite un peu de temps pour les connaître
toutes.
    Sur un geste de la responsable de l'établissement, le groupe se
dispersa chacune dans une direction différente. Aucun personnel
d'encadrement n'entoura les occupantes, l'ordre, le respect et le 
savoir vivre  compta pour toutes. Liliane(Eva) put avec la 
directrice découvrir les détails de l'endroit où elle passera ses 
nuits. Le lit, qu'elle lui proposa, se trouvait en dessous d'un autre
sur la droite de l'entrée pas loin d'une grande fenêtre. Cette 
proposition ne trouva de refus de sa part. Liliane(Eva) eut a sa
disposition une armoire en bois, comportant deux portes,

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l'armoire permit de départager les lits.
    Une de ces portes lui fut attribuée, mais, elle n'eut rien à y 
placer. La responsable ouvrit l'autre porte pour que Liliane(Eva) 
puisse voir le rangement de sa voisine. Cette découverte la 
chagrine beaucoup, à la vue des beaux vêtements de qualité et 
bien rangé de sa voisine. Cette concentration d'observation 
multiplia ses intentions de retrouver Yves et le bien être du 
passé.Il n'y eut rien à critiquer pas même le parfum qu'eurent 
émis les vêtements dans cette armoire. La couleur des murs 
bleu ciel rappela la mer, tous la rassura. Elle jeta un coup œil
par une des vitres de cette grand fenêtre pour apercevoir une 
cour a l'arrière du château. Là aussi la propreté et l'ordre fut
remarquable. Dans ses découvertes, elle remarqua des vases 
remplit de bouquets de fleurs saisonnier. Une odeur de 
lavande embellit embellit son entourage. Tous fut merveille 
mais, dans les pensées de Liliane(Eva) être éloigné de son 
marie Yves la chagrinait.
   Pas bien dans ses pensées, elle trembla de peur qu'un 
éventuel acte de haine retomba sur elle.
  Sur la porte de son armoire et du lit un nom fut placé, Liliane.

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Autour d'elle 16 personnes furent présente, chacune porta des 
vêtements différents de qualité ainsi que leur coiffure parfaite.
Il y a des jeunes femmes d'âge différent mais qui variait entre
20 et trente ans. Chacune vint se présenter avec politesse en 
montrant sur un morceau de papier le nom, le prénom et leur
âge même que le temps qu'elles durent passé dans cette école.
Liliane(Eva) reçu un morceau de papier pour y marquer ses 
références. Cette demande lui posa du soucie, elle hésita de
marquer son vrais nom et prénom car au fond elle se sentit 
coupable d'avoir tiré sur les personnes sortant de la banque.
Elle eut peur qu'elle dut retourner a l'asile et marqua sur le 
papier, Liliane 26 ans.


manger. L'ensemble proposa par gestes à Liliane(Eva) qu'elle
les suivent. Elle descendirent dans cette vaste et belle salle 
où le soupé fut servie. Une bonne centaine de personnes s'y
sont attablé. Liliane(Eva) resta debout telle une spectatrice
sans savoir où se placer.
  Le repas fut sur le point d'être servie, Liliane(Eva) resta 
debout, comme délaissé. La jeune femme qui occupe la 

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même armoire qu'elle, remarqua sa position et vint la trouver.
Elle luit tentai la main pour qu'elle la suive à la table qui fut
réservé. Autour de cette table six personnes y prirent place.
Chaque femme se présenta par des mouvements de mains et de 
mimes que Liliane(Eva) déchiffra. Cette correspondance fit
partie du programme d'apprentissage qui mit en confiance les 
occupantes. Enfin, le monde du contacte et du dialogue 
l'ouvra pour Liliane(Eva). Sur le moment, elle ne voulu leur
donner le moindre détails car dans ses doutes, rester connu
sous un autre nom évitera une mal interprétation de sa 
présence et le plans d'évasion risquerait de flancher.
    La douleur de ses bras persista, elle n'arriva à couper le 
morceau de viande dans son assiette. Sa voisine remarqua 
sa faiblesse et lui proposa de la couper. Cette personne eut
tous les atouts pour que Liliane(Eva) lui accorda sa confiance.
    Le soupé terminé, la salle se vida rapidement. Liliane(Eva)
ne se laissa entraîner par cette foule et attendit que la salle 
fut vide. Puis, elle partit parcourir seule le château, sa curiosité
conjugua la mise en place d'une éventuelle évasion. Elle fut attiré
par une grande bais vitrée où elle put égarer son regard vers 

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l'extérieure, celui de la liberté. Elle poursuivait vers la sortie 
du château pour se promener dans une petite cour pavée où 
de magnifique rosier rouge vif la bordèrent. La régularité de 
leur hauteur signe la référence d'un jardinier parfait. Une 
fontaine se trouva au centre de cette courette, par son débit 
coula une source d'eau fine qui retomba dans un bassin à 
plusieurs niveaux. Son rayon de trois mètre donna l'exemple
qu'une parfaite harmonie. La comparaison avec l'établissement
d'où elle vint ne fut pas comparable. Des personnes se 
déplacèrent librement. A partir de là ses doutes de réussir 
ses intentions l'incitât de partir au plus vite avant que la 
réalité ne vint dans leur dossier.
  Par la droite, aucune possibilité car un ruisseau de 2 mètres
de large coupa la possibilité. Par la gauche, oui, mais il faut
trouver le moment idéal pour s'y engager. Un chemin conduit
à travers champs vers cette liberté tant recherché. De l'espoir
transforma son comportement, elle devint forte et motivé. La 
fascination de la verdure et d'autres couleurs du paysage 
augmentèrent se désir.
  Sur un banc de pierre, elle y égarât quelques minutes de 

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réflexions tout en gardant le regard figé vers la porte de son 
évasion qui la guidera vers Yves.
  Elle sursauta
Ce poids spontanée, lui eut donné une crainte qui la fit trembler.
Elle n'eut le courage de se retourner et laissa échapper ses ides
d'évasion. La personne qui vint de la touché se plaça devant 
elle. Son étonnement lui fit découvrir celle qui lui eut coupé la
viande dans son assiette au repas. Sa peur s'éclipsa et Liliane
(Eva) retrouva le réconfort quant cette jeune femme lui eut souri.
Une réaction analogue marqua le visage de Liliane(Eva).
   La méfiance est une réaction digne d'une personne déchu,
Liliane(Eva) le fut à plusieurs reprises, pour cette raison elle 
n'inspira confiance à qui que ce soit.
    La rancune signe l'égoïsme parfait d'une personne sans 
pardon, cette lacune ne trouva sa raison d'être chez Liliane(Eva)
qui n'abandonna pas cette possibilité de dialoguer et répondit 
par sourires et signes divers que cette jeune femme fut la bien
venu. Celle-ci sortit de sa poche un morceau de papier et un 
graillon , elle y marqua,
-    Je m'appelle Anne, je ne peux pas parler mais je capte tous 

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     les bruits et comprend toutes les paroles. J'ai 23 ans et je ne
     suis pas marié.
   Liliane(Eva) lut cette ligne, son cœur se rassura sans tarder, 
elle gribouilla une réponse,
-     Je ne suis pas Liliane, comme ils m'appellent, mon vrai 
      prénom est Eva. Toute cette parodie est dut a une erreur 
      d'admission du a l'interprétation de la police qui m'ont 
      incarner dans un hôpital psychiatrique car je ne sus
      m'exprimer. Par la suite je n'eus la possibilité de pouvoir
      m'exprimer car j'eus mes mains liée dans une camisole
      pendant plusieurs jours et autant de nuits. Mon entourage
      m'eut maltraité à plusieurs reprises et tout cela parce que 
      j'eus tenté d'accompagner mon mari a l'hôpital qui fut 
      agressé et blessé par une bande de malfaiteurs.
           Eva évita de dire qu'elle fit feux par deux fois sur les 
malfaiteurs en blessant grièvement deux personnes. Cette 
pensée la fit pleurer et préféra garder au fond d'elle-même 
ces détailles-là, qui sais, elle risqua de retourner dans l'asile.
Pouvoir enfin s'exprimer avec une personne soulagea ses 
pensées, ses soucis et qui sais, peut être cette personne-là

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pourrait lui venir en aide ?
  Anne lut attentivement les lignes d'Éva et éprouva l'injustice
de cette nouvelle venu comme une demande en aide.
-     Tu sais Eva, ton malheur me touche profondément, la 
       tristesse suit ma sagesse. Je suis prête à t'aider s'il le 
       faut, je possède une faculté que tu n'as pas, je parle pas 
       mais j'écouterais a t'a place. Je traduirais ce que les 
       autres parlent entre eux. Notre amitié nous donnera une
       force que seule une union parfaite peut concevoir.
( Quant une personne est atteinte d'une maladie ou d'une 
incapacité physique elle prête attention à d'autres qui ont 
plus d'invalidité, par tous les moyens elle tente de l'aider.
Pour une personne normale, très peut ont le courage de 
leur donner de l'importance en les aidant.)
  Voilà ce qu'Anne ressentit et ce qu'elle eut envie de partager
le malheur et bonheur à la fois. Elle vint de conclure un pacte
d'amitié qui circule sous forme de lignes de signes et de gestes.
Les deux jeunes femmes reprirent la direction de leur chambre.
Eva fit le signe de demander où se trouvèrent les douches. Anne
lui répondit en signes,
-    Avant que tu prennes une douche, il faut que tu changes tes

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     habilles pour cela on prend la direction de mon armoire tu
     choisiras ce que bon te semble, comme on a la même taille
     il n'y a pas de problème.
  Eva eut pris ce qui lui plus et les assaillait, pour cela elle dut
enlever ses vêtements et laissa apparaître une partie de ses 
blessures. Anne en fut choquée. Cette attention prouva que les
écrits correspondaient. L'injustice et les actes de barbaries sont
le fruit d'un désordre parfait envers les imparfaits. Les bras 
d'Éva eurent du mal pour se rhabiller, Anne l'aide puis 
 l'accompagna dans les douches pour qu'elle puisse se laver.
La robe violette, parsemé de brindilles dorées, qu'Éva eut 
choisies, lui alla merveilleusement. Elle ressembla de nouveau
à une femme coquette. 
  Anne lui proposa de faire une promenade dans un des parcs
du château. La coquetterie possède ses valeurs, le montrer 
charme les admiratrices et admirateurs. Eva ne refusa point, 
cela lui permit de visiter dans les détailles les failles pour son
évasion. Les deux amies circulèrent entre les allées de rosiers
et les chemins qui contournèrent les autres fleurs du jardin. La
roseraie dégagea autant de parfums que de sortes de rosiers.

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Pas de doute, la main d'un jardinier de renom eut plantée sa 
griffe. Eva se laissa attirer par ces senteurs qu'elle huma avec
bonheur. Les chemins sillonnèrent entre les haies pour aboutir
 devant une porte faite en lattes de toit qu'il suffit de pousser
pour  aboutir dans les champs de blés. 
   La chaleur de la journée s'échappa pour céder la place à la
fraîcheur du soir. Anne fit signe a Eva de la suivre sur un 
chemin en plein dans les champs pour découvrir la route 
départementale qui permettra de s'enfuir. Puis elle lui fit signe
que le soleil fut très bas et qu'ils durent rentrer. La nuit se 
présenta et la fatigue se ressentit chez Eva. Cette nuit fut la 
première depuis longtemps où elle peut dormir avec de 
l'espérance le ventre plein et un moral prêt à affronter le futur.
     Dans l'Hôpital d'Yves, les gardes occupèrent leur poste, l'un
dans sa chambre et l'autre devant la porte. Yves s'inquiétât de cette
présence, et surtout la raison ? Quelle peut être le facteur ce cette
garde à vue ? Il eut beau s'imaginer des raisons aucune ne lui 
donna une bonne réponse.
   Au petit matin,à peine eut'il avalé sa tasse de café et son morceau
de pain, le commissaire se trouva prêt de son lit. Il lui posa l a

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question suivante,
-     Votre femme  Eva a-t-elle des amies ou amis en ville ?
-     Non, ma femme Eva n'a pas d'amies ni amis dans cette ville.
-     Fait-elle partie d'une association ?
-      Oui, elle est inscrite dans la même société de tir au fusil que
        moi.
-       Vient elle souvent vous rentre visite dans la banque ?
-       Elle vient rarement dans la banque.
  Yves, surpris par ce questionnaire a répétition se demanda que
cache cette phrase ? Où se trouve sa femme Eva ? 
  Un moment de silence naquit dans cette pièce. Les deux personnes
réfléchir. Yves fut poussé à prononcer en premier une question,
-        Pourrez vous me dire où se trouve ma femme Eva ?
Le commissaire lui annonça,
-        Votre femme Eva fut victime des agresseurs, la mort eut raison
          d'elle.
Cette réponse transforma les réactions d'Yves, l'émotions provoqua
une forte douleur dans son cœur. Des larmes humidifièrent son visage
et ses yeux reflétèrent la lumière de cette vie injuste et cruelle. Des 
doutes persévèrent il demanda,

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-        Vos me dite commissaire qu'elle est morte, moi, je ne le crois
          pas.
Dans les pensées du commissaire il n'y eut pas de surnaturelle, la 
morte est bien là.
-        Monsieur Yves, vous sentez vous capable de supporter de voir
          le corps de votre femme Eva ?
Cette question bouleversa Yves, qui n'arriva pas à réaliser ce que vint
de dire le commissaire. Sur le coup, il hésitât mais, sa certitude que le
commissaire eut dort fut au-dessus de sa douleur. L'importance de 
revoir Eva fut important même si elle fut la victime.
-        Mes souvenirs me rappelle bien qu'elle ne fut présente le jour du
          braquage de la banque.
-         Je veux bien vous croire, alors si le corps a la morgue n'est pas 
           celui de votre femme, elle portera la responsabilité de beaucoup
           d'autres suppositions. En premier, elle eut emporté le précieux
           livre que la ville fui eut confié ainsi que la disparition de vos biens
           monsieur Yves.
-          Ces présomptions en forme d'accusations, ne sont que des
            suppositions, tous ce que vous venez de me dire ne sont que des
            illusions.

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-           Je peux vous affirmer monsieur Yves que votre appartement est 
            vide et qu'il ne reste plus d'objets aillant de la valeur. Votre 
            femme eut mimé un cambriolage pour effacer la disparition de
            plusieurs ouvrages de valeurs.
-           Cette accusation me fend le cœur, elle est une femme honnête. et
             je la défend. Elle ne parle pas, n'entend pas comment aurait'elle
             manigancé une mise en scène de la sorte et de cette ampleur 
             monsieur le commissaire ?
-            Il se peut qu'un meneur eut programmé toute cette mise en scène.
Yves garda la défense de sa femme Eva, toute accusation provoqué par 
le commissaire fut détournée. A partir de cet instant-là, une haine naquit
envers cette accusateur. Ce qu'il dit sont des leurres destinés pour que 
l'accusé perde le nord et se laisse intimidé pour le conduire à l'erreur.
On dit que prêcher le faux permet de récolter la vérité. Une lumière 
éclaira les pensées d'Yves, voilà la raison de la présence du service 
d'ordre, car ils le soupçonnent lui et Eva comme activiste dans cette 
histoire. La méfiance accumulé reflua chaque question posées qui ne
sont que des accusations injuste.
-         Monsieur la commissaire, je suis apte pour vous suivre, je veux
           avoir la certitude qu'Éva n'est pas morte.
-          Comme vous le voulez, je vous accompagne à la morgue pour 
           que vous l'identifier.


A suivre au 6/8 96


Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
Le roman est en cour de construction des changements peuvent suivre.
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A ce jour, 30 07 2020, 9 595 lecteurs.
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