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5 octobre 2023

suite roman aventure( coïncidence 4/8 )

mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2
Coïncidence 4/8

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       Pour Yves, l'espoir donna signe de victoire car, quelques mots sortirent 
de sa bouche. Ils donnèrent des certitudes sur la sortie de son comma. Le 
monde médicale le suivi avec encouragement et écoutèrent les paroles 
suivante,
-       Eva, où est Eva ?
-       Où est Eva ?
   IL prononça ses mots sans arrêt. Ce réveille attira un grand nombre de
médecin et personnelle soignant. Le commissaire fut aussi là, il ne voulut
perdre un moment pour son enquête. Petit à petit, les mots devinrent 
compréhensibles et constructif, le mot Eva suivit chaque phrase.
 l’impatience du commissaire n’hésitât pas a le questionner.
-     Monsieur Yves, où se trouve Eva ?
  Pas de réponse, a part la question suivante,
-       Où est ma femme Eva ?
-       Monsieur Yves, vous souvenez vous du braquage de la banque ?
-       Non pas exactement, où se trouve Eva ?
-       Monsieur Yves, qui vous a frappé ?
-       Une personne inconnu de la banque, mais où est Eva ?

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  l'un des médecins dit au commissaire,
-         Il faut le laisser récupérer, monsieur le commissaire laissez le 
           passer une nuit cela lui permettra de retrouver ses forces  
           physique et psychologique. Votre questionnaire le fatigue de 
           trop.
-          C'est bon docteur, je reviens demain matin.
  le lendemain matin , le commissaire fut prêt du malade Yves. La nuit 
eut porté ses fruits, une bonne partie de ses facultés furent de nouveau 
parmi ses réactions. Sans tarder le commissaire le questionna,
-        Votre femme Eva, fut elle présente le jour du braquage de la 
          banque ?
-         De quel braquage, de quelle banque ? je ne me souviens de rien.
-         La blessure qui vous a plongé dans le coma, qui vous a agressé ?
-         Vaguement, mais que n'est il arrivé au juste ?
-          D'après les témoignages de vos collègues, vous avez reçu un 
           coup de crosse de l'un de vos agresseurs.
-         je me rappelle de rien.
-         Votre femme Eva, a t elle des amies au amis en ville ?
Ce questionnaire bouleversa profondément Yves qui répondit fermement,
-        Mais, ma femme où se trouve t elle ? elle n'a pas d'amies ou 

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         amis en ville.
  Son regarde étonné observa le commissaire, comme pour tenter de 
découvrir les prochaines questions déprimantes qu'il alla lui poser.
-       Justement monsieur Yves, elle a disparu avec pas mal de bien 
        de votre habitation et surtout avec le livre ancien qu'elle dut 
        relier.
  Ces questions réveillèrent par petite touche le trou noir dans lequel
Yves fut plongé. Le médecin dit au commissaire,
-       Revenez plus tard, monsieur le commissaire, nous devons 
        poursuivre les soins.
         Dans la maison spécialisée, le repas fut servi. Pour ce fait,
toutes les femmes de la chambre où se trouva Liliane(Eva) se 
préparèrent pour rejoindre la salle à manger. Liliane(Eva) dut 
carder son embarrassante camisole. Elle suivit les autres femmes
au réfectoire une honte gorgé de mépris. Personne ne remarqua son
habille, elle passa inaperçu comme si rien ne fut. Liliane(Eva) 
poursuit sa marche vers une table de quatre place où fut marqué ,à
l'aide d'une peinture d'huile, les numéros que chacune porta sur un
écriteau accroché autour du cou . Liliane(Eva) porta le 4 elle s'y 
plaça, en dernière, sur la chaise où figurait son nom. Elle observa
son entourage avec curiosité et remarqua que les couverts furent 
en matière plastique rose. Les couteaux n'eurent pas de tranchant

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ni de pointe pour les fourchettes. Mais, comment pourra elle manger
avec les mains bloqués ?
      Le repas fut servi par des personnes qui eurent poussé des 
chariots remplit de crudités, de cruche en plastique d'eau, et des 
plats dans des récipients de bois. L'odeur de leur contenu parvint 
aux narines de Liliane(Eva) qui analysa que ce fut du rôti de veau,
des pommes de terre purée, de la salade verte qui leur sera servi.
    Le personnel de service se rapprocha de Liliane(Eva) et la 
regarda d'un air étonné, puis se retourna en direction de ses 
supérieurs en manifestant son mécontentement en gesticulant 
ses mains.
   Liliane(Eva) suivit la direction où furent réceptionné les signes.
De là arrivèrent deux surveillants qui réveillèrent son attention.
 Elle se souvint des coups que l'un des individus lui infligea dans 
la pièce capitonné. 
   Le plus grand d'entre eux lui fit le plus peur, elle en trembla car
ce fut celui là qui se donna a cœur joie pour la maltraiter. Il se 
mit a rire la bouche grande ouverte avec une méprise sans 
scrupule. Cette odieux personnage la hait ,pourquoi ? Il se 
dirigea vers une autre table pour récupérer une chaise resté libre.

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Les trois compagnes de Liliane en furent étonnées comme si une
vilaine bête vint les surveiller. Aucun pensionnaire n'évoqua un 
sourire d'encouragement toutes furent soucieuses.
   Notre personnage prit place à coté de Liliane(Eva). Il remplit 
la cuiller en plastique d'une bonne couche de purée de pomme 
de terre qu'il souleva pour la placer dans la bouche de Liliane
(Eva). Avec la main gauche il lui empoigna ses long cheveux 
blonds miel. Au moment où la bouche s'ouvrit il poussa la tête
vers la cuiller pour que celle ci touche le fond de la gorge. La 
brutalité de cet individu fut exagérée. Liliane(Eva) tenta de 
reculer mais cette brute sans scrupule la maintenait tout en 
riant à forte voix la bouche grande ouverte. Liliane(Eva) lui
cracha tous ce qu'il voulut lui gaver en pleine figure. Une bonne
partie atteint son but en plein centre de sa bouche quant au 
reste, il s'éparpilla sue son visage et ses habilles. Il se releva 
brusquement de sa chaise. Cette réaction provoqua un 
enchaînement de claques qu'il attribua à Liliane(Eva). Il ne
voulut s'arrêter a cette action et tenta de continuer de la 
frapper. Soudain, une main de femme l'en empêcha. Ce freinage
ne fut pas bien venu car avec l'autre main, il tenta de répliquer.

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A la vue du médecin Lucie, il se rétracta. Toute la salle évoqua
un soulagement de victoire en frappant des mains.
    Liliane(Eva) fut toute rouge de peur mais aussi des marques
du aux nombreuses claques. Elle trembla comme une feuille mais
ressenti une victoire. Ses larmes collèrent sur ses joues jusqu'à
 tacher sa robe rayée de rouge et de blanc. Lucie essuya cette 
cette tache puis, elle continua de lui donner a manger.
           Depuis que Yves retrouva sa raison d'être, il ne dormait 
plus et la nuits devint interminable, Eva lui manqua plus que tout.
l'amour est le fruit d'une récolte, un besoin d'attache qui comble 
le trou noir de l'incertitude du lendemain. Dans cet engrenage les
deux amoureux suivirent la même onde de retrouvailles. 
  Eva se basse sur une éventuelle évasion de cet hôpital spécialisé 
qui abaisse les personnes. Pour elle l'ensemble du personnelle a 
les mêmes valeur, ceux de leur comportement. Même Lucie, qui 
n'eut pas réussi a la libérer des cette camisole qui la handicape 
plus que tout. Chaque heure est souffrance et une aberration qui 
la couvre d'incohérence. Il y a beau implorer un Dieu 
quelconque aucun ne lui vint en aide.

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  Cette nouvelle nuit s'écoula avec lenteur. Une nouvelle épreuve
attendit les deux amoureux, Yves sut qu'au premier levé du jour le
commissaire viendra le questionner. Le médecin accepta qu'Yves
fut questionné un peut plus longtemps car la nuit lui eut porté une
augmentation de ces capacités intellectuelles.
  Le commissaire n'eut pas perdu son temps a la première occasion 
du matin, il questionna de nouveau Yves.
-       Votre femme a t elle des amies ou amis dans la ville?
-       Non pas que je sache.
-       Fréquente t elle une association quelconque ?
-       Oui, dans une association de tir de compétition dans laquelle
         je suis aussi inscrit.
  Yves trouva cette question un beau blizzard ?
-       Votre femme fut elle présente le jour du braquage de la banque ?
-       Elle ne fut pas avec
  Les pensées d'Yves se préoccupèrent de cette question il pensa mais
que reproche le commissaire a Eva ?
-       Connaissez vous vos agresseurs ?
-       Je ne les ai jamais rencontrés.
  Yves leva son bras pour lui montrer la blessure qu'il eut acquit. Il

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se mit a son tour a questionner le commissaire,
-      Monsieur qu'elle est le motif de tous ce questionnaire et où se
       trouve ma femme Eva ?
  le commissaire pris au dépourvu ne sut que répondre,
-     Monsieur Yves votre femme se trouve certainement dans un 
      hôpital elle eut subit un choque.
-     Puis je la voir ?
-     Justement nous ne savons pas ci c'est bien elle ?
  Ce fut une manière de laissé en veille la vérité, celle de lui dire
que sa femme fut introuvable. Le médecin vint dire,
-      Monsieur le commissaire, nous devons donner des soins a notre
       patient, revenez demain.
-      Je reviendrais demain docteur. Bon rétablissement monsieur 
       Yves.


ne lui prêtèrent la moindre attention. Pour elles, ce ne fut qu'une 
poupée démunie de ses bras et qui n'émet le moindre bruit. Bref, 
une statue vivante couché là.
    Lucie, la médecin, vint la trouver accompagné d'une autre 
personne. Ils discutèrent entre eux tout en s'approchant de son lit.
Les autres femmes la suivirent pas a pas. L'une d'elle dit

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-      Docteur Lucie, elle n'est pas méchante du tout Liliane(Eva)
-      Oui je le sais Maryse mais il faut l'autorisation du directeur
       pour lui redonner la liberté de ses mains.
  Lucie s'adressa a son accompagnateur et lui dit,
-      Ce qui vint d'arriver, au repas, fut une preuve que l'
        ne vint pas du comportement de Liliane(Eva) mais bien de la 
        personne de service. Elle ne médite pas d'être traitée de la sorte
        cette endroit ne correspond a son cas.
-       Bon, je reconnais qu'elle retrouve la liberté de ses bras, 
        allons dans mon bureau pour signer la décharge.
   Dans les pensées de Liliane(Eva) une espérance naissait, elle 
arriva par déchiffrer quelques signes sur les lèvres du docteur Lucie.
La liberté de ses mains lui permettra de d'écrire la vérité sur une 
feuille de papier. Le plus important fut de donner son véritable nom
et de retrouver son marie Yves victime du braquage de sa banque. Des
larmes d'espoir humaient son visage.
   Une des femmes, Maryse, lui parla,
-     Pauvre petite fille il ne faut pas pleurer .
  Une autre lui caressa ses cheveux en lui parlant doucement pour
la soulager. Mais, que se passe t il donc, tout le monde devient 

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sympathique avec elle pensa Liliane(Eva) ?
-     Tu sais petit enfant, tes cheveux sont bien trop longs, si tu veux
       je te les coupe il suffit de me dire non et je les laisse comme il
       sont. Tu ne dis rien alors tu es d'accord. On n'a pas de ciseaux ni
       de couteau mais je suis capable de te faire la même coupe que 
       moi avec un morceau de verre que j'ai caché sous mon lit. Je 
       l'avais récupère un jour où une vitre fut cassée.
  Les caresses soulagèrent le chagrin de Liliane(Eva), mais que lui
réserva cette coiffeuse détraquée?
-     Lorsque je t'aurais fait belle, tu n'auras plus de larmes. Comme
       il est prévue que tu vas bientôt nous quitter pour un autre centre
       tu dois être belle.
  Elle partie chercher son morceau de vitre après avoir essuyer les 
grosses larmes de Liliane(Eva). Une des femmes présente dans la 
pièce eut suivi avec attention les intentions de Maryse et attendit 
impatiente que celle ci sortie le morceau de verre de sa cachette.
Rapidement, elle se précipitât sur Maryse la coiffeuse pour lui 
voler son bien coupant. Liliane eut suivi leur démarche sans trots
comprendre que leur intentions furent agressive.
  A ce moment là, les deux femmes se chamaillèrent comme des 
chacals avec une proie. Une vraie débandade se produisit, des 

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objets volèrent de part et d'autre. Se vacarme eut déclenché la 
venu des responsables du service d'ordre de l'établissement. 
Liliane(Eva) se mit en boule en se cachant a coté de son lit. 
Maryse perdit son précieux morceaux de verre. L'autre surnomme
suicide s'en saisi puis s'ouvrit les veines de son bras droit. Du 
sang jaillit. La bagarre continua de plus belle et les traces de 
sang furent éparpillé un peu partout. Le service d'ordre arriva
parmi eux se trouva celui qui méprise Liliane(Eva). Il posséda
dans sa main une matraque en caoutchouc qu'il manipula avec
souplesse et précision. La troisième femme vint se réfugier prêt
de Liliane(Eva). Le matraqueur sens donna à cœur joie pour 
atténuer le comportement des deux excités et les séparer. Le 
calme revint. A Maryse il mirent une camisole et la suicidaire
fut conduite au urgence. Le matraqueur aperçu les deux femmes
allongés le long du lit cote à cote pour se protéger. Cette vue 
ne lui convenait point, il entra dans une rage indomptable et cria,
-     Sale petite pute, vous coucher ensemble ?
Il s'approcha d'eux et les frappa de toutes ses forces en faisant
glisser la matraque sur leur dos pour quelle laissa des traces.
Liliane(Eva) se recoquilla sur elle même tout en mordant 

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fortement sur ses propres dents. L'autre femme cria de douleur
son agonie parvint jusqu'au bureau du responsable principal.
Docteur Lucie arriva avec le responsable du centre qui 
interrompit les frappes. Lucie interpella le matraqueur et demanda,
-     Que se passe il, qu'elle fut la raison de ce traitement ?
-     Docteur, ces deux femmes font l'amour à coté du lit.
la troisième femme répondit,
-      Ce n'est pas vrai docteur, on c'est misse a l’abri pour ce 
       protéger des objets qui volèrent dans la pièce.
Ce fut la bonne réponse mais, croire une folle c'est tourner le 
monde en l'envers. La seule personne qui put justifier le 
déroulement des incidents ne savait pas écrire mais dessina sur
un morceau de papier les faits qui vinrent de ce déroulé. Ce ne
furent pas des lettres mais belle et bien des croquis sur les 
événements passé. 
Docteur Lucie prit un morceau de papier où elle y marqua 
l'endroit où Liliane(Eva) ira prochainement, elle lui montra le
château où elle sera accepté  après le repas de midi. Il faut 
quelle sois patiente, 
elle pourra prendre un bain. Quelques 

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toilette fut faite comme les autres fois. le sommeil quêta la 
nuit pour une suite de découverte et d'ambitions. 

le repas du midi fut distribué, la table n 4 ne posséda plus que
 deux couverts car deux manquantes furent autre part. Docteur
Lucie vient prendre place avec Liliane(Eva) et lui donna a 
manger. Avec des gestes 
que la commission eut 
avoir enlevé cette camisole, 


liberté quelle aubaine de ce sentir propre. Oui mais, les bras 
sont tétanisé, elle eut du mal pour se déshabiller et se laver. Les
remettre en fonction demanda une petite rééducation. Docteur 
Lucie vint a son aide et remarqua que de nombreuses marques 
de coups ornèrent son dos. Le matraqueur ne l'eut pas gracié.
Cela intrigua Lucie car en plaçant Liliane(Eva) dans le centre
spécialisé ils remarqueront qu'elle fut maltraitée. Cette 
supposition la fit réfléchir sur ce qu'elle dut mentionner dans
 la feuille de soins qui l'accompagna. Elle conclura que de toute
façon Liliane(Eva) ne dira rien de ce qui vint de ce dérouler et
qu'elle sera bien mieux autre part que dans cette maison de 
détraqués.

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Liliane(Eva) enleva sa camisole, une odeur de fauve y 
trouva refuge, puis, elle se plaça dans la baignoire, une douleur 
brûla son 
matraques qui la firent souffrir. Avec douceur Lucie lui lava le
dos en appliquant quelques massages réconfortant ses 
souffrances. Mais il restât les souffrance intérieures, ceux là,
personne ne les entendit.
  Lucie lui donna une belle robe blanche crème car Liliane(Eva)
n'eut plus rien a se mettre, tous fut déchiré.


Liliane(Eva) arriva, elle n'eut comme seul bagage sa beauté et
une lettre dans laquelle un morceau de papier signé du docteur 
Lucie qui résuma la suite a prendre.
Liliane(Eva) remit la lettre au chauffeur.
   Ce véhicule comporta un habitacle placé a l'arrière de la cabine
avec deux bancs face a face et qui put emporter 6 personnes. La 
docteur Lucie l'accompagna à l'arrière et attendit que Liliane(Eva)
prenne place sur une des banquettes. Lucie fut un signe au 
convoyeur pour que la porte soit fermée. Un vacarme de tôle suivi
la fermeture. Un plafonnier illumina l'habitacle pas plus grand 

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que 1,80 m de large et 2 m de long, une hauteur d'1.60 m  ne 
permit
plafond, tourna. Une chaleur s'y engouffra, le souffle de l'aérateur
ne permit a l'air de rafraîchir l'habitacle. la certitude de se 
retrouver dans une autre sorte de prison envoûtât Liliane(Eva);
elle sut l'acte qu'elle commit en tirant sur deux personnes et les
blessant, serais se pour cette raison que la société la changea 
d'endroit ? Liliane n'eut qu'un objectif, retrouver sa liberté d'une
manière ou d'une autre avec comme ambition, retrouver Yves.
  Le véhicule démarra, une intuition d’angoisse la suivit. Le temps
passa, ce fut bien 20 minutes que le véhicule continua sa route 


laquelle furent mentionnées les coordonnées de la personne 
transporté. Il les lit puis rajoute à haute voix,
-      Pour cette fois, voilà une personne normale et attirante que
l'on transporte, elle ne parle pas et n'entend pas. En plus de cela,
les hématomes qui la marques sont dut a une querelle de famille.
Ce qui me plaît, dans cette histoire-là c'est qu'elle n'est pas 
vilaine. Je précise même qu'elle m'épate pour une fois nous ne 
risquons rien, elle ne parle pas.

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  Le chauffeur écoute son discours d'un air questionneur, il 
répondit,
-    Mais quelle seraient tes intentions ?
-     On se la paye, qu'en penses tu ?
-     Je ne sais pas et puis,
-     Et puis quoi, arrête -toi dans la forêt, personne ne nous 
       dérangera.
D'un air autoritaire le convoyeur insista de plus belle. Le combiné
continua sa route jusqu'à la forêt indiquée. Liliane(Eva) ne se 
douta de rien et pensa être arrivé. Les deux personnages 
sortirent du véhicule, puis après avoir uriné contre un arbre,
s'avancèrent vers l'arrière porte du fourgon. Ils ouvrirent la 
porte, cette entré d'air atténua la chaleur existante, puis ils
 prirent place sur la banquette opposé à Liliane(Eva). Cette 
arrêt fut bien venu mais
s'é
Chose rare qu'une personne ne chercha de l'observer ? Même
 le matraqueur l'eut regardé dans les yeux avec son air 
méprisant tout en la frappant.
  La psychologie sur le comportement d'une personne met en

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éveille des sens pour des non entendant .Liliane(Eva) comprit
les intentions de ces deux énergumènes. Elle s'attendit au pire.
Le convoyeurs regarda Liliane(Eva) dans les yeux avec un 
sourire impropre à l'admiration. Il hocha ensuite les épaules
puis secouât la tête. Il se leva et s'approcha courbé vers elle.
Son battement de cœur augmenta, une peur l'envahit de fond
 en comble. Elle ressentit la venu d'une appréhension peu 
banale, comme une impuissance envers un danger qui la 
menace. Elle se blottit sur la banquette dans le fond du .
fourgon. Les gestes de ce personnage ainsi que ses intentions
de son visage le dénonça. Il lui caressa ses cheveux et son 
visage. Liliane(Eva) garda sa position. Le chauffeur n'eut 
apprécié que son collègue saisit ses cheveux aussi brutalement
pour la tirer vers le centre du fourgon. Lorsqu'il tenta de lui 
enlever sa robe blanche craie, Liliane(Eva) étira ses pieds avec
 une rapidité et une force dédoublé sans pareille vers 
l'entrejambe du convoyeur. Celui-ci se prépara pour lui 
infliger des coups de pieds, le chauffeur l'en dissuada de ses 
intentions. Il aida Liliane(Eva) pour se relever en cette fraction
de seconde elle eut l'intention d'ovations. La rapidité des 
hommes la dépassèrent en claquant fortement la porte du 
fourgon. Le véhicule reprit sa destination. 


suite au 81      5/8


JJM

Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
Des changements peuvent suivre .
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1 commentaire:

Jean jacques Mutz a dit…

Pour les lecteurs et lectrices qui aiment voyager dans l'imagination.