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28 novembre 2024

Coïncidence 3/8 ( roman d'aventure )

mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2
suite roman d'aventure Coïncidence 3/8
Svp ne modifier pas mes écrits qui sont protégé, 
je ne gagne rien .

n 48




















Je trouve que cette malade a quelques choses de particulier, je n'est 
jamais rencontré une réaction parmi tous les malades que j'eus depuis
dix années que je pratique ce métier. Certainement que le choque 
l'eut profondément bouleversé, reste a savoir quel facteur la placé 
dans cette attitude là ?
   la médecin se déplace vers la porte pour arracher le carton sur lequel
sont inscrit les coordonnés de la patiente où l'on souligné en rouge. 
certaines parties. La médecins  relie certain passage.
- Élément très dangereux , il faut se méfier d'elle, elle risque de 
tous chambouler. La patiente n'accepte aucune soupe ni repas. 
   Étrange cette histoire, je n'arrive pas à imaginer qu'une aussi jolie
fille sois agressive ? Une autre ligne dit, 
-  Cette jeune femme ne veut répondre a aucune question ? 
    La femme médecin conclu dans son enregistreur , 
-   Je pense que  la faiblesse qu'elle eut acquise est dut  piqûres pour
     la rendre docile ? Ou alors c'est un choque spontané qui la bloque. 
     Il se peut qu'elle est muette suite a cela ? Ou même sourde ? 

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    La médecin prit la malade pars sa taille pour la placer sur 
la chaise que la médecin a demander de rentrer. Liliane(Eva) 
observa les moindres mouvement que fait la médecin en face 
d'elle. Elle aurait voulu se confier a elle mais ses bras et ses 
mains reste emmitouflé dans la camisole. 
    Liliane (Eva) accepta le repas que lui donne la médecin.
    Avec l'incapacité de pouvoir se laver, une odeur de fauve 
entoure Liliane(Eva). La médecin conclura de lui donner un 
bain, elle donne l'ordre aux bonne sœurs de le lui préparer. 
      Une victoire éprouva les pensées du médecin qui enfin 
réussissait a sympathiser avec cette malade. Il faut découvrir 
comment dialoguer avec elle. En donnant une cuillère en bois  
de soupe, elle lui fait un signe du pousse pour la becté 
suivante en mémé temps elle hoche sa tête de haut en bas. 
Puis elle tente de bouger la tête sois dans un sens ou dans 
l'autre en bougea ses lèvres en parlant. 
     Cette attention révéla effectivement Liliane(Eva) est muette 
et sourde. 
       La médecin, se souvient quelle fit un stage dans une maison 
spécialisé pour sourde et muette. Elle lui fit quelques signes en sa 
connaissance. 
   Liliane(Eva) répondit par des hochements de tête. La médecin 
mentionna cette remarque sur le dossier de Liliane(Eva). 
    Ce premier vrai repas fut pour Liliane ( Eva )une source de 
renaissance. Par la suite, les bonnes sœur la lavèrent temps 
bien que mal, car Liliane(Eva) n'eut pas le droit d'enlever sa 
camisole qu'elle dut la garder par ordre de la supérieur.

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       Le service pris fin et la nuit demanda qu'un repos mérité 
puisse redonner vie a une nouvelle journée. Pour Liliane(Eva) 
cette nouvelle nuit la rendit nerveuse et anxieuse.
        le lendemain matin, un samedi, la banque fut fermé comme 
d'habitude. 
    Les journaux décrivirent la suite des événements du braquage. 
Ils précisèrent qu'une confusion fut commises car les armes des 
gangsters ne furent que de vulgaires pistolets d'alarme. Quant 
à la personne morte, trouvé sur un banc, ce ne fut pas le policier
prit en otage mais un des agresseurs qui ont commit le braquage 
de la banque. Le calibre des deux victimes mortes par 
balles provint du même fusil resté introuvable dans la voiture 
R16TS rouge calcinée de l'otage. Le malheur eut voulu que les 
gendarmes et la police , formant le barrage, eurent ouvert le feu 
sur les occupants du véhicule. Quant a la somme dérobé, elle est
 introuvable. 
       A la fin de la rubrique, fut mentionne,
 La disparition d'un précieux livre de collection du musée dans un 
cambriolage a été fait dans le même quartier que la banque. La 
valeur évalué a plus de 500 000 francs est assuré . Cette assurance 
accorde  a la personne qui les aide a retrouver le livreur une 
importante prime.
      le responsable de la banque rend visite à Yves dans l'espoir de 
le trouvé réveillé. Comme d'habitude, il fut sous surveillance. Un 
policier pas bien aimable le surveille. Sur le moment, monsieur 
Pierre ne sut que dire, puis il enchaine,

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-      Bonjour monsieur, je suis le directeur de la banque où eut lieu 
     le drame.
-      Quel drame, je n'en connais pas ?
-      Mais, là où eut lieu le braquage de la Banque.
-      Et alors , que désirez vous ?
-       J'aimerai connaître l'état de santé de mon employé ?
-       Je n'ai aucun droit de vous dire quoi que ce soit, ni de vous 
     laissez entrer.
    Monsieur Pierre fut déçu de la visite, il persista dans son 
questionnaire et redemande,
-       Comment se porte la victime couché là monsieur l'agent, 
     donne t'elle des signes de vie ?
-        Elle dort monsieur.
   Pas possible d'obtenir une réponse. Monsieur Pierre quitte 
l'endroit pour se diriger vers la sortie avec comme espoir de 
rencontrer une infirmière bien plus raisonnable que le 
gardien de paix. Quelle chance, une autre personne vint a sa 
rencontre. L'étonnement le laissa songeur car il lui posa,
-       Comment va le patient monsieur Pierre, est il réveillé ?
-       Non monsieur le commissaire et votre chien de garde ne 
     donné aucune indication, félicitation il respecte les consignes.
-        Ce sont les ordres qu'il suit rien de plus.

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-         Je pense vous importuner, de ce pas je vous quitte.
-        Mais non, monsieur Pierre on peut continuer de parler devant  
          le malade cela lui ferait le plus grand bien d'entendre des voix.
 -        Bon, je vous suis.
        Voilà nos deux visiteurs devant l'entrée de la pièce où Yves est
 branché sur de nombreux appareilles. Le commissaire regarde par 
la partie vitré de la porte ,  il s'éloigne et dit d'un air sans orgueil.
-   Comme cela mon collègue mérite une médaille, approchez vous
     monsieur Pierre un peu plus prêt de la vitre et regardez?
    Monsieur Pierre ne se laissa pas prier et observa un court instant, 
puis laisse échapper un sourire mesquin.
-   Je ne me suis trompé sur les données précédemment exprimé, je
    peux vous dire que seuls les symptômes de la fatigue provoquent 
    cette réaction-là. Rien faire est plus fatiguant que produire un 
    mouvement.
-        Et un réveille brusque sa provoque quoi ?
    Sur ces mots le commissaire ouvrit la porte brusquement pour 
effrayer le gardien endormi sur un siège.  Monsieur Pierre, ressent
une petite victoire, et, un sourire nait sur son visage. 
Le commissaire dit,
-    Attendez nous a l'extérieur, merci.

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  Le gardien ne se fit pas prier et sortit sans tarder la tête bien basse. 
La porte se referma ils ne sont plus que trois.
-       De toute façon il faut que je vous éclaire certaines hypothèses 
    sur le déroulement du braquage de votre banque. Il me manque 
    un éclaircissement sur certain passage. J'ai retenu toutes vos 
    données,  l'ombre de la réalité ne laisse de trace sombre.
  Le commissaire poussa la seul chaise dans la pièce.
-    Prenez place monsieur Pierre, mon discourt n'est pas terminé. 
     Je préfère rester debout pour en parler, être assis ne sont pas mes 
      mes habitudes. Il me reste à trouver l'identité de la jeune femme 
      morte, prise comme otage. Cette jeune femme n'a pas de nom et 
      je pense d'après mon raisonnement elle est la femme de notre 
      blessé ,Yves.
Il le montre du doigt comme pour le désigner vulgairement.
-   Si ce ne fut le cas, alors là, la disparition de sa femme Eva, je
     crois, fut une mise en scène de toute pièce .
   De nouveau il le désigna du doigt, puis il monte le ton. Monsieur 
Pierre le regard sans répondre, la bouche grande ouverte.
-      Seriez vous capable monsieur Pierre de reconnaître la femme de 
     monsieur Yves ? Cela me permettra de poursuivre mon enquête 
     avec une autre perspective.

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-   Vous savez monsieur le commissaire, je n'eus l'occasion de la voire 
     qu'une seul fois et là ce fut le jour de notre présentation. Je 
     pourrais me tromper ?
Yves se samedi là reste pongé dans son monde du comma. 

       Le commissaire entraîna monsieur Pierre vers l'endroit le plus 

lugubre que la ville a dans son hôpital, la morgue. Sur leur parcours
aucune parole ne fut prononcée, toutes les bouches restèrent
bouclée. Arrivé devant la grande porte en bois, donnant  à la 
chambre mortuaire, monsieur Pierre a un pressentiment de peur. 
Ce fut lui qui doit juger une morte pour lui donner un nom ? 
      Devant la porte d'entrée, une poignet actionna une cloche relié 
par une cordelette. Le raisonnement permis de signaler une présence.
Le judas de la porte de bois se leva pour laisser entrevoir, derrière
les barreau, un visage serein. Puis, suivi un déclic qui manipula le
verrou de cette grande porte. Devant eux, le responsable des lieux 
avec comme fond,  un long couloir. Il demande,
-      Bonjour monsieur le commissaire, vous me rendez visite ?
-       Si l'on veut, mais c'est pour l'inconnue que je suis là.
-      Enfin, j'eus peur que je devrais la garder pour l'éternité en 
        plus il manque de la place.

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    Les trois personnes avancent dans ce grand couloir lugubre 
où y régnait un froid glacial et une odeur de formol comme  
parfum. 
    Ce changement de température hérisse les poiles de la peau des 
visiteurs. Les trois personnes longent le couloir de tiroir, puis
s'arrêtent devant un écriteau sur lequel fut marqué, l''inconnue.
-      Avez vous trouvé une personne proche qui la reconnaît 
       monsieur le commissaire ?
-     Je ne le sais pas, on doit la voir pour s'en assurer.
-     Il est temps qu'elle trouve un nom, l'autopsie est terminé et la
      place est recherché en se moment. Dans ma pétition pour   
      l'agrandissement des lieux je vous demande votre signature.
      Le commissaire fit un signe de la main droite pour que ce 
personnage arrive a ses revendications. Le responsable des lieux
tire sur le troisième tiroir où fut marqué inconnue. Une civière 
sur roulette fait apparaître la forme d'un corps recouvert d'un 
drap blanc. 
    Pierre ressentit un bouleversement quant le commissaire 
découvre le linceul. Le visage de l'inconnue se découvre . La 
blancheur mat de cette victime n'a de ressemblance avec la 
femme d'Yves , malgré que la longueur et la couleur des 
cheveux est identique. Pour plus de certitude, monsieur 
Pierre se rapproche d'elle , la regarde un cour instant

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 puis se retourne vers le commissaire,
-      Monsieur le commissaire, je peux me tromper et je suis dans
       une impasse de dire que se corps est celui d'Éva la femme 
       d'Yves, pourtant je ne l'ai vu qu'une seul fois le jour de la 
       présentation de monsieur Yves. Je confirme, se n'est pas Eva.
-      Monsieur Pierre, avez vous vu cette personne quelque part ?
-     Pas que je sache, pourtant elle me parait connu avec ses 
       cheveux blond mais de là a l'identifier ?



















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      A l'autre bout de la ville , entre de haut murs de pierre taillée

que les intempéries ont grisé de l'hôpital spécialisé, une jeune 
femme reprit de l'espoir, ce fut Liliane (Eva). Sa propreté n'est plus
négligé et sa volonté de manger reprenait. ce n'était pas ses mains
qui l'ont lavé mais une autre personne car elle dut encore garder
sa camisole. Sur visage a maigris a tel point, quelle parait plus
âgé. Dans sa volonté de réussie il y a celui de son prince charment
qu'elle doit retrouver goutte que goutte. 
     L'heure de repas de midi sonne, la femme médecin continua de 
prendre en charge Liliane (Eva). Elle s'occupe  pour lui apporter
son repas dans sa chambre capitonné. En rentrant, elle l'aperçu 
recoquillée sur elle même blottie dans un endroit. Le fait de revoir
cette femme médecin, amplifia son courage elle en pleura de joie.
La femme médecin lui dit en articulant ses lèvres et ses mains,
-     Je m'appelle Lucie, ne pleur pas je suis sur le point de résoudre
       cette faute. Je n'ai pas asse de pouvoir pour prendre la décision
       de te libérer mais fait moi confiance. A la réunion du service 
       médical j'expose ton cas , mais plusieurs avise sont contre moi
       car je ne suis qu'un médecin stagiaire. Fait moi confiance je 
       dois suivre les consignes mais je ne lâcherais pas.

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      Lucie sait que Liliane (Eva) n'entend et ne parle pas mais le fait 
de lui expliquer dans son langage a elle la soulage. Lucie se dit,
-     Il faut que je parvienne à la faire sortie de cette pièce et lui 
       redonner la liberté de ses bras.
     Lucie recherche la table et la chaise dans le couloir et rencontre 
le chef médecin de cette psychiatrie elle l'interpelle,
-  chef,
-        Quel bon vent vous amène Lucie, y a t'il des problèmes ?
-      Non chef, mais j'ai à vous parler de cette personne Liliane (Eva)
        quelque chose n'intrique,
-       A t'elle des signes d'agressivités ? 
-       Pas du tout, au contraire, elle ne mérite pas cette camisole n'y 
        cette pièce capitonné.
-       Nous avant suivi les remarques que la police ont mentionné dans leur
        rapport sur le comportement agressif de Liliane (Eva)
-       D'après moi il y a une faute quelque part, personne n'a 
        dit qu'elle fut muette et peut être même sourde.
-        Attention Lucie, tu as bien lu le rapport que vient de rédiger ta 
        collègue de travail le jour de son admission ?
-        Bien sur, mais il manques des précisions, il ne mensonge  pas

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          que cette personne est sourde et muette.
-         J'aimerai la voir cette patiente et surtout quand elle mange pour
           que je me rende compte de tes remarques que tu as faite a la 
            réunion ce matin.
-          Merci chef, je suis certaine de ma position.
  Ils rentrèrent la table et la chaise dans cette pièce capitonné, puis Lucie
donna a manger a Liliane (Eva). Le chef médecin observa le comportement 
et dit,
-      Qui, elle peut sortir de cette pièce mais, je ne suis pas certain qu'en
        lui enlevant la camisole elle ne risque pas de refaire une grise.
-      Je ne suis pas satisfaite de ce jugement mais, un premier pas est
        fait, je vous remercie chef.
-       Même comme chef du service médical je ne peux décider de 
        m'engager dans une décision personnel, il me faut l’avis des
        autres médecins. Je te fais confiance Lucie et j'appuis tes 
        remarques.
   Lucie retrouve Liliane (Eva) pour lui faire comprendre les décisions
du chef de service. Elles prirent la direction du couloir. Une petite 
étincelle de victoire illumine l’espérance des jeunes femmes. Liliane 
( Eva ) a du mal pour se déplacer dans ce couloir qui parait immense. 
Elle fixa les yeux de Lucie puis sa tête fait un hochement vers la pièce 
capitonné. Dans le brillant de ses yeux, une joie emballe ses battements

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 de cœur. Ce qui vient d'arriver a Liliane ( Eva )  ne peut être une 
réalité, son imagination pense rêver, mais non, une main la guida
dans le couloir. Liliane (Eva) est éblouie par la clartés naturelle de la 
lumière du jour que laissèrent passer les fenêtres sur sa gauche. 
L'uniformité du carrelage blanc craie se retrouve sur les murs et 
même le plafond, cela permet a la clarté extérieur ne s'y répercute.
  Leur promenade les entraîne devant l'entrée d'une grande pièce 
dans laquelle plusieurs femmes sont regroupé autour d'une table.
-    Mademoiselle Liliane (Eva) nous somme arrivé.
Des femmes se rapprochèrent l'une d'elle par curiosité et 
demandent ,
-     C'est une nouvelle venu Lucie ?
-      Oui les filles elle est gentille comme tout.
-      Dans ce cas elle est la bien venu.
-      Dis nous Lucie, pour quelle raison porte elle une camisole ?
-      C'est une erreur, je suis en train de résoudre ce problème. Demain 
        elle n'en aura plus.
-       Mais c'est quand demain Lucie ?
-        Bientôt.
   Liliane (Eva) observa son entourage et remarqua que la pièce comporte 
quatre lits. Ce sont trois femmes de différant âges qui l'eurent accepté. 

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Liliane (Eva) se sentit rassuré, mais handicape pour utiliser ses mains. 
    Elle s'imagina que la victoire sera a porté de ses mains d'ici peu.
Qui sait, peut être que ces femmes peuvent lui venir en aide ? Elles 
ont certainement remarqué qu'une erreur est responsable de son 
accoutrement. Liliane ( Eva ) aimerai écrire le malentendu et surtout 
son vrais nom et toute l'histoire qui l'a emmené ici. 
    Hélas, la nostalgie de se sentir  abandonné reprit place dans ses 
sentiments, mais que faire sinon accepter le sort imposé. Bien sur, 
Eva a tiré sur deux personnes en les blessant gravement elle est 
consciente de son acte.
   Les femmes de cette pièce viennent prêt d'elle. L'une d'elle la 
questionne,
-      C'est vrai que tu l'appelles Liliane ?
-      Elle ne parle pas Myriam.
-      Pourquoi elle ne parle pas Lucie ?
-      Parce qu'elle na sais pas parler ni entendre.
-      Elle ne peut pas parler Lucie ?
-      Liliane (Eva) voudrait bien mais un malheur de naissance 
       l'eut privé de cette faculté.
-      Mais comment s'exprime t elle alors Lucie ?
-       Ça je ne sais pas ou peut être pas du tout, mais elle essai de regarder
        sur nos lèvres et nos gestes pour tenter de nous comprendre.

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  La curiosité de Myriam n'a de limite, quand elle veut savoir quelque 
chose elle insiste jusqu'à obtention. Myriam lui caressa alors les 
cheveux de Liliane ( Eva ) et reprend son langage d'enfant.
-       Dommage que tu ne veux pas me parler, on aurait fait des jeux 
         ensemble.
-       Laisses la tranquille Myriam, il lui faut du repos.
 -      Mais je ne veux pas l'embêter, je veux juste parler avec elle.
  Myriam fut sur le point de griser, Lucie remarqua ces réactions nerveuses.
Lucie lui dit gentiment, 
-        Vas faire une petite sieste Myriam car si tu embêté Liliane (Eva) elle
          ne sera pas ta copine et je serais obliger de la placer dans une autre
          chambre.
  Myriam a environ 35 ans, ses réactions d'enfant peuvent se transformer en
des actes dangereux. Sa corpulence eut une différence du double de celui de
Liliane (Eva). Elle s'habille comme une fillette et consomme tous ce qu'elle 
trouve dans la salle a manger et même dans les placards de ses collègues.
Quant elle a ses moments de grises, son langage se transforme. Myriam se
rapprocha de Liliane (Eva) et lui dit,
-         Pauvre enfant, toi, toi, attaché eux sont méchants.
  En regardant les yeux brin brillant de mille éclaires, de cette femme qui

63

tenta de dialoguer, Liliane (Eva) ressentit une vibration réconfortante. Cela
la soulagea, la seul réponse qu'elle put donner fut de verser des larmes.
-        Pour quelle raison pleure le petit enfant ?
  Ce fut l'attention que porte une personne déclassé de la société instruite.
Myriam ressentit l'injustice d'une autre manière que la notre en le 
partage par intuitions.
    Liliane (Eva) fut accompagné vers son lit. Les deux autres compagnes la
suivirent. Leurs curiosités activent des réactions bizarre. Liliane(Eva) les
 suivi du regard . L'une d'elle eut une démarche dépareillé, une autre un 
comportement incontrôlable. Elles répètent sans arrêt,
-        Pauvre petite fille.
   Elle dut avoir le même âge que moi, s'imagina Liliane (Eva). Entouré de 
ces trois âmes la solitude auparavant ne l'incombe plus mais un autre
voile fragilise ses ambitions. L'incertitude du lendemain fut placée sur ces 
locataires qui l'entourent par obligation. Cette attention lui donne la 
note de compréhension de ces femmes là, aucune ne pourra lui venir en 
aide toutes ont des lacunes.
    Elles se rapprochent de son lit, si prêt que leur visage frôle celui de 
Liliane (Eva).
-        Elle est belle la nouvelle venu.
-        Oui elle n'est pas maquillé.
    La première qui eut parlé a la figure mal proportionné, ses cheveux 
irrégulièrement coupé, sa robe à moitié déchiré et les lèvres tremblèrent
quand elle veux parler. Il reste la troisième celle qui répétât sens arrêt
 des mouvements de ses lèvres qui dirent,
-        Pauvre petite fille.


suite au 64   4/8 


JJM

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Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
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