Réécouter ca fait plaisir .
textes et photos font le mélange parfait des couleurs de la vie . Pour que l' année 2024 sera une année remplie de bonheur pour toutes et tous. Les droits d'auteur irons a mes petits enfants Les romans et autres textes ne sont qu'illusion, voyager autre part c'est vivre une aventure sous forme d'écriture. les romans sont en cour de construction des modifications peuvent suivre.
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5 octobre 2023
L'ART D'AIMER ( chansonnette n1 )
Libellés :
CHANSONNETTE
Pays/territoire :
68720 Zillisheim, France
suite roman d'aventure ( coïncidence 8/8 )
mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2
cette pièce pour
travers les places du port .Elles
grande cour entourée de maisons. Caroline entendit
des sifflements, elle leur fit signe que tous n'est pas perdu et
les emmena
pas se répercutèrent aux
sont, des cries d'enfants se fond
couloir s’arrêta et la lumière fut. Elles
tâtant. Elles arrivèrent devant la porte d'où provenaient les
pleurs d'enfants. Anne et Eva suivirent Caroline qui ne les
l
dans une pièce où la tristesse du
des deux filles.
a désirer. Il y a une fenêtre sous laquelle se trouve un petit
lits d'enfant. Les pleurs venaient de cet endroit. L'enfant se
débattit
entendit ses pleures,
la direction de ce lit. Elle prit le
le réconforter. Pendant ce temps, Caroline
vers une cachette situé sous le grand lit. Anne continua de
porter l'enfant d'environ neuf mois. A peine que cinq
minutes passèrent que
résonnent.
- Ouvrez la porte, c'est la police.
- J'arrive, un petit moment.
Caroline s'approche de la porte fermé a clé a deux tours.
- Vous voyez monsieur l'agent, je vous présente ma belle
sœur
- Il est a qui ce bébé là.
- Mais c'est le mien ça ne se voit pas, il me ressemble.
- Il ressemble plus tôt a un chinois
- Je ne le crois pas car a cette époque je passais mes
- Tu en as de bonne toi
- Il passe encore de temps a autre, je peux toujours lui
siffler un mot
- C'est bon les filles, comme il n'y a personne d'autre,
on peu partir
Avant de quitter les lieux il prête attention a une photo
placé au mur
ressembla aux deux filles
referma brusquement.
Il fallut plus de vingt minutes pour que la police quitta
l'endroit. Le
cachette. Elle fut un peu
courbatures disparurent au bout de quelques
Caroline leur proposa de faire du thé, elles ne refusèrent
pas.
par la curiosité et
- Quel est ton nom jeune fille et quel âge as tu, a
chacune d'elle.
Anne demanda du papier et de quoi écrire,
trois ans et Eva
de même.
Caroline lut ses écrits, puis elle demanda,
- Comment se fait il que vous venez de prendre contacte
avec les
Cette question fait hésiter Anne qui mit quelques instant
pour répondre.
- La police est a notre recherche car nous somme
partie du domaine
On a prit peur en voyant la
lorsque ces hommes nous ont proposer
en aide nous les avions suivi.
Caroline continu de la questionner par écrit,
- Vous voyer ce que je suis devenu en acceptant leur
protection, peut
leur besoin. Vous me paraissez
cette raison que je vous aide car ci vous
police pour un crime, là je vous dénonce sans hésiter.
Le
celle de
et surtout le
Anne marqua quelques mots sur le papier
- Ma copine Eva est une pauvre victime de la police qui la
fait
car elle
d'une banque.
cavale pour retrouver
le
respectueux.
Pendant ce temps, Eva se trouve prêt du petit lit
d'enfant qu'elle
avec elle en gesticulant et
pas l'air d'avoir sommeille. La lumière
le déranger. A ce moment un pré-sentiment de
d'attention fit maître en elle une réaction maternelle.
Elle se
envie. Son chagrin
remplis de solitude.
amadoué par le
La poignée de la porte de cette chambre fut brutalement
manipulé.
de la pousser puis elle
Caroline fit signe aux filles de se cacher
demande d'un air étonné,
- Qui est là ?
- C'est moi le Dénicheur ouvre.
Caroline s'assura que les filles se sont bien caché puis
elle dit,
- Je viens attend
Le comportement de cette individu fut brutal il demanda,
- Qu'as tu fais avec les filles ?
- Elle se sont volatilisé car la police nous avaient suivi.
Cette homme mériterais une offense pour lui redonner
son bon sens.
Eva se trouva en première ligne sous le lit, elle remarqua
que cette
- Pour quelle raison as tu laissé s’échapper ces filles
les cacher quelques temps.
Cette brute frappa a nouveau Caroline, son enfant
pleurait sans
Anne ne voyait rien mais entendit les agressions.
- Alors Caroline qu'as tu fait avec les deux filles ?
- J'ai suivi les consignes que les autres m'ont donné
même que
de la cour donnant sur les friches.
D'autres frappes résonnèrent.
- Fait moi taire ce sale cosse, ici c'est moi qui
donne des ordres
Caroline se rapproche de l'enfant qui continue de
pleurer comme une
sa maman eut subit.
- Pour quelle raison as tu refermé la porte a clé?
- La police est passé ici pour recherche les filles.
Caroline lui donna quelques indication,
- Elles mon demandé qu'elle direction prendre
pour rejoindre le
le Dénicheur, sous l'empire de consommation de
drogues,
avec une
cette
du Dénicheur qui
ne souffla un seul mot de dénonciation . Le petit
enfant continua
Quelle pénibilité que de devoir passer une nuit
sous un lit
car la peur les tint en
crainte, ouf de
qu'elle heure somme nous ,
dans cette pièce. Il regarde sur sa
- Dix heures du matin, alors Caroline, réveille toi.
Il poussa de son pied Caroline pour qu'elle se réveille.
Rien ni
L'enfant se réveilla en pleure se qui énerva le Dénicheur.
- Sale cosse, tu reprend ton pleurnichement, tu es bien
une fille.
Il s'approcha du petit lit et tenta de lui donner sa tétine
en
Une
que cette
- Sale cosse tu prend cette tétine ?
Rien ne servi, l'enfant continua de pleurer.
- Tu m'énerves sale cosse t'a mère doit s'occuper de toi.
Cette forme caoutchouteux ne remplace pas la faim et
cette
lever elle
cheveux.
- Mais tu te réveille bientôt ?
Malgré cette brutalité il n'obtint de réponse. Comme
sa
coula
- Merde, elle est morte, il ne manque plus que cela
Sans tarder il se lave la figure, remet ses chaussures,
tourne
l"enfant qui pleure.
trousses.
Un ouf pour que les filles qui peuvent enfin sortir de
sous le lit. Il
rapidement possible pas que
pensées Anne, se rapproche du petit lit
pleures lui
de Caroline sur laquelle horrible traces de coups de
ceinture l'on
le drame de cette nuit
Anne s'occupa du Bébé avec peine car l'enfant
n’arrêta pas de
biberon qu'elle lui donna.
Elle fit signe a Eva de partir au plus vite, l'enfant c'est
endormie
Cette orpheline lui
malheur. Eva fit comprendre a
les eut protégé au détriment de sa vie, c'est a elles de
lui venir en aide a ce bébé livré a lui même. Pour que
plus tard
Caroline, Eva emporta l
femmes.
La cloche de l’église tonna
fut danse
facile de se faufiler
Yves se réveilla a l'heure de midi, mais que c'est il
passé ? Il
- Monsieur Yves, comment allez vous ?
- Bonjour monsieur le commissaire, je vais bien
merci
- Nous suivons votre femme qui se trouve dans cette
ville, les
Elle n'est pas seule
des marguerites l'accompagne.
- Je souhaite que rien ne lui est arrivé.
le commissaire n'eut pas fermé l’œil de la nuit, il
suivit les
- Monsieur Yves j'ai une nouvelle a vous annoncer,
au sujet
d'apprendre qu'elle
que les agresseurs et qu'elle
Elle ne fut qu'une otage fictif. Mais
résultat me prouve que l'axe du tir venait de votre
habitation. Cela pourrait être votre femme qui
eut tiré ou
- Je suis de votre avis pour certaine remarque mais
pour
- Les quelles monsieur Yves ?
- Je doute que ma femme Eva eut tiré.
- Vous prenez la défense de votre femme,
- Je prend la défense de ma femme car j'ai confiance
en elle.
Sur leur parcoure une foule de personnes passèrent,
certains
et une certaine
Parfois c'est Eva qui la
vers un magasin de chaussure
il fut temps qu'elles
malgré qu'elle le portèrent de temps a autre.
Une patrouille de police arrive dans l'habitation
d'où sont
les bras. Une
disparition de l'enfant. Pour
c'est un crime qui fut commis dans la
lieux du
l'acharnement sur
voisine et le petit lit d'enfant
d'enfant. La ceinture ensanglanté fut mis comme
étant l'objet du crime. De nombreuses empreintes sont
prise aussi que des photos.
- Ceci est bien l'objet du crime, il faut l'envoyer au labo.
Dit l'inspecteur qui s'occupe de cette enquête.
Les deux jeunes femmes et l'enfant ce trouve a cette
instant là
fermé, normal,
leur
Anne se dirige vers la sonnette de l'appartement, le bébé
pleure
le chagrine et
mouillé. Anne appui sur
électrique qui permis d'ouvrir
plaça au milieu du trottoir pour que sa
voir de la fenêtre. C'est Eva qui tient l'enfant ,
encore,
- Qui est là, Anne que fait tu là,
Elle lui fit des signes de la
hésiter.
Anne souri et fit des signes de la main.
- Viens voir Edoire, c'est notre chère Anne qui nous
rend
Une puissante voix résonna.
- Mais, ouvre lui la porte Édite au lieu de parler par
la
Une personne disparu pour mettre en fonction le
mécanisme
la poignée et l'
que celle ci la suive.
Une tache humidité
vêtements. La chaleur de
situation plus que pénible je dirais
pour tous.
Édite vint les rejoindre dans les escaliers.
Anne vint de relayer Eva. Elle fit des signes de la tête
pour
- Tu sais Anne nous venons de terminer notre repas,
mais
recevoir.
Elles arrivèrent devant la porte ouverte du logement.
Eva
correcte.
une jeune femme
- Bonjour les filles, que nous rapportes tu de beau,
qu'il
Eva le reprend dans ses bras et Anne dialogue par
signe pour représenter le sexe de l'enfant.
- Donc c'est une fille, elle est mignonne pour quelle
raison
Les filles se dirige vers la cuisine, là une personne
occupe la
tente de deviner les
positionna ce personnage.
L'homme fit bouger ses lèvres, son visage devient
expressif.
moi ?
- Il a certainement faim, et doit être langé.
Ce personnage prit sa pipe qu'il bourra par habitude
puis
- Edoire a raison, Sabine donne leurs de quoi langer
ce
- Anne puis je m'en occuper personnellement?
Anne fit signe a Sabine qu'elle peut s'occuper de l'enfant.
Eva accepta et lui tendit le bébé qui pleurait encore. Le
grand monsieur restât sur sa chaise et dit d'un air
curieux,
- Mais Anne quelle est la raison de ta visite,
Anne demanda de quoi écrire . Elle prit place autour de
cette
- Hier soir nous avions quitté le domaine des marguerites
en stop. Nous somme arrivé la nuit. Les rues sont
contrains a nous cacher. La maman de cet enfant nous
a hébergé a ses risque et périls. Cette réaction ne lui eut
porté chance car son meneur la battu a mort pendant que
nous étions caché sous le lit. De notre cachette ont fut
témoin de cette agression. Même l'enfant subit des sévis.
Il pleurait sans arrêt. Lorsque le meurtrier fut partie on
l'emmena.
Monsieur Edoire lit ces mots avec de l'attention.
Il passe ensuite le morceau de papier a sa femme et
dit d'un
- Mais pour quelle raison avez vous quitté le
domaine des
Anne ne tarde a rédiger une réponse. Pendant ce temps la
dame Édite, leur prépare deux assiettes. Eva eut prit place
a coté de ce robuste personnage, songeur et sympathique
a la fois. Sur la feuille vierge elle commence par y figurer
les
- L'on a quitté le château pour pouvoir retrouver le mari
de ma copine Eva qui fut dérouté lorsqu'elle voulu le
banque. Comme elle ne put donner des explications
un policier la retenu, elle lut mordu et a partir de là
elle fut considéré comme agressive et placé dans un
asile de détraqué. Une fiche suiveuse lui donna un
faux nom. Elle eut la chance de se retrouver au
Domaine des marguerites grâce a l'attention d'une
femme médecin.
Monsieur Edoire prit cette feuille qu'il lut avec attention
puis d'un air songeur il lui répond,
- Tu as toujours bon cœur Anne avec les autres mais te
rendu conte de se que vous venez de faire, l'enfant ne
vous appartient pas il faut absolument l’emmener a
la police.
Sabine revient de la salle de bain, sont étonnement est
marqué profondément sur son visage.
- Maman vient voir pour quelle raison cette enfant
pleure, il est marqué d’atroce blessures.
Édite se leva ainsi que les autres qui la suivirent jusqu'à
la petite salle de bain. Il ne resta plus de place pour
bouger. L'enfant fut couché sur le ventre et son dos marqué
- Je suis d'avis a emmener cette enfant le plus rapidement
à l'hôpital.
- Je suis te ton avis Edoire, mais laissons les terminer
leur repas le temps que Sabine s'occupe de l'enfant.
Trois heures de l'après midi, Yves a terminé son repas.
Ce fut la première fois qu'il le dévora. Il eut retrouver ses
forces et fut prêt a affronter le pire.
Le commissaire vint le trouver. Cette présence le rendit
nerveux.
- Monsieur Yves je vous apporte des rapports de la police.
Figurez vous que l'on eut retrouvé des traces du
passage de votre femme pas loin du port. La suite des
événements risque de vous choquer.
A ce moment là, Yves prend place sur le rebord de son lit
en tube blanc et écoute attentivement.
- Ils ont trouvé une jeune femme lâchement assassiné, se
n'est pas de votre femme qu'il s'agit, rassurez vous.
Yves transpira ses pensées restaient endormie. Les paroles
du commissaire le blessaient.
- Cette jeune femme au nom de Caroline fut tué a coup
rapport dit que cette acte fut commit par un dément. Si
je vous rapporte cette histoire c'est que votre femme fut
dans la pièce au moment du crime car on a trouvé ses
empreintes sur les meubles mais pas sur la ceinture.
- Monsieur le commissaire, je ne sais pas a quoi vous
voulez en venir ?
- Votre femme, désirait elle un enfant ?
- Non car Eva eut peur que l'enfant ne sache pas entendre
et parler.
- Donc, elle eut commis un rapt d'enfant cette nuit comme
mes collègues pensent.
- Un rapt d'enfant, mais de quel enfant ?
- Mais de celui qu'a commis votre femme cette nuit ?
- Ce n'est pas possible toute cette salade je n'en revient
pas.
- Cela est possible car après avoir séjourné dans une
maison de fou, elle a disjoncté.
- Je peux certifier que ma femme ne fut jamais violente
ni agressif.
sur les agresseurs, expliquez moi cela.
La dureté d'un mensonge efface la réalité ses accusations
non justifier et sens preuve ne font que l’intimider.
- Mais je précise que votre femme ne fut pas seule car
d'autres traces d’empreintes furent prélevé. La
personne partie avec elle y était aussi. Mais l'acte du
crime fut
Le commissaire quitta la pièce d'un air embarrassé, et
fatigué. Yves fut bouleversé une nouvelle fois. Ses pensées
sont en ébullition, de question a ses poser, sur le vrais ou
le mal, sur les faits et les suppositions. Ce mélange de
questions étouffe la pièce, l’hétaïre médical enivre le
patient. Yves ne tenait plus et décida de sortir de se lever
et s'habiller. Il a ras le bol de cette injustice, de cette
prison qui devient insupportable. Il s’habille et décide de
quitter cette hôpital.
Anne et Eva. A l’accueil la responsable du guichet
pleurait.
- Qui est la maman de cette enfant ?
Les trois jeune femme se regardèrent, collé. Sabine dit,
- Aucune de nous trois n'est la maman de ce bébé,
- Bon, je veux bien mais comment se fait il que vous
avez cette enfant.
Eva donna la photo qu'elle eut emporté de la chambre où
elles s'étaient cacher, et pointa du doigt Caroline la
maman. Sabine expliqua,
- Un malheur est arrivé a sa mère suite a un accident,
c'est pour cette raison que nous apportons l'enfant.
- Mais vous rendez vous compte que vous n'avez pas le
droit de transporter une personne victime d'un
accident ?
- Cette enfant ne fut pas accidenté mais maltraité par
un inconnu.
Sabine ne sut rajouter d'autres explications.
- Bon, prenez place dans la salle d'attente sur votre
sois soigné.
Cette personne de l’accueille téléphona a qui de droit.
Depuis la salle d'attente on peut apercevoir les alentours
par la fenêtre ouverte.
hôpital sans que le personnelle soignant le remarque. Il
prit l’escalier de secoure.
Au poste de police les renseignements émit par l'hôtesse
d'accueil le de l'hôpital correspondaient aux avis de
recherche . La police se mit en marche pour interroger
les trois jeunes femmes suspectes. Deux véhicules se
déplacèrent.
Yves arriva à la dernière marche de l'escalier de
secoure. Il aperçut la venue des deux voitures de police.
Dans sa tête il n'y eut pas de doute, c'est pour lui que la
police arrive. Il se baissa pour se confondre avec les
marches métallique. Puis, il se dit, et si Eva venait a sa
rencontre dans la voiture de police ? il avança et
contourne le bâtiment et regarde vers le ciel. Il fait un
point d’arrêt.
d'attente. Eva s'impatiente, elle se lève et s'approche
de la fenêtre grande ouverte.Elle aperçois les deux
voitures de police. Une sensation de renouveau la
pourchasse.
La police questionne l’hôtesse d'accueil le. Cette
présence d'uniforme fut remarqué par Eva qui a
leur vue réagi spontanément. Elle se dirige vers
la fenêtre.
A cette instant, Yves se trouve sous la fenêtre, il
aperçoit cette vie humaine en équilibre sur les rebords.
Entre les deux amoureux il ne reste plus que le vide.
Quelques étages, cela fut suffisant pour.
- Mais, non de Dieu, c'est Eva qui se trouve là,
Eva, Eva,
Cria Yves de toute ses forces en courant sous l'axe d
- Eva, Eva, c'est moi Yves.
La vie fait que certaines personnes entendent et d'autres
pas. Là Eva n'entendit rien, je crois, non attendez elle
remarque les gestes d'Yves,
( LA SUITE DÉPEND DE VOTRE IMAGINATION, A
ELLE SAUTE ?)
Le commissaire continua de faire son enquête et tomba
sur la photo qu’Éva eut donné a l'hôtesse d’accueil de
l'hôpital. Il y eut Caroline, la femme tué, et a coté d'elle
sa sœur, Liliane tué elle aussi. Cette coïncidence fut
suspect comme le passage qui mena sur le terrain
vague où furent caché les agresseurs avec leur otage
policier. Quant a l'argent certainement qu'il se trouve
par ici allez savoir.
JJM
161 Coïncidence
cette pièce pour
travers les places du port .Elles
grande cour entourée de maisons. Caroline entendit
des sifflements, elle leur fit signe que tous n'est pas perdu et
les emmena
pas se répercutèrent aux
sont, des cries d'enfants se fond
couloir s’arrêta et la lumière fut. Elles
tâtant. Elles arrivèrent devant la porte d'où provenaient les
pleurs d'enfants. Anne et Eva suivirent Caroline qui ne les
l
dans une pièce où la tristesse du
des deux filles.
162
Des lamelles de tapisseriea désirer. Il y a une fenêtre sous laquelle se trouve un petit
lits d'enfant. Les pleurs venaient de cet endroit. L'enfant se
débattit
entendit ses pleures,
la direction de ce lit. Elle prit le
le réconforter. Pendant ce temps, Caroline
vers une cachette situé sous le grand lit. Anne continua de
porter l'enfant d'environ neuf mois. A peine que cinq
minutes passèrent que
résonnent.
- Ouvrez la porte, c'est la police.
- J'arrive, un petit moment.
Caroline s'approche de la porte fermé a clé a deux tours.
- Vous voyez monsieur l'agent, je vous présente ma belle
sœur
- Il est a qui ce bébé là.
- Mais c'est le mien ça ne se voit pas, il me ressemble.
- Il ressemble plus tôt a un chinois
- Je ne le crois pas car a cette époque je passais mes
163
nuits avec votre- Tu en as de bonne toi
- Il passe encore de temps a autre, je peux toujours lui
siffler un mot
- C'est bon les filles, comme il n'y a personne d'autre,
on peu partir
Avant de quitter les lieux il prête attention a une photo
placé au mur
ressembla aux deux filles
referma brusquement.
Il fallut plus de vingt minutes pour que la police quitta
l'endroit. Le
cachette. Elle fut un peu
courbatures disparurent au bout de quelques
Caroline leur proposa de faire du thé, elles ne refusèrent
pas.
par la curiosité et
- Quel est ton nom jeune fille et quel âge as tu, a
chacune d'elle.
Anne demanda du papier et de quoi écrire,
164
- Je m'appelle Anne et ma copine c'est Eva, j'ai vingttrois ans et Eva
de même.
Caroline lut ses écrits, puis elle demanda,
- Comment se fait il que vous venez de prendre contacte
avec les
Cette question fait hésiter Anne qui mit quelques instant
pour répondre.
- La police est a notre recherche car nous somme
partie du domaine
On a prit peur en voyant la
lorsque ces hommes nous ont proposer
en aide nous les avions suivi.
Caroline continu de la questionner par écrit,
- Vous voyer ce que je suis devenu en acceptant leur
protection, peut
leur besoin. Vous me paraissez
cette raison que je vous aide car ci vous
police pour un crime, là je vous dénonce sans hésiter.
Le
165.
Eva lit ces quelques mots et garde en elle une part de vérité,celle de
et surtout le
Anne marqua quelques mots sur le papier
- Ma copine Eva est une pauvre victime de la police qui la
fait
car elle
d'une banque.
cavale pour retrouver
le
respectueux.
Pendant ce temps, Eva se trouve prêt du petit lit
d'enfant qu'elle
avec elle en gesticulant et
pas l'air d'avoir sommeille. La lumière
le déranger. A ce moment un pré-sentiment de
d'attention fit maître en elle une réaction maternelle.
Elle se
envie. Son chagrin
remplis de solitude.
166
Caroline regarda dans sa direction et se laissaamadoué par le
La poignée de la porte de cette chambre fut brutalement
manipulé.
de la pousser puis elle
Caroline fit signe aux filles de se cacher
demande d'un air étonné,
- Qui est là ?
- C'est moi le Dénicheur ouvre.
Caroline s'assura que les filles se sont bien caché puis
elle dit,
- Je viens attend
Le comportement de cette individu fut brutal il demanda,
- Qu'as tu fais avec les filles ?
- Elle se sont volatilisé car la police nous avaient suivi.
Cette homme mériterais une offense pour lui redonner
son bon sens.
Eva se trouva en première ligne sous le lit, elle remarqua
que cette
- Pour quelle raison as tu laissé s’échapper ces filles
167
elles auraientles cacher quelques temps.
Cette brute frappa a nouveau Caroline, son enfant
pleurait sans
Anne ne voyait rien mais entendit les agressions.
- Alors Caroline qu'as tu fait avec les deux filles ?
- J'ai suivi les consignes que les autres m'ont donné
même que
de la cour donnant sur les friches.
D'autres frappes résonnèrent.
- Fait moi taire ce sale cosse, ici c'est moi qui
donne des ordres
Caroline se rapproche de l'enfant qui continue de
pleurer comme une
sa maman eut subit.
- Pour quelle raison as tu refermé la porte a clé?
- La police est passé ici pour recherche les filles.
Caroline lui donna quelques indication,
- Elles mon demandé qu'elle direction prendre
pour rejoindre le
168
du portle Dénicheur, sous l'empire de consommation de
drogues,
avec une
cette
du Dénicheur qui
ne souffla un seul mot de dénonciation . Le petit
enfant continua
Quelle pénibilité que de devoir passer une nuit
sous un lit
car la peur les tint en
crainte, ouf de
qu'elle heure somme nous ,
dans cette pièce. Il regarde sur sa
- Dix heures du matin, alors Caroline, réveille toi.
Il poussa de son pied Caroline pour qu'elle se réveille.
Rien ni
169
se raser.L'enfant se réveilla en pleure se qui énerva le Dénicheur.
- Sale cosse, tu reprend ton pleurnichement, tu es bien
une fille.
Il s'approcha du petit lit et tenta de lui donner sa tétine
en
Une
que cette
- Sale cosse tu prend cette tétine ?
Rien ne servi, l'enfant continua de pleurer.
- Tu m'énerves sale cosse t'a mère doit s'occuper de toi.
Cette forme caoutchouteux ne remplace pas la faim et
cette
lever elle
cheveux.
- Mais tu te réveille bientôt ?
Malgré cette brutalité il n'obtint de réponse. Comme
sa
coula
- Merde, elle est morte, il ne manque plus que cela
170
maintenantSans tarder il se lave la figure, remet ses chaussures,
tourne
l"enfant qui pleure.
trousses.
Un ouf pour que les filles qui peuvent enfin sortir de
sous le lit. Il
rapidement possible pas que
pensées Anne, se rapproche du petit lit
pleures lui
de Caroline sur laquelle horrible traces de coups de
ceinture l'on
le drame de cette nuit
Anne s'occupa du Bébé avec peine car l'enfant
n’arrêta pas de
biberon qu'elle lui donna.
Elle fit signe a Eva de partir au plus vite, l'enfant c'est
endormie
Cette orpheline lui
malheur. Eva fit comprendre a
171
Bébé avec elles. IL faut reconnaître queles eut protégé au détriment de sa vie, c'est a elles de
lui venir en aide a ce bébé livré a lui même. Pour que
plus tard
Caroline, Eva emporta l
femmes.
La cloche de l’église tonna
fut danse
facile de se faufiler
172
Yves se réveilla a l'heure de midi, mais que c'est il
passé ? Il
- Monsieur Yves, comment allez vous ?
- Bonjour monsieur le commissaire, je vais bien
merci
- Nous suivons votre femme qui se trouve dans cette
ville, les
Elle n'est pas seule
des marguerites l'accompagne.
- Je souhaite que rien ne lui est arrivé.
le commissaire n'eut pas fermé l’œil de la nuit, il
suivit les
- Monsieur Yves j'ai une nouvelle a vous annoncer,
au sujet
d'apprendre qu'elle
que les agresseurs et qu'elle
Elle ne fut qu'une otage fictif. Mais
résultat me prouve que l'axe du tir venait de votre
habitation. Cela pourrait être votre femme qui
eut tiré ou
173
valeurs en votre- Je suis de votre avis pour certaine remarque mais
pour
- Les quelles monsieur Yves ?
- Je doute que ma femme Eva eut tiré.
- Vous prenez la défense de votre femme,
- Je prend la défense de ma femme car j'ai confiance
en elle.
Sur leur parcoure une foule de personnes passèrent,
certains
et une certaine
Parfois c'est Eva qui la
vers un magasin de chaussure
il fut temps qu'elles
malgré qu'elle le portèrent de temps a autre.
Une patrouille de police arrive dans l'habitation
d'où sont
les bras. Une
disparition de l'enfant. Pour
c'est un crime qui fut commis dans la
174
Les inspecteurs spécialise arrivent aussi sur leslieux du
l'acharnement sur
voisine et le petit lit d'enfant
d'enfant. La ceinture ensanglanté fut mis comme
étant l'objet du crime. De nombreuses empreintes sont
prise aussi que des photos.
- Ceci est bien l'objet du crime, il faut l'envoyer au labo.
Dit l'inspecteur qui s'occupe de cette enquête.
Les deux jeunes femmes et l'enfant ce trouve a cette
instant là
fermé, normal,
leur
Anne se dirige vers la sonnette de l'appartement, le bébé
pleure
le chagrine et
mouillé. Anne appui sur
électrique qui permis d'ouvrir
plaça au milieu du trottoir pour que sa
voir de la fenêtre. C'est Eva qui tient l'enfant ,
175
une personne se penche par la fenêtre. L'enfant pleureencore,
- Qui est là, Anne que fait tu là,
Elle lui fit des signes de la
hésiter.
Anne souri et fit des signes de la main.
- Viens voir Edoire, c'est notre chère Anne qui nous
rend
Une puissante voix résonna.
- Mais, ouvre lui la porte Édite au lieu de parler par
la
Une personne disparu pour mettre en fonction le
mécanisme
la poignée et l'
que celle ci la suive.
Une tache humidité
vêtements. La chaleur de
situation plus que pénible je dirais
pour tous.
Édite vint les rejoindre dans les escaliers.
176
- Mais Anne que nous rapportes tu là ?Anne vint de relayer Eva. Elle fit des signes de la tête
pour
- Tu sais Anne nous venons de terminer notre repas,
mais
recevoir.
Elles arrivèrent devant la porte ouverte du logement.
Eva
correcte.
une jeune femme
- Bonjour les filles, que nous rapportes tu de beau,
qu'il
Eva le reprend dans ses bras et Anne dialogue par
signe pour représenter le sexe de l'enfant.
- Donc c'est une fille, elle est mignonne pour quelle
raison
Les filles se dirige vers la cuisine, là une personne
occupe la
tente de deviner les
177
eut beau travaillerpositionna ce personnage.
L'homme fit bouger ses lèvres, son visage devient
expressif.
moi ?
- Il a certainement faim, et doit être langé.
Ce personnage prit sa pipe qu'il bourra par habitude
puis
- Edoire a raison, Sabine donne leurs de quoi langer
ce
- Anne puis je m'en occuper personnellement?
Anne fit signe a Sabine qu'elle peut s'occuper de l'enfant.
Eva accepta et lui tendit le bébé qui pleurait encore. Le
grand monsieur restât sur sa chaise et dit d'un air
curieux,
- Mais Anne quelle est la raison de ta visite,
Anne demanda de quoi écrire . Elle prit place autour de
cette
- Hier soir nous avions quitté le domaine des marguerites
en stop. Nous somme arrivé la nuit. Les rues sont
178
devenu dangereuse, de nombreux anecdotes nous ontcontrains a nous cacher. La maman de cet enfant nous
a hébergé a ses risque et périls. Cette réaction ne lui eut
porté chance car son meneur la battu a mort pendant que
nous étions caché sous le lit. De notre cachette ont fut
témoin de cette agression. Même l'enfant subit des sévis.
Il pleurait sans arrêt. Lorsque le meurtrier fut partie on
l'emmena.
Monsieur Edoire lit ces mots avec de l'attention.
Il passe ensuite le morceau de papier a sa femme et
dit d'un
- Mais pour quelle raison avez vous quitté le
domaine des
Anne ne tarde a rédiger une réponse. Pendant ce temps la
dame Édite, leur prépare deux assiettes. Eva eut prit place
a coté de ce robuste personnage, songeur et sympathique
a la fois. Sur la feuille vierge elle commence par y figurer
les
- L'on a quitté le château pour pouvoir retrouver le mari
de ma copine Eva qui fut dérouté lorsqu'elle voulu le
179
suivre a l'hôpital suite a une agression dans unebanque. Comme elle ne put donner des explications
un policier la retenu, elle lut mordu et a partir de là
elle fut considéré comme agressive et placé dans un
asile de détraqué. Une fiche suiveuse lui donna un
faux nom. Elle eut la chance de se retrouver au
Domaine des marguerites grâce a l'attention d'une
femme médecin.
Monsieur Edoire prit cette feuille qu'il lut avec attention
puis d'un air songeur il lui répond,
- Tu as toujours bon cœur Anne avec les autres mais te
rendu conte de se que vous venez de faire, l'enfant ne
vous appartient pas il faut absolument l’emmener a
la police.
Sabine revient de la salle de bain, sont étonnement est
marqué profondément sur son visage.
- Maman vient voir pour quelle raison cette enfant
pleure, il est marqué d’atroce blessures.
Édite se leva ainsi que les autres qui la suivirent jusqu'à
la petite salle de bain. Il ne resta plus de place pour
bouger. L'enfant fut couché sur le ventre et son dos marqué
180
de blessures fut visible par tous. Monsieur Edoire dit,- Je suis d'avis a emmener cette enfant le plus rapidement
à l'hôpital.
- Je suis te ton avis Edoire, mais laissons les terminer
leur repas le temps que Sabine s'occupe de l'enfant.
Trois heures de l'après midi, Yves a terminé son repas.
Ce fut la première fois qu'il le dévora. Il eut retrouver ses
forces et fut prêt a affronter le pire.
Le commissaire vint le trouver. Cette présence le rendit
nerveux.
- Monsieur Yves je vous apporte des rapports de la police.
Figurez vous que l'on eut retrouvé des traces du
passage de votre femme pas loin du port. La suite des
événements risque de vous choquer.
A ce moment là, Yves prend place sur le rebord de son lit
en tube blanc et écoute attentivement.
- Ils ont trouvé une jeune femme lâchement assassiné, se
n'est pas de votre femme qu'il s'agit, rassurez vous.
Yves transpira ses pensées restaient endormie. Les paroles
du commissaire le blessaient.
- Cette jeune femme au nom de Caroline fut tué a coup
181
de ceinture, l'arme du crime trouve sur les lieux. Lerapport dit que cette acte fut commit par un dément. Si
je vous rapporte cette histoire c'est que votre femme fut
dans la pièce au moment du crime car on a trouvé ses
empreintes sur les meubles mais pas sur la ceinture.
- Monsieur le commissaire, je ne sais pas a quoi vous
voulez en venir ?
- Votre femme, désirait elle un enfant ?
- Non car Eva eut peur que l'enfant ne sache pas entendre
et parler.
- Donc, elle eut commis un rapt d'enfant cette nuit comme
mes collègues pensent.
- Un rapt d'enfant, mais de quel enfant ?
- Mais de celui qu'a commis votre femme cette nuit ?
- Ce n'est pas possible toute cette salade je n'en revient
pas.
- Cela est possible car après avoir séjourné dans une
maison de fou, elle a disjoncté.
- Je peux certifier que ma femme ne fut jamais violente
ni agressif.
182
- Et le crime qu'elle eut commis en tirant de sang froidsur les agresseurs, expliquez moi cela.
La dureté d'un mensonge efface la réalité ses accusations
non justifier et sens preuve ne font que l’intimider.
- Mais je précise que votre femme ne fut pas seule car
d'autres traces d’empreintes furent prélevé. La
personne partie avec elle y était aussi. Mais l'acte du
crime fut
Le commissaire quitta la pièce d'un air embarrassé, et
fatigué. Yves fut bouleversé une nouvelle fois. Ses pensées
sont en ébullition, de question a ses poser, sur le vrais ou
le mal, sur les faits et les suppositions. Ce mélange de
questions étouffe la pièce, l’hétaïre médical enivre le
patient. Yves ne tenait plus et décida de sortir de se lever
et s'habiller. Il a ras le bol de cette injustice, de cette
prison qui devient insupportable. Il s’habille et décide de
quitter cette hôpital.
Anne et Eva. A l’accueil la responsable du guichet
183
demandapleurait.
- Qui est la maman de cette enfant ?
Les trois jeune femme se regardèrent, collé. Sabine dit,
- Aucune de nous trois n'est la maman de ce bébé,
- Bon, je veux bien mais comment se fait il que vous
avez cette enfant.
Eva donna la photo qu'elle eut emporté de la chambre où
elles s'étaient cacher, et pointa du doigt Caroline la
maman. Sabine expliqua,
- Un malheur est arrivé a sa mère suite a un accident,
c'est pour cette raison que nous apportons l'enfant.
- Mais vous rendez vous compte que vous n'avez pas le
droit de transporter une personne victime d'un
accident ?
- Cette enfant ne fut pas accidenté mais maltraité par
un inconnu.
Sabine ne sut rajouter d'autres explications.
- Bon, prenez place dans la salle d'attente sur votre
184
gauche, je fais mon possible pour que cette enfantsois soigné.
Cette personne de l’accueille téléphona a qui de droit.
Depuis la salle d'attente on peut apercevoir les alentours
par la fenêtre ouverte.
hôpital sans que le personnelle soignant le remarque. Il
prit l’escalier de secoure.
Au poste de police les renseignements émit par l'hôtesse
d'accueil le de l'hôpital correspondaient aux avis de
recherche . La police se mit en marche pour interroger
les trois jeunes femmes suspectes. Deux véhicules se
déplacèrent.
Yves arriva à la dernière marche de l'escalier de
secoure. Il aperçut la venue des deux voitures de police.
Dans sa tête il n'y eut pas de doute, c'est pour lui que la
police arrive. Il se baissa pour se confondre avec les
marches métallique. Puis, il se dit, et si Eva venait a sa
rencontre dans la voiture de police ? il avança et
185
l'escalier de secoure se releva par le contre poids. ilcontourne le bâtiment et regarde vers le ciel. Il fait un
point d’arrêt.
d'attente. Eva s'impatiente, elle se lève et s'approche
de la fenêtre grande ouverte.Elle aperçois les deux
voitures de police. Une sensation de renouveau la
pourchasse.
La police questionne l’hôtesse d'accueil le. Cette
présence d'uniforme fut remarqué par Eva qui a
leur vue réagi spontanément. Elle se dirige vers
la fenêtre.
A cette instant, Yves se trouve sous la fenêtre, il
aperçoit cette vie humaine en équilibre sur les rebords.
Entre les deux amoureux il ne reste plus que le vide.
Quelques étages, cela fut suffisant pour.
- Mais, non de Dieu, c'est Eva qui se trouve là,
Eva, Eva,
Cria Yves de toute ses forces en courant sous l'axe d
186
l'éventuelle chute de la fenêtre.- Eva, Eva, c'est moi Yves.
La vie fait que certaines personnes entendent et d'autres
pas. Là Eva n'entendit rien, je crois, non attendez elle
remarque les gestes d'Yves,
( LA SUITE DÉPEND DE VOTRE IMAGINATION, A
ELLE SAUTE ?)
Le commissaire continua de faire son enquête et tomba
sur la photo qu’Éva eut donné a l'hôtesse d’accueil de
l'hôpital. Il y eut Caroline, la femme tué, et a coté d'elle
sa sœur, Liliane tué elle aussi. Cette coïncidence fut
suspect comme le passage qui mena sur le terrain
vague où furent caché les agresseurs avec leur otage
policier. Quant a l'argent certainement qu'il se trouve
par ici allez savoir.
JJM
Écrit par Jean Jacques Mutz écrivain amateur
a ce jour, 04 04 2019, 8 566 lecteurs.
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Libellés :
roman d'aventure
Pays/territoire :
68720 Heidwiller, France
suite roman d'aventure ( coïncidence 7/8 )
mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2
128 coïncidences 7/8
Les préparatifs prirent forme dans le château du
domaine des marguerites.
rangées dans deux sacs de toile. Le programme de
quitter
du jour, Comme le moyen de
l'auto stop, la clarté permis de reconnaître les
domaine des marguerites.
rangées dans deux sacs de toile. Le programme de
quitter
du jour, Comme le moyen de
l'auto stop, la clarté permis de reconnaître les
conducteurs qui leurs proposèrent de les transporter.
Elles traversèrent les champs de blés vers 19h30 et
se retrouvèrent au bord
longeait le domaine du château. Leur habillement se
se retrouvèrent au bord
longeait le domaine du château. Leur habillement se
soldait par un foulard pour chacune d'elle et de deux
belles robes aux couleurs
belles robes aux couleurs
129
Elles tenaient leur sac de toile dans une main. Leur
habillement ressembla à deux paysannes avec leurs
habits parsemés de
des champs fraîchement moissonnée. Elles
petite pose assise sur une bote de paille.
habits parsemés de
des champs fraîchement moissonnée. Elles
petite pose assise sur une bote de paille.
Au bout
samaritain ne se proposa de les
multiples gestes ne portèrent leur fruits.Cela n'abaissa
pas le
de police se fit entendre
voyait de loin. La peur d'être repéré les guida
samaritain ne se proposa de les
multiples gestes ne portèrent leur fruits.Cela n'abaissa
pas le
de police se fit entendre
voyait de loin. La peur d'être repéré les guida
vers une cachette, elles se couchèrent derrière les bottes
de pailles.
remarquée.
sur le bord de la national en
de pailles.
remarquée.
sur le bord de la national en
Eva fut impressionné par ce pouvoir qu'Anne avait,
entendre et pouvoir
a mener.
entendre et pouvoir
a mener.
Dans cette voiture de police, une 404 Peugeot
se trouvait le
plus vite. Les deux jeunes femmes se sentirent traqués,
se trouvait le
130
rejoindre le château du domaine desplus vite. Les deux jeunes femmes se sentirent traqués,
certainement que la police venaient pour leur
disparition. Il faut que la
qu'une
disparition. Il faut que la
qu'une
quarante km d'ici. Leur espoir portât ses fruits, un
grand ensemble
s'arrêter
grand ensemble
s'arrêter
qui chassèrent le surplus d'air.
Pour un routier un peu pervers, deux jeunes femmes
bien bâtie, ne
un sourire c'est certain et qui sais
bien bâtie, ne
un sourire c'est certain et qui sais
La vitre du camion coté passager s'ouvrit
électriquement. Le chauffeur
électriquement. Le chauffeur
- Alors mes demoiselles où désirez vous allez ?
Anne comprit les paroles du chauffeur, pour lui
répondre elle lui tendit
répondre elle lui tendit
- (nous somme deux femmes muette, pouvez -vous nous
emmener
emmener
Le conducteur de cet ensemble routier, fut ébloui pa
invitât pour monter dans la cabine. La
se trouva sur sa route qu'il suivit.
131
la beauté des deuxinvitât pour monter dans la cabine. La
se trouva sur sa route qu'il suivit.
Le lourd véhicule reprit lentement de la vitesse et de
la cabine les filles
des marguerites et le gyrophare de
stationné devant l'entrée principal. Maintenant
la cabine les filles
des marguerites et le gyrophare de
stationné devant l'entrée principal. Maintenant
sont certaine que leur fuite fut remarquée et signalé,
Anne n'eut pas tort
derrière les ballots de paille.
Anne n'eut pas tort
derrière les ballots de paille.
Devant l'entrée du domaine, Yves et le commissaire
descendirent de
une personne se présentât a leur
descendirent de
une personne se présentât a leur
- Bonsoir messieurs, c'est pour qu'elle sujet ?
- Madame, avez vous reçu le coup de téléphone de
centre psychologique ?
centre psychologique ?
Le commissaire eut sort sa carte de police et la
présentât a la personne
présentât a la personne
132
- J'aimerai retrouver une personne admis dans votre
établissement sous
cala deux jours?
établissement sous
cala deux jours?
- Effectivement, monsieur le commissaire, dans
notre établissement une
de Liliane fut admisse. Allons faire un tour
notre établissement une
de Liliane fut admisse. Allons faire un tour
dans le jardin, suivez-moi.
Enfin, Yves alla retrouver sa bien aimé, il tenta
d'obtenir de ses nouvelles
- Est elle en bonne santé madame ?
- Bien sûr monsieur, elle a repris confiance en son
entourage, car dans
emmenée,
- Qu'entendez -vous madame dans cette explication,
fut elle blessée ?
- Bien entendu monsieur elle est profondément
blessée,, il lui manque
des blessures apparente la martyrisent.
Maintenant elle se trouve en bonne main dans
notre
cette femme sans hésiter.
- Vous savez messieurs à cette heure-ci les filles
sont en promenade dans
bon maintenant à l'extérieur, je suis certaine de
Enfin, Yves alla retrouver sa bien aimé, il tenta
d'obtenir de ses nouvelles
- Est elle en bonne santé madame ?
- Bien sûr monsieur, elle a repris confiance en son
entourage, car dans
emmenée,
- Qu'entendez -vous madame dans cette explication,
fut elle blessée ?
- Bien entendu monsieur elle est profondément
blessée,, il lui manque
des blessures apparente la martyrisent.
Maintenant elle se trouve en bonne main dans
notre
133
Cette réponse persuade notre chère Yves qui suitcette femme sans hésiter.
- Vous savez messieurs à cette heure-ci les filles
sont en promenade dans
bon maintenant à l'extérieur, je suis certaine de
les retrouver la bas.
L'attention des deux visiteurs se laisse impressionner
par la beauté de ce
bâtiment ne répond à la comparaison du
de psychiatrie, c'est comme le jour qui tente de
ressembler à l'ombre
Effectivement les pensionnaires profitèrent de leur
temps libre pour
remarqua que tous les bancs son occupé,à
peine quelques jeunes femme se promenaient.
Qu'il fait bon en cette fin
jour se dissipa doucement. Au loin dans le ciel
se rassemble se gros nuages, un orage se préparait.
Cette promenade
faiblissait.
pensionnaires, mais
de réponse négative. Yves visionna
Aucune ne fut Eva. L'accompagnatrice lui dit,
- Je pense qu'elles se trouvent dans le dortoir,
suivez moi messieurs.
Ils suivirent la guide vers le château.
L'attention des deux visiteurs se laisse impressionner
par la beauté de ce
bâtiment ne répond à la comparaison du
de psychiatrie, c'est comme le jour qui tente de
ressembler à l'ombre
Effectivement les pensionnaires profitèrent de leur
temps libre pour
remarqua que tous les bancs son occupé,à
peine quelques jeunes femme se promenaient.
Qu'il fait bon en cette fin
jour se dissipa doucement. Au loin dans le ciel
se rassemble se gros nuages, un orage se préparait.
Cette promenade
faiblissait.
134
L'accompagnatrice questionna par geste plusieurspensionnaires, mais
de réponse négative. Yves visionna
Aucune ne fut Eva. L'accompagnatrice lui dit,
- Je pense qu'elles se trouvent dans le dortoir,
suivez moi messieurs.
Ils suivirent la guide vers le château.
Une sueur fut visible sur le front d'Yves, bien
entendu il fait encore
froide qui le nargua. Remet toi Yves, tu ne
laisser emporter par une faiblesse quelconque se dit
Yves. Il
emporter par la faiblesse devant
Avant de pénétrer au dortoir, ils passèrent par le
réfectoire comme il
sais, elle pourrait être là ? Personne
leur exploration vers l'étage en prenant le grand
escalier tournât. Dans le couloir du dessus, qui a bien
50 mètres de
trouvaient les chambres a couché.
pour y jeter un
Deux minutes se sont écoulé, ce fut long, si l'on
espère retrouver celle
devant cette porte fermé ainsi que le
- Ça n'a pas l'air malpropre cet endroit-là monsieur
Yves
- Non monsieur le commissaire cela me rassure,
c'est mieux
La responsable des lieux revient prête d'eux,
- J'ai une triste nouvelle à vous annoncer.
Le désespoir reprit ses assises, Yves sentit qu'une
manche vint de se
bouche bai.
- Cette personne Liliane, qui répond au prénom
d'Éva a pris la
minutes, se sont les filles de sa
l'on révélé.
La faiblesse prit le dessus et Yves se retrouva le nez a
même le sol.
nos deux fugueuses.
alentour ne ressemblèrent qu'à des
sombres surmontées d'une flambée rougeâtre que
marquèrent
tomba.
Le chauffeur ne fut pas bavard du tout ce jour-là ce
qui n'est pas une
féminine, pas habituelle, le tenait en
pensées se trouvèrent un peut choquer, même
bouleversé
fois qu'il ne souffla un seul
aussi attirantes.Que vas il rapporter le soir
rendez-vous habituelle des routiers durant leur pose ?
Il se gardera
transformer cette histoire dans son
entendu, sûr la beauté il ni à rient à transformer, elles
sont minions et désirable. Ce fut surtout sur le
déroulement des actes
La ville désignée ne fut plus si loin, qu'à peine 2 km
- C'est à quel endroit précis que je vous dépose ?
Ce furent les seuls mots qu'il eut prononcé durant tout
le parcoure.
bifurcation a une centaine de
ralenti, ses freins pincèrent, puis soufflèrent.
Les voilà a destination. Derrière eux un autre
ensemble les suit, par
se bon samaritain de routier. Notre
fière, de ce fait il lui envoya plusieurs appels de phares.
Dans ses pensées, il réalisa que l'on eut remarqué son
transport
embellie
avec preuve qu'il eut ramené deux paysannes
beauté éclatante. Les deux jeunes femmes lui firent la
bise puis
Vingt et une heure passé, Anne et Eva marchèrent sur
le trottoir allant
régnait. De nombreux automobilistes
accoster en lui faisant des propositions.
venez avec moi je
La vulgarité de ces propos se multiplièrent mais les
deux jeunes
remarqua le danger qui les quêtait,
Eva de placer une pierre dans le sac en toile qu'elle
porta.
petite force de dissuasion
décintrent insupportable et accablant.
Ses intentions ne furent pas inutile car à peine ont
elle parcouru quelque
La vitesse du véhicule ralenti en se
d'elles. La vitre du passager fut ouverte et une main
baladeuse en sortie. Sans gêne, la main tenta de
caresser les jambes
cette tentative que son réflexe rapide et
virevolter de toutes ses forces son sac en toile qu'elle
tenait
pare brise du véhicule qui
Il fut temps que nos deux copines disparurent de
aboutir à leur but. Anne connaissait la
cœur, elles eurent l'intention de rejoindre l'oncle
d'Anne. Elle
comprendre leur présence.
Dans leur parcoure de nombreuses ruelles mal
éclairé et dominé par
incertitude. Le silence est traître, pour Anne.
Pour Eva ce fut normal. La venue d'un groupe alcoolisé
provoqua une
deux jeunes femmes se
groupe se rapprocha, en occupant toute
de la ruelle. Le vacarme prit possession de l'entourage.
Anne et Eva avancèrent normalement, il n'y eut aucune
possibilité de
Le croupe se rapprocha des
Anne et Eva restèrent main dans la main .
Elles frôlèrent les vitrines pour tenter de ne point se
faire remarquer.
puissantes mains les obligèrent de suivre
se tient au
chargé d'une pierre. Son initiative
par le réflexe d'un individu qui déséquilibra son
intention.
- Alors mes minions, on veut assommer les copains
avec une brique
main douce dit donc.
entendu il fait encore
froide qui le nargua. Remet toi Yves, tu ne
laisser emporter par une faiblesse quelconque se dit
Yves. Il
emporter par la faiblesse devant
Avant de pénétrer au dortoir, ils passèrent par le
réfectoire comme il
sais, elle pourrait être là ? Personne
leur exploration vers l'étage en prenant le grand
escalier tournât. Dans le couloir du dessus, qui a bien
50 mètres de
trouvaient les chambres a couché.
135
La responsable se dirigea vers une porte qu'elle ouvritpour y jeter un
Deux minutes se sont écoulé, ce fut long, si l'on
espère retrouver celle
devant cette porte fermé ainsi que le
- Ça n'a pas l'air malpropre cet endroit-là monsieur
Yves
- Non monsieur le commissaire cela me rassure,
c'est mieux
La responsable des lieux revient prête d'eux,
- J'ai une triste nouvelle à vous annoncer.
Le désespoir reprit ses assises, Yves sentit qu'une
manche vint de se
bouche bai.
- Cette personne Liliane, qui répond au prénom
d'Éva a pris la
minutes, se sont les filles de sa
l'on révélé.
La faiblesse prit le dessus et Yves se retrouva le nez a
même le sol.
136
Cela fait 30 minutes que le camionneur transportenos deux fugueuses.
alentour ne ressemblèrent qu'à des
sombres surmontées d'une flambée rougeâtre que
marquèrent
tomba.
Le chauffeur ne fut pas bavard du tout ce jour-là ce
qui n'est pas une
féminine, pas habituelle, le tenait en
pensées se trouvèrent un peut choquer, même
bouleversé
fois qu'il ne souffla un seul
aussi attirantes.Que vas il rapporter le soir
rendez-vous habituelle des routiers durant leur pose ?
Il se gardera
transformer cette histoire dans son
entendu, sûr la beauté il ni à rient à transformer, elles
sont minions et désirable. Ce fut surtout sur le
déroulement des actes
La ville désignée ne fut plus si loin, qu'à peine 2 km
137.
Le conducteur- C'est à quel endroit précis que je vous dépose ?
Ce furent les seuls mots qu'il eut prononcé durant tout
le parcoure.
bifurcation a une centaine de
ralenti, ses freins pincèrent, puis soufflèrent.
Les voilà a destination. Derrière eux un autre
ensemble les suit, par
se bon samaritain de routier. Notre
fière, de ce fait il lui envoya plusieurs appels de phares.
Dans ses pensées, il réalisa que l'on eut remarqué son
transport
embellie
avec preuve qu'il eut ramené deux paysannes
beauté éclatante. Les deux jeunes femmes lui firent la
bise puis
Vingt et une heure passé, Anne et Eva marchèrent sur
le trottoir allant
régnait. De nombreux automobilistes
accoster en lui faisant des propositions.
138
- Alors mignonne vous cherchez votre maman,venez avec moi je
La vulgarité de ces propos se multiplièrent mais les
deux jeunes
remarqua le danger qui les quêtait,
Eva de placer une pierre dans le sac en toile qu'elle
porta.
petite force de dissuasion
décintrent insupportable et accablant.
Ses intentions ne furent pas inutile car à peine ont
elle parcouru quelque
La vitesse du véhicule ralenti en se
d'elles. La vitre du passager fut ouverte et une main
baladeuse en sortie. Sans gêne, la main tenta de
caresser les jambes
cette tentative que son réflexe rapide et
virevolter de toutes ses forces son sac en toile qu'elle
tenait
pare brise du véhicule qui
Il fut temps que nos deux copines disparurent de
139
cette artère. Ellesaboutir à leur but. Anne connaissait la
cœur, elles eurent l'intention de rejoindre l'oncle
d'Anne. Elle
comprendre leur présence.
Dans leur parcoure de nombreuses ruelles mal
éclairé et dominé par
incertitude. Le silence est traître, pour Anne.
Pour Eva ce fut normal. La venue d'un groupe alcoolisé
provoqua une
deux jeunes femmes se
groupe se rapprocha, en occupant toute
de la ruelle. Le vacarme prit possession de l'entourage.
Anne et Eva avancèrent normalement, il n'y eut aucune
possibilité de
Le croupe se rapprocha des
Anne et Eva restèrent main dans la main .
Elles frôlèrent les vitrines pour tenter de ne point se
faire remarquer.
puissantes mains les obligèrent de suivre
140
démarche. Eva eut bien appris la leçon d'Anne. Ellese tient au
chargé d'une pierre. Son initiative
par le réflexe d'un individu qui déséquilibra son
intention.
- Alors mes minions, on veut assommer les copains
avec une brique
main douce dit donc.
Eva ne protesta pas et l'individu lui jeta un regard
méprisant.
A un moment donné une bouteille vide vola en
- Alors Fifi, tu veux épater les deux nouvelles venues
avec une
- Mais non, je voulais casser la vitrine pour rire un
peu.
- Dans ce cas, Fifi, la fille aux cheveux blond dispose
d'une meilleur
- Montre la moi Lulu.
l'individu lui donna le sac en toile alourdi par son
contenu.
Eva ne comprit pas ce qui se passa, elle eut beau
regarder les
Fifi fit tournoyer le sac
monde s'écarta, qui sais, des débris
victimes.
- Fifi ne manque pas la cible
- Je ne rate jamais ma lancé de marteau dans les
compétitions.
La vitesse du tournoiement du sac, a failli lui faire
perdre l'équilibre
de la devanture. Un fracas
suivie d'un sirène qui retentissait.
- Alors Lulu qu'en penses tu de mon tir?
- Pas mal Fifi mais maintenant il faut filer au plus
vite l'alerte est
La loi de ce groupe oublia les deux filles qui tentèrent
de continuer
retiennent, elles redeviennent
de fêtard. Fifi heureux de son exploit invita
- Alors bande de mouchard personne n'est capable de
me surpasser.
- Tu crois cela, je vais te faire une démonstration digne
du plus grand
Voila que Legros se place devant une vitrine. Il forme
un point avec
tête pour y concentrer toutes
incompréhensible il cogne de toute sa
la vitrine. Le fracas du verre brisé retenti avec en
la sirène qui déprime.
- Alors Fifi qu'en dis-tu ?
- D'accord Legros, mais ta as vu que tu saignes ?
- Où cas ?
Sa bêtise ne lui fit ressentir la moindre douleur. Il
remarqua que son
d'un mouchoir en guise de bande
La nuit fut sombre et au loin la venue de voitures de
polices se
gestes compréhensible
Une personne du groupe remarque cette
tenta de les rattraper mais la rapidité des deux jeunes
femmes furent plus leste que les réactions et l'équilibre
des fêtards
bouteille. Son tire bien
femmes. Un liquide rouge sang,
le visage de la victime, laquelle perdit l'équilibre
s'étaler sur le trottoir. La seconde femme n'eut rien
remarqué
l'avaient convenu.
Arrivé à une bifurcation, elle remarqua qu'elle fut seule
dans cette
pas. Elle remarqua
sang. Cette ruelle fut vide de
fêtards ont disparu.
méprisant.
A un moment donné une bouteille vide vola en
- Alors Fifi, tu veux épater les deux nouvelles venues
avec une
- Mais non, je voulais casser la vitrine pour rire un
peu.
- Dans ce cas, Fifi, la fille aux cheveux blond dispose
d'une meilleur
- Montre la moi Lulu.
l'individu lui donna le sac en toile alourdi par son
contenu.
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- Pas mal Lulu, avec cela je ferais un bon carton.Eva ne comprit pas ce qui se passa, elle eut beau
regarder les
Fifi fit tournoyer le sac
monde s'écarta, qui sais, des débris
victimes.
- Fifi ne manque pas la cible
- Je ne rate jamais ma lancé de marteau dans les
compétitions.
La vitesse du tournoiement du sac, a failli lui faire
perdre l'équilibre
de la devanture. Un fracas
suivie d'un sirène qui retentissait.
- Alors Lulu qu'en penses tu de mon tir?
- Pas mal Fifi mais maintenant il faut filer au plus
vite l'alerte est
La loi de ce groupe oublia les deux filles qui tentèrent
de continuer
retiennent, elles redeviennent
de fêtard. Fifi heureux de son exploit invita
142
collègues pour qu'ils en face autant.- Alors bande de mouchard personne n'est capable de
me surpasser.
- Tu crois cela, je vais te faire une démonstration digne
du plus grand
Voila que Legros se place devant une vitrine. Il forme
un point avec
tête pour y concentrer toutes
incompréhensible il cogne de toute sa
la vitrine. Le fracas du verre brisé retenti avec en
la sirène qui déprime.
- Alors Fifi qu'en dis-tu ?
- D'accord Legros, mais ta as vu que tu saignes ?
- Où cas ?
Sa bêtise ne lui fit ressentir la moindre douleur. Il
remarqua que son
d'un mouchoir en guise de bande
La nuit fut sombre et au loin la venue de voitures de
polices se
gestes compréhensible
143
Leur intention fut de prendre laUne personne du groupe remarque cette
tenta de les rattraper mais la rapidité des deux jeunes
femmes furent plus leste que les réactions et l'équilibre
des fêtards
bouteille. Son tire bien
femmes. Un liquide rouge sang,
le visage de la victime, laquelle perdit l'équilibre
s'étaler sur le trottoir. La seconde femme n'eut rien
remarqué
l'avaient convenu.
Arrivé à une bifurcation, elle remarqua qu'elle fut seule
dans cette
pas. Elle remarqua
sang. Cette ruelle fut vide de
fêtards ont disparu.
Une ambulance arriva sur les lieux, le pauvre Yves
eut perdu
l'hospitalier. Apprendre
fugua la fragilisé. Le commissaire
ondes de la radio local et sur les radios amateurs. Tout
le
femmes. Il
Dans un bar routier de nombreux camions stationnèrent,
ce fut
leur pose.
Le groupe de chauffeurs qui se réunissaient autour de la
grande table
l'accoutume. Des mots sur la
ainsi que des petites aventures sentimental.
Notre brave personnage, surnommé Doublemètres fut
en forme
transporte de jeunes
le trajet, il s'imagina quelques
a ses collègues. La gentillesse de
toujours intimidé par les vantards qui
respect.
Ce soir là, Doublemètres eut du pain sur la planche a
raconter.
dut présenter une
- Oui Doublemètres et chez toi aussi ?
Lui répondit Lalatte un homme aussi maigre que l'épaisseur
d'une
- J'ai eus de la chance cette après midi,
D'un air ironique Lalatte lui dit,
- Pourquoi tu as failli benner ?
- Non pas du tout, j'eus dans ma cabine deux auto
stoppeuses.
Son air vantard ne changea rien dans le comportement de
Lalatte qui le n'arquas,
- Tu as transporté deux grand-mères ?
L'ensemble du groupe s'éclata de rire.
- Mais non, deux jeunes et belles femmes.
- Et quant as tu fait d'elles ?
La serveuse du bar vint questionner les routiers,
- Que prenez vous tous?
- Un café bien tassé, pour se tenir éveillé a toute
l'équipe.
C'est ma tournée, dit Doublemètres d'un air enchanté.
la bonté et la simplicité de cette
a tenter de profiter de cette faiblesse.
- Alors les routiers, que prenez vous ? un café c'est rien,
un liquide a
Doublemètre réfléchi un petit moment et se dit qu'il devra
piocher dans
partie de l'autoroute payante
Il y a six personnes autour de cette table sans la
la serveuse. Cela me servira de leçon pour la prochaine
invitation,
- Alors messieurs les routiers que prenez vous ?
- Du jaune pour tous, parbleu.
Cria Lalatte.
- Tu as du gagner le gros lot ?
Dans se grand local les jeux électroniques émettent
des sons de billes
marquant des points sur un compteur a
plusieurs chiffres. Dans un coin opposé un disque a la
mode passait. Une
descriptions de
appareilles effaça un peu son récit.
- En les apercevant de loin, leur silhouette marqua leur
beauté, je ne
firent pitié surtout quant je
Elles me demandèrent si je peux les eus
la grande ville. Je ne sus leur refuser et les fis monter
a bord. La plus belle des deux se plaça a coté de moi
sur la
Durant tout le trajet
Leur regard eut quelque chose
visage. J'aurais aimé m'arrêter a laurés d'un
l'une d'elle fit le premier pas en............
Un routier interrompe la conversation en questionnant
l'attroupement
- Y aurait il l'un d'entre vous qui eut embarqué a la fin
de
handicape, elles ne parlent pas ?
Plus personne ne prêta attention au récit de
tout le voisinage. Le silence
Puis les discutions reprirent.
l'intention de continuer son récit. Se qu'il vint
d'apprendre le bouleversa.
Les bruits des jeux électroniques reprirent
rythme irrégulier, la musique changea de temps a autre
de style et
redevient maître des lieux.
Au bout de dix minutes, la police fit son apparition
dans le café
- Bonsoir mesdames et messieurs, on vient vous
importuner pour
jeunes femmes qui furent
national a la hauteur du domaine
Les jeunes femmes ont une particularisée,
muette. Leur disparition remonte a environ 19 heures.
Il est urgent de les retrouver, si l'un d'entre vous peut
nous
grand service. Elles
fatale. Nous vous serons reconnaissant merci a tous.
La question que vint de poser la police met en éveille
l'attitude
terminèrent leur
Doublemètres disparu a son
sut de trots sur les deux jeunes femmes,
le pourchassèrent, mentir c'est voler la vérité.
En approchant de leur véhicule, les policiers
remarquent un
personnage qui ne cessa de
voiture. Il conjugua une culpabilité et se
s'il n'eut pas commis de faute ? Il fit signe aux policiers.
- Messieurs, je ne savais pas que ces deux jeunes
femmes sont
rendre service en les
sur leur demande. Elles n'on
où elles allaient ?
- Merci pour votre participation, elles ne sont pas en
fuite pour
Cette indication les met sur une piste, sans tarder les
policiers se
les recherches.
éclat, le
Cette action fut
prendre. L'encerclement
Sur le trottoir, une jeune femme resta allongé, son visage
et ses
Eva regarda ce corps, et restât bouche bée. La bande de
copains
l'approche du
entreprendre ? A cette
réactions qu'au jour où son
elle se penche sur la victime et
tête pour voir la raison de son
une pitié l'enlaça , elle dénonça
larmes envahissante.
souris.
relever au plus
évitant les barrages de
La fuite prit de la vitesse et Anne l'entraîna a travers des
ruelles. Ce labyrinthe pavées, fit résonner leur débâcle.
Enfin,
Ce que
direction qui
par la police.
Elles parvenaient sur une place où une fontaine permit
de
les
Anne plongea ses mains dans ce liquide puis aspergea
sa figure pour enlever cette épaisse pâte rouge tomate car
avec la nuit et le peut de lumière les couleurs changèrent.
Eva l'aida dans sa toilette comme une besogne de raton
laveur. L'illusion sur l'état de la victime abaissa cette peur
qu’Éva eut accumulé. Très collante, cette couleur eut du
mal a sortie du tissus.
ruelles en direction du centre de la ville. Des voitures de
police
l'avance de la nuit rendit les rues déserte et Anne fit signe
a Eva qu'elles sont presque arrivé. La rue longe un large
cour
sont de
Des
en fête.
original. Si
les chambres
nue sans prêter
Pour Anne, elle eut l'habitude d'y passer mais pour Eva
cette
ou voitures
rapprocher pour ne
de nationalité différente,
frôlée. l'un d'entre eux s'écria,
- Alors la fouine tu n'as pas remarqué ses jolies blonde
qui
- Elles travaillent pour qui ces deux là ?
- Je ne les connais pas, certainement qu'elles viennent
d'un
- Je ne pense pas, je vais appeler Jojo lui doit être au
courant.
Il décroche le téléphone d'une cabine, appuis sur une
touche,
sur un cadrant
- Allô Jojo tu m'entend ?
- Oui, le Dénicheur, que me proposes tu , y a il du
grabuge?
- Non la soirée est calme, mais regarde voir sur ta
gauche,
connais ?
Jojo s'empara d'une paire de jumelle infrarouge et
observa
femmes.
- Allô le Dénicheur, je n'ai jamais vu ses deux nanas, je
certain que Maxime n'a pas de nouvelles venu, je
rajoute
si je
plates bandes.
- Ça je ne sais pas mais une chose que je peux rajouter
tu n'as pas ton surnom pour rien.
- Alors la Fouine on tente de les embobiner ?
- D'accord ont leur raconte les mêmes anecdotes que la
dernière fois avec les vietnamiennes ?
- Je pense pas que cela marchera avec elles, je les
embobine d'une autre façon.
Anne et Eva se déplacèrent a une vitesse raisonnable, et
longèrent une rangé de maisons vétuste aux briques
apparente. Elles viennent de dépasser la voiture de Jojo
qui
communique a la Fouine placé cent mètres plus loin.
- Es tu prêt la Fouine, je les suis maintenant.
- Oui fais comme il est prévu.
Jojo sort de la cabine téléphonique pour suivre les deux
femmes se tenant par la main.
- Alors les filles ont cherche du travail ?
- Ils vous faut une protection les filles ont est là pour ça.
La fouine se rapproche d'elle pour dire,
- Elles n'ont pas l'intention de répondre je pense pas
que tu les intéresses.
Jojo aime taquiner c'est dans sa nature mais la réponse
qu'il vient d'obtenir de la part de la Fouine est comme
un avertissement pas bien venu il dis,
- Alors les filles une protection de la part de nous autres
qu'en dite vous ?
Les deux jeunes femmes , bloqué, les regardent d'un air
étonné. La présence ce cette attroupement de quatre
individus
intentions de
fortement la
- Alors comme cela vous ne travailler qu'en couple ?
- Ça se net pas mal la Fouine, d'une pierre tu fais deux
coups .
C'est le dénicheuse qui eut dit cela. Jojo caressa
les
brusque pour donner un
rapidement les intentions d'Anne,
vite. Les droits larbins les bloquent. Elles
une fuite, mais ces trois brutes ne leur laissèrent
aucune chance d'évasion. Elles sont retenus contre
leur
- Qu'en penses tu la Fouine, ont les entraîne dans
l'ancienne
elles trouverons la
- A cinq se sera une partie correcte.
- Pas mal cette idée, mais il faut que l'un d'entre nous
monte la garde a tour de rôles.
Anne réagi sur ce qui vint d'être dit mais elle hésite
d'entre
tout en tenant la
probabilité d'inattentions des
- Alors les amoureuses, vous ne vous quitter pas .
Dit Jojo avec un rire ironique.
- Maraudent ces deux bout de femmes, elles n'ont pas
Le dénicheur,
- Mais il me vient une idée j'ai entendu que deux filles
sont recherché par la police dans le poste de radio.
Jojo,
- Alors tu déniches des stars ma parole, tu ne portes
pas ton nom pour un rien.
Lalatte,
- Ou seraient elles recherché pour meurtre par hasard ?
La fouine
- Mais ne vous en faite pas, la police ne vient pas ici,
A ce moment là des gyrophares flanchent les alentours
de plusieurs rues.
- Je vous l'avais bien fait comprendre, que ces deux là
sont recherché par la police, je ne connais pas la
raison, attention,
- Toi tu as peur, de toute façon elle savent qu'elles sont
recherché, raison de plus de la cacher.
Dit la Fouine d'un air enchanté. Jojo ravis, rajoute.
- Ne perdons pas de temps et emmenons les dans la
La Fouine est de son avis.
- D'accord, emmenons les la bas, après le contrôle de
papier je revient, c'est juste pour que la police me
donne les raisons sur ces filles.
Anne eut comprit le danger qui les enture, d'un coté la
police et de l'autre les macros. Eva sut les actes qu'elle
eut commise ce qui la transforme en une meurtrière. Elle
ne voulu se laisser prendre.
les deux jeunes femmes acceptèrent de suivre le fameux
Jojo sur le quais du port pour monter sur une péniche. Il
fit si sombre qu'ils se déplacèrent sans lumière a tâtons. la
lampe de poche restât dans son étuis.
Enfin, ils arrivèrent dans cette fameuse chambre de Lili.
Les hublots laissaient apercevoir les policiers qui se
déplacèrent. Jojo appuya sur un interrupteur qui donna
une faible lumière jaune tamisé. Sur le plafond arrondi
cette lueur se dispatcha sur des miroites qui refléta la
cabine.
- Alors mes mignonnes, que pensez vous de cette cabine ?
- Tu ne vas pas me refuser cela, on vient de vous sauver
du méchant loup.
Une autre lumière plus puissante les éclaira. La cabine a
couché fut éclairé, et une radio actionné par la police
émettra ceci ,
- Nous recherchons deux jeunes femmes qui sont muette,
il est conseillé de nous faire savoir où elles sont car
nous savons qu'elles circulent par ici.
Le dénicheur dit a Jojo
- Fait attention Jojo le quartier est encerclé par la
police, ce n'est pas un contrôle de routine.
- Mais que portent elle sur leur dos pour qu'un
régiment les recherche ?
Jojo ne se laisse pas intimidé et dit ,
- Alors ses deux là son muette donc, elles ne diront pas
un mot
Anne remarqua sur les lèvres leur conversation, elle se
sentit plus en danger dans cette cabine qu'auprès de la
police. Elle fit transmettre son message a Eva par la main.
sentit qu'un danger les guettait.
- Je pense qu'il vaut mieux les relâcher.
A cette instant, une personne frappe a la porte de la cabine.
Jojo, surprit réagit;
- qui est là ?
Les quatre hommes regardent vers cette porte. Une voix
de femme répond,
- C'est moi Caroline.
D'une voix enroué Jojo criât.
- Mais rentre donc.
La porte laissa apparaître une jeune femme légèrement
habillé. Anne et Eva la regardèrent dans le miroir.
Caroline vint les avertir.
- La police fouille toutes les péniches, faite attention.
Les trois protecteurs se regarde d'un air ahuri. La fouine
a une solution,
- Fais les passer par l'autre ruelle Caroline pour les
éloigner d'ici.
A suivre au 8/8 161
auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
a ce jour, 04 04 2019, 8 566 lecteurs.
a ce jour, 18 09 2019, 8 880 lecteurs.
a ce jour, 29 10 2019, 9 031 lecteurs.
eut perdu
l'hospitalier. Apprendre
fugua la fragilisé. Le commissaire
144
appeler le poste de police pour lancer un appelondes de la radio local et sur les radios amateurs. Tout
le
femmes. Il
Dans un bar routier de nombreux camions stationnèrent,
ce fut
leur pose.
Le groupe de chauffeurs qui se réunissaient autour de la
grande table
l'accoutume. Des mots sur la
ainsi que des petites aventures sentimental.
Notre brave personnage, surnommé Doublemètres fut
en forme
transporte de jeunes
le trajet, il s'imagina quelques
a ses collègues. La gentillesse de
toujours intimidé par les vantards qui
respect.
Ce soir là, Doublemètres eut du pain sur la planche a
raconter.
dut présenter une
145
- Salut les routiers, la route a été bonne aujourd'hui ?- Oui Doublemètres et chez toi aussi ?
Lui répondit Lalatte un homme aussi maigre que l'épaisseur
d'une
- J'ai eus de la chance cette après midi,
D'un air ironique Lalatte lui dit,
- Pourquoi tu as failli benner ?
- Non pas du tout, j'eus dans ma cabine deux auto
stoppeuses.
Son air vantard ne changea rien dans le comportement de
Lalatte qui le n'arquas,
- Tu as transporté deux grand-mères ?
L'ensemble du groupe s'éclata de rire.
- Mais non, deux jeunes et belles femmes.
- Et quant as tu fait d'elles ?
La serveuse du bar vint questionner les routiers,
- Que prenez vous tous?
- Un café bien tassé, pour se tenir éveillé a toute
l'équipe.
C'est ma tournée, dit Doublemètres d'un air enchanté.
146
Lalatte ne fut pas sila bonté et la simplicité de cette
a tenter de profiter de cette faiblesse.
- Alors les routiers, que prenez vous ? un café c'est rien,
un liquide a
Doublemètre réfléchi un petit moment et se dit qu'il devra
piocher dans
partie de l'autoroute payante
Il y a six personnes autour de cette table sans la
la serveuse. Cela me servira de leçon pour la prochaine
invitation,
- Alors messieurs les routiers que prenez vous ?
- Du jaune pour tous, parbleu.
Cria Lalatte.
- Tu as du gagner le gros lot ?
Dans se grand local les jeux électroniques émettent
des sons de billes
marquant des points sur un compteur a
plusieurs chiffres. Dans un coin opposé un disque a la
mode passait. Une
147
Doublemètres donna fièrement des explications sur ladescriptions de
appareilles effaça un peu son récit.
- En les apercevant de loin, leur silhouette marqua leur
beauté, je ne
firent pitié surtout quant je
Elles me demandèrent si je peux les eus
la grande ville. Je ne sus leur refuser et les fis monter
a bord. La plus belle des deux se plaça a coté de moi
sur la
Durant tout le trajet
Leur regard eut quelque chose
visage. J'aurais aimé m'arrêter a laurés d'un
l'une d'elle fit le premier pas en............
Un routier interrompe la conversation en questionnant
l'attroupement
- Y aurait il l'un d'entre vous qui eut embarqué a la fin
de
handicape, elles ne parlent pas ?
Plus personne ne prêta attention au récit de
148
Doublemètres. Lestout le voisinage. Le silence
Puis les discutions reprirent.
l'intention de continuer son récit. Se qu'il vint
d'apprendre le bouleversa.
Les bruits des jeux électroniques reprirent
rythme irrégulier, la musique changea de temps a autre
de style et
redevient maître des lieux.
Au bout de dix minutes, la police fit son apparition
dans le café
- Bonsoir mesdames et messieurs, on vient vous
importuner pour
jeunes femmes qui furent
national a la hauteur du domaine
Les jeunes femmes ont une particularisée,
muette. Leur disparition remonte a environ 19 heures.
Il est urgent de les retrouver, si l'un d'entre vous peut
nous
grand service. Elles
149
condamnable mais leur antipape peut leur êtrefatale. Nous vous serons reconnaissant merci a tous.
La question que vint de poser la police met en éveille
l'attitude
terminèrent leur
Doublemètres disparu a son
sut de trots sur les deux jeunes femmes,
le pourchassèrent, mentir c'est voler la vérité.
En approchant de leur véhicule, les policiers
remarquent un
personnage qui ne cessa de
voiture. Il conjugua une culpabilité et se
s'il n'eut pas commis de faute ? Il fit signe aux policiers.
- Messieurs, je ne savais pas que ces deux jeunes
femmes sont
rendre service en les
sur leur demande. Elles n'on
où elles allaient ?
- Merci pour votre participation, elles ne sont pas en
fuite pour
150
se retrouvant seule dans la nuit.Cette indication les met sur une piste, sans tarder les
policiers se
les recherches.
éclat, le
Cette action fut
prendre. L'encerclement
Sur le trottoir, une jeune femme resta allongé, son visage
et ses
Eva regarda ce corps, et restât bouche bée. La bande de
copains
l'approche du
entreprendre ? A cette
réactions qu'au jour où son
elle se penche sur la victime et
tête pour voir la raison de son
une pitié l'enlaça , elle dénonça
larmes envahissante.
151
A peine eut elle soulevé la tête que la figure d'Anne luisouris.
relever au plus
évitant les barrages de
La fuite prit de la vitesse et Anne l'entraîna a travers des
ruelles. Ce labyrinthe pavées, fit résonner leur débâcle.
Enfin,
Ce que
direction qui
par la police.
Elles parvenaient sur une place où une fontaine permit
de
les
Anne plongea ses mains dans ce liquide puis aspergea
sa figure pour enlever cette épaisse pâte rouge tomate car
avec la nuit et le peut de lumière les couleurs changèrent.
Eva l'aida dans sa toilette comme une besogne de raton
laveur. L'illusion sur l'état de la victime abaissa cette peur
qu’Éva eut accumulé. Très collante, cette couleur eut du
mal a sortie du tissus.
152
Les voilà reparti, elles disparaissent dans le labyrinthe deruelles en direction du centre de la ville. Des voitures de
police
l'avance de la nuit rendit les rues déserte et Anne fit signe
a Eva qu'elles sont presque arrivé. La rue longe un large
cour
sont de
Des
en fête.
original. Si
les chambres
nue sans prêter
Pour Anne, elle eut l'habitude d'y passer mais pour Eva
cette
ou voitures
rapprocher pour ne
de nationalité différente,
frôlée. l'un d'entre eux s'écria,
- Alors la fouine tu n'as pas remarqué ses jolies blonde
qui
153
- Non, où ça ?- Elles travaillent pour qui ces deux là ?
- Je ne les connais pas, certainement qu'elles viennent
d'un
- Je ne pense pas, je vais appeler Jojo lui doit être au
courant.
Il décroche le téléphone d'une cabine, appuis sur une
touche,
sur un cadrant
- Allô Jojo tu m'entend ?
- Oui, le Dénicheur, que me proposes tu , y a il du
grabuge?
- Non la soirée est calme, mais regarde voir sur ta
gauche,
connais ?
Jojo s'empara d'une paire de jumelle infrarouge et
observa
femmes.
- Allô le Dénicheur, je n'ai jamais vu ses deux nanas, je
certain que Maxime n'a pas de nouvelles venu, je
rajoute
154
- Merci Jojo c'est tout ce que je voulais savoir, doncsi je
plates bandes.
- Ça je ne sais pas mais une chose que je peux rajouter
tu n'as pas ton surnom pour rien.
- Alors la Fouine on tente de les embobiner ?
- D'accord ont leur raconte les mêmes anecdotes que la
dernière fois avec les vietnamiennes ?
- Je pense pas que cela marchera avec elles, je les
embobine d'une autre façon.
Anne et Eva se déplacèrent a une vitesse raisonnable, et
longèrent une rangé de maisons vétuste aux briques
apparente. Elles viennent de dépasser la voiture de Jojo
qui
communique a la Fouine placé cent mètres plus loin.
- Es tu prêt la Fouine, je les suis maintenant.
- Oui fais comme il est prévu.
Jojo sort de la cabine téléphonique pour suivre les deux
femmes se tenant par la main.
- Alors les filles ont cherche du travail ?
155
Pas de réponse, elle poursuivirent leur intentions.- Ils vous faut une protection les filles ont est là pour ça.
La fouine se rapproche d'elle pour dire,
- Elles n'ont pas l'intention de répondre je pense pas
que tu les intéresses.
Jojo aime taquiner c'est dans sa nature mais la réponse
qu'il vient d'obtenir de la part de la Fouine est comme
un avertissement pas bien venu il dis,
- Alors les filles une protection de la part de nous autres
qu'en dite vous ?
Les deux jeunes femmes , bloqué, les regardent d'un air
étonné. La présence ce cette attroupement de quatre
individus
intentions de
fortement la
- Alors comme cela vous ne travailler qu'en couple ?
- Ça se net pas mal la Fouine, d'une pierre tu fais deux
coups .
C'est le dénicheuse qui eut dit cela. Jojo caressa
les
156
jeunes femmesbrusque pour donner un
rapidement les intentions d'Anne,
vite. Les droits larbins les bloquent. Elles
une fuite, mais ces trois brutes ne leur laissèrent
aucune chance d'évasion. Elles sont retenus contre
leur
- Qu'en penses tu la Fouine, ont les entraîne dans
l'ancienne
elles trouverons la
- A cinq se sera une partie correcte.
- Pas mal cette idée, mais il faut que l'un d'entre nous
monte la garde a tour de rôles.
Anne réagi sur ce qui vint d'être dit mais elle hésite
d'entre
tout en tenant la
probabilité d'inattentions des
- Alors les amoureuses, vous ne vous quitter pas .
Dit Jojo avec un rire ironique.
- Maraudent ces deux bout de femmes, elles n'ont pas
157
l'air de nous exprimer leur refus.Le dénicheur,
- Mais il me vient une idée j'ai entendu que deux filles
sont recherché par la police dans le poste de radio.
Jojo,
- Alors tu déniches des stars ma parole, tu ne portes
pas ton nom pour un rien.
Lalatte,
- Ou seraient elles recherché pour meurtre par hasard ?
La fouine
- Mais ne vous en faite pas, la police ne vient pas ici,
A ce moment là des gyrophares flanchent les alentours
de plusieurs rues.
- Je vous l'avais bien fait comprendre, que ces deux là
sont recherché par la police, je ne connais pas la
raison, attention,
- Toi tu as peur, de toute façon elle savent qu'elles sont
recherché, raison de plus de la cacher.
Dit la Fouine d'un air enchanté. Jojo ravis, rajoute.
- Ne perdons pas de temps et emmenons les dans la
158
chambre de Lili.La Fouine est de son avis.
- D'accord, emmenons les la bas, après le contrôle de
papier je revient, c'est juste pour que la police me
donne les raisons sur ces filles.
Anne eut comprit le danger qui les enture, d'un coté la
police et de l'autre les macros. Eva sut les actes qu'elle
eut commise ce qui la transforme en une meurtrière. Elle
ne voulu se laisser prendre.
les deux jeunes femmes acceptèrent de suivre le fameux
Jojo sur le quais du port pour monter sur une péniche. Il
fit si sombre qu'ils se déplacèrent sans lumière a tâtons. la
lampe de poche restât dans son étuis.
Enfin, ils arrivèrent dans cette fameuse chambre de Lili.
Les hublots laissaient apercevoir les policiers qui se
déplacèrent. Jojo appuya sur un interrupteur qui donna
une faible lumière jaune tamisé. Sur le plafond arrondi
cette lueur se dispatcha sur des miroites qui refléta la
cabine.
- Alors mes mignonnes, que pensez vous de cette cabine ?
159
La main de Jojo caressa la poitrine d'Anne qui le repoussa.- Tu ne vas pas me refuser cela, on vient de vous sauver
du méchant loup.
Une autre lumière plus puissante les éclaira. La cabine a
couché fut éclairé, et une radio actionné par la police
émettra ceci ,
- Nous recherchons deux jeunes femmes qui sont muette,
il est conseillé de nous faire savoir où elles sont car
nous savons qu'elles circulent par ici.
Le dénicheur dit a Jojo
- Fait attention Jojo le quartier est encerclé par la
police, ce n'est pas un contrôle de routine.
- Mais que portent elle sur leur dos pour qu'un
régiment les recherche ?
Jojo ne se laisse pas intimidé et dit ,
- Alors ses deux là son muette donc, elles ne diront pas
un mot
Anne remarqua sur les lèvres leur conversation, elle se
sentit plus en danger dans cette cabine qu'auprès de la
police. Elle fit transmettre son message a Eva par la main.
160
Le dénicheur trouva les intentions de Jojo absorbe etsentit qu'un danger les guettait.
- Je pense qu'il vaut mieux les relâcher.
A cette instant, une personne frappe a la porte de la cabine.
Jojo, surprit réagit;
- qui est là ?
Les quatre hommes regardent vers cette porte. Une voix
de femme répond,
- C'est moi Caroline.
D'une voix enroué Jojo criât.
- Mais rentre donc.
La porte laissa apparaître une jeune femme légèrement
habillé. Anne et Eva la regardèrent dans le miroir.
Caroline vint les avertir.
- La police fouille toutes les péniches, faite attention.
Les trois protecteurs se regarde d'un air ahuri. La fouine
a une solution,
- Fais les passer par l'autre ruelle Caroline pour les
éloigner d'ici.
A suivre au 8/8 161
auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
a ce jour, 04 04 2019, 8 566 lecteurs.
a ce jour, 18 09 2019, 8 880 lecteurs.
a ce jour, 29 10 2019, 9 031 lecteurs.
A ce jour, 30 07 2020, 9 595 lecteurs.
A ce jour, 12 10 2020, 9 667 lecteurs.
A ce jour, 05 10 2023, 17 660 lecteurs.
Libellés :
roman d'aventure
Pays/territoire :
68720 Heidwiller, France
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