mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2
SUITE coïncidence
96
Pour le commissaire Yves n'est qu'un suspect, rien de plus.
Durant le voyage, personne ne souffla un mot dans la 404
Peugeot blanche de l'inspecteur. Tout parait étrange et des
suppositions de doutes, plane dans l'habitacle. Il n'y a pas
de musique a bord, seul le ronronnement du moteur reste
maitre du véhicule .
97
La Peugeot 404 stationne devant cet endroit lugubre et sinistre
de la morgue de la ville. Le véhicule se trouve sous l'ombre du
feuillage des branches d'arbres centenaire. Les oiseaux sifflèrent
sans repris comme ci c'est une journée normal.
Yves sort de la voiture avec peine , ses chaussures touchent le
sol . Il a l'impression de s'enfoncer sur un sol incertain. A mis
chemin, une faiblesse envahis le corps et le plonge dans une
onde de déséquilibre . Yves a de la peine a garder son équilibre.
Enfin, les deux hommes se trouvent devant la grande porte en
chêne foncé, ou une poignez en bronze permet d'annoncer qu'une
chêne foncé, ou une poignez en bronze permet d'annoncer qu'une
visite vient d'arriver. Par une petite lucarne , entre deux barreaux
un timide visage apparait. Une timide voix dit,
- Bonjour monsieur le commissaire, je vous ouvre
la porte ?
98
Le responsable de ces lieux parle lentement et silencieusement.
De ce lucarne de cette grande porte, sort un fraicheur et une
odeur inconnue. A ce moment là, une nausée profonde envahis
De ce lucarne de cette grande porte, sort un fraicheur et une
odeur inconnue. A ce moment là, une nausée profonde envahis
la réaction d'Yves. Le commissaire lui tapote le dos,
- Ca vas monsieur Yves ?
- Oui monsieur le commissaire.
La grande porte de chêne grince en s'ouvrant.
- Venez messieurs, suivez moi.
Ils pénétraient dans ce long couloir et se dirigèrent vers le fond.
- C'est bien pour cette affaire de jeune femme sans nom ?
- Oui, la jeune femme nom identifié du braquage de banque.
- Il est temps qu'elle porte un nom, les places se fond rare par
cette chaleur .
En entendant l'interprétation de leur langage, Yves ne réalise
pas de ce qui se passe et est persuadé que le corps qui lui sera
présenté n'est pas sa femme Eva. Puis, d'un coup, il se ressaisi et
pense une autre supposition.
présenté n'est pas sa femme Eva. Puis, d'un coup, il se ressaisi et
pense une autre supposition.
- Mais, c'est bien de ma femme Eva qu'ils parlèrent en plus
ils disent qu'elle a braqué une banque ?
99
Une nausée le transforme, il s'effondre sur lui-même.
- Vite Charles aide moi pour le relever,
- On me les apporte vivant maintenant monsieur le
commissaire ?
- Il vient de sortir de l'hôpital, il est là pour
reconnaître sa femme.
Dans le couloir de nombreux bancs occupèrent le
centre . Ils placent Yves sur l'un deux.
Quelques minutes plus tard,
- Monsieur Yves, vous sentez vous apte pour
affronter la suite ?
- Oui, je crois que j'eus retrouvé mes forces.
- Dans ce cas, suivez moi.
La cloche de l'entrée retenti, elle résonna en
traversant le couloir.
- Ce bruis-là réveillerait un mort.
Soupira Charles le responsable de la gestion des
victimes.
Le corps couverts d'un drap blanc a été ramené sur une
civière , il n'a pas plus que la grandeur d'un enfant de 12
12 ans. Ses cheveux roue dépasse du draps.
- Vous voyez monsieur le commissaire, je n'arrête
pas d'en enregistrer ?
Yves regarde passer cette jeune victime, qu'elle réaction
- On me les apporte vivant maintenant monsieur le
commissaire ?
- Il vient de sortir de l'hôpital, il est là pour
reconnaître sa femme.
Dans le couloir de nombreux bancs occupèrent le
centre . Ils placent Yves sur l'un deux.
Quelques minutes plus tard,
- Monsieur Yves, vous sentez vous apte pour
affronter la suite ?
- Oui, je crois que j'eus retrouvé mes forces.
- Dans ce cas, suivez moi.
La cloche de l'entrée retenti, elle résonna en
traversant le couloir.
- Ce bruis-là réveillerait un mort.
Soupira Charles le responsable de la gestion des
victimes.
100
- Je vais ouvrir la porte d'entrée.Le corps couverts d'un drap blanc a été ramené sur une
civière , il n'a pas plus que la grandeur d'un enfant de 12
12 ans. Ses cheveux roue dépasse du draps.
- Vous voyez monsieur le commissaire, je n'arrête
pas d'en enregistrer ?
Yves regarde passer cette jeune victime, qu'elle réaction
vat avoir sa mère ? ,
Yves voie un homme qui soutient cette maman . Ce
malheur redouble la force d'Yves, il se sent prêt a affronter
le pire, et dit,
- Monsieur le commissaire, je suis prêt pour
reconnaître la victime
- Bien monsieur Yves, on attendra que monsieur
Charles revient.
Au bout de quelques minutes notre serviteur Charles
- Encore un crime de la circulation, cela n'arrête
pas de nos jours.
- Charles, peut-on voir la victime, l'inconnu donc
je t'ai parlé ?
- Bien sur monsieur le commissaire, suivez-moi.
Yves et son encadrement prirent la direction d'une
salle placé en face . Le cou d'Yves est placé. Un fluide
- Monsieur le commissaire, je suis prêt pour
reconnaître la victime
- Bien monsieur Yves, on attendra que monsieur
Charles revient.
Au bout de quelques minutes notre serviteur Charles
101
continue ses obligations.- Encore un crime de la circulation, cela n'arrête
pas de nos jours.
- Charles, peut-on voir la victime, l'inconnu donc
je t'ai parlé ?
- Bien sur monsieur le commissaire, suivez-moi.
Yves et son encadrement prirent la direction d'une
salle placé en face . Le cou d'Yves est placé. Un fluide
d'émotion traverse ses pensées.
La porte de la pièce s'ouvre, Yves souhaita que sa
femme ne se trouve pas la , comme pour prier Dieu
La porte de la pièce s'ouvre, Yves souhaita que sa
femme ne se trouve pas la , comme pour prier Dieu
qu'il fait un miracle. Yves regarde ce corp allongé
sur une civière. Où Eva peur elle se trouver ?
Devant lui, de nombreuses portières métalliques
numérotées sont repartie par étage . Son cœur
Devant lui, de nombreuses portières métalliques
numérotées sont repartie par étage . Son cœur
bât vite . Une autre portes métallique grince en
s'ouvrant, et une civière arrive. Un linceul blanc
recouvre un corps.
102
- Monsieur le commissaire voici la victime.Il la place au centre de la pièce.
- C'est bien le numéro six Charles, pas que tu
m'apportes une autre ?
- Ne vous en faite pas monsieur le commissaire je
reconnais mes mortes .
Yves ne souffla le moindre mot, il avala sa salive
plus d'une fois . La civière se rapproche et, la forme
reconnais mes mortes .
Yves ne souffla le moindre mot, il avala sa salive
plus d'une fois . La civière se rapproche et, la forme
du corps de la femme, laisse dépasser des touffes de
cheveux . Les réactions d'Yves se transformèrent et
est persuadé que,
- Monsieur le commissaire je reconnais cette
femme, ce fut l'otage,
Un soulagement le laissa méfient car il se dit,
- Et si ce fut le mauvais tiroir ?
Le commissaire lui dit d'un air accusateur.
- Donc votre femme Eva a disparu avec le livre
précieux et le restant de vos biens ?
- Monsieur le commissaire je reconnais cette
femme, ce fut l'otage,
Un soulagement le laissa méfient car il se dit,
- Et si ce fut le mauvais tiroir ?
Le commissaire lui dit d'un air accusateur.
- Donc votre femme Eva a disparu avec le livre
précieux et le restant de vos biens ?
103
Cette une accusation, qui ne plait a Yves. Par contrepour Eva ca le rassurer, elle est vivante. Toutes les
accusations passé sur elle ne coupera pas leur amour
qui se conjugue avec une sincérité indéformable.
Ils sortirent de cette endroit lugubre avec sur les
bras un autre mystère. Vers où le commissaire peut il se
diriger pour retrouver Eva et la famille de cette victime ?
Yves se manifesta avec ardeur pour dire,
- Monsieur le commissaire, vos accusations sur
ma femme sont impossible, En plus l'on accuse
une personne absente ?
- Monsieur Yves je tiens a vous dire que vous aussi
vous restez comme un suspect comme votre femme
Eva. Si mes suppositions ne sont pas à votre gout,
sur votre femme. Donnez moi des preuves ?
- Mais quelle preuve au juste, je me trouvais dans
le comma durant le braquage ?
- Prouvez-moi que votre femme ne fut de mèche
Les pensées d'Yves se bousculent et sont trouble .
De retour dans sa chambre d'hôpital, Yves a
- Monsieur le commissaire, vos accusations sur
ma femme sont impossible, En plus l'on accuse
une personne absente ?
- Monsieur Yves je tiens a vous dire que vous aussi
vous restez comme un suspect comme votre femme
Eva. Si mes suppositions ne sont pas à votre gout,
sur votre femme. Donnez moi des preuves ?
- Mais quelle preuve au juste, je me trouvais dans
le comma durant le braquage ?
- Prouvez-moi que votre femme ne fut de mèche
104
avec cette affaire-là.Les pensées d'Yves se bousculent et sont trouble .
De retour dans sa chambre d'hôpital, Yves a
l'impression de se trouver dans véritable prison .
Il est comme un condamné. Seul l'amour envers sa
bien aimé le guidera inlassablement.
Il est comme un condamné. Seul l'amour envers sa
bien aimé le guidera inlassablement.
La présence de cette nouvelle venue , dans le château
et son aventure, devient un facteur d'échange de
et son aventure, devient un facteur d'échange de
gestes et de mines.
La journée se termine et chacune fait des signes de ,
- bonne nuit
les autres copines autour de la table . Toutes les patientes
- bonne nuit
105
Au petit déjeuner, Liliane(Eva) retrouve sa voisine etles autres copines autour de la table . Toutes les patientes
ont contribuer a préparer ce qu'elles aurons besoin pour
la fuite. Le petit déjeuné fut copieux et consommé, elles
sortir pour inspecter les alentours.
Une radieuse journée les attendent. La rosée du matin
provoqué par cette humidité sur les pétales de rosiers
les valorisait plus que tout. Une bonne odeur de fleurs les
embaument.
Dans l'hôpital où se trouve Yves, le commissaire fut
matinal.
les valorisait plus que tout. Une bonne odeur de fleurs les
embaument.
Dans l'hôpital où se trouve Yves, le commissaire fut
matinal.
- Me rapporterait il une surprise ?
S'imagine Yves.
Le commissaire ne manque d'audaces pour le questionner.
- Monsieur Yves, plusieurs explications reste insondable,
Le commissaire ne manque d'audaces pour le questionner.
- Monsieur Yves, plusieurs explications reste insondable,
où peut se trouver votre femme Eva ? Je pensais d'abord
que ce fut elle la victime non identifier. Vous ne l'avez
que ce fut elle la victime non identifier. Vous ne l'avez
106
reconnue comme l'oncle d’Éva que j'avais emmené. Je suis persuadé que vous la retrouverez sous un
autre nom dans un pays bercé par le soleil pour le
restant de vos jours avec l'argent de la vente du livre.
Le commissaire exprime ses doutes par une forme de
jalousie sur ce bien injustement acquit. La gorge du
jalousie sur ce bien injustement acquit. La gorge du
commissaire est asséché, il but dans un verre une gorgé
d'eau. Yves l'observe en tentent de trouver une réponse
pour le commissaire.
- Monsieur le commissaire comment pouvez vous
nous accuser de la sorte, vos propos ne sont que des
stupidités, pour moi vos suppositions n'on aucun
pour le commissaire.
- Monsieur le commissaire comment pouvez vous
nous accuser de la sorte, vos propos ne sont que des
stupidités, pour moi vos suppositions n'on aucun
sens pour des faits non justifiable. Vous n'avez pas
le droit de ,
- Monsieur Yves, comment se fait il que deux
- Monsieur Yves, comment se fait il que deux
personnes furent blessé avec une arme de petit calibre
correspondant à une arme de précision et
certainement de compétition ?
107
- J'ai deux armes de compétition, des fusils, quisont accroché au mur avec les coupes qu'on
l'ont a gagner Eva et moi.
- Le mur est vide, tous a disparu, il ne reste plus
que le râtelier.
- Mais, ce n'est pas possible ?
- Aussi possible que la disparition de votre femme.
- Je ne peux croire vos suppositions, c'est
inadmissible.
- Monsieur Yves, une douille vide fut trouvé dans
les buissons sous votre immeuble. Je pense que
votre femme eut tiré sur la jeune femme pris en
- Le mur est vide, tous a disparu, il ne reste plus
que le râtelier.
- Mais, ce n'est pas possible ?
- Aussi possible que la disparition de votre femme.
- Je ne peux croire vos suppositions, c'est
inadmissible.
- Monsieur Yves, une douille vide fut trouvé dans
les buissons sous votre immeuble. Je pense que
votre femme eut tiré sur la jeune femme pris en
otage en premier, puis elle a suivi les agresseurs
dans une R16TS rouge dans laquelle un autre
otage fut contraint de les suivre. L'un des
complices, grièvement blessé abandonné sur un
banc .
rajoute,
- Dans la voiture volé, aucune trace d'argent ni de
de fusils ainsi que,
Le ton durci, la voix du commissaire aussi, il mit son
autorité en action,
- Vous n'avez pas de photos d'elle ?
- Je ne possède pas de photo d'elle, normalement
108
Yves ne crut une seule accusation. Le commissairerajoute,
- Dans la voiture volé, aucune trace d'argent ni de
de fusils ainsi que,
Le ton durci, la voix du commissaire aussi, il mit son
autorité en action,
- Vous n'avez pas de photos d'elle ?
- Je ne possède pas de photo d'elle, normalement
on dut recevoir les photos de mariage d'ici peu.
- Donnez moi l'adresse d'où vous avez fait votre
album pour que je puisse les chercher.
Yves n'arrive pas à imaginer qu'une telle accusation
puis être une réalité.
Dans la matinée Yves reçu la visite de sa collègue de
travail, Sophie.
- Bonjour Yves, comment vas-tu ?
tous ce que le commissaire me met sur le dos ?
- Donnez moi l'adresse d'où vous avez fait votre
album pour que je puisse les chercher.
Yves n'arrive pas à imaginer qu'une telle accusation
puis être une réalité.
Dans la matinée Yves reçu la visite de sa collègue de
travail, Sophie.
- Bonjour Yves, comment vas-tu ?
109
- Je ne peux pas dire que je me porte bien, avectous ce que le commissaire me met sur le dos ?
Sophie,
- Pour quelle raison te veut-il du mal, je ne
comprends pas bien ses accusations ? Tu as
assez souffert jusqu'à présent ?
- Pour quelle raison te veut-il du mal, je ne
comprends pas bien ses accusations ? Tu as
assez souffert jusqu'à présent ?
Yves
- L'humanité est cruelle Sophie, surtout lorsqu'on
accuse des innocents er que l'on se base sur des .
accuse des innocents er que l'on se base sur des .
suppositions perverses.
Sophie,
- Dit moi Yves, de quel acte peut-il prouver que
cela vient de vous deux ? ou sa stratégie serait
cela vient de vous deux ? ou sa stratégie serait
de prêcher le faux pour connaître la vérité ?
Yves
- Justement le fait que l'on ne retrouve plus de
trace d’Éva est selon le commissaire un signe
- Justement le fait que l'on ne retrouve plus de
trace d’Éva est selon le commissaire un signe
de participation a l'agression ?
Sophie,
- N'ont ils pas fait de recherche à son sujet, ils
en ont certainement fait sur celle qui fut prise
- N'ont ils pas fait de recherche à son sujet, ils
en ont certainement fait sur celle qui fut prise
en otage ?
Yves,
- Je suis passé a la morgue pour reconnaitre la victime
avec le commissaire et ce n'est pas Eva. par la suite
j'ai appris que notre appartement fut pillé et vidé de
tout objet de valeur.
Sophie ,
- Yves connaissais tu cette personne prise en otage ?
- Je n'eus jamais rencontré cette personne, peut
être que ce fut une nouvelle cliente ?
110
Yves- Je n'eus jamais rencontré cette personne, peut
être que ce fut une nouvelle cliente ?
Sophie,
- Elle ne s'est jamais présenté à mon guichet,
un peu louche cette histoire ? Le directeur de
- Elle ne s'est jamais présenté à mon guichet,
un peu louche cette histoire ? Le directeur de
la banque a voulu avertir ta femme en lui rendant
visite et la il découvrit le remue -ménage dans
l'appartement. Il le signala a la police.
l'appartement. Il le signala a la police.
Yves,
- Sophie, après mon agression que s'est-il passé
au juste ?
- Sophie, après mon agression que s'est-il passé
au juste ?
Sophie,
- Le responsable de la banque dut remplir trois
sacs en toile de chut avec l'argent qui se trouvait
dans le coffre. Ensuite il dut le remettre aux deux
- Le responsable de la banque dut remplir trois
sacs en toile de chut avec l'argent qui se trouvait
dans le coffre. Ensuite il dut le remettre aux deux
intrus qui tenaient en otage une jeune femme
blonde qu' ils ont prit en otage. Toutes les personnes
présente dans la banque étaient couché sur le sol .
La jeune femme otage dut porter un sac dans leur
La jeune femme otage dut porter un sac dans leur
fuite, elle du sortir en premier et était tenue en joue
par une arme tenue sur sa tété , Je crois que c'était
un revolver. L'lorsque la porte de la banque s'ouvrit
111
un coup de feu sec retenti , et l'otage s'effondra. Un autre coup de feu retenti un peut plus tard . le second
quitte la banque en dernier. Je pense que la police a
prit en cible les bandits? J'appris d'apprêt les journaux
quitte la banque en dernier. Je pense que la police a
prit en cible les bandits? J'appris d'apprêt les journaux
qu'un franc tireur placé à l'extérieure , dans les
buissons, sous ton appartement, aurait pris en cible les
braqueurs car la police a trouvé dans les buissons des
douilles de fusilles de petit calibre.
Un long silence naissait, cet acte de temps mort nécessaire
Un long silence naissait, cet acte de temps mort nécessaire
pour comprendre,
Yves,
- D'après mes intuitions Sophie, je pense qu’Éva
voulu me venir en aide et de notre pièce a touché les
- D'après mes intuitions Sophie, je pense qu’Éva
voulu me venir en aide et de notre pièce a touché les
personnes qui sortaient de la banque ? Je commence
par comprendre. Le commissaire m'eut dit que le fusil
eut servi une seconde fois dans la voiture R16TS rouge
et là, Eva ne s'y trouvait pas ? La preuve, au moment
de l'agression elle eut fait le numéraux de la banque
pour le faire suivre d'un signe de la main comme de
eut servi une seconde fois dans la voiture R16TS rouge
et là, Eva ne s'y trouvait pas ? La preuve, au moment
de l'agression elle eut fait le numéraux de la banque
pour le faire suivre d'un signe de la main comme de
coutume ?
d'hôpital. Yves et Sophie trouve bizarre que les policiers
112
De nouveau un silence prit possession de la chambred'hôpital. Yves et Sophie trouve bizarre que les policiers
n'ont trouvé qu'une seule douille vide ? où peut bien se
trouver la seconde ?
trouver la seconde ?
Sophie,
- Ce que tu viens de me dire peut correspondre
Yves, mais quelque chose cloche, pour quelle
raison a-t-elle disparu ?
A ce moment-là la porte s'ouvre le représentent de la
police interrompu leur discutions.
- Ce que tu viens de me dire peut correspondre
Yves, mais quelque chose cloche, pour quelle
raison a-t-elle disparu ?
A ce moment-là la porte s'ouvre le représentent de la
police interrompu leur discutions.
- Monsieur Yves, je n'ai pas le droit de vous laisser
plus longtemps ensemble, en plus le blessé doit se
reposer. Revenez demain Madame.
Sophie coupa sa discutions ,
- Repose-toi bien Yves, je tenterais d'avoir plus
de renseignement.
Sophie coupa sa discutions ,
- Repose-toi bien Yves, je tenterais d'avoir plus
de renseignement.
Yves,
- Au revoir Sophie, j'ai bien apprécié ta visite, a
La lumière se fit sur cette enchevêtrement de
- Au revoir Sophie, j'ai bien apprécié ta visite, a
113
demain.La lumière se fit sur cette enchevêtrement de
circonstances , pas mal d'hymnes reste a découvrir.
Durant toute la journée, Yves eut un pressentiment
sur l'innocente du braquage de la banque. Qui
Durant toute la journée, Yves eut un pressentiment
sur l'innocente du braquage de la banque. Qui
d'autre aurait pris la responsabilité des tires ? Et ci
les bandits avaient un complice a l'extérieur ? Ce
même complice a caché l'argent dans un endroit
secret ?
Yves, parle pour lui,
- Je vais dire cela au commissaire ; un doute reste
pour quelle raison fut elle prise en otage ?
Il préféra renoncer et abandonna ses suppositions.
Cette fin de journée prit une importance primordiale
pour Eva ; le projet d'évasion peut se mettre en route.
pour quelle raison fut elle prise en otage ?
Il préféra renoncer et abandonna ses suppositions.
Cette fin de journée prit une importance primordiale
pour Eva ; le projet d'évasion peut se mettre en route.
114
Le commissaire vient retrouver Yves, et croise Sophie
dans le couloir..
- Bonjour mademoiselle Sophie, qu'elle est
l'honneur de votre présence ?
- Bonjour mademoiselle Sophie, qu'elle est
l'honneur de votre présence ?
Sophie,
- J'ai de nouveaux arguments sur l'innocence de
la femme d'Yves .
Un sourire marque le visage du commissaire, il
ressemble à celui qui récolte des aveux.
- bon dans ce cas, il est préférable de rentrer
dans la chambre de monsieur Yves.
Le garde, debout devant la porte, le salua de la main.
- J'ai de nouveaux arguments sur l'innocence de
la femme d'Yves .
Un sourire marque le visage du commissaire, il
ressemble à celui qui récolte des aveux.
- bon dans ce cas, il est préférable de rentrer
dans la chambre de monsieur Yves.
Le garde, debout devant la porte, le salua de la main.
Le commissaire dit,
- Je veux notre tranquillité, que personne nous
dérange.
La porte s'ouvrit, devant eux, Yves est assis sur le lit
- Je veux notre tranquillité, que personne nous
dérange.
La porte s'ouvrit, devant eux, Yves est assis sur le lit
d'hôpital .
- Bonjour monsieur Yves, vous avez bien réfléchit
enfin ?
- Bonjour monsieur Yves, vous avez bien réfléchit
115
sur ce que je vous eu rapporté hier, vous avouezenfin ?
Yves,
- Un bonjour avec une claque n'est pas le bien venu,
je n'avoue rien . Je vous propose d'écoutez notre
dénoyage sur les faits qui se sont déroulé le jour
du braquage de la banque.
- Un bonjour avec une claque n'est pas le bien venu,
je n'avoue rien . Je vous propose d'écoutez notre
dénoyage sur les faits qui se sont déroulé le jour
du braquage de la banque.
le commissaire,
- Donc vous venez de trouver une manière de
pouvoir controverser mes propos pour défendre
- Donc vous venez de trouver une manière de
pouvoir controverser mes propos pour défendre
vos intérêts.
Yves,
- Bien entendu que j'ai des intérêts dans cette
maudite histoire dite moi ou se trouve ma femme
Eva monsieur le commissaire ?
Le ton monta d'un grand et la discutions pris une
- Bien entendu que j'ai des intérêts dans cette
maudite histoire dite moi ou se trouve ma femme
Eva monsieur le commissaire ?
Le ton monta d'un grand et la discutions pris une
tournure embarrassé,
Sophie,
- Monsieur le commissaire, ce n'est pas possible
que vous puissiez accuser les deux jeune mariés
- Monsieur le commissaire, ce n'est pas possible
que vous puissiez accuser les deux jeune mariés
qui ne sont pour rien dans ce braquage ?
Yves a un appui, ce qui lui redonna confiance il insistât,
se déroula après que j'ai perdu connaissance.
Le commissaire eut déjà entendu la version de Sophie,
mais, réentendre c'est se rendre compte ci le même ordre
Yves a un appui, ce qui lui redonna confiance il insistât,
116
- Oui Sophie, explique lui de quelle manière celase déroula après que j'ai perdu connaissance.
Le commissaire eut déjà entendu la version de Sophie,
mais, réentendre c'est se rendre compte ci le même ordre
coordonne les faits.
- Donc mademoiselle Sophie, vous avez de nouveaux
éléments pour votre témoignage ?
- Donc mademoiselle Sophie, vous avez de nouveaux
éléments pour votre témoignage ?
Sophie,
- Oui, j'ai omis de vous dire qu'un coup de téléphone
provoqua un comportement agressif par les bandits.
A cette instant-là ils décident de quitter au plus vite
- Oui, j'ai omis de vous dire qu'un coup de téléphone
provoqua un comportement agressif par les bandits.
A cette instant-là ils décident de quitter au plus vite
la banque. Le coup de téléphone donna le point de
départ pour la fuite ? Certainement qu'une autre
personne donna l'ordre de ?
Yves en mordillant les lèvres ,
- Celui-ci me fut destiné, monsieur le commissaire
Yves en mordillant les lèvres ,
- Celui-ci me fut destiné, monsieur le commissaire
car toujours à 9 heures du matin Eva fait sonner
le téléphone monsieur le commissaire.
le téléphone monsieur le commissaire.
Le commissaire,
- Vous me racontez n'importe quoi, en premier
donne un coup de téléphone ? Vous tentez de me
déstabiliser avec vos supercheries ?
- Vous me racontez n'importe quoi, en premier
117
votre femme est sourde et muette et second elledonne un coup de téléphone ? Vous tentez de me
déstabiliser avec vos supercheries ?
Yves
- Ce ne sont pas des supercheries mais bien une
façon de nous contacter par mon numéraux du
- Ce ne sont pas des supercheries mais bien une
façon de nous contacter par mon numéraux du
téléphone. Quant celui ci a sonné je me plaçai a
la fenêtre pour lui faire un signe de la main pour
la saluer. Eva a certainement aperçu que je fus
blessé par les malfaiteurs ?
Le commissaire,
- C'est bien ce que vous insinuez, mais qu'a-t-elle
fait ensuite ?
- C'est bien ce que vous insinuez, mais qu'a-t-elle
fait ensuite ?
Yves,
- Elle cru a un drame et prit en joue les agresseurs.
- Elle cru a un drame et prit en joue les agresseurs.
le commissaire,
- Je n'arrive pas a comprendre sa réaction, elle tire
sur l'otage et la blesse gravement.
- Je n'arrive pas a comprendre sa réaction, elle tire
sur l'otage et la blesse gravement.
Yves
- Monsieur le commissaire, elle ne pouvait pas savoir
- Monsieur le commissaire, elle ne pouvait pas savoir
qui fait ceci et qui fait cela ?
118
Le commissaire
- Tous cela me parait louche monsieur Yves, je n'arrive
a coordonner cette prise en otage dans la banque et celui
du conducteurs de la R16TS rouge un policier de chez
nous ?
Le ton se tu, une minute de silence permis de garder
en éveille certains doutes ? Sophie se place sur le lit du
même côté d'Yves. Le commissaire regarda sa montre puis,
Sophie ,
- Monsieur le commissaire je me souviens de l'arrivé
Sophie ,
- Monsieur le commissaire je me souviens de l'arrivé
d'une troisième personnes , une femme blonde ?
Le commissaire,
. Et si cette victime-là fut la femme d'Yves ?
il sortit de la pièce
- Monsieur l'agent de police, étiez-vous de
service le jour du braquage de la banque ?
- Oui monsieur le commissaire.
- Avez vous fait un rapport sur les nombres
d'ambulance ce jour là ?
- Bien entendu.
- Avez vous mentionné le nombre de victimes ?
- Le nombreux de deux victimes dut au drame
fut mentionné dans le rapport.
- Et le nombre d'ambulance aussi ?
- Oui, ils étaient deux.
- Mademoiselle Sophie prêtant qu'ils étaient trois ?
- Oui il furent trois véhicules donc un fourgon
. Et si cette victime-là fut la femme d'Yves ?
119
Le commissaire restât songeur, un petit moment, puisil sortit de la pièce
- Monsieur l'agent de police, étiez-vous de
service le jour du braquage de la banque ?
- Oui monsieur le commissaire.
- Avez vous fait un rapport sur les nombres
d'ambulance ce jour là ?
- Bien entendu.
- Avez vous mentionné le nombre de victimes ?
- Le nombreux de deux victimes dut au drame
fut mentionné dans le rapport.
- Et le nombre d'ambulance aussi ?
- Oui, ils étaient deux.
- Mademoiselle Sophie prêtant qu'ils étaient trois ?
- Oui il furent trois véhicules donc un fourgon
qui emmena une personne qui a fait une grise
de nerfs. C'était une spectatrice qui n'avait pas
de papier juste une carte de la banque au prénom
de papier juste une carte de la banque au prénom
de Liliane que l'on a trouvé au sol, a coté d'elle.
Yves senti bouillonner en lui une victoire, il fut certain
Yves senti bouillonner en lui une victoire, il fut certain
120
de tirer la bonne réplique,Yves,
- Bien entendu monsieur le commissaire a cette
possibilité vous n'avez pas pensé ?
- Bien entendu monsieur le commissaire a cette
possibilité vous n'avez pas pensé ?
Le commissaire,
- Je veux bien vous croire, je prend les
dispositions pour consulter les interventions
- Je veux bien vous croire, je prend les
dispositions pour consulter les interventions
et admission ce jour là.
Yves,
- J'approuve votre objectif et j'en suis flatté
monsieur le commissaire.
le commissaire quitta la pièce pour engager par
téléphone les recherches. Yves dit a Sophie,
- Tu sais Sophie, heureusement que tu t'es
souvenu de ce qui c'est passé, je suis persuadé
- J'approuve votre objectif et j'en suis flatté
monsieur le commissaire.
le commissaire quitta la pièce pour engager par
téléphone les recherches. Yves dit a Sophie,
- Tu sais Sophie, heureusement que tu t'es
souvenu de ce qui c'est passé, je suis persuadé
qu’Éva fut emmené dans un hôpital approprié
a son handicape mais sous le nom de Liliane ?
le commissaire mit du temps pour revenir, il est 11
heures du matin quant ,
le commissaire mit du temps pour revenir, il est 11
heures du matin quant ,
Le commissaire,
- Les données correspondent effectivement, une
femme au nom de Liliane fut transporté dans
- Les données correspondent effectivement, une
femme au nom de Liliane fut transporté dans
121
un hôpital psychiatrique suite a son comportement dépressif. Comme j'ai une photo de mariage, j'irais
moi-même la retrouver.
moi-même la retrouver.
Yves,
- Monsieur le commissaire pourra je vous accompagner ?
- Monsieur le commissaire pourra je vous accompagner ?
Le commissaire,
- Monsieur Yves, vous n'étiez pas en bonne
santé, à la morgue la dernière fois, je réfléchi et
- Monsieur Yves, vous n'étiez pas en bonne
santé, à la morgue la dernière fois, je réfléchi et
vous le dirais plus tard après le repas.
Yves se retrouve seul, car Sophie a quitte la salle.
Le repas de midi se sert, il est composé de sautée de
port, de carottes émincé de pomme de terre et d'un
Le repas de midi se sert, il est composé de sautée de
port, de carottes émincé de pomme de terre et d'un
morceau de fromage, avec un morceau de pain blanc.
Ses pensées d'Yves naviguèrent sur une autre planète .
Au même moment, dans le château où se trouve
Liliane(Eva) le repas de midi vient d'être servie. Les
douleurs musculaires de Liliane ( Eva ) ont disparu, elle
réussit à manipuler les couverts seule.
122
Liliane ( Eva ) mange le maximum qu'elle peut. Il fautdes calories pour son départ qui se rapproche.
le commissaire retrouve Yves,
- Vous avez bien manger monsieur Yves ?
Yves,
- Oui monsieur le commissaire je suis en forme pour
vous accompagner.
le commissaire,
- Nous avons trouvé une personne répondant
au prénom de Liliane qui a été admis dans un autre
Hôpital de la ville le jour ou la banque fut braqué.
Yves,
- Donc, je n'ai pas tort, ma femme Eva fut
- Donc, je n'ai pas tort, ma femme Eva fut
admisse dans un autre hôpital sous un autre
nom ?
Le commissaire,
- Je ne suis pas de votre avis, il doit y avoir une
erreur d'interprétation sur le nom de la personne
et qui a nécessité la venue d'une autre véhicule.
le rapport de police ne précise pas d'où vint cette
et qui a nécessité la venue d'une autre véhicule.
le rapport de police ne précise pas d'où vint cette
troisième ambulance ?
Yves est sur le point de monter le ton, sa persuasion
que cette erreur tient la clé de l'innocence d'Eva .
Yves est sur le point de monter le ton, sa persuasion
que cette erreur tient la clé de l'innocence d'Eva .
Yves,
- Ne pouvons nous pas demander plus de détails à
l'agent de police
- Ne pouvons nous pas demander plus de détails à
l'agent de police
123
Le commissaire,- Je prend votre remarque au sérieux et redemande
à mon collègue c'il ne sait pas où fut admis la
victime dépressive.
à mon collègue c'il ne sait pas où fut admis la
victime dépressive.
Yves,
- Merci monsieur le commissaire.
Yves transpire énormément, une soif eut asséché sa
gorge et sa voix devint roc. Il se lève de son lit pour
- Merci monsieur le commissaire.
Yves transpire énormément, une soif eut asséché sa
gorge et sa voix devint roc. Il se lève de son lit pour
avancer vers la carafe qui se trouve sur le rebord de
la fenêtre. Ses mains transpirèrent et tremblent. Il
voulut toucher le verre pour le remplir d'eau, celui
ci glisse des mains sur le carrelage. Yves continu de
trembler. Une infirmière arrive et conseille a Yves de
trembler. Une infirmière arrive et conseille a Yves de
retourner dans son lit.
L infirmière,
- Ne vous faite pas tant de souci monsieur Yves,
les recherches sont en bonne voie.
- Ne vous faite pas tant de souci monsieur Yves,
les recherches sont en bonne voie.
Yves,
- merci
l'Infirmière lui administre une piqûre pour qu'il
retrouve des forces et déconseille Yves d'accompagner
- merci
l'Infirmière lui administre une piqûre pour qu'il
retrouve des forces et déconseille Yves d'accompagner
le commissaire.
Le commissaire revint une bonne heure plus tard
Le commissaire revint une bonne heure plus tard
avec comme nouvelles,
vous, effectivement une patiente a été transporté
dans un fourgon le jour du braquage de la banque
Elle fut envoyé dans une maison spécialisé pour
124
- Monsieur Yves, j'ai une bonne nouvelle pourvous, effectivement une patiente a été transporté
dans un fourgon le jour du braquage de la banque
Elle fut envoyé dans une maison spécialisé pour
personne agressif, mais, dans une autre ville. Elle
eut mordu un policier en étant agiter. Des papiers de
la banque au nom de Liliane furent trouvé sur les
lieux . Comme j'avais récupéré les photos de votre
mariage je leur ait présenté et effectivement c'était
votre femme Eva qu'il avait admis .
Yves se releva rapidement de son lit, tente de trouver
ses habites pour
- Je suis prêt monsieur le commissaire,
- Je suis prêt monsieur le commissaire,
Le commissaire,
- Pas si vite monsieur Yves, je n'ai pas finie, pour la
retrouver j'ai besoins de l'accord de votre docteur.
Il est 17 heures et le départ vers cette maison spécialisé
- Pas si vite monsieur Yves, je n'ai pas finie, pour la
retrouver j'ai besoins de l'accord de votre docteur.
Il est 17 heures et le départ vers cette maison spécialisé
peut être pris avec l'accord du médecin d'Yves.
train, pour y parvenir car l'heure tourne et la journée
125
La 404 Peugeot blanche du commissaire roula bontrain, pour y parvenir car l'heure tourne et la journée
touche a sa fin. Dans l'habitacle, le silence fut de mise.
Les retrouvailles donnent un ton encourageant.
Enfin, ils arrivèrent devant ce grand bâtiment en
Les retrouvailles donnent un ton encourageant.
Enfin, ils arrivèrent devant ce grand bâtiment en
pierres de tailles et aux vitres protégés par du grillages.
Cette aperçu ne rassure Yves , il est 19 heures.
Un grand portail en fer martelé et forgé, démontre
qu'ils se trouvent devant une sorte de prison ?
Une femme à l'âge avancé, se promène derrière ce
portail avec un bouquet de fleurs fanées.
Une femme à l'âge avancé, se promène derrière ce
portail avec un bouquet de fleurs fanées.
Le commissaire tire sur la corde relier a une cloche
car cette personne évite de leur parler. Il actionne a
nouveau la cloche. Enfin , une bonne sœur arrive.
- Bonsoir monsieur, qu'est le sujet de votre visite ?
Le commissaire,
- C'est la police, ma sœur, votre responsable fut
contacté.
- C'est la police, ma sœur, votre responsable fut
contacté.
Bonne sœur,
- Je ne possède pas de clé, je vais trouver la
responsable concernée.
Elle repartie retrouver la responsable des lieux, a
- Je ne possède pas de clé, je vais trouver la
responsable concernée.
Elle repartie retrouver la responsable des lieux, a
peine fut elle partie, que la personne âgé arrive avec
- Vous voulez des fleurs, elles ne sont pas chères,
126
son bouquet de fleurs fanée.- Vous voulez des fleurs, elles ne sont pas chères,
- Merci madame, nous ne voulons pas de fleurs, on
attend la responsable.
attend la responsable.
La personne âgé,
- Vous ne voulez pas les fleurs ?
Le commissaire rougit, il dit d'un air embarrassé,
- Ils valent combien les fleurs ?
- Vous ne voulez pas les fleurs ?
Le commissaire rougit, il dit d'un air embarrassé,
- Ils valent combien les fleurs ?
La dame âgé
- Pas chère monsieur vous me donnez ce que
vous voulez.
- Pas chère monsieur vous me donnez ce que
vous voulez.
Le commissaire,
- Mais où sont les fleurs qu'on nous propose ?
- Mais où sont les fleurs qu'on nous propose ?
La dame âgé,
- Elles sont dans le bureau de la responsable de
la maison.
Le commissaire regard d'Yves d'un air étonné, puis
dit a la personne âgé,
- Et bien madame, savez vous ce qu'il faut faire en
- Elles sont dans le bureau de la responsable de
la maison.
Le commissaire regard d'Yves d'un air étonné, puis
dit a la personne âgé,
- Et bien madame, savez vous ce qu'il faut faire en
cherchant le bouquet,
la dame âgé,,
- Non, je fais ce qu'on me dit de faire monsieur.
- Non, je fais ce qu'on me dit de faire monsieur.
Le commissaire,
- Lorsque vous arrivez dans le bureau de votre
- Lorsque vous arrivez dans le bureau de votre
responsable, vous lui demandez que des personnes
veulent acheter le bouquet de fleurs et qu'il attendent
derrière le portail de la porte d'entrée.
127
La dame âgés,- Mais monsieur, si je la demande, elle va croire
que j'ai faim ?
que j'ai faim ?
Une autre femme arrive,
- Ne l'écoutez pas, personne la croix moi j'ai 28 ans
je n'ai pas besoin de demander aux passant de leur
vendre des fleurs. Je vais trouver la responsable.
Cette jeune femme partie, ouf, ils purent souffler un
peu, mais le temps passe. Et dire qu’Éva se trouve dans
ce centre ? Une jeune personne arrive,
- Bonsoir monsieur, c'est bien vous qui venez de
la police ?
Le commissaire présentât son papier officiel.
Cette jeune femme partie, ouf, ils purent souffler un
peu, mais le temps passe. Et dire qu’Éva se trouve dans
ce centre ? Une jeune personne arrive,
- Bonsoir monsieur, c'est bien vous qui venez de
la police ?
Le commissaire présentât son papier officiel.
La responsable,
- Je suis contente que vous venez monsieur le
commissaire, je suis rassuré que avez trouvé
- Je suis contente que vous venez monsieur le
commissaire, je suis rassuré que avez trouvé
le nom de la personne qui répond au prénom
de Liliane mais qui est en réalité, Éva.
de Liliane mais qui est en réalité, Éva.
Le commissaire,
- Madame, j'ai en ma possession une photo d'elle.
Une seconde jeune femme qui l'accompagne leur
- Madame, j'ai en ma possession une photo d'elle.
Une seconde jeune femme qui l'accompagne leur
128
demande,- puis je voir la photo.
Elle la regarde et confirme,
- Je reconnais cette personne, elle s'appelle
Liliane
Cette réponse remplit le cœur d'Yves de bonheur, enfin,
- Vous voyez monsieur le commissaire, j'eus raison,
Eva est vivante.
Enfin, Yves va pouvoir la revoir, la chérir, l'embrasser,
l'aimer . La porte du lieux reste fermé . La responsable
- Je reconnais cette personne, elle s'appelle
Liliane
Cette réponse remplit le cœur d'Yves de bonheur, enfin,
- Vous voyez monsieur le commissaire, j'eus raison,
Eva est vivante.
Enfin, Yves va pouvoir la revoir, la chérir, l'embrasser,
l'aimer . La porte du lieux reste fermé . La responsable
du lieux l'ouvre,
- Messieurs, lorsque j'eus remarqué que cette jeune
femme ne sus s'exprimer on a décidez la résolution
- Messieurs, lorsque j'eus remarqué que cette jeune
femme ne sus s'exprimer on a décidez la résolution
suivante de la faire suivre par une institue qui
s'occupe de personnes muettes et malentendant.
Nous avions fait suivre son dossier au prénom de
Liliane.
Le récit de cette personne rendit Yves nerveux, cela le
fatigua.
- Mais chère madame, où se trouve cette institue ,
- Elle est à une quarantaine de km d'ici.
Le cœur d'Yves bâtait bien vite, dire qu'il se trouva a
deux doigt de la revoir ?
- Nous allons la retrouver madame, pouvez-vous
nous donnez le numéraux du téléphone à l'institut
merci ?
Elle marque l'adresse sur du papier. Le commissaire
Le récit de cette personne rendit Yves nerveux, cela le
fatigua.
- Mais chère madame, où se trouve cette institue ,
- Elle est à une quarantaine de km d'ici.
Le cœur d'Yves bâtait bien vite, dire qu'il se trouva a
deux doigt de la revoir ?
- Nous allons la retrouver madame, pouvez-vous
nous donnez le numéraux du téléphone à l'institut
merci ?
Elle marque l'adresse sur du papier. Le commissaire
demande de pouvoir appeler son poste. Puis la 404 blanche
du commissaire partie en trompe.
JJM
suite au 7/8
129
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.Le roman est en cour de montage des changements
peuvent suivre.
a ce jour, 04 04 2019, 8 566 lecteurs.
a ce jour, 18 09 2019, 8 880 lecteurs.
a ce jour, 29 10 2019, 9 031 lecteurs.
A ce jour, 30 07 2020, 9 595 lecteurs.
A ce jour, 12 10 2020, 9 667 lecteurs.
A ce jour, 05 10 2023, 17 660 lecteurs.
A ce jour, 10 12 2024, 20 264 lecteurs.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire