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28 novembre 2024

Coïncidence 3/8 ( roman d'aventure )

mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2
suite roman d'aventure Coïncidence 3/8
Svp ne modifier pas mes écrits qui sont protégé, 
je ne gagne rien .

n 48




















Je trouve que cette malade a quelques choses de particulier, je n'est 
jamais rencontré une réaction parmi tous les malades que j'eus depuis
dix années que je pratique ce métier. Certainement que le choque 
l'eut profondément bouleversé, reste a savoir quel facteur la placé 
dans cette attitude là ?
   la médecin se déplace vers la porte pour arracher le carton sur lequel
sont inscrit les coordonnés de la patiente où l'on souligné en rouge. 
certaines parties. La médecins  relie certain passage.
- Élément très dangereux , il faut se méfier d'elle, elle risque de 
tous chambouler. La patiente n'accepte aucune soupe ni repas. 
   Étrange cette histoire, je n'arrive pas à imaginer qu'une aussi jolie
fille sois agressive ? Une autre ligne dit, 
-  Cette jeune femme ne veut répondre a aucune question ? 
    La femme médecin conclu dans son enregistreur , 
-   Je pense que  la faiblesse qu'elle eut acquise est dut  piqûres pour
     la rendre docile ? Ou alors c'est un choque spontané qui la bloque. 
     Il se peut qu'elle est muette suite a cela ? Ou même sourde ? 

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    La médecin prit la malade pars sa taille pour la placer sur 
la chaise que la médecin a demander de rentrer. Liliane(Eva) 
observa les moindres mouvement que fait la médecin en face 
d'elle. Elle aurait voulu se confier a elle mais ses bras et ses 
mains reste emmitouflé dans la camisole. 
    Liliane (Eva) accepta le repas que lui donne la médecin.
    Avec l'incapacité de pouvoir se laver, une odeur de fauve 
entoure Liliane(Eva). La médecin conclura de lui donner un 
bain, elle donne l'ordre aux bonne sœurs de le lui préparer. 
      Une victoire éprouva les pensées du médecin qui enfin 
réussissait a sympathiser avec cette malade. Il faut découvrir 
comment dialoguer avec elle. En donnant une cuillère en bois  
de soupe, elle lui fait un signe du pousse pour la becté 
suivante en mémé temps elle hoche sa tête de haut en bas. 
Puis elle tente de bouger la tête sois dans un sens ou dans 
l'autre en bougea ses lèvres en parlant. 
     Cette attention révéla effectivement Liliane(Eva) est muette 
et sourde. 
       La médecin, se souvient quelle fit un stage dans une maison 
spécialisé pour sourde et muette. Elle lui fit quelques signes en sa 
connaissance. 
   Liliane(Eva) répondit par des hochements de tête. La médecin 
mentionna cette remarque sur le dossier de Liliane(Eva). 
    Ce premier vrai repas fut pour Liliane ( Eva )une source de 
renaissance. Par la suite, les bonnes sœur la lavèrent temps 
bien que mal, car Liliane(Eva) n'eut pas le droit d'enlever sa 
camisole qu'elle dut la garder par ordre de la supérieur.

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       Le service pris fin et la nuit demanda qu'un repos mérité 
puisse redonner vie a une nouvelle journée. Pour Liliane(Eva) 
cette nouvelle nuit la rendit nerveuse et anxieuse.
        le lendemain matin, un samedi, la banque fut fermé comme 
d'habitude. 
    Les journaux décrivirent la suite des événements du braquage. 
Ils précisèrent qu'une confusion fut commises car les armes des 
gangsters ne furent que de vulgaires pistolets d'alarme. Quant 
à la personne morte, trouvé sur un banc, ce ne fut pas le policier
prit en otage mais un des agresseurs qui ont commit le braquage 
de la banque. Le calibre des deux victimes mortes par 
balles provint du même fusil resté introuvable dans la voiture 
R16TS rouge calcinée de l'otage. Le malheur eut voulu que les 
gendarmes et la police , formant le barrage, eurent ouvert le feu 
sur les occupants du véhicule. Quant a la somme dérobé, elle est
 introuvable. 
       A la fin de la rubrique, fut mentionne,
 La disparition d'un précieux livre de collection du musée dans un 
cambriolage a été fait dans le même quartier que la banque. La 
valeur évalué a plus de 500 000 francs est assuré . Cette assurance 
accorde  a la personne qui les aide a retrouver le livreur une 
importante prime.
      le responsable de la banque rend visite à Yves dans l'espoir de 
le trouvé réveillé. Comme d'habitude, il fut sous surveillance. Un 
policier pas bien aimable le surveille. Sur le moment, monsieur 
Pierre ne sut que dire, puis il enchaine,

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-      Bonjour monsieur, je suis le directeur de la banque où eut lieu 
     le drame.
-      Quel drame, je n'en connais pas ?
-      Mais, là où eut lieu le braquage de la Banque.
-      Et alors , que désirez vous ?
-       J'aimerai connaître l'état de santé de mon employé ?
-       Je n'ai aucun droit de vous dire quoi que ce soit, ni de vous 
     laissez entrer.
    Monsieur Pierre fut déçu de la visite, il persista dans son 
questionnaire et redemande,
-       Comment se porte la victime couché là monsieur l'agent, 
     donne t'elle des signes de vie ?
-        Elle dort monsieur.
   Pas possible d'obtenir une réponse. Monsieur Pierre quitte 
l'endroit pour se diriger vers la sortie avec comme espoir de 
rencontrer une infirmière bien plus raisonnable que le 
gardien de paix. Quelle chance, une autre personne vint a sa 
rencontre. L'étonnement le laissa songeur car il lui posa,
-       Comment va le patient monsieur Pierre, est il réveillé ?
-       Non monsieur le commissaire et votre chien de garde ne 
     donné aucune indication, félicitation il respecte les consignes.
-        Ce sont les ordres qu'il suit rien de plus.

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-         Je pense vous importuner, de ce pas je vous quitte.
-        Mais non, monsieur Pierre on peut continuer de parler devant  
          le malade cela lui ferait le plus grand bien d'entendre des voix.
 -        Bon, je vous suis.
        Voilà nos deux visiteurs devant l'entrée de la pièce où Yves est
 branché sur de nombreux appareilles. Le commissaire regarde par 
la partie vitré de la porte ,  il s'éloigne et dit d'un air sans orgueil.
-   Comme cela mon collègue mérite une médaille, approchez vous
     monsieur Pierre un peu plus prêt de la vitre et regardez?
    Monsieur Pierre ne se laissa pas prier et observa un court instant, 
puis laisse échapper un sourire mesquin.
-   Je ne me suis trompé sur les données précédemment exprimé, je
    peux vous dire que seuls les symptômes de la fatigue provoquent 
    cette réaction-là. Rien faire est plus fatiguant que produire un 
    mouvement.
-        Et un réveille brusque sa provoque quoi ?
    Sur ces mots le commissaire ouvrit la porte brusquement pour 
effrayer le gardien endormi sur un siège.  Monsieur Pierre, ressent
une petite victoire, et, un sourire nait sur son visage. 
Le commissaire dit,
-    Attendez nous a l'extérieur, merci.

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  Le gardien ne se fit pas prier et sortit sans tarder la tête bien basse. 
La porte se referma ils ne sont plus que trois.
-       De toute façon il faut que je vous éclaire certaines hypothèses 
    sur le déroulement du braquage de votre banque. Il me manque 
    un éclaircissement sur certain passage. J'ai retenu toutes vos 
    données,  l'ombre de la réalité ne laisse de trace sombre.
  Le commissaire poussa la seul chaise dans la pièce.
-    Prenez place monsieur Pierre, mon discourt n'est pas terminé. 
     Je préfère rester debout pour en parler, être assis ne sont pas mes 
      mes habitudes. Il me reste à trouver l'identité de la jeune femme 
      morte, prise comme otage. Cette jeune femme n'a pas de nom et 
      je pense d'après mon raisonnement elle est la femme de notre 
      blessé ,Yves.
Il le montre du doigt comme pour le désigner vulgairement.
-   Si ce ne fut le cas, alors là, la disparition de sa femme Eva, je
     crois, fut une mise en scène de toute pièce .
   De nouveau il le désigna du doigt, puis il monte le ton. Monsieur 
Pierre le regard sans répondre, la bouche grande ouverte.
-      Seriez vous capable monsieur Pierre de reconnaître la femme de 
     monsieur Yves ? Cela me permettra de poursuivre mon enquête 
     avec une autre perspective.

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-   Vous savez monsieur le commissaire, je n'eus l'occasion de la voire 
     qu'une seul fois et là ce fut le jour de notre présentation. Je 
     pourrais me tromper ?
Yves se samedi là reste pongé dans son monde du comma. 

       Le commissaire entraîna monsieur Pierre vers l'endroit le plus 

lugubre que la ville a dans son hôpital, la morgue. Sur leur parcours
aucune parole ne fut prononcée, toutes les bouches restèrent
bouclée. Arrivé devant la grande porte en bois, donnant  à la 
chambre mortuaire, monsieur Pierre a un pressentiment de peur. 
Ce fut lui qui doit juger une morte pour lui donner un nom ? 
      Devant la porte d'entrée, une poignet actionna une cloche relié 
par une cordelette. Le raisonnement permis de signaler une présence.
Le judas de la porte de bois se leva pour laisser entrevoir, derrière
les barreau, un visage serein. Puis, suivi un déclic qui manipula le
verrou de cette grande porte. Devant eux, le responsable des lieux 
avec comme fond,  un long couloir. Il demande,
-      Bonjour monsieur le commissaire, vous me rendez visite ?
-       Si l'on veut, mais c'est pour l'inconnue que je suis là.
-      Enfin, j'eus peur que je devrais la garder pour l'éternité en 
        plus il manque de la place.

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    Les trois personnes avancent dans ce grand couloir lugubre 
où y régnait un froid glacial et une odeur de formol comme  
parfum. 
    Ce changement de température hérisse les poiles de la peau des 
visiteurs. Les trois personnes longent le couloir de tiroir, puis
s'arrêtent devant un écriteau sur lequel fut marqué, l''inconnue.
-      Avez vous trouvé une personne proche qui la reconnaît 
       monsieur le commissaire ?
-     Je ne le sais pas, on doit la voir pour s'en assurer.
-     Il est temps qu'elle trouve un nom, l'autopsie est terminé et la
      place est recherché en se moment. Dans ma pétition pour   
      l'agrandissement des lieux je vous demande votre signature.
      Le commissaire fit un signe de la main droite pour que ce 
personnage arrive a ses revendications. Le responsable des lieux
tire sur le troisième tiroir où fut marqué inconnue. Une civière 
sur roulette fait apparaître la forme d'un corps recouvert d'un 
drap blanc. 
    Pierre ressentit un bouleversement quant le commissaire 
découvre le linceul. Le visage de l'inconnue se découvre . La 
blancheur mat de cette victime n'a de ressemblance avec la 
femme d'Yves , malgré que la longueur et la couleur des 
cheveux est identique. Pour plus de certitude, monsieur 
Pierre se rapproche d'elle , la regarde un cour instant

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 puis se retourne vers le commissaire,
-      Monsieur le commissaire, je peux me tromper et je suis dans
       une impasse de dire que se corps est celui d'Éva la femme 
       d'Yves, pourtant je ne l'ai vu qu'une seul fois le jour de la 
       présentation de monsieur Yves. Je confirme, se n'est pas Eva.
-      Monsieur Pierre, avez vous vu cette personne quelque part ?
-     Pas que je sache, pourtant elle me parait connu avec ses 
       cheveux blond mais de là a l'identifier ?



















57



      A l'autre bout de la ville , entre de haut murs de pierre taillée

que les intempéries ont grisé de l'hôpital spécialisé, une jeune 
femme reprit de l'espoir, ce fut Liliane (Eva). Sa propreté n'est plus
négligé et sa volonté de manger reprenait. ce n'était pas ses mains
qui l'ont lavé mais une autre personne car elle dut encore garder
sa camisole. Sur visage a maigris a tel point, quelle parait plus
âgé. Dans sa volonté de réussie il y a celui de son prince charment
qu'elle doit retrouver goutte que goutte. 
     L'heure de repas de midi sonne, la femme médecin continua de 
prendre en charge Liliane (Eva). Elle s'occupe  pour lui apporter
son repas dans sa chambre capitonné. En rentrant, elle l'aperçu 
recoquillée sur elle même blottie dans un endroit. Le fait de revoir
cette femme médecin, amplifia son courage elle en pleura de joie.
La femme médecin lui dit en articulant ses lèvres et ses mains,
-     Je m'appelle Lucie, ne pleur pas je suis sur le point de résoudre
       cette faute. Je n'ai pas asse de pouvoir pour prendre la décision
       de te libérer mais fait moi confiance. A la réunion du service 
       médical j'expose ton cas , mais plusieurs avise sont contre moi
       car je ne suis qu'un médecin stagiaire. Fait moi confiance je 
       dois suivre les consignes mais je ne lâcherais pas.

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      Lucie sait que Liliane (Eva) n'entend et ne parle pas mais le fait 
de lui expliquer dans son langage a elle la soulage. Lucie se dit,
-     Il faut que je parvienne à la faire sortie de cette pièce et lui 
       redonner la liberté de ses bras.
     Lucie recherche la table et la chaise dans le couloir et rencontre 
le chef médecin de cette psychiatrie elle l'interpelle,
-  chef,
-        Quel bon vent vous amène Lucie, y a t'il des problèmes ?
-      Non chef, mais j'ai à vous parler de cette personne Liliane (Eva)
        quelque chose n'intrique,
-       A t'elle des signes d'agressivités ? 
-       Pas du tout, au contraire, elle ne mérite pas cette camisole n'y 
        cette pièce capitonné.
-       Nous avant suivi les remarques que la police ont mentionné dans leur
        rapport sur le comportement agressif de Liliane (Eva)
-       D'après moi il y a une faute quelque part, personne n'a 
        dit qu'elle fut muette et peut être même sourde.
-        Attention Lucie, tu as bien lu le rapport que vient de rédiger ta 
        collègue de travail le jour de son admission ?
-        Bien sur, mais il manques des précisions, il ne mensonge  pas

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          que cette personne est sourde et muette.
-         J'aimerai la voir cette patiente et surtout quand elle mange pour
           que je me rende compte de tes remarques que tu as faite a la 
            réunion ce matin.
-          Merci chef, je suis certaine de ma position.
  Ils rentrèrent la table et la chaise dans cette pièce capitonné, puis Lucie
donna a manger a Liliane (Eva). Le chef médecin observa le comportement 
et dit,
-      Qui, elle peut sortir de cette pièce mais, je ne suis pas certain qu'en
        lui enlevant la camisole elle ne risque pas de refaire une grise.
-      Je ne suis pas satisfaite de ce jugement mais, un premier pas est
        fait, je vous remercie chef.
-       Même comme chef du service médical je ne peux décider de 
        m'engager dans une décision personnel, il me faut l’avis des
        autres médecins. Je te fais confiance Lucie et j'appuis tes 
        remarques.
   Lucie retrouve Liliane (Eva) pour lui faire comprendre les décisions
du chef de service. Elles prirent la direction du couloir. Une petite 
étincelle de victoire illumine l’espérance des jeunes femmes. Liliane 
( Eva ) a du mal pour se déplacer dans ce couloir qui parait immense. 
Elle fixa les yeux de Lucie puis sa tête fait un hochement vers la pièce 
capitonné. Dans le brillant de ses yeux, une joie emballe ses battements

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 de cœur. Ce qui vient d'arriver a Liliane ( Eva )  ne peut être une 
réalité, son imagination pense rêver, mais non, une main la guida
dans le couloir. Liliane (Eva) est éblouie par la clartés naturelle de la 
lumière du jour que laissèrent passer les fenêtres sur sa gauche. 
L'uniformité du carrelage blanc craie se retrouve sur les murs et 
même le plafond, cela permet a la clarté extérieur ne s'y répercute.
  Leur promenade les entraîne devant l'entrée d'une grande pièce 
dans laquelle plusieurs femmes sont regroupé autour d'une table.
-    Mademoiselle Liliane (Eva) nous somme arrivé.
Des femmes se rapprochèrent l'une d'elle par curiosité et 
demandent ,
-     C'est une nouvelle venu Lucie ?
-      Oui les filles elle est gentille comme tout.
-      Dans ce cas elle est la bien venu.
-      Dis nous Lucie, pour quelle raison porte elle une camisole ?
-      C'est une erreur, je suis en train de résoudre ce problème. Demain 
        elle n'en aura plus.
-       Mais c'est quand demain Lucie ?
-        Bientôt.
   Liliane (Eva) observa son entourage et remarqua que la pièce comporte 
quatre lits. Ce sont trois femmes de différant âges qui l'eurent accepté. 

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Liliane (Eva) se sentit rassuré, mais handicape pour utiliser ses mains. 
    Elle s'imagina que la victoire sera a porté de ses mains d'ici peu.
Qui sait, peut être que ces femmes peuvent lui venir en aide ? Elles 
ont certainement remarqué qu'une erreur est responsable de son 
accoutrement. Liliane ( Eva ) aimerai écrire le malentendu et surtout 
son vrais nom et toute l'histoire qui l'a emmené ici. 
    Hélas, la nostalgie de se sentir  abandonné reprit place dans ses 
sentiments, mais que faire sinon accepter le sort imposé. Bien sur, 
Eva a tiré sur deux personnes en les blessant gravement elle est 
consciente de son acte.
   Les femmes de cette pièce viennent prêt d'elle. L'une d'elle la 
questionne,
-      C'est vrai que tu l'appelles Liliane ?
-      Elle ne parle pas Myriam.
-      Pourquoi elle ne parle pas Lucie ?
-      Parce qu'elle na sais pas parler ni entendre.
-      Elle ne peut pas parler Lucie ?
-      Liliane (Eva) voudrait bien mais un malheur de naissance 
       l'eut privé de cette faculté.
-      Mais comment s'exprime t elle alors Lucie ?
-       Ça je ne sais pas ou peut être pas du tout, mais elle essai de regarder
        sur nos lèvres et nos gestes pour tenter de nous comprendre.

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  La curiosité de Myriam n'a de limite, quand elle veut savoir quelque 
chose elle insiste jusqu'à obtention. Myriam lui caressa alors les 
cheveux de Liliane ( Eva ) et reprend son langage d'enfant.
-       Dommage que tu ne veux pas me parler, on aurait fait des jeux 
         ensemble.
-       Laisses la tranquille Myriam, il lui faut du repos.
 -      Mais je ne veux pas l'embêter, je veux juste parler avec elle.
  Myriam fut sur le point de griser, Lucie remarqua ces réactions nerveuses.
Lucie lui dit gentiment, 
-        Vas faire une petite sieste Myriam car si tu embêté Liliane (Eva) elle
          ne sera pas ta copine et je serais obliger de la placer dans une autre
          chambre.
  Myriam a environ 35 ans, ses réactions d'enfant peuvent se transformer en
des actes dangereux. Sa corpulence eut une différence du double de celui de
Liliane (Eva). Elle s'habille comme une fillette et consomme tous ce qu'elle 
trouve dans la salle a manger et même dans les placards de ses collègues.
Quant elle a ses moments de grises, son langage se transforme. Myriam se
rapprocha de Liliane (Eva) et lui dit,
-         Pauvre enfant, toi, toi, attaché eux sont méchants.
  En regardant les yeux brin brillant de mille éclaires, de cette femme qui

63

tenta de dialoguer, Liliane (Eva) ressentit une vibration réconfortante. Cela
la soulagea, la seul réponse qu'elle put donner fut de verser des larmes.
-        Pour quelle raison pleure le petit enfant ?
  Ce fut l'attention que porte une personne déclassé de la société instruite.
Myriam ressentit l'injustice d'une autre manière que la notre en le 
partage par intuitions.
    Liliane (Eva) fut accompagné vers son lit. Les deux autres compagnes la
suivirent. Leurs curiosités activent des réactions bizarre. Liliane(Eva) les
 suivi du regard . L'une d'elle eut une démarche dépareillé, une autre un 
comportement incontrôlable. Elles répètent sans arrêt,
-        Pauvre petite fille.
   Elle dut avoir le même âge que moi, s'imagina Liliane (Eva). Entouré de 
ces trois âmes la solitude auparavant ne l'incombe plus mais un autre
voile fragilise ses ambitions. L'incertitude du lendemain fut placée sur ces 
locataires qui l'entourent par obligation. Cette attention lui donne la 
note de compréhension de ces femmes là, aucune ne pourra lui venir en 
aide toutes ont des lacunes.
    Elles se rapprochent de son lit, si prêt que leur visage frôle celui de 
Liliane (Eva).
-        Elle est belle la nouvelle venu.
-        Oui elle n'est pas maquillé.
    La première qui eut parlé a la figure mal proportionné, ses cheveux 
irrégulièrement coupé, sa robe à moitié déchiré et les lèvres tremblèrent
quand elle veux parler. Il reste la troisième celle qui répétât sens arrêt
 des mouvements de ses lèvres qui dirent,
-        Pauvre petite fille.


suite au 64   4/8 


JJM

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Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
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A ce jour, 28 11 2024, 20 252 lecteurs.















Coïncidence 2/8 ( roman d'aventure )

mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2

suite roman d'aventure Coïncidence 2/8

    












32

  Marc enregistra tous ce qui vint d'être dit même que,
- Sais tu Luc que tu as pris des risques de se faire repérer.
  Dix minutes passèrent, Marc resta allongé et gémit, son visage 
parait blanc.
   Les informations indicèrent la somme volé, et parlèrent de 
1 000 000 francs . L'état des victimes reste stable. L'inconnu tué
par balle, de petit calibre, n'a pas encore trouvé de famille. La 
personne répondant au prénom de Liliane reste hospitalisé dans
une clinique spécialisé, elle reste sous le choque .
   Marc gémie de plus belle, il divague et dit,
- Que fait Liliane Luc ?
- Elle se porte bien, il l'on emmené dans un hôpital spécialisé.
- Liliane sens sort bien, je suis content,  moi qui crut qu'elle
  fut morte lorsqu'elle tomba devant moi.
- Ne parle pas plus Marc, ça te fatigue.

33

   L'otage remarqua la faiblesse de Marc. Il tente de persuader Luc,
-  Écoute mes conseilles Luc, ci Marc ne vas pas chez un médecin 
   il mourra.
              Bien plus têtu d'un troupeau d'ânes, nos deux copains 
n'approuvèrent cette solution. Luc ne fait confiance aux conseille
de l'otage.
   La santé de Marc se dégrade de plus en plus, il parle sens cesse,
des propos incohérent et parle souvent de Liliane,
- Luc tu crois que Liliane sens est sortie ? on a bien fait de 
   l'abandonner sur le trottoir.
- Oui Marc, on a bien fait.
- Tu sais que je l'aime bien Liliane, j'espère que plus tard on fera les
  quatre cents coups ensemble avec l'argent récolté.
- Bien sur Marc, elle sera rien que pour toi.
   Un sourire net sur les lèvres de Marc, il fut fière de sa copine et 
recompta toutes les possibilités qu'ils feront plus tard avec l'argent.
- J'ai froid Luc, je tremble de haut en bas, même mes doigts et mes  
orteil les tremblent , 
- C'est une réaction des grand blessé en danger de mort il faut le 
  conduire rapidement à l'hôpital Luc

34

 L'otage tenta de nouveau de persuader Luc, mais rien ni fait.
- Je ne veux pas me laisser prendre maintenant que je suis riche,
  je suis persuadé qu'il sens sortira c'est un dure.
L'obstination de Luc résiste aux conseilles de l'otage. La chaleur
du soir aggrave la santé de Marc . Luc fut conscient que la santé
de Marc l'emportera vers un monde meilleur. 
     Enfin, une fraîcheur souffla entre les arbres. Cela devint 
supportable pour l'otage et Luc ,  pour Marc la santé l'abandonne.
    Le pire engendre la souffrance et ses yeux brins reluisirent des 
larmes de défaite.
     Minuit sonne, le moral d'acier de Luc fut d'une résistance hors 
du commun. Marc eut quitté ce monde et ne représentât plus qu'un
objet encombrant. Luc, décide de débarrasser de ce corps qui 
l'opportune plus que tout. Sans tarder, il  fait démarrer la voiture 
pour trouver un endroit où cacher le corps de Marc. Ils 
s'arrêtèrent prêt d'un parc et sur un banc place le corps de Marc.
Luc excité dis a l otage ,
-  Il faut quitter la ville, trouve une sortie au plus vite.
  De la musique sentimental passe sur le poste de radio, aux 
information, plus question du braquage qui eut lieux. La voie dut

35

être libre, ce fut les propos de Luc qui obligea le conducteur de
suivre un chemin permettant de quitter la ville.
  Le responsable principal de la banque se trouve au chevait de 
Yves pour lui tenir compagnie. Plonge dans un comma Yves ne
répond pas. Cela est voulu par le service médical pour atténuer
ses douleurs. L'injection d'une autre piqûre calmante le garde
dans ce vide.
 A la radio il passe les informations suivante.
- La police de la ville vint , au cour d'une ronde, de trouver le 
   corps d'une victime tué par balle de petit calibre. La victime 
    porte sur elle un chéquier répondant au non du policier pris 
   en otage. Une forte prime est offerte a la personne qui eut 
   trouvé le corps. 
     L'otage sait a quoi sens tenir, il dit a Luc,
-  Tu sais Luc, je pense que tu as perdu, il vaut mieux que tu te rend,
     continuer de jouer a cache cache n'a plus de sens..
-   Ils ne nous ont pour l'instant pas trouver, et ne m'auront pas.

36

- Réfléchit Luc, si tu te serait rendu, ton copain Marc aurait eut la
  chance d'être sauvé et ne serait pas mort.
 - C'il est mort, c est la faite a  celui qui nous a tiré comme des 
   lapins , c'est lui le responsable.
- Ci tu te rend, je te promet de te soutenir devant les juges.
   Cette phrase là ne l'inspira point car elle tomba dans le vide. Luc
n'eut qu'un objectif, se sortir de ce guêpier il reste le seul a profiter
de cette manne d'argent. La nuit protège sa cavale, la levée du jour 
se rapproche. Il faut changer de voiture. 
    Ils marchent en quette de trouver une voiture ouverte. La tentative 
de Luc attire l'attention d'une personne. Celle ci contacte le poste de 
police le plus proche.  Sens tarder, cet appel est prit en considération.
Une équipe de véhicules de police arrive sur les lieux.
  Les éclaires violacé tranchèrent le restant de la  nuit . Ils sont 
remarqué de loin.
     Luc remarque le danger,
- vite, nous devront partir d'ici. Il faut que nous sortions de la ville le
   plus rapidement possible.
  En se déplaçant tout en  tapotant les voitures pour réussir a en ouvrir
une. La nuit diminua pour s'aider la place au petit matin. Un nouveau
jour va naître. Luc se sentit impuissant devant l'impossibilité de trouver

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une voiture. Pas de doute, aucune petite lumière de fuite lui éclairer 
cette fatalité. Luc sent qu'il a perdu. L'otage se rendit compte de la 
situation,
- tu sais Luc, je pense que,
  Luc écouta , mais ne voulu rien comprendre ni entreprendre contre 
son plans d'action.
-  Alors Luc, tu as bien réfléchi a ma proposition, je suis toujours prêt 
   a te donner mon appui.
- Je ne sais que faire et je réfléchis.
   Des larmes de défaite humilièrent son visage de ce grand et robuste 
chef de quartier.
- Je peux compter sur ton appuis, c'est vrais ?
- Une parole donné a de la valeur, tu peux compter sur moi.
- Dans se cas, je me fis aux paroles et j'abandonne la course.
  De son plein grès Luc donne les deux pistolets a l'otage
- Ce ne sont que des armes a blanc, on n'a tué personne.
    Ils roulent vers le premier barrage de police, avec les deux armes 
placé sur le rebord du tableau de bord. A l'approche des barrages, de
nombreuses lumières violacés se repèrent au loin.  Le conducteur, 
Luc, fait des appelles de phare, puis diminua sa vitesse. Le grand 
projecteur éblouirent la voiture. Du coté d'où promenèrent cette 

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clarté, des policiers armé, les ont placé dans leur ligne de mire 
près a appuie sur la gâchette en cas de danger.
         La voiture continue son avancé en douceur. Il ne reste plus 
que quelques mètres a parcourir. La défaite est amère , Luc ressent
en lui l'épanouissement de son rêve. Dire que le plant manipulé 
avec Marc et Liliane durant un mois tombe a l'eau. Son meilleur 
copain l'eut quitté a jamais, et sa copine fut blessé !
  Bref, il a perdu son charme de chef de quartier, mais il lui 
reste l'argent caché dans un endroits du terrain vague, qu'il pourra
récupérer plus tard a sa sortie de prison. A ce moment cette idée lui
redonne confiance , la partie n'est point perdu.
   Luc attendit que la voiture fut le plus prêt possible du barrage de 
police, puis, il appuya sur l'accélérateur. Le moteur s'emballa en 
tournant a plein régime et les pneu crissèrent, en dérapant sur  
l'enrobe. Les policiers surpris par cette manœuvre soudaine se 
sentent menacé. Une pétarade coupe le silence de la nuit et des 
impactes touchèrent de plein grès le véhicule et ses occupants. 
  Le pare-brise vole en éclat ainsi que les vitres des portières. La 
voiture continue sa course vers un mur d'une habitation. Les 
visages de deux occupants, transformé en cible, sont défiguré
par le sang . 
    L'habitacle n'est plus qu'un cercueil roulant qui s'enchevêtre 
dans un mur.

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     Le véhicule prend feux et les occupants restent bloqué dans 
l'habitacle.
     La police a de la peine pour s'approcher de la voiture, la 
chaleur intense les en empêche. La police reste témoin de ce 
drame.










         
    Par l'apparition du soleil démarre cette nouvelle journée du mois
d'août. La vie humaine continue sa routine, les rues retrouvent leur
tintamarre habituelle et la pollution son acte de malveillance. Les 
banques rouvrent les portes comme a l'accoutume, la ville vient de
se éveiller. 
     Les journaux  frappent leur textes de la nuit et annoncèrent

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en première page, l'action menée par les malfaiteurs et l'état des 
victimes sur des lignes qui expriment ceci,
- Une personne employé de la banque fut agressé sauvagement. 
   Une cliente pris en otage fut tué par balle de petit calibre a la 
sortie de la banque. Les suppositions furent évoqué et l'on pense 
que l'otage devint un fardeau pour les braqueurs qui l'ont tué.
      La vie continua parmi les citadins, aussi que pour les malades 
dans les hôpitaux. L'utilité des soins y fut primordiale pour 
certains, mais pour d'autre, la structure est devenue une prison.    
       Eva se trouve bloqué dans cette carapace qui la maintenant 
comme un animal dans une cage improvisé. Elle n'a pas faim, 
et refuse la soupe matinal que la gardienne tente de lui donner. 
La camisole et la pièce capitonnées sont les facteurs pour tout
refuser, il y a encore l'impatience de ne pouvoir revoir Yves . 
    Les journaux eurent un retard sur les faits de la veille, le
journaliste questionne le directeur de la banque concerné et
Anne son employer. 
 - Monsieur le directeur, comment se porte la victimes, 
    monsieur Yves ? 
- Son état reste stable et sa volonté de rester en vie remarquable.
- A t'il prononcé un mot ?
- Pas une seul mot , monsieur le journaliste.

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- Et vous madame pouvez vous me donner plus de détaille ? 
-  Ou, monsieur le journaliste, je n'ai pas vue sa femme Eva 
   depuis le bagage de la banque.
-  Monsieur le directeur avez vous rencontré sa femme Eva 
    auprès de lui ?
- Non, je n'ai vue personne.
   Anne l'hôtesse de la banque lâche ceci,
- Aucune personne d'entre nous n'a  prévenu sa femme Eva ?.
  Cette dernière question bouleversa monsieur Pierre, le directeur
de la banque.
- Avec tous se tumulus, je vint d'oublier d'avertir la Femme d'Yves. 
  Il faut que je remédie a cela au plus vite.
  Cette oubli le bouleversa, bien entendu Yves ne travail que depuis 
quelques semaine a son nouveau poste, cette épeure le troubla il 
partit sans tarder trouver le logement d'Yves pour trouver sa femme
Eva. 
    En arrivant au troisième étage, il se trouva devant la porte de 
l'appartement entre ouverte. Il frappa une première fois, personne 
ne répondis. Il se dit , 
- mais oui sa femme est sourde et muette. 
    Il pousse la porte et trouva devant lui un remue ménage étonnant. 
Cette attention ne correspondit au comportement d'Yves et d Eva 
qui fut minutieux dans leur travail. 
    Un courant d'air fit claquer la porte d'entrée qui se ferme.
Il remarqua qu'une fenêtre donnant sur l'avenu reste grande ouverte.
IL la referma et découvris que tous les habits furent éparpillé dans
l'ensemble de l'appartement. Sa curiosité le mena dans la cuisine, là
aussi personne ne s'y trouva et dut éviter de marcher sur les ustensiles

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éparpillés. On cru qu'un ouragan dévastateur fut passé par là.
Cette réalité l'entraîna vers des doutes incompréhensible. Il décroche
le téléphone pour contacter la police. 
   Eva eut bien disparut avec tous ce qui eut de valeur. Les coupes en
firent partie, comme les deux fusils, et les munitions. Un doute 
prend naissance,  serais se le meneur de ce cambriolage où était ce  
Eva la manipulatrice ? 
     Le banquier a des doutes sur ses propres suppositions , il téléphone
 a l'hôpital de la ville pour savoir ci une admission au prénom d’Éva 
eut lieux et prit en même temps des nouvelles d'Yves. La réponse sur 
la santé Yves reste stable , pas de réveille. 
   La police releva toutes les indications dispensable pour suivre les
enquêtes. Monsieur Pierre quitta l’appartement et laissa libre cour 
aux policiers.
   Derrière son bureau monsieur Pierre chercha a comprendre la 
raison de cette mis en scène. Il relit les journaux pour tenter de 
connaître toutes les attentions sur le braquage de sa banque. Il 
regarde sur les photos des victimes et tente de comparer la photo
de la victime avec celle d’Éva grâce a la photo récupéré  dans
l'appartement. 
    Pas de doute, ce n'est pas Eva qui fut tué mais une 
inconnue ?  
   N'étant pas certain il appelle Anne,

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- Madame Anne que pensez vous de cette photo, ressemble telle a 
   la femme d'Yves ?
- Je ne l'ai vue qu'une seule fois mais je suis certaine que ce n'est
   Eva la femme d'Yves.
-  Mais ce visage, vous dit il quelque chose dans notre clientèle ?
- Je n'ai jamais rencontré cette personne là, ce fut bien la première
   fois. Il se peut que ce fut une clientes qui n'allait que chez 
    Monsieur Yves ? 
 Une autre employé fut questionné. Elle aussi n'eut vue la victime
auparavant mais elle ne connaissait pas Eva..
.   Je vous demande cette question car la femme de monsieur Yves
    a  disparut de leur habitation ? 
        Au centre de repos, Eva  accumule que des faiblesses, son 
obstination de faire la grève de la faim devint dangereux pour sa vie.
L'angoisse la martyrise, elle sut qu'elle eut commis une grave faute 
serais se pour cette raison qu'il fut enfermé de la sorte ? Elle tente
en vin de se faire comprendre, avec les bras bloqué pas question de
s'expliquer. Ses grimasse et bougèrent de la tête ne servie a rien au 
contraire, le personnelle lui donna des piqûres pour la faire dormir.
     A force de tenter de s'opposer a leur traitements elle changea de 

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stratégie et accepta de manger.
   Persuadé que Yves vie encore elle  laisse du mous dans ses 
réactions. La conscience a raison, mais , elle a du mal pour se
rétablir. Des traces de coups marquent son visage elles est tétanisé.
       Yves n'eut pas les pieds sur terre, il reste plongé dans son
comma. Un univers étrange où la lumière se confond avec les sons
et où le temps et la douleur ne fut plus présent. Il ne dépend que de
ces appareilles branchées a son corps  qui le maintenaient en vie. 
Yves sens sortira, mais peut être avec des séquelles ? 
     La police décide de lancer des recherches avec une photo d'Eva.
   Anne rend visite a Yves , elle reste bouleversé par ce qui vint  
d'arriver a Yves. Anne lui accorder toute sa confiance elle n'a pas
de doute sur lui , il n'y est pour rien.

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Anne  questionne l'infirmière de garde pour savoir où se trouve 
Yves.
- Il se trouve dans le couloir sur votre droite, mais, il est gardé par 
   la police.
- Pour quelle raison le garde t'il ainsi ont ils des doutes ?
- Je ne peux vous répondre, madame.
  Anne en fut étonné, mais que peut bien lui reprocher ?
- Sur l'état de sa santé, est il possible d'avoir une réponse ?
- Oui, il se rétablit, son état devient encourageant. Vous pouvez le 
   voir a travers la porte vitré sur votre droite.
  Anne s'aventura près de cette vitre. Les nombreux instruments qui
le maintenaient en vie l'impressionna. Son regard se place sur la
personne assise a coté d'Yves. Celle ci dort confortablement 
recoquillé sur la chaise.
    Elle observa Yves et n'arriva point a lui infliger une accusation 
aussi ingrate. Elle quitta ce lieu avec une nausée inexplicable.

    Nous voila dans l'hôpital de santé, ou les malades sont répartie
dans une longue pièces qui est un grand couloir . On y sers la 
( pâtée) des anormaux ceux qui sont attaché dans des chambres 
capitonnées. L'aide stagiaire arrive devant la porte de 
mademoiselle Liliane . Elle lut a haute voix la notice qui figure

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sous le non de Liliane,
- Mademoiselle Liliane se trouve dans la démence, elle est 
   dangereuse et ne veut pas manger, ne répond a aucune
   question et fait des grimasses 
  Cette nouvelle venu n'a pas connue  les réactions de (Liliane) , elle
fait sa formation de médecin psychiatre. Elle se méfia en ouvrant
la porte, et contraire a son imagination rencontra une jeune femme 
blotti  sur elle même dans un recoin. Cette attention lui donne un 
choque de pitié. Le silences qui les entour ne répond pas aux 
indications que l'on peut lire sur la pancarte accroché a la porte. La
stagiaire n'eut jamais rencontré cela. Elle reste méfiante sur le 
qui-vive car Liliane peut a tout moment faire basculer cette 
monotonie. 
    L'apprentie médecin s’avança avec prudence. Chaque pas, devint 
risqué.
   Liliane reste inerte sans la moindre réaction, serait elle morte ?
La boule de chair humaine garda sa position, la médecin se baisse pour
la regarder de plus prêt et remarqua des larmes couler le long de son 
visage. Ses yeux bleu furent limpide et brillant . Son regard se leva vers
la médecin, le flache d'une sympathie naisse entre elles. La médecin lui
parle avec douceur, 
- Liliane te sent tu bien ?

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  Aucune réponse, juste un hochement de tête.
- Liliane pour quelle raison est tu malheureuse?
- ;;;;;;;;;;;;;;
  Rien en somme, la tentative n'eut servi a rien . La médecin parle
avec elle en lui tenant la main. Une vibration réconfortante passe 
entre les deux personnes. Les yeux de la malade plonge dans ceux 
du médecin. Pas de doute  ils implorèrent une pitié. La sincérité 
de son comportement fut la réflexion sur son désistement agressif .
La malade a compris qu'une autre personne peut lui venir en 
aide. Là, elle vient de  trouvé son point de confiance.
   La médecin se senti gagnante, dire que la patiente lui a fait 
confiance ? Personne dans le centre spécialisé , dans leur rapports ,
ont réussi a l'amadouer.
- Pour quelle raison ne veut pas manger Liliane, tu risques de tomber
   gravement malade.
  Elle n'obtint pas de réponse et répétât sa phrase. Aucune réponse, 
- Tu t'appelle bien Liliane ? 
  Pas une mouvement de tête ne fut remarqué, seul ses yeux observèrent
la médecin.
- Pour quelle raison ne manges tu pas ? 
    Cette malade a quelque chose de particulier, sa réaction ne 
correspond a aucune des autres malades. La stagiaire médecin se 
déplace vers la  porte d'entrée et relie les remarques souligné de 
rouge.

A suivre au 3/8 page 48

JJM

Ne transformez pas mes écrits je ne gagne rien 
et l'écrit pour le partager. Merci.

Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
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