mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2
SVP ne changer pas le texte, je ne gagne rien et il est
protégé.
Pour Yves, l'espoir donne un signe de victoire car, quelques mots
Coïncidence 4/8
64
Pour Yves, l'espoir donne un signe de victoire car, quelques mots
sortirent de sa bouche. Ils donnent des certitudes sur la sortie de son
comma. Le monde médicale le suivi avec encouragement et écoutèrent
les paroles suivante,
- Eva, où est Eva ?
- Où est Eva ?
IL prononce ses mots sans arrêt. Ce réveille attire un grand nombre
de médecins et du personnelle soignant. Le commissaire fut aussi là, il
ne voulut perdre un moment pour son enquête. Petit à petit, les mots
devinent compréhensibles et constructif, le mot Eva suivit chaque
mot et phrase. L’impatience du commissaire n’hésite pas pour le
questionner.
- Monsieur Yves, où se trouve Eva ?
Pas de réponse, a part la question suivante,
- Où est ma femme Eva ?
- Monsieur Yves, vous souvenez vous du braquage de la banque ?
- Non pas exactement, où se trouve Eva ?
- Monsieur Yves, qui vous a frappé ?
- Une personne inconnu de la banque, mais où est Eva ?
65
l'un des médecins dit au commissaire,
- Il faut le laisser récupérer, monsieur le commissaire laissez le
passer une nuit cela lui permettra de retrouver ses forces
physique et psychologique. Votre questionnaire le fatigue de
trop.
- C'est bon docteur, je reviens demain matin.
le lendemain matin , le commissaire est prêt du malade Yves. La nuit
a porté ses fruits, car Yves a récupéré une bonne partie de ses facultés .
Yves a retrouvé ses réactions. Sans tarder le commissaire le questionne,
- Votre femme Eva, fut elle présente le jour du braquage de la
banque ?
- De quel braquage, de quelle banque ? je ne me souviens de rien.
- La blessure qui vous a plongé dans le coma, qui vous a agressé ?
- Vaguement, mais que n'est il arrivé au juste ?
- D'après les témoignages de vos collègues, vous avez reçu un
coup de crosse de l'un de vos agresseurs.
- je me rappelle de rien.
- Votre femme Eva, a t elle des amies au amis en ville ?
Ce questionnaire bouleversa profondément Yves qui répondit fermement,
- Mais, ma femme où se trouve t elle ? elle n'a pas d'amies ou
66
amis en ville, a pars la voisine ?
Son regarde étonné observa le commissaire, comme pour tenter de
découvrir les prochaines questions déprimantes qu'il alla lui poser.
- Justement monsieur Yves, elle a disparu avec pas mal de bien
de votre habitation et surtout avec le livre ancien qu'elle dut
relier.
Ces questions réveillèrent par petite touche le trou noir dans lequel
Yves fut plongé. Le médecin dit au commissaire,
- Revenez plus tard, monsieur le commissaire, nous devons
poursuivre les soins.
Dans la maison spécialisée, le repas fut servi. Pour ce fait,
toutes les femmes de la chambre où se trouva Liliane (Eva) se
préparèrent pour rejoindre la salle à manger. Liliane (Eva) dut
carder son embarrassante camisole. Elle suivit les autres femmes
au réfectoire une honte gorgé de mépris. Personne ne remarque
son habille, elle passa inaperçu comme si rien ne fut.
Dans la maison spécialisée, le repas fut servi. Pour ce fait,
toutes les femmes de la chambre où se trouva Liliane (Eva) se
préparèrent pour rejoindre la salle à manger. Liliane (Eva) dut
carder son embarrassante camisole. Elle suivit les autres femmes
au réfectoire une honte gorgé de mépris. Personne ne remarque
son habille, elle passa inaperçu comme si rien ne fut.
Liliane (Eva) poursuit sa marche vers une table de quatre place
où sont marqué ,à l'aide d'une peinture d'huile, les numéros que
chacune porte sur un écriteau accroché autour du cou .
Liliane (Eva) porte le 4, elle s'y place , en dernière, sur la
chaise figure son nom. Elle observe son entourage avec curiosité
et remarque que les couverts sont en matière plastique rose.
Les couteaux n'ont pas de tranchant et sont arrondie. Pas
avec les mains bloqués ?
Le repas est servi par des personnes qui poussent des
chariots remplit de crudités, de cruches en plastique d'eau, et des
plats dans des récipients de bois. L'odeur de leur contenu parvint
aux narines de Liliane (Eva) qui analysa que c'est du rôti de veau,
des pommes de terre purée, de la salade verte qui leur sera servi.
Le personnel de service se rapproche de Liliane (Eva) et la
regarde d'un air étonné, puis se retourne en direction de ses
supérieurs en manifestant son mécontentement en gesticulant
leurs mains.
Liliane (Eva) suivit la direction où sont réceptionné les signes.
De là arrivèrent deux surveillants qui réveillèrent son attention.
Elle se souvint des coups que l'un des individus lui infligea dans
la pièce capitonné.
67
de pointe pour les fourchettes. Mais, comment peut elle mangeravec les mains bloqués ?
Le repas est servi par des personnes qui poussent des
chariots remplit de crudités, de cruches en plastique d'eau, et des
plats dans des récipients de bois. L'odeur de leur contenu parvint
aux narines de Liliane (Eva) qui analysa que c'est du rôti de veau,
des pommes de terre purée, de la salade verte qui leur sera servi.
Le personnel de service se rapproche de Liliane (Eva) et la
regarde d'un air étonné, puis se retourne en direction de ses
supérieurs en manifestant son mécontentement en gesticulant
leurs mains.
Liliane (Eva) suivit la direction où sont réceptionné les signes.
De là arrivèrent deux surveillants qui réveillèrent son attention.
Elle se souvint des coups que l'un des individus lui infligea dans
la pièce capitonné.
Le plus grand d'entre eux lui fait le plus peur, elle en trembla car
c'est bien celui là qui se donna a cœur joie pour la maltraiter. Il se
mit a rire la bouche grande ouverte avec une méprise sans
c'est bien celui là qui se donna a cœur joie pour la maltraiter. Il se
mit a rire la bouche grande ouverte avec une méprise sans
scrupule. Cette odieux personnage la hait ,pourquoi ? Il se
dirigea vers une autre table pour récupérer une chaise resté libre.
vilaine bête vint les surveiller. Aucun pensionnaire n'évoque un
sourire d'encouragement toutes furent soucieuses.
Notre personnage prit place à coté de Liliane (Eva). Il remplit
la cuiller en plastique d'une bonne couche de purée de pomme
de terre qu'il souleva pour la placer dans la bouche de Liliane
(Eva). Avec la main gauche il lui empoigna ses long cheveux
blonds miel. Au moment où la bouche s'ouvrit il poussa la tête
vers la cuiller pour que celle ci touche le fond de la gorge. La
brutalité de cet individu est exagérée. Liliane (Eva) tente de
reculer mais cette brute sans scrupule la maintenait tout en
riant à forte voix la bouche grande ouverte. Liliane (Eva) lui
cracha tous ce qu'il voulut lui gaver, en pleine figure. Une
dirigea vers une autre table pour récupérer une chaise resté libre.
68
Les trois compagnes de Liliane en furent étonnées comme si unevilaine bête vint les surveiller. Aucun pensionnaire n'évoque un
sourire d'encouragement toutes furent soucieuses.
Notre personnage prit place à coté de Liliane (Eva). Il remplit
la cuiller en plastique d'une bonne couche de purée de pomme
de terre qu'il souleva pour la placer dans la bouche de Liliane
(Eva). Avec la main gauche il lui empoigna ses long cheveux
blonds miel. Au moment où la bouche s'ouvrit il poussa la tête
vers la cuiller pour que celle ci touche le fond de la gorge. La
brutalité de cet individu est exagérée. Liliane (Eva) tente de
reculer mais cette brute sans scrupule la maintenait tout en
riant à forte voix la bouche grande ouverte. Liliane (Eva) lui
cracha tous ce qu'il voulut lui gaver, en pleine figure. Une
bonne partie atteint son but, en plein centre de sa bouche
quant au reste, il s'éparpilla sur le visage et ses habilles.
l'homme se relève brusquement de sa chaise.
Cette réaction provoque un enchaînement de claques qu'il
attribua à Liliane (Eva). Il n'interrompe cette action et frappe
sens compter.
Soudain, une main de femme l'en empêche. Ce freinage
n'est pas bien venu car avec l'autre main, il tenta de répliquer.
un soulagement de victoire en frappant des mains.
Liliane (Eva) fut toute rouge de peur mais aussi des marques
du aux nombreuses claques. Elle tremble comme une feuille mais
ressenti une victoire. Ses larmes collèrent sur ses joues jusqu'à
tacher sa robe rayée de rouge et de blanc. Lucie essuya cette
tache puis, elle continua de lui donner a manger.
n'est pas bien venu car avec l'autre main, il tenta de répliquer.
69
A la vue du médecin Lucie, il se rétracta. Toute la salle évoqueun soulagement de victoire en frappant des mains.
Liliane (Eva) fut toute rouge de peur mais aussi des marques
du aux nombreuses claques. Elle tremble comme une feuille mais
ressenti une victoire. Ses larmes collèrent sur ses joues jusqu'à
tacher sa robe rayée de rouge et de blanc. Lucie essuya cette
tache puis, elle continua de lui donner a manger.
Depuis que Yves retrouva sa raison d'être, il ne dormait
plus et la nuits devint interminable, Eva lui manqua plus que tout.
l'amour est le fruit d'une récolte, un besoin d'attache qui comble
le trou noir de l'incertitude du lendemain. Dans cet engrenage les
deux amoureux suivirent la même onde de retrouvailles.
Eva réfléchit sur une éventuelle évasion de cet hôpital spécialisé
qui abaisse les personnes au plus bas niveau. Pour elle l'ensemble
plus et la nuits devint interminable, Eva lui manqua plus que tout.
l'amour est le fruit d'une récolte, un besoin d'attache qui comble
le trou noir de l'incertitude du lendemain. Dans cet engrenage les
deux amoureux suivirent la même onde de retrouvailles.
Eva réfléchit sur une éventuelle évasion de cet hôpital spécialisé
qui abaisse les personnes au plus bas niveau. Pour elle l'ensemble
du personnelle a les mêmes valeur sur leur comportement. Même
Lucie, qui ne réussi a la libérer Eva de cette camisole .
Chaque moment devient souffrance et une aberration qui la
couvre d'actes d'incohérence. Il y a beau implorer un Dieu
quelconque aucun ne lui vint en aide.
attendit les deux amoureux, Yves sut qu'au premier levé du jour le
commissaire viendra le questionner. Le médecin accepta qu'Yves
fut questionné un peut plus longtemps car la nuit lui eut porté une
augmentation de ces capacités intellectuelles.
Le commissaire n'eut pas perdu son temps a la première occasion
du matin, il questionna de nouveau Yves.
- Votre femme a t elle des amies ou amis dans la ville?
- Non pas que je sache.
- Fréquente t elle une association quelconque ?
- Oui, dans une association de tir de compétition dans laquelle
je suis aussi inscrit.
Yves trouve cette question un beau blizzard ?
- Votre femme fut elle présente le jour du braquage de la banque ?
- Elle n'y fut pas, regardez sur les caméras.
Les pensées d'Yves se préoccupèrent de cette question il pensa mais
que reproche le commissaire a Eva ?
- Connaissez vous vos agresseurs ?
- Je ne les ai jamais rencontrés.
Yves leva son bras pour lui montrer la blessure qu'il eut acquit. Il
- Monsieur qu'elle est le motif de tout ce questionnaire et où se
trouve ma femme Eva ?
le commissaire pris au dépourvu ne sut que répondre,
- Monsieur Yves votre femme se trouve certainement dans un
hôpital elle eut subit un choque.
- Puis je la voir ?
- Justement nous ne savons pas ci c'est bien elle ?
Ce fut une manière de laissé en veille la vérité, celle de lui dire
que sa femme fut introuvable. Le médecin vint dire,
- Monsieur le commissaire, nous devons donner des soins a notre
patient, revenez demain.
- Je reviendrais demain docteur. Bon rétablissement monsieur
Yves.
Chaque moment devient souffrance et une aberration qui la
couvre d'actes d'incohérence. Il y a beau implorer un Dieu
quelconque aucun ne lui vint en aide.
70
Cette nouvelle nuit s'écoula avec lenteur. Une nouvelle épreuveattendit les deux amoureux, Yves sut qu'au premier levé du jour le
commissaire viendra le questionner. Le médecin accepta qu'Yves
fut questionné un peut plus longtemps car la nuit lui eut porté une
augmentation de ces capacités intellectuelles.
Le commissaire n'eut pas perdu son temps a la première occasion
du matin, il questionna de nouveau Yves.
- Votre femme a t elle des amies ou amis dans la ville?
- Non pas que je sache.
- Fréquente t elle une association quelconque ?
- Oui, dans une association de tir de compétition dans laquelle
je suis aussi inscrit.
Yves trouve cette question un beau blizzard ?
- Votre femme fut elle présente le jour du braquage de la banque ?
- Elle n'y fut pas, regardez sur les caméras.
Les pensées d'Yves se préoccupèrent de cette question il pensa mais
que reproche le commissaire a Eva ?
- Connaissez vous vos agresseurs ?
- Je ne les ai jamais rencontrés.
Yves leva son bras pour lui montrer la blessure qu'il eut acquit. Il
71
se mit a son tour a questionner le commissaire,- Monsieur qu'elle est le motif de tout ce questionnaire et où se
trouve ma femme Eva ?
le commissaire pris au dépourvu ne sut que répondre,
- Monsieur Yves votre femme se trouve certainement dans un
hôpital elle eut subit un choque.
- Puis je la voir ?
- Justement nous ne savons pas ci c'est bien elle ?
Ce fut une manière de laissé en veille la vérité, celle de lui dire
que sa femme fut introuvable. Le médecin vint dire,
- Monsieur le commissaire, nous devons donner des soins a notre
patient, revenez demain.
- Je reviendrais demain docteur. Bon rétablissement monsieur
Yves.
Dans le centre où se trouve Liliane( Eva ) des discutions entre
médecins reprennent. La stagiaire Lucie, la défend tant bien que
mal devant les autres qui ne lui prêtèrent la moindre attention.
Pour eux, ce ne fut qu'une poupée démunie de ses bras et qui
n'émet le moindre bruit. Bref, une statue vivante couché là.
Lucie, la médecin, vint retrouver Liliane ( Eva ) accompagné
Lucie, la médecin, vint retrouver Liliane ( Eva ) accompagné
d'une autre personne du personnelle . Ils discutèrent entre elle
tout en s'approchant de sa table.
Les autres femmes la suivirent pas a pas. L'une d'elle dit
- Oui je le sais Maryse mais il faut l'autorisation du directeur
pour lui redonner la liberté de ses mains.
Lucie s'adressa e son accompagnateur ,
- Ce qui vint d'arriver, au repas, est une preuve que l'on ne
tient pas compte du comportement de l'handicape de Liliane
Les autres femmes la suivirent pas a pas. L'une d'elle dit
72
- Docteur Lucie, elle n'est pas méchante du tout Liliane (Eva)- Oui je le sais Maryse mais il faut l'autorisation du directeur
pour lui redonner la liberté de ses mains.
Lucie s'adressa e son accompagnateur ,
- Ce qui vint d'arriver, au repas, est une preuve que l'on ne
tient pas compte du comportement de l'handicape de Liliane
(Eva) mais bien de la personne de service qui est agressif .
Liliane ( Eva ) ne médite pas d'être traitée de la sorte cette
endroit ne correspond a son cas.
- Bon, je reconnais qu'elle doit retrouver la liberté de ses bras,
allons dans mon bureau pour signer la décharge.
Dans les pensées de Liliane (Eva) une espérance nait, elle
arriva par déchiffrer quelques signes sur les lèvres du docteur Lucie.
La liberté de ses mains lui permettra de d'écrire la vérité sur une
feuille de papier. Le plus important fut de donner son véritable nom
et de retrouver son mari Yves victime du braquage de sa banque. Des
larmes d'espoir humaient son visage.
Une des femmes, Maryse, lui parle,
- Pauvre petite fille il ne faut pas pleurer .
Une autre lui caressa ses cheveux en lui parlant doucement pour
la soulager. Mais, que se passe t il donc, tout le monde devient
- Tu sais petit enfant, tes cheveux sont bien trop longs, si tu veux
je te les coupe il suffit de me dire non et je les laisse comme il
sont. Tu ne dis rien alors tu es d'accord. On n'a pas de ciseaux ni
de couteau mais je suis capable de te faire la même coupe que
moi avec un morceau de verre que j'ai caché sous mon lit. Je
l'avais récupère un jour où une vitre fut cassée.
Les caresses soulagèrent le chagrin de Liliane (Eva), mais que lui
réserve cette coiffeuse détraquée?
- Lorsque je t'aurais fait belle, tu n'auras plus de larmes. Comme
il est prévue que tu vas bientôt nous quitter pour un autre centre
tu dois être belle.
Maryse part chercher son morceau de vitre après avoir essuyer les
grosses larmes de Liliane (Eva). Une des femmes présente dans la
pièce eut suivi avec attention les intentions de Maryse et attendit
impatiente que celle ci sortie le morceau de vitre de sa cachette.
Rapidement, elle se précipite sur Maryse la coiffeuse pour lui
voler son bien coupant. Liliane ( Eva ) a suivi leur démarche sans
comprendre que leur intentions agressive.
A ce moment là, les deux femmes se chamaillèrent comme des
chacals avec une proie. Une vraie débandade se produisit, des
venu des responsables du service d'ordre de l'établissement.
Liliane (Eva) se mit en boule en se cachant a coté de son lit.
Maryse perdit son précieux morceaux de verre. L'autre patiente
endroit ne correspond a son cas.
- Bon, je reconnais qu'elle doit retrouver la liberté de ses bras,
allons dans mon bureau pour signer la décharge.
Dans les pensées de Liliane (Eva) une espérance nait, elle
arriva par déchiffrer quelques signes sur les lèvres du docteur Lucie.
La liberté de ses mains lui permettra de d'écrire la vérité sur une
feuille de papier. Le plus important fut de donner son véritable nom
et de retrouver son mari Yves victime du braquage de sa banque. Des
larmes d'espoir humaient son visage.
Une des femmes, Maryse, lui parle,
- Pauvre petite fille il ne faut pas pleurer .
Une autre lui caressa ses cheveux en lui parlant doucement pour
la soulager. Mais, que se passe t il donc, tout le monde devient
73
sympathique avec elle pense Liliane (Eva) ?- Tu sais petit enfant, tes cheveux sont bien trop longs, si tu veux
je te les coupe il suffit de me dire non et je les laisse comme il
sont. Tu ne dis rien alors tu es d'accord. On n'a pas de ciseaux ni
de couteau mais je suis capable de te faire la même coupe que
moi avec un morceau de verre que j'ai caché sous mon lit. Je
l'avais récupère un jour où une vitre fut cassée.
Les caresses soulagèrent le chagrin de Liliane (Eva), mais que lui
réserve cette coiffeuse détraquée?
- Lorsque je t'aurais fait belle, tu n'auras plus de larmes. Comme
il est prévue que tu vas bientôt nous quitter pour un autre centre
tu dois être belle.
Maryse part chercher son morceau de vitre après avoir essuyer les
grosses larmes de Liliane (Eva). Une des femmes présente dans la
pièce eut suivi avec attention les intentions de Maryse et attendit
impatiente que celle ci sortie le morceau de vitre de sa cachette.
Rapidement, elle se précipite sur Maryse la coiffeuse pour lui
voler son bien coupant. Liliane ( Eva ) a suivi leur démarche sans
comprendre que leur intentions agressive.
A ce moment là, les deux femmes se chamaillèrent comme des
chacals avec une proie. Une vraie débandade se produisit, des
74
objets volèrent de part et d'autre. Se vacarme eut déclenché lavenu des responsables du service d'ordre de l'établissement.
Liliane (Eva) se mit en boule en se cachant a coté de son lit.
Maryse perdit son précieux morceaux de verre. L'autre patiente
surnomme suicide , s'en saisi puis s'ouvrit les veines de son
bras droit. Du sang jaillit. La bagarre continue de plus belle et
les traces de sang sont éparpillé un peu partout. Le service
d'ordre arrive, parmi eux se trouve celui qui méprise Liliane
(Eva). Il tiens dans sa main une matraque en caoutchouc qu'il
manipule avec souplesse et précision. La troisième femme vient
se réfugier prêt de Liliane (Eva). Le matraqueur sens donne à
cœur joie sur le comportement des deux excités pour les séparer.
Le calme revint. Maryse eut une camisole et la suicidaire
fut conduite au urgence. Le matraqueur aperçu les deux femmes
allongés le long du lit cote à cote pour se protéger. Cette vue
ne lui convenait point, il entra dans une rage indomptable et cria,
- Sale petite pute, vous coucher ensemble ?
Il s'approcha d'eux et les frappa de toutes ses forces en faisant
glisser la matraque sur leur dos pour quelle laissa des traces.
Liliane (Eva) se recoquilla sur elle même tout en mordant
son agonie parvint jusqu'au bureau du responsable principal.
Docteur Lucie arriva avec le responsable du centre qui
interrompit les frappes. Lucie interpella le matraqueur et demanda,
- Que se passe il, qu'elle fut la raison de ce traitement ?
- Docteur, ces deux femmes font l'amour à coté du lit.
La troisième femme répondit,
- Ce n'est pas vrai docteur, on c'est misse a l’abri pour ce
protéger des objets qui volèrent dans la pièce.
Ce fut la bonne réponse mais, croire une folle c'est tourner le
monde en l'envers. La seule personne qui put justifier le
déroulement des incidents ne savait pas écrire mais dessina sur
un morceau de papier les faits qui vinrent de ce déroulé. Ce ne
furent pas des lettres mais belle et bien des croquis sur les
événements passé.
Docteur Lucie prit un morceau de papier où elle y marqua
l'endroit où Liliane (Eva) ira prochainement, elle lui montra le
château où elle sera accepté demain après le repas de midi.
fut conduite au urgence. Le matraqueur aperçu les deux femmes
allongés le long du lit cote à cote pour se protéger. Cette vue
ne lui convenait point, il entra dans une rage indomptable et cria,
- Sale petite pute, vous coucher ensemble ?
Il s'approcha d'eux et les frappa de toutes ses forces en faisant
glisser la matraque sur leur dos pour quelle laissa des traces.
Liliane (Eva) se recoquilla sur elle même tout en mordant
75
fortement sur ses propres dents. L'autre femme cria de douleurson agonie parvint jusqu'au bureau du responsable principal.
Docteur Lucie arriva avec le responsable du centre qui
interrompit les frappes. Lucie interpella le matraqueur et demanda,
- Que se passe il, qu'elle fut la raison de ce traitement ?
- Docteur, ces deux femmes font l'amour à coté du lit.
La troisième femme répondit,
- Ce n'est pas vrai docteur, on c'est misse a l’abri pour ce
protéger des objets qui volèrent dans la pièce.
Ce fut la bonne réponse mais, croire une folle c'est tourner le
monde en l'envers. La seule personne qui put justifier le
déroulement des incidents ne savait pas écrire mais dessina sur
un morceau de papier les faits qui vinrent de ce déroulé. Ce ne
furent pas des lettres mais belle et bien des croquis sur les
événements passé.
Docteur Lucie prit un morceau de papier où elle y marqua
l'endroit où Liliane (Eva) ira prochainement, elle lui montra le
château où elle sera accepté demain après le repas de midi.
Il faudra quelle sois patiente, pour cela Liliane ( Eva ) devra
76
prendre un bain car elle fut souillé de toute part.
le sommeil quête la nuit pour une suite de découverte
réconfortante et surtout d'ambitions.
Le repas du midi est distribué, la table n 4 qui ne possède
plus que deux couverts il y avait deux manquantes . Docteur
Lucie vient prendre place avec Liliane (Eva) et lui donne a
manger. La commission a décidé de lui enlevé la camisole, cette
Lucie vient prendre place avec Liliane (Eva) et lui donne a
manger. La commission a décidé de lui enlevé la camisole, cette
liberté, quelle aubaine de ce sentir libre de ses mouvements.
Oui mais, les bras sont tétanisé, Liliane ( Eva ) a du mal pour
se déshabiller et se laver. Les remettre en fonction demande une
petite rééducation. Docteur Lucie vint a son aide et remarque
que de nombreuses marques de coups ornèrent son dos. Le
matraqueur ne l'a pas gracié.
Cela intrigue Lucie car en plaçant Liliane (Eva) dans le centre
spécialisé ils remarqueront qu'elle fut maltraitée. Cette
Cela intrigue Lucie car en plaçant Liliane (Eva) dans le centre
spécialisé ils remarqueront qu'elle fut maltraitée. Cette
supposition la fait réfléchir sur ce qu'elle dut mentionner dans
la feuille de soins qui accompagne Liliane (Eva ). Elle conclure
la feuille de soins qui accompagne Liliane (Eva ). Elle conclure
que de toute façon Liliane (Eva) ne dira rien de ce qui vient de ce
dérouler et elle sera bien mieux autre part que dans cette
maison de détraqués.
77
Lorsque l'on enleva a Liliane(Eva) sa camisole, une odeur defauve y eut trouvé refuge . Elle se place dans la baignoire, les
traces des coups de matraques la brule, cela la fait souffrir.
Avec douceur Lucie lui lave le dos en lui appliquant quelques
massages qui peuvent la soulager . Mais il reste les souffrance
intérieures, ceux là, personne ne peut les entendre.
Lucie lui donna une belle robe blanche crème car Liliane (Eva)
n'a plus rien a se mettre, tous fut déchiré.
Le lendemain, Liliane(Eva) arrive a son ambulance , elle n'a
Lucie lui donna une belle robe blanche crème car Liliane (Eva)
n'a plus rien a se mettre, tous fut déchiré.
Le lendemain, Liliane(Eva) arrive a son ambulance , elle n'a
comme bagage que sa beauté et une lettre dans laquelle un
papier signé du docteur Lucie qui résume la suite a prendre.
Liliane(Eva) remit la lettre au conducteur.
Ce véhicule comporta un habitacle placé a l'arrière de la cabine
avec deux bancs face a face et peut emporter 6 personnes. La
docteur Lucie l'accompagna à l'arrière et attendit que Liliane
Ce véhicule comporta un habitacle placé a l'arrière de la cabine
avec deux bancs face a face et peut emporter 6 personnes. La
docteur Lucie l'accompagna à l'arrière et attendit que Liliane
(Eva) prenne place sur une des banquettes. Lucie fut un signe au
convoyeur pour que la porte soit fermée. Un vacarme de tôle suivi
la fermeture. Un plafonnier illumine l'habitacle pas plus grand
permet de se mettre debout. Il n'a pas fallu beaucoup de temps
pour qu'une chaleur s'y engouffre . Le souffle de l'aérateur
ne permit a l'air intérieure de rafraîchir l'habitacle.
convoyeur pour que la porte soit fermée. Un vacarme de tôle suivi
la fermeture. Un plafonnier illumine l'habitacle pas plus grand
78
que 1,80 m de large et 2 m de long, une hauteur d'1.60 m nepermet de se mettre debout. Il n'a pas fallu beaucoup de temps
pour qu'une chaleur s'y engouffre . Le souffle de l'aérateur
ne permit a l'air intérieure de rafraîchir l'habitacle.
la certitude de retrouver une autre sorte de prison envoûte
Liliane (Eva); elle pense a l'acte qu'elle eut commit en tirant
sur deux personnes et les blessant, serais se pour cette raison
que la société la change d'endroit ?
Liliane ( Eva ) n'a qu'un objectif, retrouver sa liberté d'une
manière ou d'une autre avec comme ambition, retrouver Yves.
Le véhicule démarre, une intuition d’angoisse la suivit.
manière ou d'une autre avec comme ambition, retrouver Yves.
Le véhicule démarre, une intuition d’angoisse la suivit.
Le temps passe péniblement , ce fut 20 minutes que le
véhicule poursuit sa route. Le docteur Lucie a demandé que
le chauffeur la dépose a un endroit donné. Liliane ( Eva ) est
seule sur son banc
Dans l'habitacle du conducteur, l'infirmier lit le rapport du
médecin Lucie au conducteur a haute voix.
- Liliane ( Eva ) est une personne sourde et muette.
Puis il rajoute,
- Pour cette fois, voilà une personne normale et attirante que
l'on transporte, elle ne parle pas et n'entend pas. En plus de cela,
les hématomes qui la marques sont dut a une querelle de famille.
Ce qui me plaît, dans cette histoire-là c'est qu'elle n'est pas
vilaine. Je précise même qu'elle m'épate pour une fois nous ne
risquons rien, elle ne parle pas et ne dénoncera pas nos actes.
répondit,
- Mais quelles intentions as tu ?
- On se la paye, qu'en penses tu ?
- Je ne sais pas et puis,
- Et puis quoi, arrête -toi dans la forêt, personne ne nous
dérangera.
D'un air autoritaire le convoyeur infirmier insista de plus
Puis il rajoute,
- Pour cette fois, voilà une personne normale et attirante que
l'on transporte, elle ne parle pas et n'entend pas. En plus de cela,
les hématomes qui la marques sont dut a une querelle de famille.
Ce qui me plaît, dans cette histoire-là c'est qu'elle n'est pas
vilaine. Je précise même qu'elle m'épate pour une fois nous ne
risquons rien, elle ne parle pas et ne dénoncera pas nos actes.
79
Le chauffeur écoute son discours d'un air questionneur, ilrépondit,
- Mais quelles intentions as tu ?
- On se la paye, qu'en penses tu ?
- Je ne sais pas et puis,
- Et puis quoi, arrête -toi dans la forêt, personne ne nous
dérangera.
D'un air autoritaire le convoyeur infirmier insista de plus
belle. L'ambulance continue sa route jusqu'à la forêt indiquée.
Liliane (Eva) ne se doute de rien et pensa être arrivé. Les
deux personnages sortent du véhicule, puis après avoir uriné
contre un arbre, s'avancèrent vers l'arrière porte du fourgon.
Ils ouvrent la porte, cette entré d'air atténua la chaleur
existante, puis ils prennent place sur la banquette opposé à
Liliane (Eva). Cette arrêt est bien venu mais, inquiète la
passagère. Liliane (Eva ) a comme intuition les mêmes
sentiments qu'avec le matraqueur. Son regarde croise celui
de l'infirmier avec son air méprisant, elle se rappelle des
de l'infirmier avec son air méprisant, elle se rappelle des
coups.
La psychologie sur le comportement d'une personne met en
La psychologie sur le comportement d'une personne met en
80
éveille des sens pour que les non entendant ont . Liliane (Eva)a banalisé les intentions de ces deux énergumènes et reste au
aguets.
Le convoyeurs regarda Liliane (Eva) dans les yeux avec un
sourire impropre à l'admiration. Il hocha ensuite les épaules
puis secouât la tête. Il se lève et s'approcha puis se courbe
Le convoyeurs regarda Liliane (Eva) dans les yeux avec un
sourire impropre à l'admiration. Il hocha ensuite les épaules
puis secouât la tête. Il se lève et s'approcha puis se courbe
vers elle. Son battement de cœur augmente , une peur
l'envahit de fond en comble par un tremblement . Elle
ressentit la venu d'une appréhension peu banale, comme
une impuissance envers un danger qui la menace. Elle se
blottit sur la banquette dans le fond du .fourgon.
Les gestes de ce personnage ainsi que les rides sur son
visage dénonce ses intentions . Il lui caresse ses cheveux et son
visage. Liliane (Eva) garde sa position.
Le chauffeur n' apprécie pas le geste de son collègue , qui a
saisit ses cheveux pour tirer Liliane ( Eva ) vers le centre du
fourgon. Lorsqu'il tente de lui enlever sa robe blanche craie,
Liliane (Eva) étire ses pieds avec une rapidité et une force
dédoublé sans pareille vers l'entrejambe du convoyeur.
Celui-ci , hurle de douleur puis se prépare pour infliger
des coups de pieds . le chauffeur l'en dissuade de ses
intentions. Il aide Liliane (Eva) pour se relever.
Cette réaction départage le comportement des
accompagnateurs qui quittent le fourgon dans une colère
digne de perdant, le chauffeur claque fortement la porte du
fourgon et le véhicule reprit sa destination.
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
Des changements peuvent suivre .
A ce jour, 04 04 2019, 8 566 lecteurs.
A ce jour, 29 10 2019, 9 031 lecteurs.
suite au 81 5/8
JJM
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
Des changements peuvent suivre .
A ce jour, 04 04 2019, 8 566 lecteurs.
A ce jour, 29 10 2019, 9 031 lecteurs.
A ce jour, 30 07 2020, 9 595 lecteurs.
A ce jour, 12 10 2020, 9 667 lecteurs.
A ce jour, 05 10 2023, 17 660 lecteurs.
A ce jour, 28 11 2024, 20 255 lecteurs
1 commentaire:
Pour les lecteurs et lectrices qui aiment voyager dans l'imagination.
Enregistrer un commentaire