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28 novembre 2024

Coïncidence 4/8 ( roman d'aventure )

mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2
SVP ne changer pas le texte, je ne gagne rien et il est 
protégé.
Coïncidence 4/8

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       Pour Yves, l'espoir donne un  signe de victoire car, quelques mots 
sortirent de sa bouche. Ils donnent des certitudes sur la sortie de son 
comma. Le monde médicale le suivi avec encouragement et écoutèrent 
les paroles suivante,
-       Eva, où est Eva ?
-       Où est Eva ?
   IL prononce ses mots sans arrêt. Ce réveille attire un grand nombre 
de médecins et du personnelle soignant. Le commissaire fut aussi là, il 
ne voulut perdre un moment pour son enquête. Petit à petit, les mots 
devinent compréhensibles et constructif, le mot Eva suivit chaque 
mot et phrase. L’impatience du commissaire n’hésite pas pour le 
questionner.
-     Monsieur Yves, où se trouve Eva ?
  Pas de réponse, a part la question suivante,
-       Où est ma femme Eva ?
-       Monsieur Yves, vous souvenez vous du braquage de la banque ?
-       Non pas exactement, où se trouve Eva ?
-       Monsieur Yves, qui vous a frappé ?
-       Une personne inconnu de la banque, mais où est Eva ?

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  l'un des médecins dit au commissaire,
-         Il faut le laisser récupérer, monsieur le commissaire laissez le 
           passer une nuit cela lui permettra de retrouver ses forces  
           physique et psychologique. Votre questionnaire le fatigue de 
           trop.
-          C'est bon docteur, je reviens demain matin.
  le lendemain matin , le commissaire est prêt du malade Yves. La nuit 
a porté ses fruits, car Yves a récupéré une bonne partie de ses facultés .
Yves a retrouvé ses réactions. Sans tarder le commissaire le questionne,
-        Votre femme Eva, fut elle présente le jour du braquage de la 
          banque ?
-         De quel braquage, de quelle banque ? je ne me souviens de rien.
-         La blessure qui vous a plongé dans le coma, qui vous a agressé ?
-         Vaguement, mais que n'est il arrivé au juste ?
-          D'après les témoignages de vos collègues, vous avez reçu un 
           coup de crosse de l'un de vos agresseurs.
-         je me rappelle de rien.
-         Votre femme Eva, a t elle des amies au amis en ville ?
Ce questionnaire bouleversa profondément Yves qui répondit fermement,
-        Mais, ma femme où se trouve t elle ? elle n'a pas d'amies ou 

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         amis en ville, a pars la voisine ?
  Son regarde étonné observa le commissaire, comme pour tenter de 
découvrir les prochaines questions déprimantes qu'il alla lui poser.
-       Justement monsieur Yves, elle a disparu avec pas mal de bien 
        de votre habitation et surtout avec le livre ancien qu'elle dut 
        relier.
  Ces questions réveillèrent par petite touche le trou noir dans lequel
Yves fut plongé. Le médecin dit au commissaire,
-       Revenez plus tard, monsieur le commissaire, nous devons 
        poursuivre les soins.
         Dans la maison spécialisée, le repas fut servi. Pour ce fait,
toutes les femmes de la chambre où se trouva Liliane (Eva) se 
préparèrent pour rejoindre la salle à manger. Liliane (Eva) dut 
carder son embarrassante camisole. Elle suivit les autres femmes
au réfectoire une honte gorgé de mépris. Personne ne remarque 
son habille, elle passa inaperçu comme si rien ne fut. 
   Liliane (Eva) poursuit sa marche vers une table de quatre place 
où sont marqué ,à l'aide d'une peinture d'huile, les numéros que 
chacune porte sur un écriteau accroché autour du cou . 
   Liliane (Eva) porte le 4,  elle s'y place , en dernière, sur la 
chaise figure son nom. Elle observe son entourage avec curiosité 
et remarque que les couverts sont en matière plastique rose. 
Les couteaux n'ont pas de tranchant et sont arrondie. Pas 

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de pointe pour les fourchettes. Mais, comment peut elle manger
avec les mains bloqués ?
      Le repas est servi par des personnes qui  poussent des 
chariots remplit de crudités, de cruches en plastique d'eau, et des 
plats dans des récipients de bois. L'odeur de leur contenu parvint 
aux narines de Liliane (Eva) qui analysa que c'est du rôti de veau,
des pommes de terre purée, de la salade verte qui leur sera servi.
    Le personnel de service se rapproche de Liliane (Eva) et la 
regarde d'un air étonné, puis se retourne en direction de ses 
supérieurs en manifestant son mécontentement en gesticulant 
leurs mains.
   Liliane (Eva) suivit la direction où sont réceptionné les signes.
De là arrivèrent deux surveillants qui réveillèrent son attention.
 Elle se souvint des coups que l'un des individus lui infligea dans 
la pièce capitonné.
   Le plus grand d'entre eux lui fait le plus peur, elle en trembla car
c'est bien celui là qui se donna a cœur joie pour la maltraiter. Il se 
mit a rire la bouche grande ouverte avec une méprise sans 
scrupule. Cette odieux personnage la hait ,pourquoi ? Il se 
dirigea vers une autre table pour récupérer une chaise resté libre.

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Les trois compagnes de Liliane en furent étonnées comme si une
vilaine bête vint les surveiller. Aucun pensionnaire n'évoque un 
sourire d'encouragement toutes furent soucieuses.
   Notre personnage prit place à coté de Liliane (Eva). Il remplit 
la cuiller en plastique d'une bonne couche de purée de pomme 
de terre qu'il souleva pour la placer dans la bouche de Liliane
(Eva). Avec la main gauche il lui empoigna ses long cheveux 
blonds miel. Au moment où la bouche s'ouvrit il poussa la tête
vers la cuiller pour que celle ci touche le fond de la gorge. La 
brutalité de cet individu est exagérée. Liliane (Eva) tente de 
reculer mais cette brute sans scrupule la maintenait tout en 
riant à forte voix la bouche grande ouverte. Liliane (Eva) lui
cracha tous ce qu'il voulut lui gaver, en pleine figure. Une 
bonne partie atteint son but,  en plein centre de sa bouche 
quant au reste, il s'éparpilla sur le visage et ses habilles. 
l'homme se relève brusquement de sa chaise. 
    Cette réaction provoque un enchaînement de claques qu'il 
attribua à Liliane (Eva). Il n'interrompe cette action et frappe
sens compter.
     Soudain, une main de femme l'en empêche. Ce freinage
n'est pas bien venu car avec l'autre main, il tenta de répliquer.

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A la vue du médecin Lucie, il se rétracta. Toute la salle évoque
un soulagement de victoire en frappant des mains.
    Liliane (Eva) fut toute rouge de peur mais aussi des marques
du aux nombreuses claques. Elle tremble comme une feuille mais
ressenti une victoire. Ses larmes collèrent sur ses joues jusqu'à
 tacher sa robe rayée de rouge et de blanc. Lucie essuya cette 
tache puis, elle continua de lui donner a manger.
           Depuis que Yves retrouva sa raison d'être, il ne dormait 
plus et la nuits devint interminable, Eva lui manqua plus que tout.
l'amour est le fruit d'une récolte, un besoin d'attache qui comble 
le trou noir de l'incertitude du lendemain. Dans cet engrenage les
deux amoureux suivirent la même onde de retrouvailles. 
  Eva réfléchit sur une éventuelle évasion de cet hôpital spécialisé 
qui abaisse les personnes au plus bas niveau. Pour elle l'ensemble 
du personnelle a les mêmes valeur sur leur comportement. Même 
Lucie, qui ne réussi a la libérer Eva de cette camisole . 
    Chaque moment devient souffrance et une aberration qui la
couvre d'actes d'incohérence. Il y a beau implorer un Dieu 
quelconque aucun ne lui vint en aide.

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  Cette nouvelle nuit s'écoula avec lenteur. Une nouvelle épreuve
attendit les deux amoureux, Yves sut qu'au premier levé du jour le
commissaire viendra le questionner. Le médecin accepta qu'Yves
fut questionné un peut plus longtemps car la nuit lui eut porté une
augmentation de ces capacités intellectuelles.
  Le commissaire n'eut pas perdu son temps a la première occasion 
du matin, il questionna de nouveau Yves.
-       Votre femme a t elle des amies ou amis dans la ville?
-       Non pas que je sache.
-       Fréquente t elle une association quelconque ?
-       Oui, dans une association de tir de compétition dans laquelle
         je suis aussi inscrit.
  Yves trouve cette question un beau blizzard ?
-       Votre femme fut elle présente le jour du braquage de la banque ?
-       Elle n'y fut pas, regardez sur les caméras.
  Les pensées d'Yves se préoccupèrent de cette question il pensa mais
que reproche le commissaire a Eva ?
-       Connaissez vous vos agresseurs ?
-       Je ne les ai jamais rencontrés.
  Yves leva son bras pour lui montrer la blessure qu'il eut acquit. Il

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se mit a son tour a questionner le commissaire,
-      Monsieur qu'elle est le motif de tout ce questionnaire et où se
       trouve ma femme Eva ?
  le commissaire pris au dépourvu ne sut que répondre,
-     Monsieur Yves votre femme se trouve certainement dans un 
      hôpital elle eut subit un choque.
-     Puis je la voir ?
-     Justement nous ne savons pas ci c'est bien elle ?
  Ce fut une manière de laissé en veille la vérité, celle de lui dire
que sa femme fut introuvable. Le médecin vint dire,
-      Monsieur le commissaire, nous devons donner des soins a notre
       patient, revenez demain.
-      Je reviendrais demain docteur. Bon rétablissement monsieur 
       Yves.
   Dans le centre où se trouve Liliane( Eva ) des discutions entre 
médecins reprennent.  La stagiaire Lucie, la défend tant bien que
mal devant les autres qui ne lui prêtèrent la moindre attention.
Pour eux, ce ne fut qu'une poupée démunie de ses bras et qui 
n'émet le moindre bruit. Bref, une statue vivante couché là.
    Lucie, la médecin, vint retrouver Liliane ( Eva ) accompagné 
d'une autre personne du personnelle . Ils discutèrent entre elle
tout en s'approchant de sa table.
Les autres femmes la suivirent pas a pas. L'une d'elle dit

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-      Docteur Lucie, elle n'est pas méchante du tout Liliane (Eva)
-      Oui je le sais Maryse mais il faut l'autorisation du directeur
       pour lui redonner la liberté de ses mains.
  Lucie s'adressa e son accompagnateur ,
-      Ce qui vint d'arriver, au repas, est une preuve que l'on ne 
        tient pas compte du comportement de l'handicape de Liliane 
       (Eva) mais bien de la personne de service qui est agressif . 
        Liliane ( Eva ) ne médite pas d'être traitée de la sorte cette
        endroit ne correspond a son cas.
-       Bon, je reconnais qu'elle doit retrouver la liberté de ses bras, 
        allons dans mon bureau pour signer la décharge.
   Dans les pensées de Liliane (Eva) une espérance nait, elle 
arriva par déchiffrer quelques signes sur les lèvres du docteur Lucie.
La liberté de ses mains lui permettra de d'écrire la vérité sur une 
feuille de papier. Le plus important fut de donner son véritable nom
et de retrouver son mari Yves victime du braquage de sa banque. Des
larmes d'espoir humaient son visage.
   Une des femmes, Maryse, lui parle,
-     Pauvre petite fille il ne faut pas pleurer .
  Une autre lui caressa ses cheveux en lui parlant doucement pour
la soulager. Mais, que se passe t il donc, tout le monde devient 

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sympathique avec elle pense Liliane (Eva) ?
-     Tu sais petit enfant, tes cheveux sont bien trop longs, si tu veux
       je te les coupe il suffit de me dire non et je les laisse comme il
       sont. Tu ne dis rien alors tu es d'accord. On n'a pas de ciseaux ni
       de couteau mais je suis capable de te faire la même coupe que 
       moi avec un morceau de verre que j'ai caché sous mon lit. Je 
       l'avais récupère un jour où une vitre fut cassée.
  Les caresses soulagèrent le chagrin de Liliane (Eva), mais que lui
réserve cette coiffeuse détraquée?
-     Lorsque je t'aurais fait belle, tu n'auras plus de larmes. Comme
       il est prévue que tu vas bientôt nous quitter pour un autre centre
       tu dois être belle.
  Maryse part chercher son morceau de vitre après avoir essuyer les 
grosses larmes de Liliane (Eva). Une des femmes présente dans la 
pièce eut suivi avec attention les intentions de Maryse et attendit 
impatiente que celle ci sortie le morceau de vitre de sa cachette.
    Rapidement, elle se précipite sur Maryse la coiffeuse pour lui 
voler son bien coupant. Liliane ( Eva ) a suivi leur démarche sans 
comprendre que leur intentions agressive.
   A ce moment là, les deux femmes se chamaillèrent comme des 
chacals avec une proie. Une vraie débandade se produisit, des 

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objets volèrent de part et d'autre. Se vacarme eut déclenché la 
venu des responsables du service d'ordre de l'établissement. 
Liliane (Eva) se mit en boule en se cachant a coté de son lit. 
Maryse perdit son précieux morceaux de verre. L'autre patiente
surnomme suicide , s'en saisi puis s'ouvrit les veines de son 
bras droit. Du sang jaillit. La bagarre continue de plus belle et 
les traces de sang sont éparpillé un peu partout. Le service 
d'ordre arrive, parmi eux se trouve celui qui méprise Liliane 
(Eva). Il tiens dans sa main une matraque en caoutchouc qu'il 
manipule avec souplesse et précision. La troisième femme vient 
se réfugier prêt de Liliane (Eva). Le matraqueur sens donne à 
cœur joie sur le comportement des deux excités pour les séparer. 
   Le calme revint.  Maryse eut une camisole et la suicidaire
fut conduite au urgence. Le matraqueur aperçu les deux femmes
allongés le long du lit cote à cote pour se protéger. Cette vue 
ne lui convenait point, il entra dans une rage indomptable et cria,
-     Sale petite pute, vous coucher ensemble ?
   Il s'approcha d'eux et les frappa de toutes ses forces en faisant
glisser la matraque sur leur dos pour quelle laissa des traces.
Liliane (Eva) se recoquilla sur elle même tout en mordant 

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fortement sur ses propres dents. L'autre femme cria de douleur
son agonie parvint jusqu'au bureau du responsable principal.
Docteur Lucie arriva avec le responsable du centre qui 
interrompit les frappes. Lucie interpella le matraqueur et demanda,
-     Que se passe il, qu'elle fut la raison de ce traitement ?
-     Docteur, ces deux femmes font l'amour à coté du lit.
La troisième femme répondit,
-      Ce n'est pas vrai docteur, on c'est misse a l’abri pour ce 
       protéger des objets qui volèrent dans la pièce.
Ce fut la bonne réponse mais, croire une folle c'est tourner le 
monde en l'envers. La seule personne qui put justifier le 
déroulement des incidents ne savait pas écrire mais dessina sur
un morceau de papier les faits qui vinrent de ce déroulé. Ce ne
furent pas des lettres mais belle et bien des croquis sur les 
événements passé. 
   Docteur Lucie prit un morceau de papier où elle y marqua 
l'endroit où Liliane (Eva) ira prochainement, elle lui montra le
château où elle sera accepté demain  après le repas de midi. 
Il faudra quelle sois patiente, pour cela Liliane ( Eva ) devra 

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prendre un bain car elle fut souillé de toute part. 
    le sommeil quête la nuit pour une suite de découverte 
réconfortante et surtout d'ambitions.      
       Le repas du midi est distribué, la table n 4 qui ne possède
 plus que deux couverts il y avait deux manquantes . Docteur
Lucie vient prendre place avec Liliane (Eva) et lui donne a 
manger. La commission a décidé de lui enlevé la camisole, cette
liberté,  quelle aubaine de ce sentir libre de ses mouvements. 
Oui mais, les bras sont tétanisé, Liliane ( Eva ) a du mal pour 
se déshabiller et se laver. Les remettre en fonction demande une 
petite rééducation. Docteur Lucie vint a son aide et remarque 
que de nombreuses marques de coups ornèrent son dos. Le 
matraqueur ne l'a pas gracié.
   Cela intrigue Lucie car en plaçant Liliane (Eva) dans le centre
spécialisé ils remarqueront qu'elle fut maltraitée. Cette 
supposition la fait réfléchir sur ce qu'elle dut mentionner dans
 la feuille de soins qui accompagne Liliane (Eva ). Elle conclure
que de toute façon Liliane (Eva) ne dira rien de ce qui vient de ce 
dérouler et elle sera bien mieux autre part que dans cette 
maison de détraqués.

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    Lorsque l'on enleva a Liliane(Eva) sa camisole, une odeur de 
fauve y eut trouvé refuge .  Elle se place dans la baignoire, les 
traces des coups de matraques la brule, cela la fait souffrir.    
   Avec douceur Lucie lui lave le dos en lui appliquant quelques 
massages qui peuvent la soulager . Mais il reste les souffrance 
intérieures, ceux là, personne ne peut les entendre.
  Lucie lui donna une belle robe blanche crème car Liliane (Eva)
n'a plus rien a se mettre, tous fut déchiré.
    Le lendemain, Liliane(Eva) arrive a son ambulance , elle n'a 
comme bagage que sa beauté et une lettre dans laquelle un 
papier signé du docteur Lucie qui résume la suite a prendre.
Liliane(Eva) remit la lettre au conducteur.
   Ce véhicule comporta un habitacle placé a l'arrière de la cabine
avec deux bancs face a face et peut emporter 6 personnes. La 
docteur Lucie l'accompagna à l'arrière et attendit que Liliane 
(Eva) prenne place sur une des banquettes. Lucie fut un signe au 
convoyeur pour que la porte soit fermée. Un vacarme de tôle suivi
la fermeture. Un plafonnier illumine l'habitacle pas plus grand 

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que 1,80 m de large et 2 m de long, une hauteur d'1.60 m  ne 
permet de se mettre debout. Il n'a pas fallu beaucoup de temps 
pour qu'une chaleur s'y engouffre . Le souffle de l'aérateur
ne permit a l'air intérieure de rafraîchir l'habitacle. 
     la certitude de retrouver une autre sorte de prison envoûte
 Liliane (Eva); elle pense a l'acte qu'elle eut commit en tirant 
sur deux personnes et les blessant, serais se pour cette raison 
que la société la change d'endroit ? 
    Liliane ( Eva ) n'a qu'un objectif, retrouver sa liberté d'une
manière ou d'une autre avec comme ambition, retrouver Yves.
  Le véhicule démarre, une intuition d’angoisse la suivit. 
   Le temps passe péniblement , ce fut 20 minutes que le 
véhicule poursuit sa route. Le docteur Lucie a demandé que
le chauffeur la dépose a un endroit donné. Liliane ( Eva ) est
seule sur son banc
   Dans l'habitacle du conducteur, l'infirmier lit le rapport du
médecin Lucie au conducteur a haute voix.
-  Liliane ( Eva ) est une personne sourde et muette.
 Puis il rajoute,
-      Pour cette fois, voilà une personne normale et attirante que
l'on transporte, elle ne parle pas et n'entend pas. En plus de cela,
les hématomes qui la marques sont dut a une querelle de famille.
Ce qui me plaît, dans cette histoire-là c'est qu'elle n'est pas 
vilaine. Je précise même qu'elle m'épate pour une fois nous ne 
risquons rien, elle ne parle pas et ne dénoncera pas nos actes.

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  Le chauffeur écoute son discours d'un air questionneur, il 
répondit,
-    Mais quelles intentions as tu ?
-     On se la paye, qu'en penses tu ?
-     Je ne sais pas et puis,
-     Et puis quoi, arrête -toi dans la forêt, personne ne nous 
       dérangera.
     D'un air autoritaire le convoyeur infirmier insista de plus 
belle. L'ambulance continue sa route jusqu'à la forêt indiquée. 
Liliane (Eva) ne se doute de rien et pensa être arrivé. Les 
deux personnages sortent du véhicule, puis après avoir uriné 
contre un arbre, s'avancèrent vers l'arrière porte du fourgon. 
Ils ouvrent la porte, cette entré d'air atténua la chaleur 
existante, puis ils prennent place sur la banquette opposé à 
Liliane (Eva). Cette arrêt est bien venu mais, inquiète la  
passagère. Liliane (Eva ) a comme intuition les mêmes 
sentiments qu'avec le matraqueur. Son regarde croise celui
de l'infirmier avec son air méprisant, elle se rappelle des 
coups. 
  La psychologie sur le comportement d'une personne met en

80 

éveille des sens pour que les non entendant ont . Liliane (Eva) 
a banalisé les intentions de ces deux énergumènes et reste au
aguets. 
    Le convoyeurs regarda Liliane (Eva) dans les yeux avec un 
sourire impropre à l'admiration. Il hocha ensuite les épaules
puis secouât la tête. Il se lève et s'approcha puis se courbe 
vers elle. Son battement de cœur augmente , une peur 
l'envahit de fond en comble par un tremblement . Elle 
ressentit la venu d'une appréhension peu banale, comme 
une impuissance envers un danger qui la menace. Elle se 
blottit sur la banquette dans le fond du .fourgon. 
    Les gestes de ce personnage ainsi que les rides sur son 
visage dénonce ses intentions . Il lui caresse ses cheveux et son 
visage. Liliane (Eva) garde sa position. 
    Le chauffeur n' apprécie pas le geste de son collègue , qui a
saisit ses cheveux pour tirer Liliane ( Eva ) vers le centre du 
fourgon. Lorsqu'il tente de lui enlever sa robe blanche craie, 
Liliane (Eva) étire ses pieds avec une rapidité et une force 
dédoublé sans pareille vers l'entrejambe du convoyeur. 
Celui-ci , hurle de douleur puis se prépare pour infliger 
des coups de pieds . le chauffeur l'en dissuade de ses 
intentions. Il aide Liliane (Eva) pour se relever. 
        Cette  réaction départage le comportement des  
accompagnateurs qui  quittent le fourgon dans une colère 
digne de perdant, le chauffeur claque fortement la porte du 
fourgon et le véhicule reprit sa destination. 


suite au 81      5/8


JJM

Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
Des changements peuvent suivre .
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Coïncidence 3/8 ( roman d'aventure )

mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2
suite roman d'aventure Coïncidence 3/8
Svp ne modifier pas mes écrits qui sont protégé, 
je ne gagne rien .

n 48




















Je trouve que cette malade a quelques choses de particulier, je n'est 
jamais rencontré une réaction parmi tous les malades que j'eus depuis
dix années que je pratique ce métier. Certainement que le choque 
l'eut profondément bouleversé, reste a savoir quel facteur la placé 
dans cette attitude là ?
   la médecin se déplace vers la porte pour arracher le carton sur lequel
sont inscrit les coordonnés de la patiente où l'on souligné en rouge. 
certaines parties. La médecins  relie certain passage.
- Élément très dangereux , il faut se méfier d'elle, elle risque de 
tous chambouler. La patiente n'accepte aucune soupe ni repas. 
   Étrange cette histoire, je n'arrive pas à imaginer qu'une aussi jolie
fille sois agressive ? Une autre ligne dit, 
-  Cette jeune femme ne veut répondre a aucune question ? 
    La femme médecin conclu dans son enregistreur , 
-   Je pense que  la faiblesse qu'elle eut acquise est dut  piqûres pour
     la rendre docile ? Ou alors c'est un choque spontané qui la bloque. 
     Il se peut qu'elle est muette suite a cela ? Ou même sourde ? 

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    La médecin prit la malade pars sa taille pour la placer sur 
la chaise que la médecin a demander de rentrer. Liliane(Eva) 
observa les moindres mouvement que fait la médecin en face 
d'elle. Elle aurait voulu se confier a elle mais ses bras et ses 
mains reste emmitouflé dans la camisole. 
    Liliane (Eva) accepta le repas que lui donne la médecin.
    Avec l'incapacité de pouvoir se laver, une odeur de fauve 
entoure Liliane(Eva). La médecin conclura de lui donner un 
bain, elle donne l'ordre aux bonne sœurs de le lui préparer. 
      Une victoire éprouva les pensées du médecin qui enfin 
réussissait a sympathiser avec cette malade. Il faut découvrir 
comment dialoguer avec elle. En donnant une cuillère en bois  
de soupe, elle lui fait un signe du pousse pour la becté 
suivante en mémé temps elle hoche sa tête de haut en bas. 
Puis elle tente de bouger la tête sois dans un sens ou dans 
l'autre en bougea ses lèvres en parlant. 
     Cette attention révéla effectivement Liliane(Eva) est muette 
et sourde. 
       La médecin, se souvient quelle fit un stage dans une maison 
spécialisé pour sourde et muette. Elle lui fit quelques signes en sa 
connaissance. 
   Liliane(Eva) répondit par des hochements de tête. La médecin 
mentionna cette remarque sur le dossier de Liliane(Eva). 
    Ce premier vrai repas fut pour Liliane ( Eva )une source de 
renaissance. Par la suite, les bonnes sœur la lavèrent temps 
bien que mal, car Liliane(Eva) n'eut pas le droit d'enlever sa 
camisole qu'elle dut la garder par ordre de la supérieur.

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       Le service pris fin et la nuit demanda qu'un repos mérité 
puisse redonner vie a une nouvelle journée. Pour Liliane(Eva) 
cette nouvelle nuit la rendit nerveuse et anxieuse.
        le lendemain matin, un samedi, la banque fut fermé comme 
d'habitude. 
    Les journaux décrivirent la suite des événements du braquage. 
Ils précisèrent qu'une confusion fut commises car les armes des 
gangsters ne furent que de vulgaires pistolets d'alarme. Quant 
à la personne morte, trouvé sur un banc, ce ne fut pas le policier
prit en otage mais un des agresseurs qui ont commit le braquage 
de la banque. Le calibre des deux victimes mortes par 
balles provint du même fusil resté introuvable dans la voiture 
R16TS rouge calcinée de l'otage. Le malheur eut voulu que les 
gendarmes et la police , formant le barrage, eurent ouvert le feu 
sur les occupants du véhicule. Quant a la somme dérobé, elle est
 introuvable. 
       A la fin de la rubrique, fut mentionne,
 La disparition d'un précieux livre de collection du musée dans un 
cambriolage a été fait dans le même quartier que la banque. La 
valeur évalué a plus de 500 000 francs est assuré . Cette assurance 
accorde  a la personne qui les aide a retrouver le livreur une 
importante prime.
      le responsable de la banque rend visite à Yves dans l'espoir de 
le trouvé réveillé. Comme d'habitude, il fut sous surveillance. Un 
policier pas bien aimable le surveille. Sur le moment, monsieur 
Pierre ne sut que dire, puis il enchaine,

51

-      Bonjour monsieur, je suis le directeur de la banque où eut lieu 
     le drame.
-      Quel drame, je n'en connais pas ?
-      Mais, là où eut lieu le braquage de la Banque.
-      Et alors , que désirez vous ?
-       J'aimerai connaître l'état de santé de mon employé ?
-       Je n'ai aucun droit de vous dire quoi que ce soit, ni de vous 
     laissez entrer.
    Monsieur Pierre fut déçu de la visite, il persista dans son 
questionnaire et redemande,
-       Comment se porte la victime couché là monsieur l'agent, 
     donne t'elle des signes de vie ?
-        Elle dort monsieur.
   Pas possible d'obtenir une réponse. Monsieur Pierre quitte 
l'endroit pour se diriger vers la sortie avec comme espoir de 
rencontrer une infirmière bien plus raisonnable que le 
gardien de paix. Quelle chance, une autre personne vint a sa 
rencontre. L'étonnement le laissa songeur car il lui posa,
-       Comment va le patient monsieur Pierre, est il réveillé ?
-       Non monsieur le commissaire et votre chien de garde ne 
     donné aucune indication, félicitation il respecte les consignes.
-        Ce sont les ordres qu'il suit rien de plus.

52

-         Je pense vous importuner, de ce pas je vous quitte.
-        Mais non, monsieur Pierre on peut continuer de parler devant  
          le malade cela lui ferait le plus grand bien d'entendre des voix.
 -        Bon, je vous suis.
        Voilà nos deux visiteurs devant l'entrée de la pièce où Yves est
 branché sur de nombreux appareilles. Le commissaire regarde par 
la partie vitré de la porte ,  il s'éloigne et dit d'un air sans orgueil.
-   Comme cela mon collègue mérite une médaille, approchez vous
     monsieur Pierre un peu plus prêt de la vitre et regardez?
    Monsieur Pierre ne se laissa pas prier et observa un court instant, 
puis laisse échapper un sourire mesquin.
-   Je ne me suis trompé sur les données précédemment exprimé, je
    peux vous dire que seuls les symptômes de la fatigue provoquent 
    cette réaction-là. Rien faire est plus fatiguant que produire un 
    mouvement.
-        Et un réveille brusque sa provoque quoi ?
    Sur ces mots le commissaire ouvrit la porte brusquement pour 
effrayer le gardien endormi sur un siège.  Monsieur Pierre, ressent
une petite victoire, et, un sourire nait sur son visage. 
Le commissaire dit,
-    Attendez nous a l'extérieur, merci.

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  Le gardien ne se fit pas prier et sortit sans tarder la tête bien basse. 
La porte se referma ils ne sont plus que trois.
-       De toute façon il faut que je vous éclaire certaines hypothèses 
    sur le déroulement du braquage de votre banque. Il me manque 
    un éclaircissement sur certain passage. J'ai retenu toutes vos 
    données,  l'ombre de la réalité ne laisse de trace sombre.
  Le commissaire poussa la seul chaise dans la pièce.
-    Prenez place monsieur Pierre, mon discourt n'est pas terminé. 
     Je préfère rester debout pour en parler, être assis ne sont pas mes 
      mes habitudes. Il me reste à trouver l'identité de la jeune femme 
      morte, prise comme otage. Cette jeune femme n'a pas de nom et 
      je pense d'après mon raisonnement elle est la femme de notre 
      blessé ,Yves.
Il le montre du doigt comme pour le désigner vulgairement.
-   Si ce ne fut le cas, alors là, la disparition de sa femme Eva, je
     crois, fut une mise en scène de toute pièce .
   De nouveau il le désigna du doigt, puis il monte le ton. Monsieur 
Pierre le regard sans répondre, la bouche grande ouverte.
-      Seriez vous capable monsieur Pierre de reconnaître la femme de 
     monsieur Yves ? Cela me permettra de poursuivre mon enquête 
     avec une autre perspective.

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-   Vous savez monsieur le commissaire, je n'eus l'occasion de la voire 
     qu'une seul fois et là ce fut le jour de notre présentation. Je 
     pourrais me tromper ?
Yves se samedi là reste pongé dans son monde du comma. 

       Le commissaire entraîna monsieur Pierre vers l'endroit le plus 

lugubre que la ville a dans son hôpital, la morgue. Sur leur parcours
aucune parole ne fut prononcée, toutes les bouches restèrent
bouclée. Arrivé devant la grande porte en bois, donnant  à la 
chambre mortuaire, monsieur Pierre a un pressentiment de peur. 
Ce fut lui qui doit juger une morte pour lui donner un nom ? 
      Devant la porte d'entrée, une poignet actionna une cloche relié 
par une cordelette. Le raisonnement permis de signaler une présence.
Le judas de la porte de bois se leva pour laisser entrevoir, derrière
les barreau, un visage serein. Puis, suivi un déclic qui manipula le
verrou de cette grande porte. Devant eux, le responsable des lieux 
avec comme fond,  un long couloir. Il demande,
-      Bonjour monsieur le commissaire, vous me rendez visite ?
-       Si l'on veut, mais c'est pour l'inconnue que je suis là.
-      Enfin, j'eus peur que je devrais la garder pour l'éternité en 
        plus il manque de la place.

55

    Les trois personnes avancent dans ce grand couloir lugubre 
où y régnait un froid glacial et une odeur de formol comme  
parfum. 
    Ce changement de température hérisse les poiles de la peau des 
visiteurs. Les trois personnes longent le couloir de tiroir, puis
s'arrêtent devant un écriteau sur lequel fut marqué, l''inconnue.
-      Avez vous trouvé une personne proche qui la reconnaît 
       monsieur le commissaire ?
-     Je ne le sais pas, on doit la voir pour s'en assurer.
-     Il est temps qu'elle trouve un nom, l'autopsie est terminé et la
      place est recherché en se moment. Dans ma pétition pour   
      l'agrandissement des lieux je vous demande votre signature.
      Le commissaire fit un signe de la main droite pour que ce 
personnage arrive a ses revendications. Le responsable des lieux
tire sur le troisième tiroir où fut marqué inconnue. Une civière 
sur roulette fait apparaître la forme d'un corps recouvert d'un 
drap blanc. 
    Pierre ressentit un bouleversement quant le commissaire 
découvre le linceul. Le visage de l'inconnue se découvre . La 
blancheur mat de cette victime n'a de ressemblance avec la 
femme d'Yves , malgré que la longueur et la couleur des 
cheveux est identique. Pour plus de certitude, monsieur 
Pierre se rapproche d'elle , la regarde un cour instant

56

 puis se retourne vers le commissaire,
-      Monsieur le commissaire, je peux me tromper et je suis dans
       une impasse de dire que se corps est celui d'Éva la femme 
       d'Yves, pourtant je ne l'ai vu qu'une seul fois le jour de la 
       présentation de monsieur Yves. Je confirme, se n'est pas Eva.
-      Monsieur Pierre, avez vous vu cette personne quelque part ?
-     Pas que je sache, pourtant elle me parait connu avec ses 
       cheveux blond mais de là a l'identifier ?



















57



      A l'autre bout de la ville , entre de haut murs de pierre taillée

que les intempéries ont grisé de l'hôpital spécialisé, une jeune 
femme reprit de l'espoir, ce fut Liliane (Eva). Sa propreté n'est plus
négligé et sa volonté de manger reprenait. ce n'était pas ses mains
qui l'ont lavé mais une autre personne car elle dut encore garder
sa camisole. Sur visage a maigris a tel point, quelle parait plus
âgé. Dans sa volonté de réussie il y a celui de son prince charment
qu'elle doit retrouver goutte que goutte. 
     L'heure de repas de midi sonne, la femme médecin continua de 
prendre en charge Liliane (Eva). Elle s'occupe  pour lui apporter
son repas dans sa chambre capitonné. En rentrant, elle l'aperçu 
recoquillée sur elle même blottie dans un endroit. Le fait de revoir
cette femme médecin, amplifia son courage elle en pleura de joie.
La femme médecin lui dit en articulant ses lèvres et ses mains,
-     Je m'appelle Lucie, ne pleur pas je suis sur le point de résoudre
       cette faute. Je n'ai pas asse de pouvoir pour prendre la décision
       de te libérer mais fait moi confiance. A la réunion du service 
       médical j'expose ton cas , mais plusieurs avise sont contre moi
       car je ne suis qu'un médecin stagiaire. Fait moi confiance je 
       dois suivre les consignes mais je ne lâcherais pas.

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      Lucie sait que Liliane (Eva) n'entend et ne parle pas mais le fait 
de lui expliquer dans son langage a elle la soulage. Lucie se dit,
-     Il faut que je parvienne à la faire sortie de cette pièce et lui 
       redonner la liberté de ses bras.
     Lucie recherche la table et la chaise dans le couloir et rencontre 
le chef médecin de cette psychiatrie elle l'interpelle,
-  chef,
-        Quel bon vent vous amène Lucie, y a t'il des problèmes ?
-      Non chef, mais j'ai à vous parler de cette personne Liliane (Eva)
        quelque chose n'intrique,
-       A t'elle des signes d'agressivités ? 
-       Pas du tout, au contraire, elle ne mérite pas cette camisole n'y 
        cette pièce capitonné.
-       Nous avant suivi les remarques que la police ont mentionné dans leur
        rapport sur le comportement agressif de Liliane (Eva)
-       D'après moi il y a une faute quelque part, personne n'a 
        dit qu'elle fut muette et peut être même sourde.
-        Attention Lucie, tu as bien lu le rapport que vient de rédiger ta 
        collègue de travail le jour de son admission ?
-        Bien sur, mais il manques des précisions, il ne mensonge  pas

59 

          que cette personne est sourde et muette.
-         J'aimerai la voir cette patiente et surtout quand elle mange pour
           que je me rende compte de tes remarques que tu as faite a la 
            réunion ce matin.
-          Merci chef, je suis certaine de ma position.
  Ils rentrèrent la table et la chaise dans cette pièce capitonné, puis Lucie
donna a manger a Liliane (Eva). Le chef médecin observa le comportement 
et dit,
-      Qui, elle peut sortir de cette pièce mais, je ne suis pas certain qu'en
        lui enlevant la camisole elle ne risque pas de refaire une grise.
-      Je ne suis pas satisfaite de ce jugement mais, un premier pas est
        fait, je vous remercie chef.
-       Même comme chef du service médical je ne peux décider de 
        m'engager dans une décision personnel, il me faut l’avis des
        autres médecins. Je te fais confiance Lucie et j'appuis tes 
        remarques.
   Lucie retrouve Liliane (Eva) pour lui faire comprendre les décisions
du chef de service. Elles prirent la direction du couloir. Une petite 
étincelle de victoire illumine l’espérance des jeunes femmes. Liliane 
( Eva ) a du mal pour se déplacer dans ce couloir qui parait immense. 
Elle fixa les yeux de Lucie puis sa tête fait un hochement vers la pièce 
capitonné. Dans le brillant de ses yeux, une joie emballe ses battements

60

 de cœur. Ce qui vient d'arriver a Liliane ( Eva )  ne peut être une 
réalité, son imagination pense rêver, mais non, une main la guida
dans le couloir. Liliane (Eva) est éblouie par la clartés naturelle de la 
lumière du jour que laissèrent passer les fenêtres sur sa gauche. 
L'uniformité du carrelage blanc craie se retrouve sur les murs et 
même le plafond, cela permet a la clarté extérieur ne s'y répercute.
  Leur promenade les entraîne devant l'entrée d'une grande pièce 
dans laquelle plusieurs femmes sont regroupé autour d'une table.
-    Mademoiselle Liliane (Eva) nous somme arrivé.
Des femmes se rapprochèrent l'une d'elle par curiosité et 
demandent ,
-     C'est une nouvelle venu Lucie ?
-      Oui les filles elle est gentille comme tout.
-      Dans ce cas elle est la bien venu.
-      Dis nous Lucie, pour quelle raison porte elle une camisole ?
-      C'est une erreur, je suis en train de résoudre ce problème. Demain 
        elle n'en aura plus.
-       Mais c'est quand demain Lucie ?
-        Bientôt.
   Liliane (Eva) observa son entourage et remarqua que la pièce comporte 
quatre lits. Ce sont trois femmes de différant âges qui l'eurent accepté. 

61

Liliane (Eva) se sentit rassuré, mais handicape pour utiliser ses mains. 
    Elle s'imagina que la victoire sera a porté de ses mains d'ici peu.
Qui sait, peut être que ces femmes peuvent lui venir en aide ? Elles 
ont certainement remarqué qu'une erreur est responsable de son 
accoutrement. Liliane ( Eva ) aimerai écrire le malentendu et surtout 
son vrais nom et toute l'histoire qui l'a emmené ici. 
    Hélas, la nostalgie de se sentir  abandonné reprit place dans ses 
sentiments, mais que faire sinon accepter le sort imposé. Bien sur, 
Eva a tiré sur deux personnes en les blessant gravement elle est 
consciente de son acte.
   Les femmes de cette pièce viennent prêt d'elle. L'une d'elle la 
questionne,
-      C'est vrai que tu l'appelles Liliane ?
-      Elle ne parle pas Myriam.
-      Pourquoi elle ne parle pas Lucie ?
-      Parce qu'elle na sais pas parler ni entendre.
-      Elle ne peut pas parler Lucie ?
-      Liliane (Eva) voudrait bien mais un malheur de naissance 
       l'eut privé de cette faculté.
-      Mais comment s'exprime t elle alors Lucie ?
-       Ça je ne sais pas ou peut être pas du tout, mais elle essai de regarder
        sur nos lèvres et nos gestes pour tenter de nous comprendre.

62

  La curiosité de Myriam n'a de limite, quand elle veut savoir quelque 
chose elle insiste jusqu'à obtention. Myriam lui caressa alors les 
cheveux de Liliane ( Eva ) et reprend son langage d'enfant.
-       Dommage que tu ne veux pas me parler, on aurait fait des jeux 
         ensemble.
-       Laisses la tranquille Myriam, il lui faut du repos.
 -      Mais je ne veux pas l'embêter, je veux juste parler avec elle.
  Myriam fut sur le point de griser, Lucie remarqua ces réactions nerveuses.
Lucie lui dit gentiment, 
-        Vas faire une petite sieste Myriam car si tu embêté Liliane (Eva) elle
          ne sera pas ta copine et je serais obliger de la placer dans une autre
          chambre.
  Myriam a environ 35 ans, ses réactions d'enfant peuvent se transformer en
des actes dangereux. Sa corpulence eut une différence du double de celui de
Liliane (Eva). Elle s'habille comme une fillette et consomme tous ce qu'elle 
trouve dans la salle a manger et même dans les placards de ses collègues.
Quant elle a ses moments de grises, son langage se transforme. Myriam se
rapprocha de Liliane (Eva) et lui dit,
-         Pauvre enfant, toi, toi, attaché eux sont méchants.
  En regardant les yeux brin brillant de mille éclaires, de cette femme qui

63

tenta de dialoguer, Liliane (Eva) ressentit une vibration réconfortante. Cela
la soulagea, la seul réponse qu'elle put donner fut de verser des larmes.
-        Pour quelle raison pleure le petit enfant ?
  Ce fut l'attention que porte une personne déclassé de la société instruite.
Myriam ressentit l'injustice d'une autre manière que la notre en le 
partage par intuitions.
    Liliane (Eva) fut accompagné vers son lit. Les deux autres compagnes la
suivirent. Leurs curiosités activent des réactions bizarre. Liliane(Eva) les
 suivi du regard . L'une d'elle eut une démarche dépareillé, une autre un 
comportement incontrôlable. Elles répètent sans arrêt,
-        Pauvre petite fille.
   Elle dut avoir le même âge que moi, s'imagina Liliane (Eva). Entouré de 
ces trois âmes la solitude auparavant ne l'incombe plus mais un autre
voile fragilise ses ambitions. L'incertitude du lendemain fut placée sur ces 
locataires qui l'entourent par obligation. Cette attention lui donne la 
note de compréhension de ces femmes là, aucune ne pourra lui venir en 
aide toutes ont des lacunes.
    Elles se rapprochent de son lit, si prêt que leur visage frôle celui de 
Liliane (Eva).
-        Elle est belle la nouvelle venu.
-        Oui elle n'est pas maquillé.
    La première qui eut parlé a la figure mal proportionné, ses cheveux 
irrégulièrement coupé, sa robe à moitié déchiré et les lèvres tremblèrent
quand elle veux parler. Il reste la troisième celle qui répétât sens arrêt
 des mouvements de ses lèvres qui dirent,
-        Pauvre petite fille.


suite au 64   4/8 


JJM

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Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
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