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5 octobre 2023

suite roman d’aventure( coïncidence 3/8 )

mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2
suite roman d'aventure Coïncidence 3/8

n 48




















cette malade a quelques choses de particulier, je n'eus jamais rencontré
une réaction pareille parmi tous les malades que j'eus depuis
dix années de pratique dans ce métier. Ce cas est particulier, certainement
que le choque l'eut profondément bouleversé, reste a savoir quel facteur 
la placé dans cette attitude là ?
   la médecin se déplace vers la porte pour arracher le carton sur lequel
fut inscrit les coordonnés de cette patiente où une partie fut souligné en 
rouge. Elle relie certain passage.
-    Élément très dangereux sens méfier elle risque de tous 
chambouler. N'accepte aucune soupe ni repas quelconque.
  Étrange cette histoire, je n'arrive pas à imaginer qu'une aussi jolie
fille sois agressive. Cette jeune femme ne veut répondre sur aucune 
question. Ce fur la faiblesse qu'elle eut acquise suite aux nombreuses 
piqûres qui lurent rendu docile ? Ou alors un choque quelconque la 
maintenait muette ? Ou même sourde ? 

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  Elle eut pris la malade pars sa taille pour la guider vers la table et sur 
la chaise que la médecin eut demander de rentrer. Liliane(Eva) observa les
 moindres mouvement que fit la médecin en face d'elle. Elle aurait voulu se 
confier a elle mais ses bras et mains furent emmitouflé dans la camisole. 
Liliane (Eva) accepta le repas que lui donna la médecin.
    Avec l'incapacité de pouvoir se laver, une odeur de fauve entourait 
Liliane(Eva). La médecin conclura de lui donner un bain, elle donna l'ordre 
aux bonne sœurs de le lui préparer. 
             Une victoire éprouva les pensées du médecin qui enfin réussissait a 
sympathiser avec cette malade. Il restât de découvrir comment dialoguer, elle 
tenta de bouger la tête sois dans un sens ou dans l'autre; puis elle bougea 
ses lèvres en parlant. Cette attention révéla effectivement Liliane(Eva) 
fut muette et sourde. 
         La médecin, se souvient quelle fit un stage dans une maison spécialisé
pour sourde et muette. Elle lui fit quelques signes de sa connaissance. 
Liliane(Eva) répondit par des hochements de tête. La médecin mentionna cette
remarque sur le dossier de Liliane(Eva). Ce premier vrai repas fut pour elle 
une source de renaissance. Par la suite, les bonnes soeur la lavèrent temps 
bien que mal, car Liliane(Eva) n'eut le droit d'enlever sa camisole qu'elle dut 
garder par ordre de la supérieur.

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       Le service pris fin et la nuit demanda qu'un repos mérité puisse redonner 
vie a une nouvelle journée. Ma pour Liliane(Eva) cette nouvelle nuit la rendit 
nerveuse et anxieuse.
        le lendemain matin, un samedi, la banque fut fermé comme d'habitude. 
les journaux dérivèrent la suite des événements du braquage. Ils précisèrent 
qu'une confusion fut commises car les armes des gangsters ne furent que de 
vulgaires pistolets d'alarme. Quant à la personne morte, trouvé sur un banc, ne 
fut pas le policier pris en otage mais belle et bien un des agresseurs qui ont 
commit le braquage de la banque. Le calibre des deux victimes mortes par 
balles provint du même fusil resté introuvable dans la voiture R16TS rouge 
calcinée de l'otage. Le malheur eut voulu que les gendarmes et la police 
formant le barrage eurent ouvert le feu sur les occupants du véhicule. Quant
a la somme dérobé, elle est introuvable. A la fin de la rubrique, fut mentionne
 la disparition du précieux livre de collection du musée dans un cambriolage
fait dans le même quartier que la banque, la valeur évalué a plus de 500 000 
francs est assuré . Cette assurance accorde  a la personne qui les aide a 
retrouver le livreur une importante prime.
      le responsable de la banque rendu visite à Yves dans l'espoir de le trouvé
réveillé. Comme d'habitude, il fut sous surveillance. Un policier pas bien 
aimable le surveilla. Sur le moment, monsieur Pierre ne sut que dire, puis il

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enchaîna-,
-      Bonjour monsieur, je suis le directeur de la banque où eut lieu le drame.
-      Quel drame, je n'en connais pas ?
-      Mais, là où eut lieu le braquage de la Banque.
-      Et alors , que désirez vous ?
-       J'aimerai connaître l'état de santé de mon employé ?
-       je n'ai aucun droit de vous dire quoi que ce soit, ni de vous laissez entrer.
    Monsieur Pierre fut déçu de la visite, il persista dans son questionnaire et 
redemanda,
-       Comment se porte la victime couché là monsieur donne telle des signes
         de vie ?
-        Elle dort monsieur.
   Pas possible d'obtenir une réponse. Monsieur Pierre quitta l'endroit pour
se diriger vers la sortie avec comme espoir de rencontrer une infirmière bien
plus raisonnable que le gardien. Quelle chance, une autre personne vint a sa 
rencontre. L'étonnement le laissa songeur car il lui posa,
-       Comment va le patient monsieur Pierre, est il réveillé ?
-       Non monsieur le commissaire et votre chien de garde ne donné aucune 
         indication, félicitation il respecte les consignes.
-        Ce sont les ordres qu'il suit sens plus.

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-         Je pense vous importuner, de ce pas je vous quitte.
-        Mais non, monsieur Pierre on peut continuer de parler devant le 
          malade cela lui ferait le plus grand bien d'entendre des voix.
 -        Bon, je vous suis.
  Voilà nos deux visiteurs devant l'entrée de la pièce où Yves fut branché sur 
de nombreux appareille. Le commissaire jeta un coup de regard sur la partie
vitré de la porte. Puis il s'éloigna et dit d'un air sans orgueil.
-         Comme cela mon collègue mérite une médaille, approchez vous
          a peu plus prêt de la vitre et regardez?
  Monsieur Pierre ne se laissa pas prier et observa un court instant, puis
laissa échapper un sourire s'échapper.
-        Je ne me suis trompé sur les données précédemment exprimé mais je
         peux vous dire que seuls les symptômes de la fatigue provoquent cette
         réaction-là. Rien faire est plus fatiguant que produire un mouvement.
-        Et un réveille brusque sa provoque quoi ?
 Sur ces mots le commissaire ouvrit la porte brusquement pour effrayer le
gardien endormi sur un siège. Cette action eut effectivement les réactions
évoqués. Au fond de monsieur Pierre, une petite victoire fit surgir un sourire
sur son visage. Le commissaire rejoue,
-       Attendez nous a l'extérieur, merci.

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  Le gardien ne se fit pas prier et sortit sans tarder la tête bien basse. La 
porte se referma ils ne sont plus que trois.
-       De toute façon il faut que je vous éclaire certaines hypothèses sur le 
        déroulement du braquage de votre banque. Il me manque un 
       éclaircissement sur certain passage. J'eus retenu toutes vos données
       mais je conclu que l'ombre de la réalité ne laisse de trace sombre.
  Le commissaire poussa la seul chaise dans la pièce.
-       Prenez place monsieur Pierre, mon discourt n'est pas terminé. Je 
        préfère rester debout pour en parler, être assis ne sont pas mes 
        habitudes. Il me reste à trouver l'identité de la jeune femme morte
        l'otage. Cette jeune n'eut pas de nom et je pense d'après mon 
        raisonnement qu'elle est la femme de notre blessé ,Yves.
Il le montre du doigt comme pour le désigner vulgairement.
-        Mais si ce ne fut le cas, alors là, la disparition de sa femme Eva, je
          crois, fut une mise en scène de toute sa famille.
De nouveau il le désigna du doigt, puis il monte le ton. Monsieur Pierre
le regarda sans répondre, la bouche grande ouverte.
-      Seriez vous capable monsieur Pierre de reconnaître la femme de 
        monsieur Yves ? Cela me permettra de poursuivre mon enquête sur
         une toute autre perspective.

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-   Vous savez monsieur le commissaire, je n'eus l'occasion de la voire 
     qu'une seul fois et là de fut le jour de notre présentation. Je pourrais 
      me tromper.
Yves se samedi là restât pongé dans son monde de comma. 

       Le commissaire entraîna monsieur Pierre vers l'endroit le plus 

lugubre que la ville a dans son hôpital, la morgue. Sur leur parcours
aucune parole ne fut prononcée, toutes les bouches restèrent
bouclée. Arrivé devant la grande porte en bois, donnant axait à la 
chambre mortuaire, monsieur Pierre eut un pressentiment de peur. 
Ce fut lui qui dut juger une morte pour lui donner un nom. 
      Devant la porte d'entrée, une poignet actionna une cloche relié 
par une cordelette. Le raisonnement permis de signaler une présence.
Le judas de la porte de bois se leva pour laisser entrevoir, derrière
les barreau, un visage serein. Puis, suivi un déclic qui manipula le
verrou de cette grande porte. Devant eux, le responsable des lieux 
avec comme fond, un un long couloir. IL leur dit,
-      Bonjour monsieur le commissaire, vous me rendez visite ?
-       Si l'on veut, mais c'est pour l'inconnu que je suis là.
-      Enfin, j'eus peur que je devrais la garder pour l'éternité en 
        plus il manque de la place.

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    Les trois personnes avancèrent dans ce grand couloir lugubre 
où y régnait un froid glacial qu'une odeur de formol parfuma. Ce
changement de température hérissa les poiles de la peau des 
visiteurs. Les trois personnes longèrent le couloir de tiroir, puis
s'arrêtèrent devant un écriteau sur lequel fut marqué, l''inconnu.
-      Avez vous trouvé une personne proche qui la reconnaît 
       monsieur le commissaire ?
-     Je ne le sais pas, on doit la voir pour s'en assurer.
-     Il est temps qu'elle trouve un nom, l'autopsie est terminé et la
      place est recherché en se moment. Dans ma pétition pour   
      l'agrandissement des lieux je vous demandera votre signature.
      Le commissaire fit un signe de la main droite pour que ce 
personnage atténue ses revendications. Le responsable des lieux
tira sur le troisième tiroir où fut marqué inconnu. Une  civière sur
 roulette fit apparaître la forme d'un corps recouvert d'un drap 
blanc. Pierre ressentit un bouleversement quant le commissaire 
découvrit le linceul. Le visage de l'inconnu se découvrit. La 
blancheur mat de cette victime n'eut de ressemblance avec la 
femme d'Yves malgré que la longueur et la couleur des cheveux
fut identique. Pour plus de certitude, monsieur Pierre se rapprocha

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 d'elle, la regarda un cour instant puis se retourna vers le 
commissaire,
-      Monsieur le commissaire, je peux me tromper et je suis dans
       une impasse de dire que se corps fut celui d'Éva la femme 
       d'Yves, pourtant je ne l'ai vu qu'une seul fois le jour de la 
       présentation de monsieur Yves. Je confirme, se n'est pas Eva.
-      Monsieur Pierre, avez vous vu cette personne quelque part ?
-     Pas que je sache, pourtant elle me parait connu avec ses 
       cheveux blond mais de là a l'identifier ?



















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      A l'autre bout de la ville , entre de haut mus de pierre taillée

que les intempéries ont grisé, de l'hôpital spécialisé, une jeune 
femme reprit de l'espoir, ce fut Liliane(Eva). Sa propreté ne fut plus
négligé et sa volonté de manger reprenais. ce ne fut pas ses mains
qui l'ont lavé mais une autre personne car elle dut encore garder
sa camisole. Sur visage eut maigris a tel point, quelle paru plus
âgé. Dans sa volonté de réussie il y a celui de son prince charment
qu'elle doit retrouver goutte que goutte. 
     l'heure de repas de midi sonna, la femme médecin continua de 
prendre en charge Liliane(Eva). Elle s'occupa pour lui apporter
son repas dans sa chambre capitonné. En rentrant, elle l'aperçu 
recoquillée sur elle même blottie dans un endroit. Le fait de revoir
cette femme médecin, amplifia son courage elle en pleura de joie.
La femme médecin lui dit en articulant ses lèvres et ses mains,
-     Je m'appelle Lucie, ne pleur pas je suis sur le point de résoudre
       cette faute. Je n'ai pas asse de pouvoir pour prendre la décision
       de te libérer mais fait moi confiance. A la réunion du service 
        médical j'eus exposé ton cas , mais plusieurs avise sont contre
        moi car je ne suis qu'une stagiaire. Fait moi confiance je dois 
       suivre les consignes mais je ne lâcherais pas.

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Lucie sait que Liliane(Eva) n'entend et ne parle pas mais le fait de 
lui expliquer dans son langage a elle la soulagea. Anne parla pour
elle même,
-     Il faut que je parvienne à la faire sortie de cette pièce et lui 
       redonner la liberté de ses bras.
     Lucie rechercha la table et la chaise dans le couloir et rencontra 
le chef médecin de cette psychiatrie et lui dit,
-     Quel bon vent vous amène Lucie, y a t'il des problèmes ?
-      Non chef, mais j'ai à vous parler de cette personne Liliane(Eva)
        quelque chose n'intrique,
-       est telle agressif ? 
-       Pas du tout, au contraire, elle ne mérite pas cette camisole n'y 
        cette pièce capitonné.
-       Nous avant suivi les remarques que la police ont mentionné dans leur
        rapport sur le comportement agressif de Liliane(Eva)
-       D'après moi il y a une faute quelque part, personne n'a 
        dit qu'elle fut muette et peut être même sourde.
-        Attention Lucie, tu as bien lu le rapport que vient de rédiger ta 
        collègue de travail le jour de son admission ?
-        Bien sur, mais il manques des précisions, il ne mensonge  pas

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          que cette personne est sourde et muette.
-         J'aimerai la voir cette patiente et surtout quand elle mange pour
           que je me rende compte de tes remarques que tu as faite a la réunion
           ce matin.
-          Merci chef, je suis certaine de ma position.
  Ils rentrèrent la table et la chaise dans cette pièce capitonné, puis Lucie
donna a manger a Liliane(Eva). Le chef médecin observa le comportement 
et dit,
-         Qui, elle peut sortir de cette pièce mais, je ne suis pas certain qu'en
           lui enlevant la camisole elle ne risque pas de refaire une grise.
-          Je ne suis pas satisfaite de ce jugement mais, un premier pas est
           fait, je vous remercie chef.
-          Même comme chef du service médical je ne peux décider de 
           m'engager dans une décision personnel, il me faut l’avis des
           autres médecins. Je te fais confiance et appuis tes remarques.
   Lucie retrouve Liliane(Eva) pour lui faire comprendre les décisions
du chef de service et prirent la direction du couloir. Une petite étincelle
de victoire illumina l’espérance des jeune femmes. Liliane eut du mal a 
se déplacer dans ce couloir qui lui paru immense. Elle fixa les yeux de
Lucie puis sa tête se dirigea vers la pièce capitonné. Dans le brillant de ses

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yeux, une joie emballa son battement de cœur. Ce qui vint d'arriver ne peut
être une réalité, son imagination pense rêver, mais non, une main la guida
dans le couloir. Liliane(Eva) fut éblouie par la clartés naturelle de la 
lumière du jour que laissèrent passer les fenêtres sur sa gauche. L'uniformité 
du carrelage blanc craie se retrouva sur les murs et même le plafond, elle 
permit que cette clarté extérieur s'y répercute. Leur promenade les entraîna
devant l'entrée d'une grande pièce dans laquelle plusieurs femmes sont 
regroupé autour d'une table.
-    Mademoiselle Liliane(Eva) nous somme arrivé.
Des femmes se rapprochèrent l'une d'elle s'écrit,
-     C'est une nouvelle venu Lucie ?
-      Oui les filles elle est gentille comme tout.
-      Dans ce cas elle est la bien venu.
-      Dis nous Lucie, pour quelle raison porte elle une camisole ?
-      C'est une erreur, je suis en train de résoudre ce problème. Demain elle
        n'en aura plus.
-       Mais c'est quand demain Lucie ?
-        Bientôt.
   Liliane(Eva) observa son entourage et remarqua que la pièce comporte 
quatre lits. Ce sont trois femmes de différant âges qui l'eurent accepté. 

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Liliane(Eva) se sentit rassuré, mais handicape pour utiliser ses mains 
restât. Elle s'imagina que la victoire sera a porté de ses mains d'ici peu.
Qui sait, peut être que ces femmes pourraient lui venir en aide ? Elles 
ont certainement remarqué qu'une erreur fut responsable de son 
accoutrement. Liliane aimerai écrire le malentendu et surtout son vrais
 nom et toute l'histoire qui l'a emmené ici. Hélas, la nostalgie de se sentir
abandonné reprit place dans ses sentiments, mais que faire sinon accepter
 le sort qu'ont lui impose. Bien sur, elle eut tiré sur deux personnes en les 
blessant gravement elle est consciente de son acte.
   Les femmes de cette pièce viennent prêt d'elle. L'une d'elle lui demanda,
-      C'est vrai que tu l'appelles Liliane ?
-      Elle ne parle pas Myriam.
-      Pourquoi elle ne parle pas Lucie ?
-      Parce qu'elle na sais pas parler ni entendre.
-      Elle ne peut pas parler Lucie ?
-      Liliane(Eva) voudrait bien mais un malheur de naissance l'eut privé 
        de cette faculté.
-      Mais comment s'exprime t elle alors Lucie ?
-       Ça je ne sais pas ou peut être pas du tout, mais elle essai de regarder
        sur nos lèvres et nos gestes pour tenter de nous comprendre.

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  La curiosité de Myriam n'a de limite, quand elle veut savoir quelque chose
elle insiste jusqu'à obtention. Myriam lui caressa alors les cheveux et 
reprend son langage d'enfant.
-       Dommage que tu ne veux pas me parler, on aurait fait des jeux 
         ensemble.
-       Laisses la tranquille Myriam, il lui faut du repos.
 -      Mais je ne veux pas l'embêter, je veux juste parler avec elle.
  Myriam fut sur le point de griser, Lucie remarqua ces réactions nerveuses.
Lucie lui dit gentiment, 
-        Vas faire une petite sieste Myriam car si tu embêté Liliane(Eva) elle
          ne sera pas ta copine et je serais obliger de la placer dans une autre
          chambre.
  Myriam a environ 35 ans, ses réactions d'enfant peuvent se transformer en
des actes dangereux. Sa corpulence eut une différence du double de celui de
Liliane(Eva). Elle s'habille comme une fillette et consomme tous ce qu'elle 
trouve dans la salle a manger et même dans les placards de ses collègues.
Quant elle a ses moments de grises, son langage se transforme. Myriam se
rapprocha de Liliane(Eva) et lui dit,
-         Pauvre enfant, toi, toi, attaché eux sont méchants.
  En regardant les yeux brin brillant de mille éclaires, de cette femme qui

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tenta de dialoguer, Liliane(Eva) ressentit une vibration réconfortante. Cela
la soulagea, la seul réponse qu'elle put donner fut de verser des larmes.
-        Pour quelle raison pleure le petit enfant ?
  Ce fut l'attention que porta une personne déclassé de la société instruite.
Myriam ressentit l'injustice d'une autre manière que la notre en le 
partageant par intuitions.
    Liliane(Eva) fut accompagné vers son lit. Les deux autres compagnes la
suivirent. Leurs curiosités activaient des réactions bizarre. Liliane(Eva) les
 suivi du regard . L'une d'elle eut une démarche dépareillé une autre un 
comportement incontrôlable. Elle répétât sans arrêt,
-        Pauvre petite fille.
   Elle dut avoir le même âge que moi, s'imagina Liliane(Eva). Entouré de 
ces trois âmes la solitude auparavant ne l'incomba plus mais un autre
voile fragilise ses ambitions. L'incertitude du lendemain fut placée sur ces 
locataires qui l'entourèrent par obligation. Cette attention lui donna la 
note de compréhension de ces femmes là, aucune ne pourra lui venir en 
aide toutes ont des lacunes.
    Elle se rapprochèrent de son lit, si prêt que leur visage frôle celui de 
Liliane(Eva).
-        Elle est belle la nouvelle venu.
-        Oui elle n'est pas maquillé.
  La première qui eut parlé a la figure mal proportionné, ses cheveux 
irrégulièrement coupé, sa robe à moitié déchiré et les lèvres tremblèrent
quand elle voulut parler. Il reste la troisième celle qui répétât sens arrêt
 des mouvements de ses lèvres qui dirent,
-        Pauvre petite fille.


suite au 64   4/8 


JJM
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
A ce jour, 04 04 2019, 8 566 lecteurs.
A ce jour, 18 09 2019, 8 880 lecteurs.
A ce jour, 29 10 2019, 9 031 lecteurs.
A ce jour, 12 10 2020, 9 667 lecteurs.
A ce jour, 05 10 2023, 17 660 lecteurs.















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