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28 novembre 2024

Coïncidence 6/8 ( roman d'aventure )

mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2

SUITE coïncidence

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   Pour le commissaire Yves n'est qu'un suspect, rien de plus. 
Durant le voyage, personne ne souffla un mot dans la 404 
Peugeot blanche de l'inspecteur. Tout parait étrange et des 
suppositions de doutes, plane dans l'habitacle. Il n'y a pas
de musique a bord, seul le ronronnement du moteur reste 
maitre du véhicule .  

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    La Peugeot 404 stationne devant cet endroit lugubre et sinistre 
de la morgue de la ville. Le véhicule se trouve sous l'ombre du 
feuillage des branches d'arbres centenaire. Les oiseaux sifflèrent 
sans repris comme ci c'est une journée normal. 
   Yves sort de la voiture avec peine , ses chaussures touchent le 
sol . Il a l'impression de s'enfoncer sur un sol incertain. A mis 
chemin, une faiblesse envahis le corps et le plonge dans une  
onde de déséquilibre . Yves a de la peine a garder son équilibre.
    Enfin, les deux hommes se trouvent devant la grande porte en 
chêne foncé, ou une poignez en bronze permet d'annoncer qu'une
visite vient  d'arriver. Par une petite lucarne , entre deux barreaux
un timide visage apparait. Une timide voix dit,
-      Bonjour monsieur le commissaire, je vous ouvre 
       la porte ?

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   Le responsable de ces lieux parle lentement et silencieusement.  
De ce lucarne de cette grande porte, sort un fraicheur et une 
odeur inconnue. A ce moment là, une nausée profonde envahis
la réaction d'Yves. Le commissaire lui tapote le dos,
- Ca vas monsieur Yves ? 
-  Oui monsieur le commissaire.
   La grande porte de chêne grince en s'ouvrant.
-  Venez messieurs, suivez moi.
Ils pénétraient dans ce long couloir et se dirigèrent vers le fond. 
-       C'est bien pour cette affaire de jeune femme sans nom ?
          
 -       Oui, la jeune femme nom identifié du braquage de banque.
-       Il est temps qu'elle porte un nom, les places se fond rare par 
         cette chaleur .
    En entendant l'interprétation de leur langage, Yves ne réalise
 pas de ce qui se passe et est persuadé que le corps qui lui sera 
présenté n'est pas sa femme Eva. Puis, d'un coup, il se ressaisi et 
pense une autre supposition. 
-     Mais, c'est bien de ma femme Eva qu'ils parlèrent en plus 
       ils disent qu'elle a braqué une banque ?
       

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   Une  nausée le transforme,  il s'effondre sur lui-même.
-      Vite Charles aide moi pour le relever,
-       On me les apporte vivant maintenant monsieur le 
         commissaire ?
-       Il vient de sortir de l'hôpital, il est là pour 
        reconnaître sa femme.
   Dans le couloir de nombreux bancs occupèrent le 
centre . Ils placent Yves sur l'un deux.
     Quelques minutes plus tard,  
-       Monsieur Yves, vous sentez vous apte pour 
         affronter la suite ?
-        Oui, je crois que j'eus retrouvé mes forces.
-        Dans ce cas, suivez moi.
   La cloche de l'entrée retenti, elle résonna en 
traversant le couloir.
-        Ce bruis-là réveillerait un mort.
    Soupira Charles le responsable de la gestion des 
victimes.

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-        Je vais ouvrir la porte d'entrée.
    Le corps couverts d'un drap blanc a été ramené sur une 
civière , il n'a pas plus que la grandeur d'un enfant de 12 
12 ans. Ses cheveux roue dépasse du draps.
-        Vous voyez monsieur le commissaire, je n'arrête 
         pas d'en enregistrer ? 
   Yves regarde passer cette jeune victime, qu'elle réaction 
vat avoir sa mère ? 
    Yves voie un homme qui soutient cette maman . Ce 
malheur redouble la force d'Yves, il se sent prêt a affronter 
le pire, et dit,
-        Monsieur le commissaire, je suis prêt pour 
          reconnaître la victime
-        Bien monsieur Yves, on attendra que monsieur 
         Charles revient.
Au bout de quelques minutes notre serviteur Charles 

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continue ses obligations.
-         Encore un crime de la circulation, cela n'arrête 
          pas de nos jours.
-        Charles, peut-on voir la victime, l'inconnu donc 
          je t'ai parlé ?
-        Bien sur monsieur le commissaire, suivez-moi.
Yves et son encadrement prirent la direction d'une 
salle placé en face . Le cou d'Yves est placé. Un fluide 
d'émotion traverse  ses pensées.
   La porte de la pièce s'ouvre, Yves souhaita que sa 
femme ne se trouve pas la , comme pour prier Dieu
qu'il fait un miracle.  Yves regarde ce corp allongé 
sur une civière. Où Eva peur elle  se trouver ?
   Devant lui, de nombreuses portières métalliques 
numérotées sont repartie par étage . Son cœur 
bât vite . Une autre portes métallique grince en
s'ouvrant, et une civière arrive. Un linceul blanc
recouvre un corps.

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-      Monsieur le commissaire voici la victime.
Il la place au centre de la pièce.
-       C'est bien le numéro six Charles, pas que tu 
        m'apportes une autre ? 
-  Ne vous en faite pas monsieur le commissaire je
   reconnais mes mortes  . 
      Yves ne souffla le moindre mot, il avala sa salive 
plus d'une fois . La civière se rapproche et, la forme 
du corps de la femme, laisse dépasser des touffes de 
cheveux . Les réactions d'Yves se transformèrent et
est persuadé que,
-       Monsieur le commissaire je reconnais cette 
         femme, ce fut l'otage, 
Un soulagement le laissa méfient car il se dit,
-       Et si ce fut le mauvais tiroir ?
Le commissaire lui dit d'un air accusateur.
-       Donc votre femme Eva a disparu avec le livre 
         précieux et le restant de vos biens ? 

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     Cette une accusation, qui ne plait a Yves. Par contre
pour Eva ca le rassurer, elle est vivante. Toutes les 
accusations passé sur elle ne coupera  pas leur amour
qui se conjugue avec une sincérité indéformable. 
     Ils sortirent de cette endroit lugubre avec sur les 
bras un autre mystère. Vers où le commissaire peut il se 
diriger pour retrouver Eva et la famille de cette victime ?
 Yves se manifesta avec ardeur pour dire,
-      Monsieur le commissaire, vos accusations sur 
        ma femme sont impossible, En plus l'on accuse
        une personne absente ?
-       Monsieur Yves je tiens a vous dire que vous aussi
         vous restez comme un suspect comme votre femme
         Eva. Si mes suppositions ne sont pas à votre gout, 
         sur votre femme. Donnez moi des preuves ? 
-        Mais quelle preuve au juste, je me trouvais dans
         le comma durant le braquage ? 
-       Prouvez-moi que votre femme ne fut de mèche 

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         avec cette affaire-là.
    Les pensées d'Yves se bousculent et sont trouble .  
    De retour dans sa chambre d'hôpital, Yves a 
l'impression  de se trouver dans véritable prison . 
Il est comme un condamné. Seul l'amour envers sa
bien aimé le guidera inlassablement.

















     La sympathie entre Anna et Eva attire les autres 
occupantes de la chambre. Un attroupement se fait. 
La présence de cette nouvelle venue , dans le château 
et son aventure, devient un facteur d'échange de 
gestes et de mines. 
La journée se termine et chacune fait des signes de ,
- bonne nuit  

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    Au petit déjeuner, Liliane(Eva) retrouve sa voisine et 
les autres copines autour de la table . Toutes les patientes
ont contribuer a préparer ce qu'elles aurons besoin pour 
la fuite. Le petit déjeuné fut copieux et consommé, elles 
sortir pour inspecter les alentours. 
Une radieuse journée les attendent. La rosée du matin  
provoqué par cette humidité sur les pétales de rosiers
les valorisait plus que tout. Une bonne odeur de fleurs les 
embaument.  
 
    Dans l'hôpital où se trouve Yves, le commissaire fut 
matinal.
- Me  rapporterait il une surprise ?
 S'imagine Yves.  
Le commissaire ne manque d'audaces pour le questionner.
-      Monsieur Yves, plusieurs explications reste insondable, 
    où peut se trouver votre femme Eva ?  Je pensais d'abord
    que ce fut elle la victime non identifier. Vous ne l'avez 

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      reconnue comme l'oncle d’Éva que j'avais emmené. 
     Je suis persuadé que vous la retrouverez sous un 
     autre nom dans un pays bercé par le soleil pour le 
     restant de vos jours avec l'argent de la vente du livre.
    Le commissaire exprime ses doutes par une forme de 
jalousie sur ce bien injustement acquit. La gorge du 
commissaire est asséché, il but dans un verre une gorgé 
d'eau. Yves l'observe en tentent de trouver une réponse  
pour  le commissaire.
-       Monsieur le commissaire comment pouvez vous 
         nous accuser de la sorte, vos propos ne sont que des
         stupidités, pour moi vos suppositions n'on aucun
          sens pour des faits non justifiable. Vous n'avez pas
          le droit de ,
-        Monsieur Yves, comment se fait il que deux 
         personnes furent blessé avec une arme de petit calibre
         correspondant à une arme de précision et 
         certainement de compétition ?

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-        J'ai deux armes de compétition, des fusils, qui 
          sont accroché au mur avec les coupes qu'on 
          l'ont a gagner Eva et moi. 
-         Le mur est vide, tous a disparu, il ne reste plus 
           que le râtelier.
-         Mais, ce n'est pas possible ?
-         Aussi possible que la disparition de votre femme.
-         Je ne peux croire vos suppositions, c'est 
           inadmissible.
-          Monsieur Yves, une douille vide fut trouvé dans 
            les buissons sous votre immeuble. Je pense que
            votre femme eut tiré sur la jeune femme pris en 
            otage en premier, puis elle a suivi les agresseurs 
            dans une R16TS rouge dans laquelle un autre 
            otage fut contraint de les suivre. L'un des 
            complices, grièvement blessé  abandonné sur un 
            banc .
             

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   Yves ne crut une seule accusation. Le commissaire
rajoute,
 -       Dans la voiture volé, aucune trace d'argent ni de
         de fusils ainsi que, 
   Le ton durci, la voix du commissaire aussi, il mit son 
autorité en action,
-         Vous n'avez pas de photos d'elle ?
-         Je ne possède pas de photo d'elle,  normalement 
          on dut recevoir les photos de mariage d'ici peu.
-         Donnez moi l'adresse d'où vous avez fait votre 
           album pour que je puisse les chercher.
  Yves n'arrive pas à imaginer qu'une telle accusation 
puis être une réalité.    
    Dans la matinée Yves reçu la visite de sa collègue de 
travail, Sophie. 
-       Bonjour Yves, comment vas-tu ?

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-       Je ne peux pas dire que je me porte bien, avec 
         tous ce que le commissaire me met sur le dos ?
Sophie,
-        Pour quelle raison te veut-il du mal, je ne 
          comprends pas bien ses accusations ? Tu as
          assez souffert jusqu'à présent ?
Yves
-        L'humanité est cruelle Sophie, surtout lorsqu'on 
         accuse des innocents er que l'on se base sur des .
         suppositions perverses.
Sophie,
-         Dit moi Yves, de quel acte peut-il prouver que 
          cela vient de vous deux ? ou sa stratégie serait
          de prêcher le faux pour connaître la vérité ?
Yves
-         Justement le fait que l'on ne retrouve plus de 
           trace d’Éva est selon le commissaire un signe
           de participation a l'agression ? 
Sophie,  
-         N'ont ils pas fait de recherche à son sujet, ils 
          en ont certainement fait sur celle qui fut prise 
          en otage ?
Yves,
-  Je suis passé a la morgue pour reconnaitre la victime
     avec le commissaire et ce n'est pas Eva. par la suite
     j'ai appris que notre appartement fut pillé et vidé de 
    tout objet de valeur.
Sophie ,
-         Yves connaissais tu cette personne prise en otage ?

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 Yves
-         Je n'eus jamais rencontré cette personne, peut 
           être que ce fut une nouvelle cliente ? 
Sophie,
-          Elle ne s'est jamais présenté à mon guichet, 
           un peu louche cette histoire ? Le directeur de 
           la banque a voulu avertir ta femme en lui rendant
           visite et la il découvrit le remue -ménage dans 
           l'appartement. Il le signala a la police.
Yves,
-           Sophie, après mon agression que s'est-il passé 
             au juste ?
Sophie,
-           Le responsable de la banque dut remplir trois 
             sacs en toile de chut avec l'argent qui se trouvait
             dans le coffre. Ensuite il dut le remettre aux deux 
            intrus qui tenaient en otage une jeune femme 
            blonde qu' ils ont prit en otage. Toutes les personnes 
            présente dans la banque étaient couché sur le sol .
            La jeune femme otage dut porter un sac dans leur 
            fuite, elle du sortir en premier et était tenue en joue
            par une arme tenue sur sa tété , Je crois que c'était
            un revolver. L'lorsque la porte de la banque s'ouvrit

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            un coup de feu sec retenti , et l'otage s'effondra. Un 
            autre coup de feu retenti un peut plus tard . le second 
            quitte la banque en dernier. Je pense que la police a  
            prit en cible les bandits? J'appris d'apprêt les journaux 
            qu'un franc tireur placé à l'extérieure , dans les 
            buissons, sous ton appartement, aurait pris en cible les 
            braqueurs car la police a trouvé dans les buissons des 
            douilles de fusilles de petit calibre.
       Un long silence naissait, cet acte de temps mort nécessaire 
pour comprendre,
Yves, 
-           D'après mes intuitions Sophie, je pense qu’Éva
             voulu me venir en aide et de notre pièce a touché les 
             personnes qui sortaient de la banque ?  Je commence
             par comprendre. Le commissaire m'eut dit que le fusil
             eut servi une seconde fois dans la voiture R16TS rouge
             et là, Eva ne s'y trouvait pas ? La preuve, au moment
             de l'agression elle eut fait  le numéraux de la banque 
              pour le faire suivre d'un signe de la main comme de 
              coutume ?

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        De nouveau un silence prit possession de la chambre 
d'hôpital. Yves et Sophie trouve bizarre que les policiers 
n'ont trouvé qu'une seule douille vide ? où peut bien se 
trouver la seconde ?
Sophie,
-          Ce que tu viens de me dire peut correspondre 
           Yves, mais quelque chose cloche, pour quelle
           raison a-t-elle disparu ?
A ce moment-là la porte s'ouvre le représentent de la 
police interrompu leur discutions.
-      Monsieur Yves, je n'ai pas le droit de vous laisser
     plus longtemps ensemble, en plus le blessé doit se
     reposer. Revenez demain Madame.
   Sophie coupa sa discutions ,  
-         Repose-toi bien Yves, je tenterais d'avoir plus 
          de renseignement.
Yves,
-         Au revoir Sophie, j'ai bien apprécié ta visite, a 

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          demain.
      La lumière se fit sur cette enchevêtrement de 
circonstances ,  pas mal d'hymnes reste a découvrir.
  Durant toute la journée, Yves eut un pressentiment 
sur l'innocente du braquage de la banque. Qui 
d'autre aurait pris la responsabilité des tires ? Et ci
 les bandits avaient un complice a l'extérieur ? Ce
même complice a  caché l'argent dans un endroit 
secret ? 
Yves, parle pour lui,
-   Je vais dire cela au  commissaire ;  un doute reste
     pour quelle raison  fut elle prise en otage ?
 Il préféra renoncer et abandonna ses suppositions.
    Cette fin de journée prit une importance primordiale
pour Eva  ; le projet d'évasion peut se mettre en route.
 
114

    Le commissaire vient retrouver Yves, et croise Sophie 
dans le couloir..
-          Bonjour mademoiselle Sophie, qu'elle est 
           l'honneur de votre présence ?
Sophie,
-          J'ai de nouveaux arguments sur l'innocence de 
           la femme d'Yves .                 
    Un sourire marque le visage du commissaire, il 
ressemble à celui qui récolte des aveux.  
-        bon dans ce cas, il est préférable de rentrer 
         dans la chambre de monsieur Yves.
   Le garde, debout devant la porte, le salua de la main.
   Le commissaire dit,  
-         Je veux notre tranquillité, que personne nous 
          dérange.
   La porte s'ouvrit, devant eux,  Yves est assis sur le lit 
d'hôpital .
-         Bonjour monsieur Yves, vous avez bien réfléchit 

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           sur ce que je vous eu rapporté hier, vous avouez
            enfin ?
Yves,
-         Un bonjour avec une claque n'est pas le bien venu, 
           je n'avoue rien . Je vous propose d'écoutez notre
           dénoyage sur les faits qui se sont déroulé le jour 
           du braquage de la banque.
le commissaire,
-          Donc vous venez de trouver une manière de 
           pouvoir controverser mes propos pour défendre 
           vos intérêts.
Yves,
-          Bien entendu que j'ai des intérêts dans cette 
            maudite histoire dite moi ou se trouve ma femme
            Eva monsieur le commissaire ?
       Le ton monta d'un grand et la discutions pris une 
tournure embarrassé,
Sophie,
-          Monsieur le commissaire, ce n'est pas possible 
            que vous puissiez accuser les deux jeune mariés 
            qui ne sont pour rien dans ce braquage ?
   Yves a un appui, ce qui lui redonna confiance il insistât,

116 

-          Oui Sophie, explique lui de quelle manière cela 
            se déroula après que j'ai perdu connaissance.
    Le commissaire eut déjà entendu la version de Sophie, 
mais, réentendre c'est se rendre compte ci le même ordre 
coordonne les faits.
-          Donc mademoiselle Sophie, vous avez de nouveaux
            éléments pour votre témoignage  ? 
Sophie, 
-          Oui, j'ai omis de vous dire qu'un coup de téléphone 
            provoqua un comportement agressif par les bandits.
           A cette instant-là ils décident de quitter au plus vite 
           la banque. Le coup de téléphone donna le point de 
          départ pour la fuite ? Certainement qu'une autre 
          personne donna l'ordre de ?  
Yves en mordillant les lèvres , 
-          Celui-ci me fut destiné, monsieur le commissaire 
           car toujours à 9 heures du matin Eva fait sonner 
           le téléphone monsieur le commissaire.
Le commissaire,
-          Vous me racontez n'importe quoi, en premier 

117

            votre femme est sourde et muette et second elle  
            donne un coup de téléphone ? Vous tentez de me 
            déstabiliser avec vos supercheries ?
Yves
-           Ce ne sont pas des supercheries mais bien une 
            façon de nous contacter par mon numéraux du 
            téléphone. Quant celui ci a sonné je me plaçai a 
            la fenêtre pour lui faire un signe de la main pour
            la saluer. Eva a certainement aperçu que je  fus 
            blessé par les malfaiteurs ? 
Le commissaire,
-           C'est bien ce que vous insinuez, mais qu'a-t-elle
             fait ensuite ?
Yves,
-      Elle cru a un drame et prit en joue les agresseurs.
  le commissaire, 
 -     Je n'arrive  pas a comprendre sa réaction, elle tire
        sur l'otage et la blesse gravement.
Yves
-       Monsieur le commissaire, elle ne pouvait pas savoir
         qui fait ceci et qui fait cela ?

118      

Le commissaire

-    Tous cela me parait louche monsieur Yves, je n'arrive 

a coordonner cette prise en otage dans la banque et celui

du conducteurs de la R16TS rouge un policier de chez 

nous ? 
             
         Le ton se tu, une minute de silence permis de garder 
en éveille certains doutes ? Sophie se place sur le lit du 
même côté d'Yves. Le commissaire regarda sa montre puis, 
Sophie ,
-             Monsieur le commissaire je me souviens de l'arrivé 
            d'une troisième personnes , une femme blonde ?
Le commissaire,  
              . Et si cette victime-là fut la femme d'Yves ?

119

   Le commissaire restât songeur, un petit moment, puis
 il sortit de la pièce 
-           Monsieur l'agent de police, étiez-vous de 
            service le jour du braquage de la banque ?
-          Oui monsieur le commissaire.
-          Avez vous fait un rapport sur les nombres 
           d'ambulance ce jour là ?
-          Bien entendu.
-           Avez vous mentionné le nombre de victimes ?
-           Le nombreux de deux victimes dut au drame 
            fut mentionné dans le rapport. 
-          Et le nombre d'ambulance aussi ?
-          Oui, ils étaient deux.
-         Mademoiselle Sophie prêtant qu'ils étaient trois ?
-          Oui il furent trois véhicules donc un fourgon 
          qui emmena une personne qui a fait une grise 
          de nerfs. C'était une spectatrice qui n'avait pas 
          de papier juste une carte de la banque au prénom
          de Liliane que l'on a trouvé au sol, a coté d'elle.
   Yves senti bouillonner en lui une victoire, il fut certain 

120

de tirer la bonne réplique,
Yves,
-           Bien entendu monsieur le commissaire a cette 
            possibilité vous n'avez pas pensé ? 
Le commissaire,
-           Je veux bien vous croire, je prend les 
           dispositions pour consulter les interventions
           et admission  ce jour là.
Yves,
-          J'approuve votre objectif et j'en suis flatté 
           monsieur le commissaire.
      le commissaire quitta la pièce pour engager par 
téléphone  les recherches. Yves dit a Sophie,
-          Tu sais Sophie, heureusement que tu t'es 
           souvenu de ce qui c'est passé, je suis persuadé 
           qu’Éva fut emmené dans un hôpital approprié
           a son handicape mais sous le nom de Liliane ?           
        le commissaire mit du temps pour revenir, il est 11 
heures du matin quant ,
Le commissaire,
-            Les données correspondent effectivement, une 
             femme au nom de Liliane fut transporté dans 

121

            un hôpital psychiatrique suite a son comportement
            dépressif. Comme j'ai une photo de mariage, j'irais 
            moi-même la retrouver.
Yves,
-          Monsieur le commissaire pourra je vous accompagner ?
Le commissaire,
-           Monsieur Yves, vous n'étiez pas en bonne 
           santé, à la morgue la dernière fois, je réfléchi et 
            vous le dirais plus tard après le repas.
    Yves se retrouve seul, car Sophie a quitte la salle. 
Le repas de midi se sert, il est composé de sautée de 
port, de carottes émincé de pomme de terre et  d'un
morceau de fromage, avec un morceau de pain blanc. 
    Ses pensées d'Yves naviguèrent sur une autre planète .

       Au même moment, dans le château où se trouve 
Liliane(Eva) le repas de midi vient d'être servie. Les 
douleurs musculaires de Liliane ( Eva ) ont disparu, elle 
réussit à manipuler les couverts seule. 

122 

Liliane ( Eva ) mange le maximum qu'elle peut. Il faut 
des calories pour son départ qui se rapproche.
 
le commissaire retrouve Yves,
- Vous avez bien manger monsieur Yves ? 
Yves,
-  Oui monsieur le commissaire je suis en forme pour
    vous accompagner.
le commissaire,
-        Nous avons trouvé une personne répondant 
    au prénom de Liliane qui a été admis dans un autre
    Hôpital de la ville le jour ou la banque fut braqué. 
 Yves,
-      Donc, je n'ai pas tort, ma femme Eva fut 
     admisse dans un autre hôpital sous un autre
     nom ? 
Le commissaire,
-       Je ne suis pas de votre avis, il doit y avoir une
     erreur d'interprétation sur le nom de la personne  
     et qui a nécessité  la venue d'une autre véhicule. 
     le rapport de police ne précise pas d'où vint cette 
     troisième ambulance ?
      Yves est sur le point de monter le ton, sa persuasion 
que cette erreur tient la clé de l'innocence d'Eva .
Yves, 
-      Ne pouvons nous pas demander plus de détails à 
        l'agent de police 

123

Le commissaire,
-      Je prend votre remarque au sérieux et redemande 
        à mon collègue c'il ne sait pas où fut admis la 
       victime dépressive.
Yves,
-      Merci monsieur le commissaire.
  Yves transpire énormément, une soif eut asséché sa 
gorge et sa voix devint roc. Il se lève de son  lit pour 
avancer vers la carafe qui se trouve sur le rebord de 
la fenêtre. Ses mains transpirèrent et tremblent. Il 
voulut toucher le verre pour le remplir d'eau, celui 
ci glisse des mains sur  le carrelage. Yves continu de  
trembler. Une infirmière arrive et conseille a Yves de 
retourner dans son lit.
L infirmière, 
-           Ne vous faite pas tant de souci monsieur Yves, 
            les recherches sont en bonne voie.
Yves, 
-           merci 
     l'Infirmière lui  administre une piqûre pour qu'il 
retrouve des forces et déconseille Yves d'accompagner
le commissaire.
      Le commissaire revint une bonne heure plus tard 
avec comme nouvelles, 

124

-       Monsieur Yves, j'ai une bonne nouvelle pour 
         vous, effectivement une patiente a été transporté
        dans un fourgon le jour du braquage de la banque
        Elle fut envoyé dans une maison spécialisé pour 
        personne agressif, mais, dans une autre ville. Elle 
       eut mordu un policier en étant agiter. Des papiers de
        la banque  au nom de Liliane furent trouvé sur les
        lieux . Comme j'avais récupéré les photos de votre
         mariage je leur ait présenté et effectivement c'était
         votre femme Eva qu'il avait admis .
        Yves se releva rapidement de son lit, tente de trouver 
ses habites pour 
-        Je suis prêt monsieur le commissaire,
Le commissaire,
-        Pas si vite monsieur Yves, je n'ai pas finie, pour la
         retrouver j'ai besoins de l'accord de votre docteur.
   Il est 17 heures et le départ vers cette maison spécialisé 
peut être pris avec l'accord du médecin d'Yves. 

125

    La 404 Peugeot blanche du commissaire roula bon 
train, pour y parvenir car l'heure tourne et la journée
touche a sa fin. Dans l'habitacle, le silence fut de mise. 
Les retrouvailles donnent un ton encourageant.
  Enfin, ils arrivèrent devant ce grand bâtiment en 
pierres de tailles et aux vitres protégés par du grillages.
Cette  aperçu  ne rassure Yves , il est 19 heures.  
   Un grand portail en fer martelé et forgé, démontre 
qu'ils se trouvent devant une sorte de prison ?
    Une femme à l'âge avancé, se promène derrière ce
portail avec un bouquet de fleurs fanées. 
Le commissaire tire sur la corde relier a une cloche
car cette personne évite de leur parler.  Il actionne a
nouveau la cloche. Enfin , une bonne sœur arrive.  
-        Bonsoir monsieur, qu'est le sujet de votre visite ?
Le commissaire,
-        C'est la police, ma sœur, votre responsable fut 
          contacté.
Bonne sœur, 
-        Je ne possède pas de clé, je vais trouver la 
         responsable concernée.
    Elle repartie retrouver la responsable des lieux, a 
peine fut elle partie, que la personne âgé arrive avec  

126

son bouquet de fleurs fanée. 
-       Vous voulez des fleurs, elles ne sont pas chères,
-       Merci madame, nous ne voulons pas de fleurs, on 
         attend la responsable.
La personne âgé, 
-       Vous ne voulez pas les fleurs ?
  Le commissaire rougit, il dit d'un air embarrassé,
-        Ils valent combien les fleurs ?
La dame âgé
-        Pas chère monsieur vous me donnez ce que 
         vous voulez.
Le commissaire,
-        Mais où sont les fleurs qu'on nous propose ?
La dame âgé,
-        Elles sont dans le bureau de la responsable de 
          la maison.
  Le commissaire regard d'Yves d'un air étonné, puis 
 dit a la personne âgé,
-        Et bien madame, savez vous ce qu'il faut faire en
         cherchant le  bouquet,
la dame âgé,,  
-        Non, je fais ce qu'on me dit de faire monsieur.
Le commissaire,
-       Lorsque vous arrivez  dans le bureau de votre  
      responsable, vous lui demandez que des personnes
      veulent acheter le bouquet de fleurs et qu'il attendent
      derrière le portail de la porte d'entrée.

127

La dame âgés,
-        Mais monsieur, si je la demande, elle va croire 
      que j'ai faim ?
  Une autre femme arrive,
-    Ne l'écoutez pas, personne la croix moi j'ai 28 ans 
   je n'ai pas besoin de demander aux passant de leur
   vendre des fleurs. Je vais trouver la responsable.          
  Cette jeune femme partie, ouf, ils purent souffler un 
peu, mais le temps passe. Et dire qu’Éva se trouve dans
ce centre ? Une jeune personne arrive, 
-        Bonsoir monsieur, c'est bien vous qui venez de 
         la police ?
   Le commissaire présentât son papier officiel.
La responsable,
-        Je suis contente que vous venez monsieur le 
          commissaire, je suis rassuré que avez trouvé 
          le nom de la personne qui  répond au prénom 
         de Liliane mais qui est en réalité, Éva. 
Le commissaire, 
-         Madame, j'ai en ma possession une photo d'elle.
       Une seconde jeune femme qui l'accompagne leur   

128

demande,
-   puis je voir la photo.
   Elle la regarde et confirme,
-         Je reconnais cette personne, elle s'appelle 
          Liliane 
Cette réponse remplit le cœur d'Yves de bonheur, enfin, 
-         Vous voyez monsieur le commissaire, j'eus raison, 
          Eva est vivante.
   Enfin, Yves va pouvoir la revoir, la chérir, l'embrasser, 
l'aimer . La porte du lieux reste fermé . La responsable 
du lieux l'ouvre,
-         Messieurs, lorsque j'eus remarqué que cette jeune 
           femme ne sus s'exprimer on a décidez la résolution 
           suivante de la faire suivre par une institue qui 
           s'occupe de personnes muettes et malentendant. 
           Nous avions fait suivre son dossier au prénom de
           Liliane.
       Le récit de cette personne rendit Yves nerveux, cela le 
fatigua.
-          Mais chère madame, où se trouve cette institue ,
-           Elle est à une quarantaine de km d'ici.
  Le cœur d'Yves bâtait bien vite, dire qu'il se trouva a 
deux doigt de la revoir ?  
-           Nous allons la retrouver madame, pouvez-vous 
            nous donnez le numéraux du téléphone à l'institut 
             merci ? 
        Elle marque l'adresse sur du papier. Le commissaire
demande de pouvoir appeler son poste. Puis la 404 blanche
du commissaire partie en trompe.

JJM

suite au 7/8 

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Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
Le roman est en cour de montage des changements 
peuvent suivre.
a ce jour, 04 04 2019, 8 566 lecteurs.
a ce jour, 18 09 2019, 8 880 lecteurs.
a ce jour, 29 10 2019, 9 031 lecteurs.
A ce jour, 30 07 2020, 9 595 lecteurs.
A ce jour, 12 10 2020, 9 667 lecteurs.
A ce jour, 05 10 2023, 17 660 lecteurs.
A ce jour, 10 12 2024, 20 264 lecteurs. 

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