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28 novembre 2024

Coïncidence 2/8 ( roman d'aventure )

mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2

suite roman d'aventure Coïncidence 2/8

    












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  Marc enregistra tous ce qui vint d'être dit même que,
- Sais tu Luc que tu as pris des risques de se faire repérer.
  Dix minutes passèrent, Marc resta allongé et gémit, son visage 
parait blanc.
   Les informations indicèrent la somme volé, et parlèrent de 
1 000 000 francs . L'état des victimes reste stable. L'inconnu tué
par balle, de petit calibre, n'a pas encore trouvé de famille. La 
personne répondant au prénom de Liliane reste hospitalisé dans
une clinique spécialisé, elle reste sous le choque .
   Marc gémie de plus belle, il divague et dit,
- Que fait Liliane Luc ?
- Elle se porte bien, il l'on emmené dans un hôpital spécialisé.
- Liliane sens sort bien, je suis content,  moi qui crut qu'elle
  fut morte lorsqu'elle tomba devant moi.
- Ne parle pas plus Marc, ça te fatigue.

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   L'otage remarqua la faiblesse de Marc. Il tente de persuader Luc,
-  Écoute mes conseilles Luc, ci Marc ne vas pas chez un médecin 
   il mourra.
              Bien plus têtu d'un troupeau d'ânes, nos deux copains 
n'approuvèrent cette solution. Luc ne fait confiance aux conseille
de l'otage.
   La santé de Marc se dégrade de plus en plus, il parle sens cesse,
des propos incohérent et parle souvent de Liliane,
- Luc tu crois que Liliane sens est sortie ? on a bien fait de 
   l'abandonner sur le trottoir.
- Oui Marc, on a bien fait.
- Tu sais que je l'aime bien Liliane, j'espère que plus tard on fera les
  quatre cents coups ensemble avec l'argent récolté.
- Bien sur Marc, elle sera rien que pour toi.
   Un sourire net sur les lèvres de Marc, il fut fière de sa copine et 
recompta toutes les possibilités qu'ils feront plus tard avec l'argent.
- J'ai froid Luc, je tremble de haut en bas, même mes doigts et mes  
orteil les tremblent , 
- C'est une réaction des grand blessé en danger de mort il faut le 
  conduire rapidement à l'hôpital Luc

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 L'otage tenta de nouveau de persuader Luc, mais rien ni fait.
- Je ne veux pas me laisser prendre maintenant que je suis riche,
  je suis persuadé qu'il sens sortira c'est un dure.
L'obstination de Luc résiste aux conseilles de l'otage. La chaleur
du soir aggrave la santé de Marc . Luc fut conscient que la santé
de Marc l'emportera vers un monde meilleur. 
     Enfin, une fraîcheur souffla entre les arbres. Cela devint 
supportable pour l'otage et Luc ,  pour Marc la santé l'abandonne.
    Le pire engendre la souffrance et ses yeux brins reluisirent des 
larmes de défaite.
     Minuit sonne, le moral d'acier de Luc fut d'une résistance hors 
du commun. Marc eut quitté ce monde et ne représentât plus qu'un
objet encombrant. Luc, décide de débarrasser de ce corps qui 
l'opportune plus que tout. Sans tarder, il  fait démarrer la voiture 
pour trouver un endroit où cacher le corps de Marc. Ils 
s'arrêtèrent prêt d'un parc et sur un banc place le corps de Marc.
Luc excité dis a l otage ,
-  Il faut quitter la ville, trouve une sortie au plus vite.
  De la musique sentimental passe sur le poste de radio, aux 
information, plus question du braquage qui eut lieux. La voie dut

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être libre, ce fut les propos de Luc qui obligea le conducteur de
suivre un chemin permettant de quitter la ville.
  Le responsable principal de la banque se trouve au chevait de 
Yves pour lui tenir compagnie. Plonge dans un comma Yves ne
répond pas. Cela est voulu par le service médical pour atténuer
ses douleurs. L'injection d'une autre piqûre calmante le garde
dans ce vide.
 A la radio il passe les informations suivante.
- La police de la ville vint , au cour d'une ronde, de trouver le 
   corps d'une victime tué par balle de petit calibre. La victime 
    porte sur elle un chéquier répondant au non du policier pris 
   en otage. Une forte prime est offerte a la personne qui eut 
   trouvé le corps. 
     L'otage sait a quoi sens tenir, il dit a Luc,
-  Tu sais Luc, je pense que tu as perdu, il vaut mieux que tu te rend,
     continuer de jouer a cache cache n'a plus de sens..
-   Ils ne nous ont pour l'instant pas trouver, et ne m'auront pas.

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- Réfléchit Luc, si tu te serait rendu, ton copain Marc aurait eut la
  chance d'être sauvé et ne serait pas mort.
 - C'il est mort, c est la faite a  celui qui nous a tiré comme des 
   lapins , c'est lui le responsable.
- Ci tu te rend, je te promet de te soutenir devant les juges.
   Cette phrase là ne l'inspira point car elle tomba dans le vide. Luc
n'eut qu'un objectif, se sortir de ce guêpier il reste le seul a profiter
de cette manne d'argent. La nuit protège sa cavale, la levée du jour 
se rapproche. Il faut changer de voiture. 
    Ils marchent en quette de trouver une voiture ouverte. La tentative 
de Luc attire l'attention d'une personne. Celle ci contacte le poste de 
police le plus proche.  Sens tarder, cet appel est prit en considération.
Une équipe de véhicules de police arrive sur les lieux.
  Les éclaires violacé tranchèrent le restant de la  nuit . Ils sont 
remarqué de loin.
     Luc remarque le danger,
- vite, nous devront partir d'ici. Il faut que nous sortions de la ville le
   plus rapidement possible.
  En se déplaçant tout en  tapotant les voitures pour réussir a en ouvrir
une. La nuit diminua pour s'aider la place au petit matin. Un nouveau
jour va naître. Luc se sentit impuissant devant l'impossibilité de trouver

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une voiture. Pas de doute, aucune petite lumière de fuite lui éclairer 
cette fatalité. Luc sent qu'il a perdu. L'otage se rendit compte de la 
situation,
- tu sais Luc, je pense que,
  Luc écouta , mais ne voulu rien comprendre ni entreprendre contre 
son plans d'action.
-  Alors Luc, tu as bien réfléchi a ma proposition, je suis toujours prêt 
   a te donner mon appui.
- Je ne sais que faire et je réfléchis.
   Des larmes de défaite humilièrent son visage de ce grand et robuste 
chef de quartier.
- Je peux compter sur ton appuis, c'est vrais ?
- Une parole donné a de la valeur, tu peux compter sur moi.
- Dans se cas, je me fis aux paroles et j'abandonne la course.
  De son plein grès Luc donne les deux pistolets a l'otage
- Ce ne sont que des armes a blanc, on n'a tué personne.
    Ils roulent vers le premier barrage de police, avec les deux armes 
placé sur le rebord du tableau de bord. A l'approche des barrages, de
nombreuses lumières violacés se repèrent au loin.  Le conducteur, 
Luc, fait des appelles de phare, puis diminua sa vitesse. Le grand 
projecteur éblouirent la voiture. Du coté d'où promenèrent cette 

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clarté, des policiers armé, les ont placé dans leur ligne de mire 
près a appuie sur la gâchette en cas de danger.
         La voiture continue son avancé en douceur. Il ne reste plus 
que quelques mètres a parcourir. La défaite est amère , Luc ressent
en lui l'épanouissement de son rêve. Dire que le plant manipulé 
avec Marc et Liliane durant un mois tombe a l'eau. Son meilleur 
copain l'eut quitté a jamais, et sa copine fut blessé !
  Bref, il a perdu son charme de chef de quartier, mais il lui 
reste l'argent caché dans un endroits du terrain vague, qu'il pourra
récupérer plus tard a sa sortie de prison. A ce moment cette idée lui
redonne confiance , la partie n'est point perdu.
   Luc attendit que la voiture fut le plus prêt possible du barrage de 
police, puis, il appuya sur l'accélérateur. Le moteur s'emballa en 
tournant a plein régime et les pneu crissèrent, en dérapant sur  
l'enrobe. Les policiers surpris par cette manœuvre soudaine se 
sentent menacé. Une pétarade coupe le silence de la nuit et des 
impactes touchèrent de plein grès le véhicule et ses occupants. 
  Le pare-brise vole en éclat ainsi que les vitres des portières. La 
voiture continue sa course vers un mur d'une habitation. Les 
visages de deux occupants, transformé en cible, sont défiguré
par le sang . 
    L'habitacle n'est plus qu'un cercueil roulant qui s'enchevêtre 
dans un mur.

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     Le véhicule prend feux et les occupants restent bloqué dans 
l'habitacle.
     La police a de la peine pour s'approcher de la voiture, la 
chaleur intense les en empêche. La police reste témoin de ce 
drame.










         
    Par l'apparition du soleil démarre cette nouvelle journée du mois
d'août. La vie humaine continue sa routine, les rues retrouvent leur
tintamarre habituelle et la pollution son acte de malveillance. Les 
banques rouvrent les portes comme a l'accoutume, la ville vient de
se éveiller. 
     Les journaux  frappent leur textes de la nuit et annoncèrent

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en première page, l'action menée par les malfaiteurs et l'état des 
victimes sur des lignes qui expriment ceci,
- Une personne employé de la banque fut agressé sauvagement. 
   Une cliente pris en otage fut tué par balle de petit calibre a la 
sortie de la banque. Les suppositions furent évoqué et l'on pense 
que l'otage devint un fardeau pour les braqueurs qui l'ont tué.
      La vie continua parmi les citadins, aussi que pour les malades 
dans les hôpitaux. L'utilité des soins y fut primordiale pour 
certains, mais pour d'autre, la structure est devenue une prison.    
       Eva se trouve bloqué dans cette carapace qui la maintenant 
comme un animal dans une cage improvisé. Elle n'a pas faim, 
et refuse la soupe matinal que la gardienne tente de lui donner. 
La camisole et la pièce capitonnées sont les facteurs pour tout
refuser, il y a encore l'impatience de ne pouvoir revoir Yves . 
    Les journaux eurent un retard sur les faits de la veille, le
journaliste questionne le directeur de la banque concerné et
Anne son employer. 
 - Monsieur le directeur, comment se porte la victimes, 
    monsieur Yves ? 
- Son état reste stable et sa volonté de rester en vie remarquable.
- A t'il prononcé un mot ?
- Pas une seul mot , monsieur le journaliste.

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- Et vous madame pouvez vous me donner plus de détaille ? 
-  Ou, monsieur le journaliste, je n'ai pas vue sa femme Eva 
   depuis le bagage de la banque.
-  Monsieur le directeur avez vous rencontré sa femme Eva 
    auprès de lui ?
- Non, je n'ai vue personne.
   Anne l'hôtesse de la banque lâche ceci,
- Aucune personne d'entre nous n'a  prévenu sa femme Eva ?.
  Cette dernière question bouleversa monsieur Pierre, le directeur
de la banque.
- Avec tous se tumulus, je vint d'oublier d'avertir la Femme d'Yves. 
  Il faut que je remédie a cela au plus vite.
  Cette oubli le bouleversa, bien entendu Yves ne travail que depuis 
quelques semaine a son nouveau poste, cette épeure le troubla il 
partit sans tarder trouver le logement d'Yves pour trouver sa femme
Eva. 
    En arrivant au troisième étage, il se trouva devant la porte de 
l'appartement entre ouverte. Il frappa une première fois, personne 
ne répondis. Il se dit , 
- mais oui sa femme est sourde et muette. 
    Il pousse la porte et trouva devant lui un remue ménage étonnant. 
Cette attention ne correspondit au comportement d'Yves et d Eva 
qui fut minutieux dans leur travail. 
    Un courant d'air fit claquer la porte d'entrée qui se ferme.
Il remarqua qu'une fenêtre donnant sur l'avenu reste grande ouverte.
IL la referma et découvris que tous les habits furent éparpillé dans
l'ensemble de l'appartement. Sa curiosité le mena dans la cuisine, là
aussi personne ne s'y trouva et dut éviter de marcher sur les ustensiles

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éparpillés. On cru qu'un ouragan dévastateur fut passé par là.
Cette réalité l'entraîna vers des doutes incompréhensible. Il décroche
le téléphone pour contacter la police. 
   Eva eut bien disparut avec tous ce qui eut de valeur. Les coupes en
firent partie, comme les deux fusils, et les munitions. Un doute 
prend naissance,  serais se le meneur de ce cambriolage où était ce  
Eva la manipulatrice ? 
     Le banquier a des doutes sur ses propres suppositions , il téléphone
 a l'hôpital de la ville pour savoir ci une admission au prénom d’Éva 
eut lieux et prit en même temps des nouvelles d'Yves. La réponse sur 
la santé Yves reste stable , pas de réveille. 
   La police releva toutes les indications dispensable pour suivre les
enquêtes. Monsieur Pierre quitta l’appartement et laissa libre cour 
aux policiers.
   Derrière son bureau monsieur Pierre chercha a comprendre la 
raison de cette mis en scène. Il relit les journaux pour tenter de 
connaître toutes les attentions sur le braquage de sa banque. Il 
regarde sur les photos des victimes et tente de comparer la photo
de la victime avec celle d’Éva grâce a la photo récupéré  dans
l'appartement. 
    Pas de doute, ce n'est pas Eva qui fut tué mais une 
inconnue ?  
   N'étant pas certain il appelle Anne,

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- Madame Anne que pensez vous de cette photo, ressemble telle a 
   la femme d'Yves ?
- Je ne l'ai vue qu'une seule fois mais je suis certaine que ce n'est
   Eva la femme d'Yves.
-  Mais ce visage, vous dit il quelque chose dans notre clientèle ?
- Je n'ai jamais rencontré cette personne là, ce fut bien la première
   fois. Il se peut que ce fut une clientes qui n'allait que chez 
    Monsieur Yves ? 
 Une autre employé fut questionné. Elle aussi n'eut vue la victime
auparavant mais elle ne connaissait pas Eva..
.   Je vous demande cette question car la femme de monsieur Yves
    a  disparut de leur habitation ? 
        Au centre de repos, Eva  accumule que des faiblesses, son 
obstination de faire la grève de la faim devint dangereux pour sa vie.
L'angoisse la martyrise, elle sut qu'elle eut commis une grave faute 
serais se pour cette raison qu'il fut enfermé de la sorte ? Elle tente
en vin de se faire comprendre, avec les bras bloqué pas question de
s'expliquer. Ses grimasse et bougèrent de la tête ne servie a rien au 
contraire, le personnelle lui donna des piqûres pour la faire dormir.
     A force de tenter de s'opposer a leur traitements elle changea de 

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stratégie et accepta de manger.
   Persuadé que Yves vie encore elle  laisse du mous dans ses 
réactions. La conscience a raison, mais , elle a du mal pour se
rétablir. Des traces de coups marquent son visage elles est tétanisé.
       Yves n'eut pas les pieds sur terre, il reste plongé dans son
comma. Un univers étrange où la lumière se confond avec les sons
et où le temps et la douleur ne fut plus présent. Il ne dépend que de
ces appareilles branchées a son corps  qui le maintenaient en vie. 
Yves sens sortira, mais peut être avec des séquelles ? 
     La police décide de lancer des recherches avec une photo d'Eva.
   Anne rend visite a Yves , elle reste bouleversé par ce qui vint  
d'arriver a Yves. Anne lui accorder toute sa confiance elle n'a pas
de doute sur lui , il n'y est pour rien.

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Anne  questionne l'infirmière de garde pour savoir où se trouve 
Yves.
- Il se trouve dans le couloir sur votre droite, mais, il est gardé par 
   la police.
- Pour quelle raison le garde t'il ainsi ont ils des doutes ?
- Je ne peux vous répondre, madame.
  Anne en fut étonné, mais que peut bien lui reprocher ?
- Sur l'état de sa santé, est il possible d'avoir une réponse ?
- Oui, il se rétablit, son état devient encourageant. Vous pouvez le 
   voir a travers la porte vitré sur votre droite.
  Anne s'aventura près de cette vitre. Les nombreux instruments qui
le maintenaient en vie l'impressionna. Son regard se place sur la
personne assise a coté d'Yves. Celle ci dort confortablement 
recoquillé sur la chaise.
    Elle observa Yves et n'arriva point a lui infliger une accusation 
aussi ingrate. Elle quitta ce lieu avec une nausée inexplicable.

    Nous voila dans l'hôpital de santé, ou les malades sont répartie
dans une longue pièces qui est un grand couloir . On y sers la 
( pâtée) des anormaux ceux qui sont attaché dans des chambres 
capitonnées. L'aide stagiaire arrive devant la porte de 
mademoiselle Liliane . Elle lut a haute voix la notice qui figure

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sous le non de Liliane,
- Mademoiselle Liliane se trouve dans la démence, elle est 
   dangereuse et ne veut pas manger, ne répond a aucune
   question et fait des grimasses 
  Cette nouvelle venu n'a pas connue  les réactions de (Liliane) , elle
fait sa formation de médecin psychiatre. Elle se méfia en ouvrant
la porte, et contraire a son imagination rencontra une jeune femme 
blotti  sur elle même dans un recoin. Cette attention lui donne un 
choque de pitié. Le silences qui les entour ne répond pas aux 
indications que l'on peut lire sur la pancarte accroché a la porte. La
stagiaire n'eut jamais rencontré cela. Elle reste méfiante sur le 
qui-vive car Liliane peut a tout moment faire basculer cette 
monotonie. 
    L'apprentie médecin s’avança avec prudence. Chaque pas, devint 
risqué.
   Liliane reste inerte sans la moindre réaction, serait elle morte ?
La boule de chair humaine garda sa position, la médecin se baisse pour
la regarder de plus prêt et remarqua des larmes couler le long de son 
visage. Ses yeux bleu furent limpide et brillant . Son regard se leva vers
la médecin, le flache d'une sympathie naisse entre elles. La médecin lui
parle avec douceur, 
- Liliane te sent tu bien ?

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  Aucune réponse, juste un hochement de tête.
- Liliane pour quelle raison est tu malheureuse?
- ;;;;;;;;;;;;;;
  Rien en somme, la tentative n'eut servi a rien . La médecin parle
avec elle en lui tenant la main. Une vibration réconfortante passe 
entre les deux personnes. Les yeux de la malade plonge dans ceux 
du médecin. Pas de doute  ils implorèrent une pitié. La sincérité 
de son comportement fut la réflexion sur son désistement agressif .
La malade a compris qu'une autre personne peut lui venir en 
aide. Là, elle vient de  trouvé son point de confiance.
   La médecin se senti gagnante, dire que la patiente lui a fait 
confiance ? Personne dans le centre spécialisé , dans leur rapports ,
ont réussi a l'amadouer.
- Pour quelle raison ne veut pas manger Liliane, tu risques de tomber
   gravement malade.
  Elle n'obtint pas de réponse et répétât sa phrase. Aucune réponse, 
- Tu t'appelle bien Liliane ? 
  Pas une mouvement de tête ne fut remarqué, seul ses yeux observèrent
la médecin.
- Pour quelle raison ne manges tu pas ? 
    Cette malade a quelque chose de particulier, sa réaction ne 
correspond a aucune des autres malades. La stagiaire médecin se 
déplace vers la  porte d'entrée et relie les remarques souligné de 
rouge.

A suivre au 3/8 page 48

JJM

Ne transformez pas mes écrits je ne gagne rien 
et l'écrit pour le partager. Merci.

Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
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