mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2
SUITE coïncidence
96
Pour le commissaire Yves ne fut qu'un suspect, rien de
plus. Durant
personne ne souffla un mot. Pour
de l'inspecteur, une Peugeot 404 blanche, les
Tout paru étrange et des suppositions frappèrent les
doutes
a lui fut qu’Éva ne
contre pour le commissaire, si
doutes seraient levé, par contre a l'inverse
possibilité la culpabilisé.
plus. Durant
personne ne souffla un mot. Pour
de l'inspecteur, une Peugeot 404 blanche, les
Tout paru étrange et des suppositions frappèrent les
doutes
a lui fut qu’Éva ne
contre pour le commissaire, si
doutes seraient levé, par contre a l'inverse
possibilité la culpabilisé.
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La Peugeot 404 stationna devant cet endroit lugubre
et sinistre de
autre morgue de la ville.
sous l'ombre du feuillage des branches
arbres centenaire. Les oiseaux sifflèrent sans repris,
cela
chaussures touchèrent un
s'enfoncer. A mis chemin, une faiblesse
corps d'Yves qui, eut de la peine a garder son
équilibre.
et sinistre de
autre morgue de la ville.
sous l'ombre du feuillage des branches
arbres centenaire. Les oiseaux sifflèrent sans repris,
cela
chaussures touchèrent un
s'enfoncer. A mis chemin, une faiblesse
corps d'Yves qui, eut de la peine a garder son
équilibre.
Enfin, ils se trouvèrent devant la grande porte en
chêne foncé,
poignez en bronze permit de
annonçant leur arrivé. Une petite lucarne
un timide visage apparut derrière les deux barreaux.
La
visiteurs, triste
Yves en premier, suivi de
chêne foncé,
poignez en bronze permit de
annonçant leur arrivé. Une petite lucarne
un timide visage apparut derrière les deux barreaux.
La
visiteurs, triste
Yves en premier, suivi de
- Bonjour monsieur le commissaire, je vous ouvre
la porte ?
la porte ?
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Dit le responsable des lieux en parlant lentement. Puis
cette grande
en sorti avec comme odeur
ressentit, à ce moment là, une nausée profonde.
cette grande
en sorti avec comme odeur
ressentit, à ce moment là, une nausée profonde.
Ils pénétraient dans ce long couloir et se dirigèrent
vers le fond.
vers le fond.
- C'est bien pour cette affaire de jeune femme sans
nom
nom
- Oui, la jeune femme nom identifié du braquage
de banque.
de banque.
- Il est temps qu'elle porte un nom, les places se
fond rare par
fond rare par
En entendant l'interprétation de leur langage, Yves
ne réalisa pas
persuadé que le corps qui lui sera
sa femme Eva. Puis, d'un coup, il se ressaisi et
pensées se placèrent sur une autre longueur d'onde,
celle de la
ne réalisa pas
persuadé que le corps qui lui sera
sa femme Eva. Puis, d'un coup, il se ressaisi et
pensées se placèrent sur une autre longueur d'onde,
celle de la
- Mais, c'est bien de sa femme Eva qu'ils parlèrent
en plus, ils
en plus, ils
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La nausée se transforma en un abandon de sois
même car Yves
s'effondra sur lui-même.
même car Yves
s'effondra sur lui-même.
- Vite Charles aide moi pour le relever,
- On me les apporte vivant maintenant monsieur le
commissaire ?
- Il vient de sortir de l'hôpital, il est là pour
reconnaître sa femme.
Dans le couloir de nombreux bancs occupèrent le
centre
Quelques minutes plus tard, Yves
- Monsieur Yves, vous sentez vous apte pour
affronter la suite ?
- Oui, je crois que j'eus retrouvé mes forces.
- Dans ce cas, suivez moi.
La cloche de l'entrée retenti, elle résonna en
traversant le couloir.
- Ce bruis-là réveillerait un mort.
Soupira Charles le responsable de la gestion des
victimes.
Le corps couverts d'un drap blanc fut ramené sur une
civière qui
d'environ 12 ans. Ses cheveux
draps.
- Vous voyez monsieur le commissaire, je n'arrête
pas d'en
Yves regarda passer cette jeune victime et tente de
s'imaginer la
d'une femme, qui dut être la mère,
imagination. La vue de cette homme qui la retenu,
laissa
lugubre eut disparut par les
personnes. Ce malheur redoubla la force d'Yves
qui se sentit prêt pour affronter le pire, il dit,
- Monsieur le commissaire, je suis prêt pour
reconnaître la victime
- Bien monsieur Yves, on attendra que monsieur
Charles revient.
Au bout de quelques minutes notre serviteur Charles
- Encore un crime de la circulation, cela n'arrête
pas de nos jours.
- Charles, peut-on voir la victime, l'inconnu donc
je t'ai parlé ?
- Bien sur monsieur le commissaire, suivez-moi.
Yves et son encadrement prirent la direction d'une
salle placé en face
glaça le cou d'Yves. Un fluide traversa
fruit de l'émotion s'imagina il.
La porte de la pièce s'ouvrit, Yves souhaita que sa
femme ne fût pas là,
sont fausses. Il regarda autour de lui ,
allongé sur une civière. Où pourrait-elle se trouver ?
Devant lui, de nombreuses portières métalliques
numérotées sont repartie
étage. Son cœur bâta vite au moment où une
portes métallique grinça. Par un mécanisme
révolutionnaire,
hauteur de 80 cm du sol. Un linceul
corps.
Il la plaça au centre de la pièce.
- C'est bien le numéro six Charles, pas que tu
m'apportes une
entendu pour toi une morte n'a
te trompe pas.
Yves ne souffla le moindre mot, il avala sa salive
plus d'une fois en
recouvert. La forme du corps
femme.
tête apparut Yves se
Les réactions d'Yves se transformèrent
persuadé que,
- Monsieur le commissaire je reconnais cette
femme, ce fut l'otage,
Un soulagement le laissa méfient car il se dit,
- Et si ce fut le mauvais tiroir ?
Le commissaire lui dit d'un air accusateur.
- Donc votre femme Eva a disparu avec le livre
précieux et le restant
sait qu’Éva est vivante
tout. Même en emportant le livre, cela ne changera
pas leur amour qui est d'une sincérité indéformable.
Ils sortirent de cette endroit avec sous les bras un
autre mystère, où peut
dirigea pour retrouver Eva et la famille de cette
victime. Yves se manifesta avec ardeur pour dire,
- Monsieur le commissaire, vos accusations sur
ma femme sont
objectif, accuser une personne absente.
- Monsieur Yves je tiens a vous dire que vous
restez comme un suspect
femme Eva. Si mes suppositions ne sont pas à
votre
de votre femme.
- Mais quelle preuve au juste, je me trouvais dans
le comma des
l'agression .
- Prouvez-moi que votre femme ne fut de mèche
Dans les pensées d'Yves tous parut trouble, tous
sembla
Les
le retour dans sa chambre d'hôpital devient pour
Yves une véritable prison.
comme un condamné. Seul un amour envers sa
bien aimé le guida inlassablement.
- On me les apporte vivant maintenant monsieur le
commissaire ?
- Il vient de sortir de l'hôpital, il est là pour
reconnaître sa femme.
Dans le couloir de nombreux bancs occupèrent le
centre
Quelques minutes plus tard, Yves
- Monsieur Yves, vous sentez vous apte pour
affronter la suite ?
- Oui, je crois que j'eus retrouvé mes forces.
- Dans ce cas, suivez moi.
La cloche de l'entrée retenti, elle résonna en
traversant le couloir.
- Ce bruis-là réveillerait un mort.
Soupira Charles le responsable de la gestion des
victimes.
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- Je vais ouvrir la porte d'entrée.Le corps couverts d'un drap blanc fut ramené sur une
civière qui
d'environ 12 ans. Ses cheveux
draps.
- Vous voyez monsieur le commissaire, je n'arrête
pas d'en
Yves regarda passer cette jeune victime et tente de
s'imaginer la
d'une femme, qui dut être la mère,
imagination. La vue de cette homme qui la retenu,
laissa
lugubre eut disparut par les
personnes. Ce malheur redoubla la force d'Yves
qui se sentit prêt pour affronter le pire, il dit,
- Monsieur le commissaire, je suis prêt pour
reconnaître la victime
- Bien monsieur Yves, on attendra que monsieur
Charles revient.
Au bout de quelques minutes notre serviteur Charles
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continua ses obligations.- Encore un crime de la circulation, cela n'arrête
pas de nos jours.
- Charles, peut-on voir la victime, l'inconnu donc
je t'ai parlé ?
- Bien sur monsieur le commissaire, suivez-moi.
Yves et son encadrement prirent la direction d'une
salle placé en face
glaça le cou d'Yves. Un fluide traversa
fruit de l'émotion s'imagina il.
La porte de la pièce s'ouvrit, Yves souhaita que sa
femme ne fût pas là,
sont fausses. Il regarda autour de lui ,
allongé sur une civière. Où pourrait-elle se trouver ?
Devant lui, de nombreuses portières métalliques
numérotées sont repartie
étage. Son cœur bâta vite au moment où une
portes métallique grinça. Par un mécanisme
révolutionnaire,
hauteur de 80 cm du sol. Un linceul
corps.
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- Monsieur le commissaire voici la victime.Il la plaça au centre de la pièce.
- C'est bien le numéro six Charles, pas que tu
m'apportes une
entendu pour toi une morte n'a
te trompe pas.
Yves ne souffla le moindre mot, il avala sa salive
plus d'une fois en
recouvert. La forme du corps
femme.
tête apparut Yves se
Les réactions d'Yves se transformèrent
persuadé que,
- Monsieur le commissaire je reconnais cette
femme, ce fut l'otage,
Un soulagement le laissa méfient car il se dit,
- Et si ce fut le mauvais tiroir ?
Le commissaire lui dit d'un air accusateur.
- Donc votre femme Eva a disparu avec le livre
précieux et le restant
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Cette accusation ne plut a Yves, mais maintenant ilsait qu’Éva est vivante
tout. Même en emportant le livre, cela ne changera
pas leur amour qui est d'une sincérité indéformable.
Ils sortirent de cette endroit avec sous les bras un
autre mystère, où peut
dirigea pour retrouver Eva et la famille de cette
victime. Yves se manifesta avec ardeur pour dire,
- Monsieur le commissaire, vos accusations sur
ma femme sont
objectif, accuser une personne absente.
- Monsieur Yves je tiens a vous dire que vous
restez comme un suspect
femme Eva. Si mes suppositions ne sont pas à
votre
de votre femme.
- Mais quelle preuve au juste, je me trouvais dans
le comma des
l'agression .
- Prouvez-moi que votre femme ne fut de mèche
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avec cette affaire-là.Dans les pensées d'Yves tous parut trouble, tous
sembla
Les
le retour dans sa chambre d'hôpital devient pour
Yves une véritable prison.
comme un condamné. Seul un amour envers sa
bien aimé le guida inlassablement.
une sympathie vue
occupantes de sa chambre nourrir leur
fut la raison de l'attroupement. Sa présence dans le
château
l'entourage sympathique Liliane(Eva)
vrais identité et toute l'aventure qui l'eut entraîne prêt
d'elle.
bonne nuit effaça son
105
Au petit déjeuner, Liliane(Eva) retrouva sa voisine etcopine sur la table
tous ce qu'elle eut besoin pour la fuite.
petit déjeuné fut consommé, elles sortir pour inspecter
les alentours. Une radieuse journée les attendit.
La rosée du matin se
provoqué par cette humidité sur les pétales de rosiers
les valorisait. Une bonne odeur de fleurs les
embaumait. Quelle est
Eva. Le projets futur s'enrichissaient de
pouvant leur servir a la prochaine nuit. Les deux
jeunes femmes
Dans l'hôpital où se trouve Yves, le commissaire ,
matinal, fut prêt de son
renferma une surprise, s'imagina Yves. Se
ne manqua d'audaces pour le questionner.
- Monsieur Yves, plusieurs explications reste
insondable, vous ne m'avez
où pouvait se trouver votre femme Eva. Je pensais
que ce fut elle la victime non identifier, vous ne
106
l'avez reconnu comme l'oncle d’Éva que j'eusemmené. Je suis persuadé
retrouver sous un autre nom dans un pays bercé
par le soleil le restant de vos jours avec l'argent
et la vente du livre.
Le commissaire eut exprimé ses doutes et surtout
la jalousie de ce bien
asséché, il but dans un verre une gorgé
l'observa tout en tentent de trouver une réponse sur
toute les
commissaire.
- Monsieur le commissaire comment pouvez vous
nous accuser de la
d'interpréter ne sont que de stupide
supposition pour des faits non justifiable. Vous
n'avez pas le droit de
- Monsieur Yves, comment se fait il que deux
personnes furent blessé
arme de petit calibre, correspondant à une arme
précision et certainement de compétition ?
107
- J'ai deux armes de compétition, des fusils, quisont accroché au mur
avec les coupes qu'on eut
- Le mur est vide, tous a disparu, il ne reste plus
que le râtelier.
- Mais, ce n'est pas possible ?
- Aussi possible que la disparition de votre femme.
- Je ne peux croire vos suppositions, c'est
inadmissible.
- Monsieur Yves, une douille vide fut trouvé dans
les buissons sous
croire que votre femme eut tiré sur la jeune
femme pris en otage en premier, puis elle a
suivi les agresseurs
R16TS rouge dans laquelle un autre otage fut
contraint de les suivre. Par un malentendu l'un
des complices fut
même
abandonné sur
Nous ne
108
mais une chose c'est quecomme votre femme.
Yves ne crut une seule accusation. Le commissaire
rajouta,
- Dans la voiture volé, aucune trace d'argent ni de
de fusils ainsi que
Le ton durci, la voix du commissaire aussi, il mit son
autorité en action,
- Vous n'avez pas de photos d'elle ?
- Je ne possède pas de photo d'elle, mais
normalement on dut recevoir
mariage d'ici peu.
- Donnez moi l'adresse d'où vous avez fait votre
album pour que je
Yves n'arriva pas à imaginer qu'une telle accusation
puis être une réalité.
quitta la chambre. Pour quelle raison
Dans la matinée Yves reçu la visite de sa collègue de
travail, cette rencontre
- Bonjour Yves, comment vas-tu ?
109
- Je ne peux pas dire que je me porte bien, avectous ce que le
- Pour quelle raison te veut-il du mal, je ne
comprends pas bien ses
tu pas assez souffert jusqu'à présent ?
- L'humanité est cruelle Sophie, surtout lorsqu'on
accuse des innocents
personne se base sur des suppositions perverses.
- Dit moi Yves, de quel acte peut-il prouver que
cela vient de vous deux
bien sa stratégie, prêcherait il le faux pour
connaître la vérité ?
- Justement le fait que l'on ne retrouve plus de
trace d’Éva signe
- N'ont ils pas fait de recherche à son sujet, ils
en avaient fait sur
visage prit dans la morgue ?
- Tous ce que je sais, notre appartement fut pillé
et vidé de tout objet
- Yves connaissait tu cette personne prise en
- Je n'eus jamais rencontré cette personne, peut
être que ce fut une
- Elle ne s'est jamais présenté à mon guichet,
un peu louche cette
directeur de banque d'aller avertir ta femme
découvrit le remue -ménage
appartement. Il le signala a la police.
- Sophie, après mon agression que s'est-il passé
au juste ?
- Le responsable de la banque dut remplir trois
sacs en toile de chut
trouva dans le coffre. Ensuite il dut le remettre
aux deux intrus qui tenaient en otage une
femme blonde qui nous fut
des personnes dans la banque étaient couché sur
le sol. L'otage dut porter un sac dans leur fuite,
elle sortie en
tient en joue avec son revolver.
l'otage s'effondre. Un autre coup de feu retenti
un peut plus tard , les
quitté la banque. La police suivi.
bandits furent la cible d'un franc tireur placé
à l'extérieure
fut trouvé dans les buissons sous la
fenêtres de notre appartement.
Un long silence naissait, cet acte de temps mort
nécessaire pour comprendre
- D'après mes intuitions Sophie, je pense qu’Éva
voulu me venir en aide
de notre pièce et touché les personnes, mais, le
commissaire dit que le fusil eut servi une
seconde fois dans la
est là, Eva ne se trouva pas dans la R16TS
rouge car au moment de l'agression elle fit
le numéraux de la banque
signe de la main comme de coutume et ce
fut-là
d'hôpital. Yves et Sophie
anecdotes. Yves trouva bizarre que les policiers n'ont
trouvé qu'une seule douille vide ? où peut bien se
trouver la seconde ?
- Ce que tu viens de me dire peut correspondre
Yves, mais quelque chose
quelle raison a-t-elle disparu ?
A ce moment-là la porte s'ouvre le représentent de la
police interrompu leur
droit de vous laisser
monsieur Yves, comme le malade dois se reposer
revenez demain.
Sophie coupa cour aux discutions et se méfia de cette
personne pouvant
ont partager.
- Repose-toi bien Yves, je tenterais d'avoir plus
de renseignement.
- Au revoir Sophie, j'ai bien apprécié ta visite, a
La lumière se fit sur une partie de toute cette
enchevêtrement de circonstances
pas mal d'hymnes à découvrir.
Durant toute la journée, Yves eut un pressentiment
sur
innocente sur le braquage de la banque, mais
part de responsabilité sur le tire lui est imputé. Il
pensa que les bandits
puis ils l'ont caché avec l'argent dans un endroit
secret.
vite au commissaire ; oui mais, une
en doute, comment se fait'il qu'elle fut prise en otage ?
Il préféra renoncer et abandonna ses suppositions.
Cette fin de journée prit une importance primordiale
pour Eva comme pour
retrouvailles les guida vers une suite encourageante.
Cette nuit, Eva, mettra en place le projet d'évasion
qui pourra prouver son
ce fut la venu du commissaire a qui lui permettra
Le commissaire ne vint que
croisa Sophie dans le couloir..
- Bonjour mademoiselle Sophie, qu'elle est
l'honneur de votre présence ?
- J'ai de nouveaux arguments sur l'innocence de
la femme d'Yves que je
d'Yves.
Un sourire marqua le visage du commissaire, il
ressembla à celui qui vint de
collaboratrice prête à le soutenir pour récolter des
aveux
- bon dans ce cas, il est préférable de rentrer
dans la chambre.
Le garde, debout devant la porte, le salua de la main
droite comme s'exprime
- Je veux notre tranquillité, que personne nous
dérange.
La porte s'ouvrit et Yves fut assis sur le lit d'hôpital.
- Bonjour monsieur Yves, vous avez bien réfléchit
enfin ?
- Un bonjour avec une claque n'est pas bien venu,
je n'avoue rien et ne
de voir les choses. Je vous propose
nos idées sur les faits qui se sont déroulé le jour
du braquage de la banque.
- Donc vous venez de trouver une manière de
pouvoir défendre vos
- Bien entendu que j'ai des intérêts dans cette
maudite histoire dite
femme Eva ?
Le ton monta d'un grain et la discutions pris une
tournure
embarrassé,
- Monsieur le commissaire, ce n'est pas possible
que vous puissiez
suis certaine que les deux jeune mariés ne sont
pour rien dans ce braquage.
Yves a un appui, ce qui lui redonna confiance il insistât
- Oui Sophie, explique lui de quelle manière cela
se déroula après
connaissance.
Le commissaire eut déjà entendu la version de Sophie,
mais, réentendre
- Donc mademoiselle Sophie, vous avez de
nouveaux éléments dans
- Oui, j'ai omis de vous dire qu'un coup de
téléphone provoqua un
bandits. Ce fut bien ce moment-là qu'ils
voulurent quitter au plus vite la banque.
- Le coup de téléphone donna le point de départ
vers la fuite, ce
collaborateur ou collaboratrice à
Yves se mordilla les lèvres , et dit,
- Celui-ci me fut destiné, car toujours à 9 heures
du matin Eva me
monsieur le commissaire.
- Vous me racontez n'importe quoi, en premier
donne un coup de téléphone ? Vous
de plus en plus avec vos supercheries.
- Ce ne sont pas des supercheries mais bien une
façon de
mon numéraux puis laissa
ensuite je me plaçai a la fenêtre pour lui faire
un signe de la main et la salua. Quant elle
aperçu que je fus
visa les malfaiteurs.
- C'est bien ce que vous insinuez, mais qu'a-t-elle
fait ensuite ?
- Elle eut cru a un drame et prit en joue les
agresseurs
- Je n'arrive pas a comprendre sa réaction
car la première des
tirer sur l'otage et la blesser
- Monsieur le commissaire, elle ne pouvait pas
connaitre quelle
celle-ci.
n'arrive pas à
de la prise en otage dans la banque
moins celui du conducteurs de la R16TS rouge
un
cela n'est qu'une
Le ton se tu, une minute de silence permis de garder en
éveille une
pensa à entamer une simple
place sur le même côté d'Yves assis sur le
son lit. Le commissaire regarda sa montre puis,
Sophie dit,
- Monsieur le commissaire je me souviens de
l'arrivé d'une
minutes après que les deux
partie. Ce qui veut dire qu'il y eut une
troisième
deux victimes présente le
de la banque. Et si cette victime-là fut la
femme d'Yves ?
il sortit de la pièce
- Monsieur l'agent de police, étiez-vous de
service le jour du
- Oui monsieur le commissaire.
- Avez vous fait un rapport sur les nombres
d'ambulance ce
- Bien entendu.
- Avez vous mentionné le nombre de victimes ?
- Le nombreux de deux victimes dut au drame
fut mentionné dans
- Et le nombre d'ambulance aussi ?
- Oui, ils étaient deux.
- Mademoiselle Sophie prêtant qu'ils étaient trois ?
- Oui il furent trois véhicule donc l'un ne fut
fourgon qui emmena
au nom
elle n'eut rien a voir
personne un autre rapport fut établie.
Yves senti bouillonner en lui une victoire, il fut certain
- Bien entendu monsieur le commissaire a cette
possibilité vous
- Je veux bien vous croire, je prend les
dispositions pour consulter
faite ce jour là.
- J'approuve votre objectif et j'en suis flatté
monsieur le
la commissaire quitta la pièce pour engager par
téléphone le
recherches. Yves dit a Sophie,
- Tu sais Sophie, heureusement que tu t'es
souvenu de cette
suis persuadé qu’Éva fut emmené
dans un hôpital autre que celui-ci mais au
nom de Liliane.
le commissaire mit du temps pour revenir, il fut 11
heures du matin quant
- Les données correspondent effectivement, une
femme au nom
Comme j'ai une photo de mariage, j'irais
moi-même la
- Monsieur le commissaire pourrais-je venir
avec vous ?
- Monsieur Yves, vous n'êtes pas en bonne
santé,
à la morgue, je réfléchi et vous le
tard.
Yves se retrouva seul, car Sophie retourna chez elle.
Le repas de midi
d'appétit devant cette assiette de
sautée
morceau de poisson. Ses pensées naviguèrent sur une
autre planète ,
Au même moment, dans le château où se trouva
Liliane(Eva) le repas
Liliane(Eva) retrouva sa place respective. Les
douleurs musculaires ont disparu, elle réussit à
manipuler les couverts
rapprocha.
personne répondant
dans un Hôpital de la ville le jour du
la banque. Il y va de même avec le prénom de
Liliane,
à Yves,
- Monsieur Yves je n'ai pas tort, votre femme
Eva ne fut admisse dan
- Je ne suis pas de votre avis, il doit y avoir
quelque chose qui ne
quel endroit provenait la troisième ambulance
qui
le rapport de police qu'eut
ne précise-t-il pas d'où vint cette troisième
ambulance ?
Yves fut sur le point de monter le ton, sa persuasion
qu'une erreur vint
- Ne pouvons nous pas demander plus de détails à
l'agent de police
à mon collègue
où fut admis la victime dépressive.
- Merci monsieur le commissaire.
Yves transpira énormément, une soif eut asséché sa
gorge. Sa voix
son lit pour avancer vers la carafe
rebord de la fenêtre. Ses mains transpirèrent et
tremblèrent. Il voulut toucher le verre pour le remplir
d'eau, mais il lui
carreler. Dans ce vacarme de
tremblement s'accentua. L'infirmière fut appelée et ils
placèrent Yves dans son lit.
- ne vous faite pas tant de souci monsieur Yves,
les recherches sont
- merci
l'Infirmière lui eut administré une piqûre pour qu'il
retrouve des forces.
Le commissaire revint une bonne heure plus tard avec
dans des nouvelles
vous, effectivement une
dans une ambulance le jour du braquage de la
banque. Elle fut envoyé dans une maison
spécialisé pour personne
autre ville. La raison fut qu'elle eut mordu un
policier. Des papiers au nom de Liliane furent t
trouvé sur les lieux ils
j'eus récupéré vos photos de mariage je
partie leur présenter et effectivement ce fut votre
femme Eva
Yves se releva rapidement de son lit, tente de trouver
ses habites pour
- Je suis prêt monsieur le commissaire,
- Pas si vite monsieur Yves, je n'ai pas finie, nous
allons la retrouver
j'ai besoins de l'accord du docteur.
Il set 17 heures et le départ vers cette maison
spécialisé peut être pris avec
traite Yves.
train, pour y parvenir
furent nécessaire. Le silence fut de mise et les
retrouvailles donnèrent un ton encourageant.
Enfin, ils arrivèrent devant ce grand bâtiment aux
vitres protégés par des
ce bâtiment en pierre de taille ne rassura les
Un grand portail en fer martelé et forgé, démontrait
qu'ils se
puis une femme à l'âge i
des fleurs fanées. Elle n'eut pas de clé pour
porte. 19 heures, ils sonnèrent à nouveau et une bonne
sœur vint
- C'est pour qu'elle sujet ?
- C'est la police, ma sœur, votre responsable fut
contacté.
- Je ne possède pas de clé, je vais trouver la
responsable concernée.
Elle repartie trouver la responsable des lieux, a peine
partie, une autre
- Vous voulez des fleurs, elles ne sont pas chères,
- Nous ne voulons pas de fleurs, c'est le
responsable
- Vous ne voulez pas les fleurs ?
Le commissaire rougit, il dit d'un air embarrassé,
- Ils valent combien tes fleurs ?
- Pas chère monsieur vous me donnez ce que
vous voilez.
- Mais où sont les fleurs qu'on nous propose ?
- Elles sont dans le bureau de la responsable de
la maison.
Le commissaire regard d'Yves d'un air étonné, puis
lui dit,
- Et bien sait tu ce qu'il faut faire,
- Non, je fais ce qu'on me dit de faire.
- Tu pars dans le bureau de la responsable et tu lui
demandes si tu
vendre à des acheteurs qui se
porte d'entrée.
que j'ai faim on
28 ans je n'ai pas besoin de la
fais ce que je veux.
Cette jeune femme partie, ouf, ils purent souffler un
peu. Et dire qu’Éva
quel
- Bonsoir monsieur, c'est bien vous qui venez de
la police ?
Le commissaire présentât son papier officiel.
- Je suis contente que vous venez monsieur le
commissaire, je suis
Après votre coup de téléphone vous
recherchez une personne répondant au prénom
d’Éva et qui fut
- Oui madame, j'ai en ma possession une photo
d'elle.
- D'après mes admissions il n'y a pas de personne
répondant au
La seconde femme qui l'accompagna demande la
- Je reconnais cette personne, elle s'appelle
Liliane
Cette réponse remplit le cœur d'Yves de bonheur,
enfin,
- Vous voyez monsieur le commissaire, j'eus raison,
Eva ce trouve
Enfin, Yves va pouvoir la revoir, la chérir, l'embrasser,
l'aimer et
accompagne la responsable du
- Messieurs, lorsque j'eus remarqué que cette jeune
femme ne sus
résolution suivante de la faire
une institue qui s'occupe de personnes muettes
et malentendant. Nous avions fait suivre son
dossier au prénom
Le récit de cette personne rendit Yves nerveux, cela le
fatigua.
- Mais chère madame, où se trouve cette institue ,
- Elle est à une quarantaine de km d'ici.
Le cœur d'Yves bâtait bien vite, dire qu'il se trouva a
deux doigt de
- Nous allons la retrouver madame, pouvez-vous
nous donner
de téléphone à l'institut
merci.
Elle leur marque l'adresse sur du papier, puis partie
téléphoner. Dans
du commissaire partie en trompe.
accuse des innocents
personne se base sur des suppositions perverses.
- Dit moi Yves, de quel acte peut-il prouver que
cela vient de vous deux
bien sa stratégie, prêcherait il le faux pour
connaître la vérité ?
- Justement le fait que l'on ne retrouve plus de
trace d’Éva signe
- N'ont ils pas fait de recherche à son sujet, ils
en avaient fait sur
visage prit dans la morgue ?
- Tous ce que je sais, notre appartement fut pillé
et vidé de tout objet
- Yves connaissait tu cette personne prise en
110
otage ?- Je n'eus jamais rencontré cette personne, peut
être que ce fut une
- Elle ne s'est jamais présenté à mon guichet,
un peu louche cette
directeur de banque d'aller avertir ta femme
découvrit le remue -ménage
appartement. Il le signala a la police.
- Sophie, après mon agression que s'est-il passé
au juste ?
- Le responsable de la banque dut remplir trois
sacs en toile de chut
trouva dans le coffre. Ensuite il dut le remettre
aux deux intrus qui tenaient en otage une
femme blonde qui nous fut
des personnes dans la banque étaient couché sur
le sol. L'otage dut porter un sac dans leur fuite,
elle sortie en
tient en joue avec son revolver.
111
porte de la banque, un coup de feu sec retenti etl'otage s'effondre. Un autre coup de feu retenti
un peut plus tard , les
quitté la banque. La police suivi.
bandits furent la cible d'un franc tireur placé
à l'extérieure
fut trouvé dans les buissons sous la
fenêtres de notre appartement.
Un long silence naissait, cet acte de temps mort
nécessaire pour comprendre
- D'après mes intuitions Sophie, je pense qu’Éva
voulu me venir en aide
de notre pièce et touché les personnes, mais, le
commissaire dit que le fusil eut servi une
seconde fois dans la
est là, Eva ne se trouva pas dans la R16TS
rouge car au moment de l'agression elle fit
le numéraux de la banque
signe de la main comme de coutume et ce
fut-là
112
De nouveau un silence prit possession de la chambred'hôpital. Yves et Sophie
anecdotes. Yves trouva bizarre que les policiers n'ont
trouvé qu'une seule douille vide ? où peut bien se
trouver la seconde ?
- Ce que tu viens de me dire peut correspondre
Yves, mais quelque chose
quelle raison a-t-elle disparu ?
A ce moment-là la porte s'ouvre le représentent de la
police interrompu leur
droit de vous laisser
monsieur Yves, comme le malade dois se reposer
revenez demain.
Sophie coupa cour aux discutions et se méfia de cette
personne pouvant
ont partager.
- Repose-toi bien Yves, je tenterais d'avoir plus
de renseignement.
- Au revoir Sophie, j'ai bien apprécié ta visite, a
113
demain.La lumière se fit sur une partie de toute cette
enchevêtrement de circonstances
pas mal d'hymnes à découvrir.
Durant toute la journée, Yves eut un pressentiment
sur
innocente sur le braquage de la banque, mais
part de responsabilité sur le tire lui est imputé. Il
pensa que les bandits
puis ils l'ont caché avec l'argent dans un endroit
secret.
vite au commissaire ; oui mais, une
en doute, comment se fait'il qu'elle fut prise en otage ?
Il préféra renoncer et abandonna ses suppositions.
Cette fin de journée prit une importance primordiale
pour Eva comme pour
retrouvailles les guida vers une suite encourageante.
Cette nuit, Eva, mettra en place le projet d'évasion
qui pourra prouver son
ce fut la venu du commissaire a qui lui permettra
114
de donner desLe commissaire ne vint que
croisa Sophie dans le couloir..
- Bonjour mademoiselle Sophie, qu'elle est
l'honneur de votre présence ?
- J'ai de nouveaux arguments sur l'innocence de
la femme d'Yves que je
d'Yves.
Un sourire marqua le visage du commissaire, il
ressembla à celui qui vint de
collaboratrice prête à le soutenir pour récolter des
aveux
- bon dans ce cas, il est préférable de rentrer
dans la chambre.
Le garde, debout devant la porte, le salua de la main
droite comme s'exprime
- Je veux notre tranquillité, que personne nous
dérange.
La porte s'ouvrit et Yves fut assis sur le lit d'hôpital.
- Bonjour monsieur Yves, vous avez bien réfléchit
115
sur ce que je vous eu rapporté hier, vous avouezenfin ?
- Un bonjour avec une claque n'est pas bien venu,
je n'avoue rien et ne
de voir les choses. Je vous propose
nos idées sur les faits qui se sont déroulé le jour
du braquage de la banque.
- Donc vous venez de trouver une manière de
pouvoir défendre vos
- Bien entendu que j'ai des intérêts dans cette
maudite histoire dite
femme Eva ?
Le ton monta d'un grain et la discutions pris une
tournure
embarrassé,
- Monsieur le commissaire, ce n'est pas possible
que vous puissiez
suis certaine que les deux jeune mariés ne sont
pour rien dans ce braquage.
Yves a un appui, ce qui lui redonna confiance il insistât
116
que Sophie- Oui Sophie, explique lui de quelle manière cela
se déroula après
connaissance.
Le commissaire eut déjà entendu la version de Sophie,
mais, réentendre
- Donc mademoiselle Sophie, vous avez de
nouveaux éléments dans
- Oui, j'ai omis de vous dire qu'un coup de
téléphone provoqua un
bandits. Ce fut bien ce moment-là qu'ils
voulurent quitter au plus vite la banque.
- Le coup de téléphone donna le point de départ
vers la fuite, ce
collaborateur ou collaboratrice à
Yves se mordilla les lèvres , et dit,
- Celui-ci me fut destiné, car toujours à 9 heures
du matin Eva me
monsieur le commissaire.
- Vous me racontez n'importe quoi, en premier
117
elle est sourde et muette et second elle vousdonne un coup de téléphone ? Vous
de plus en plus avec vos supercheries.
- Ce ne sont pas des supercheries mais bien une
façon de
mon numéraux puis laissa
ensuite je me plaçai a la fenêtre pour lui faire
un signe de la main et la salua. Quant elle
aperçu que je fus
visa les malfaiteurs.
- C'est bien ce que vous insinuez, mais qu'a-t-elle
fait ensuite ?
- Elle eut cru a un drame et prit en joue les
agresseurs
- Je n'arrive pas a comprendre sa réaction
car la première des
tirer sur l'otage et la blesser
- Monsieur le commissaire, elle ne pouvait pas
connaitre quelle
celle-ci.
118
- Tous cela me parait louche monsieur Yves, jen'arrive pas à
de la prise en otage dans la banque
moins celui du conducteurs de la R16TS rouge
un
cela n'est qu'une
Le ton se tu, une minute de silence permis de garder en
éveille une
pensa à entamer une simple
place sur le même côté d'Yves assis sur le
son lit. Le commissaire regarda sa montre puis,
Sophie dit,
- Monsieur le commissaire je me souviens de
l'arrivé d'une
minutes après que les deux
partie. Ce qui veut dire qu'il y eut une
troisième
deux victimes présente le
de la banque. Et si cette victime-là fut la
femme d'Yves ?
119
le commissaire restât songeur, un petit moment, puisil sortit de la pièce
- Monsieur l'agent de police, étiez-vous de
service le jour du
- Oui monsieur le commissaire.
- Avez vous fait un rapport sur les nombres
d'ambulance ce
- Bien entendu.
- Avez vous mentionné le nombre de victimes ?
- Le nombreux de deux victimes dut au drame
fut mentionné dans
- Et le nombre d'ambulance aussi ?
- Oui, ils étaient deux.
- Mademoiselle Sophie prêtant qu'ils étaient trois ?
- Oui il furent trois véhicule donc l'un ne fut
fourgon qui emmena
au nom
elle n'eut rien a voir
personne un autre rapport fut établie.
Yves senti bouillonner en lui une victoire, il fut certain
120
de tirer la bonne- Bien entendu monsieur le commissaire a cette
possibilité vous
- Je veux bien vous croire, je prend les
dispositions pour consulter
faite ce jour là.
- J'approuve votre objectif et j'en suis flatté
monsieur le
la commissaire quitta la pièce pour engager par
téléphone le
recherches. Yves dit a Sophie,
- Tu sais Sophie, heureusement que tu t'es
souvenu de cette
suis persuadé qu’Éva fut emmené
dans un hôpital autre que celui-ci mais au
nom de Liliane.
le commissaire mit du temps pour revenir, il fut 11
heures du matin quant
- Les données correspondent effectivement, une
femme au nom
121
hôpital psychiatrique car elle fut dépressif.Comme j'ai une photo de mariage, j'irais
moi-même la
- Monsieur le commissaire pourrais-je venir
avec vous ?
- Monsieur Yves, vous n'êtes pas en bonne
santé,
à la morgue, je réfléchi et vous le
tard.
Yves se retrouva seul, car Sophie retourna chez elle.
Le repas de midi
d'appétit devant cette assiette de
sautée
morceau de poisson. Ses pensées naviguèrent sur une
autre planète ,
Au même moment, dans le château où se trouva
Liliane(Eva) le repas
Liliane(Eva) retrouva sa place respective. Les
douleurs musculaires ont disparu, elle réussit à
manipuler les couverts
122
qu'il faut des calories pour son départ qui serapprocha.
personne répondant
dans un Hôpital de la ville le jour du
la banque. Il y va de même avec le prénom de
Liliane,
à Yves,
- Monsieur Yves je n'ai pas tort, votre femme
Eva ne fut admisse dan
- Je ne suis pas de votre avis, il doit y avoir
quelque chose qui ne
quel endroit provenait la troisième ambulance
qui
le rapport de police qu'eut
ne précise-t-il pas d'où vint cette troisième
ambulance ?
Yves fut sur le point de monter le ton, sa persuasion
qu'une erreur vint
- Ne pouvons nous pas demander plus de détails à
l'agent de police
123
- Je prend votre remarque au sérieux et redemandeà mon collègue
où fut admis la victime dépressive.
- Merci monsieur le commissaire.
Yves transpira énormément, une soif eut asséché sa
gorge. Sa voix
son lit pour avancer vers la carafe
rebord de la fenêtre. Ses mains transpirèrent et
tremblèrent. Il voulut toucher le verre pour le remplir
d'eau, mais il lui
carreler. Dans ce vacarme de
tremblement s'accentua. L'infirmière fut appelée et ils
placèrent Yves dans son lit.
- ne vous faite pas tant de souci monsieur Yves,
les recherches sont
- merci
l'Infirmière lui eut administré une piqûre pour qu'il
retrouve des forces.
Le commissaire revint une bonne heure plus tard avec
dans des nouvelles
124
- Monsieur Yves, j'ai une bonne nouvelle pourvous, effectivement une
dans une ambulance le jour du braquage de la
banque. Elle fut envoyé dans une maison
spécialisé pour personne
autre ville. La raison fut qu'elle eut mordu un
policier. Des papiers au nom de Liliane furent t
trouvé sur les lieux ils
j'eus récupéré vos photos de mariage je
partie leur présenter et effectivement ce fut votre
femme Eva
Yves se releva rapidement de son lit, tente de trouver
ses habites pour
- Je suis prêt monsieur le commissaire,
- Pas si vite monsieur Yves, je n'ai pas finie, nous
allons la retrouver
j'ai besoins de l'accord du docteur.
Il set 17 heures et le départ vers cette maison
spécialisé peut être pris avec
traite Yves.
125
La 404 Peugeot blanche du commissaire roula bontrain, pour y parvenir
furent nécessaire. Le silence fut de mise et les
retrouvailles donnèrent un ton encourageant.
Enfin, ils arrivèrent devant ce grand bâtiment aux
vitres protégés par des
ce bâtiment en pierre de taille ne rassura les
Un grand portail en fer martelé et forgé, démontrait
qu'ils se
puis une femme à l'âge i
des fleurs fanées. Elle n'eut pas de clé pour
porte. 19 heures, ils sonnèrent à nouveau et une bonne
sœur vint
- C'est pour qu'elle sujet ?
- C'est la police, ma sœur, votre responsable fut
contacté.
- Je ne possède pas de clé, je vais trouver la
responsable concernée.
Elle repartie trouver la responsable des lieux, a peine
partie, une autre
126
de nouveau cette femme a l'âge- Vous voulez des fleurs, elles ne sont pas chères,
- Nous ne voulons pas de fleurs, c'est le
responsable
- Vous ne voulez pas les fleurs ?
Le commissaire rougit, il dit d'un air embarrassé,
- Ils valent combien tes fleurs ?
- Pas chère monsieur vous me donnez ce que
vous voilez.
- Mais où sont les fleurs qu'on nous propose ?
- Elles sont dans le bureau de la responsable de
la maison.
Le commissaire regard d'Yves d'un air étonné, puis
lui dit,
- Et bien sait tu ce qu'il faut faire,
- Non, je fais ce qu'on me dit de faire.
- Tu pars dans le bureau de la responsable et tu lui
demandes si tu
vendre à des acheteurs qui se
porte d'entrée.
127
- Mais monsieur, si je la demande, elle va croireque j'ai faim on
28 ans je n'ai pas besoin de la
fais ce que je veux.
Cette jeune femme partie, ouf, ils purent souffler un
peu. Et dire qu’Éva
quel
- Bonsoir monsieur, c'est bien vous qui venez de
la police ?
Le commissaire présentât son papier officiel.
- Je suis contente que vous venez monsieur le
commissaire, je suis
Après votre coup de téléphone vous
recherchez une personne répondant au prénom
d’Éva et qui fut
- Oui madame, j'ai en ma possession une photo
d'elle.
- D'après mes admissions il n'y a pas de personne
répondant au
La seconde femme qui l'accompagna demande la
128
photo, puis elle dit,- Je reconnais cette personne, elle s'appelle
Liliane
Cette réponse remplit le cœur d'Yves de bonheur,
enfin,
- Vous voyez monsieur le commissaire, j'eus raison,
Eva ce trouve
Enfin, Yves va pouvoir la revoir, la chérir, l'embrasser,
l'aimer et
accompagne la responsable du
- Messieurs, lorsque j'eus remarqué que cette jeune
femme ne sus
résolution suivante de la faire
une institue qui s'occupe de personnes muettes
et malentendant. Nous avions fait suivre son
dossier au prénom
Le récit de cette personne rendit Yves nerveux, cela le
fatigua.
- Mais chère madame, où se trouve cette institue ,
- Elle est à une quarantaine de km d'ici.
Le cœur d'Yves bâtait bien vite, dire qu'il se trouva a
deux doigt de
- Nous allons la retrouver madame, pouvez-vous
nous donner
de téléphone à l'institut
merci.
Elle leur marque l'adresse sur du papier, puis partie
téléphoner. Dans
du commissaire partie en trompe.
JJM
suite au 7/8
129
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.Le roman est en cour de montage des changements
peuvent suivre.
a ce jour, 04 04 2019, 8 566 lecteurs.
a ce jour, 18 09 2019, 8 880 lecteurs.
a ce jour, 29 10 2019, 9 031 lecteurs.
A ce jour, 30 07 2020, 9 595 lecteurs.
A ce jour, 12 10 2020, 9 667 lecteurs.
A ce jour, 05 10 2023, 17 660 lecteurs.