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28 novembre 2024

Coïncidence 7/8 ( roman d'aventure )

mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2

128 coïncidences 7/8





     Les préparatifs ont prit forme dans le château  du 
domaine des marguerites. Les victuailles sont rangées
dans deux sacs de toile. Le programme de quitter le 
domaine est a jour. pour le moyen de transport, Eva 
et Anne comptent sur l'auto stop avant que tombe la 
nuit. La clarté du jour permet de reconnaître le 
conducteur qui propose de les transporter.
   Elles traversent les champs de blés vers 19h30 et 
se retrouvent au bord de la route national qui 
longe le domaine du château. Leurs habillements se
solde par un foulard pour chacune d'elle et de deux
belles robes aux couleurs rayonnante.

129 

Elles tiennent chacune le sac de toile par une main. 
Comme des paysannes, dans leurs habits parsemés de 
brindilles provenant du champs de blé,  fraîchement 
moissonnée,  elles sont assise sur une bote de paille.
De nombreuses voitures passent, il faut de la patience
qu'un bon samaritain les prennent en charge. 
les multiples gestes ne portent leur fruits. Cela 
n'abaisse en rien leur intention.
  Anna entend la sirène d'une voiture de la police et
l'aperçois au loin . La peur d'être repéré les guide 
vers une cachette, elles se couchent derrière les bottes
de pailles .  
     Eva est impressionné par le pouvoir d'Anne , car
entendre est une protection a ne pas négliger.   
    Dans cette voiture de police qui passe , une 404 
Peugeot blanche, se trouve le commissaire et Yves.

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       Le véhicule rejoint le château du domaine des 
marguerites. Eva et Anne se sentent traqués. Les
responsable du  château ont certainement alerté la 
police sur leur disparition ? 
  Les jeunes femmes tentent a nouveau de se faire 
remarquer en levant leurs pousses le signes des 
d'autostoppeuses. Il fait parcourir une quarantaine
de km pour parvenir a la ville d'où vient Eva.
    Leur espoir porte ses fruits, un grand ensemble 
routier s'arrêter , les freins chassent le surplus d'air.
  Pour un routier un peu pervers, deux belles jeunes 
femmes et bien bâtie, réveille certaines espérances. 
Qui sais il pourrait faire une touche ?  
  La vitre du camion coté passager s'ouvre 
électriquement. Le chauffeur ,
-      Alors mes demoiselles où désirez vous allez ?
  Anne comprit les paroles du chauffeur, pour lui 
répondre elle lui présente un papier  
-  nous somme deux femmes muette , et une mal 
    entendante , pouvez -vous nous emmener dans 
    la ville suivante ?
  Le conducteur de cet ensemble routier, ébloui par

131

la beauté des deux jeune femmes leur fait signe pour
les inviter a monter dans la cabine du véhicule.
-  Je rejoins la ville suivante, vous pouvez monter.  
   Les jeunes femmes prennent place , puis véhicule 
imposant reprend lentement de la vitesse.  De la 
la cabine les filles peuvent observer le domaine 
 des marguerites et le gyrophare de la 404 blanche
stationné devant l'entrée principal. Maintenant   
sont certaine que leur fuite fut remarquée et signalé, 
Anne n'eut pas tort 
derrière les ballots de paille.

    La 404 empreinte  l'allée du domaine. Arrive au 
bout de l'allée, Yves et le commissaire sortent de la 
404, rapidement . Une personne se présente,  
-      Bonsoir messieurs, c'est pour qu'elle sujet ?
-      Madame, avez vous reçu le coup de téléphone de 
centre psychologique ?
  Le commissaire eut sort sa carte de police et la 
présente a la personne. 

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-     J'aimerai retrouver une personne admis dans votre 
      établissement sous Liliane. 
-     Effectivement, monsieur le commissaire,  dans 
       notre établissement une Liliane fut admisse. Allons 
      faire un tour dans le jardin, suivez-moi, nous allons
      la trouver.
  Enfin, Yves vas retrouver sa bien aimé, son impatience
 tente d'obtenir de ses nouvelles, 
-    Est elle en bonne santé madame ?
La réceptionniste,
-    Bien sûr monsieur, elle a repris confiance en son 
     entourage, car dans l'état ou elle fut emmenée,
Yves
-     Qu'entendez -vous madame dans cette explication, 
       fut elle blessée ? 
La réceptionniste,
-      Bien entendu monsieur elle est profondément blessée
      intérieurement et des blessures apparente aussi. Elle
      a trouvé son équilibre. 

133

  Cette réponse persuade notre chère Yves qui suit 
cette femme sans hésiter.
-     Vous savez messieurs à cette heure-ci les filles 
       sont en promenade dans le domaine , elles 
       doivent se trouver par la.
      L'attention des deux visiteurs se laisse 
impressionner par la beauté de ce bâtiment qui n'a 
de comparaison a la psychiatrie. La comparaison 
est impressionnante. 
  Effectivement les pensionnaires profitèrent de 
leur temps libre comme bon leur semble. Tous les 
bancs son occupé, et dans les allées des jeunes 
femmes se promènent. 
        Qu'il fait bon en cette fin de journée qui se 
dissipe doucement. Au loin dans le ciel se 
rassemble se gros nuages, un orage se prépare.  

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   L'accompagnatrice questionne par gestes des  
pensionnaires, personne ne sait ou elle se trouve ? 
  Yves cherche en vains avec ardeur. Aucune Eva
en vue. L'accompagnatrice dit,
-     Je pense qu'elles se trouvent dans le dortoir, 
      suivez moi messieurs.
  Ils suivent la guide vers le château.
    Une sueur fut visible sur le front d'Yves, il fait 
lourd et chaud mais Yves a malgré cela froid
    Une voix  dit a Yves , ne te laisse emporter par une 
faiblesse tu vas la retrouver ?
  Avant de pénétrer au dortoir, ils passent par le 
réfectoire. Elle devrais être là, certain, pas d'Eva ? 
 Personne . Ils empreintes le grand escalier tournant    
 vers l'étage . Dans le couloir du dessus, qui a bien 
50 mètres de long, se trouvent les chambres a couché.

135

La responsable se dirigea vers une porte qu'elle ouvre. 
Elle y pénètre seule ;  Deux minutes se sont écoulé,  ce 
qui parait interminable . Yves espère retrouver Eva.
le commissaire,
-    Ça n'a pas l'air malpropre cet endroit-là monsieur 
      Yves
Yves,
-     Non monsieur le commissaire cela me rassure, 
      c'est mieux 
La responsable des lieux revient prête d'eux,
-     J'ai une triste nouvelle à vous annoncer.
       Le désespoir reprit ses assises, Yves sent qu'une 
nouvelle étape commence, sa bouche reste bai.
-    Cette personne Liliane, qui répond au prénom 
     d'Éva a pris la clé des champs il y a de cela plus 
     de 30 minutes, se sont les filles de sa chambre qui
     l'on révélé.
    La faiblesse prit le dessus d'Yves qui se retrouve le 
nez a même le sol. 

136

  Cela fait 30 minutes que le camionneur transporte 
nos deux fugueuses. Le soleil se couche et les 
alentour montagneuses ressemblent à des ombres 
surmontées d'une flambée rougeâtre .
  Le chauffeur ne souffle un mot ce jour-là ce qui
n'est pas une coutume . la présence de ces jeunes
filles aussi attirante , le tenait en éveille, ses 
pensées en sont choquer, même bouleversé .
  Quel scénario vat il rapporter le soir aux collègues
 du rendez-vous habituelle des routiers durant la pose? 
Il se gardera de transformer cette histoire dans son 
avantage, en premier sûr leur beauté. En second 
le déroulement des actes du moment où il les a
fait monter a bord du semis. 

  La ville désignée ne fut plus si loin, qu'à peine 2 km

137. 

Le conducteur, 
-      C'est à quel endroit précis que je vous dépose ?
  Ce furent les seuls mots qu'il eut prononcé durant tout 
le parcoure.
Anne marque sur du papier, 
-  a la prochaine bifurcation a une centaine de mètres.
     le semis ralenti, ses freins pincèrent, puis soufflèrent.
  Les voilà a destination. Derrière eux un autre semis les
suit, un collègues qui remarque l'acte fait par se bon 
samaritain de routier. Après l'avoir dépassé, le semis a
l'arrêt  lui envoya plusieurs appels de phares.
     Dans ses pensées, il réalise qu'il fut remarqué, une
fierté qui embellie sa sagesse avec preuve qu'il eut 
ramené deux paysannes a la beauté éclatante. Sa 
timidité ne sera pas a critiquer. Les deux jeunes femmes 
lui envoyant des bises lorsque sont semis reprend de la
vitesse. 
   Vingt et une heure passé, Anne et Eva marchent sur
 le trottoir de la ville. Elles vont a une adresse définie
qui se trouve au centre. De nombreux automobilistes les
accostent en leur faisant des propositions.

138

-         Alors mignonne vous cherchez votre maman,
           venez avec moi je vous y emmène ?
    La vulgarité de ces propos se multiplient mais les 
deux jeunes filles remarque le danger qui les quête. 
Eva a placer une pierre dans le sac en toile qu'elle 
porte, cet objet devient une force de dissuasion au
cas ou l'insupportable devient accablant.  
  Ses intentions ne furent pas inutile, dans ce quartier
 car à peine ont elles parcouru quelques mètres qu'un  
véhicule ralenti pour les accoster. 
   La vitre du passager s'ouvre et une main baladeuse 
sort. Sans gêne, la main tenta de caresser les jambes 
d'Eva. Cette tentative réveille son réflexe rapidement
elle fait virevolter de toutes ses forces son sac en toile 
qui se heurte sur le pare brise du véhicule . Celui ci
se fissure en plusieurs endroit. 
  Il est temps que nos deux copines disparaissent de 

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ce quartier sexiste. Elles est temps qu'elles arrivent
à leur but, qui est l'adresse de l'ongle d'Anne.
  Dans leur parcoure de nombreuses ruelles mal 
éclairé et dominé par l'incertitude sont a emprunter. 
Le silence est traître, pour Anne, pour Eva ce fut 
normal. La venue d'un groupe alcoolisé braillant se 
rapproche les deux jeunes femmes. Le groupe occupe
toute la ruelle , et font barrage au filles. Le vacarme 
prend possession de l'entourage et leur chahut.  
    Anne et Eva avancent au pas, elles  n'ont aucune 
intention  de repousser chemin , s'abaisser dénonce
leur faiblesse.
     Le croupe se rapproche des filles. Anne et Eva 
restent main dans la main , unie ont est plus forte .
Elles frôlèrent les vitrines pour tenter de ne pas se 
faire remarquer. Une puissante main les retient et
les obliger de les suivre. 

140

 Eva se prête a réagir avec la manipulation de son 
sac. Anne se prête a faire de même. Tout dépend de
l'intention de l'individu qui leur dit,  
-   Alors mes minions, on veut assommer les copains 
     avec vos sacs ? 
  Eva tente de le repousser , l'individu plus rapide 
lui prend son sac.
l'individu 
-  mais dit donc ,
  Eva se tient en garde et l'individu lui jeta un regard 
méprisant. 
  Une bouteille vide vole et touche la vitrine. 
-   Alors Fifi, tu veux épater les deux nouvelles venues 
     avec une bouteille vide ? 
-   Mais non, je voulais casser la vitrine pour rire un 
     peu.
-    Dans ce cas, Fifi, la fille aux cheveux blond dispose 
     d'une meilleur arme,
-    Montre la moi Lulu.
   l'individu lui donne  le sac en toile alourdi par son 
contenu.

141

-    Pas mal Lulu, avec cela je ferais un bon carton.
       Eva ne comprit pas ce qui se passe, elle eut beau 
regarder les dragueurs s'emparer de son sac.
Fifi fait signe aux personnes de ses déplacer pour 
qu'il puisse faire  tournoyer le sac ,
-   Qui sais, des débris peuvent faire des victimes.
-   Fifi ne manque pas la cible
-   Je ne rate jamais ma lancé de marteau dans les 
     compétitions.
  La vitesse du tournoiement du sac, a failli lui faire 
perdre l'équilibre , mais le sac touche la devanture
et un fracas la transforme en éclat la vitre . Une 
sirène retendit .
-   Alors Lulu qu'en penses tu de mon tir?
-    Pas mal Fifi mais maintenant il faut filer au plus 
     vite l'alerte est donne la police va arriver ? 
  Ce groupe oublie les deux filles qui tentent de 
poursuivre leur route. Mais Fifi heureux de son 
exploit revient vers elles pour les inviter a les suivre. 

142 

Ses collègues sont retissant pour en faire autant.
-  Alors bande de mouchard personne n'est capable de 
     me surpasser.
-   Tu crois cela, Fifi, je te fais une démonstration digne 
     du plus grand
  Voila que Legros se place devant une vitrine. Il forme 
un point avec sa main droite et il cogne la vitrine de 
toute ses forces. Le fracas du verre brisé retenti avec en 
plus le vacarme d'une nouvelle sirène .
-   Alors Fifi qu'en dis-tu ?
-    D'accord Legros, mais ta as vu que tu saignes ?
-   Où cas ?
  Sa bêtise ne lui fit ressentir la moindre douleur. Il 
remarque que son bras est blessé. Il utilise un 
mouchoir en guise de bande 
  Dans la nuit sombre, on peut voir au loin les 
gyrophares des voitures de polices.  

143 

    L' intention du groupe fut de prendre les deux filles
avec eux. Mais les filles courent dans une autre direction.  
Une personne du groupe le remarque il tente de les 
rattraper.  Les jeunes femmes prennent de l'avance 
sur la réactions et l'équilibre des fêtards alcoolisé. Une
bouteille suit un trajectoire destiné au jeune femmes . 
La bouteille éclate a leurs pieds et un liquide rouge sang, 
éclabousse la fille qui suit la première. Son visage est
rouge sang , elle perdit l'équilibre en glissant sur les 
débris, puis s'étaler sur le trottoir. La seconde femme 
continue sa course , elle n'a rien remarqué .
  Arrivé à une bifurcation, elle remarqua qu'elle est 
seule. Elle marque un arrêt , retourne sur ses pas puis
remarque le visage d'Eva rouge sang ! La ruelle se 
vide, les fêtards ont disparu.
     Une ambulance arriva sur les lieux, le pauvre Yves 
a perdu de sa robustesse, il vacille un peut. 
L'accompagnatrice lui dit,
- prenez de l'eau de la fontaine , vous pouvez la boire.

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Le commissaire appeler le poste de police pour lancer un 
avis de recherche  sur les ondes de la radio local et sur les 
radios amateurs pour retrouver les jeunes femmes.  
    Dans un bar routier de nombreux camions stationnèrent, 
le moment de leur pose s'impose.
  Le groupe de chauffeurs qui se réunissent habituellement
autour de la grande table centrale, sont au complet. Le 
repas est terminée et chacun se ventent des petites aventures 
sentimental arrivé dans la journée.
   Notre brave personnage, surnommé Doublemètres , met en 
valeur sont exploit du transport de la journée . Le transport
de ces deux jeunes filles lui ont donné de quoi se faire valoir
auprès de ses collègues. A lui maintenant d'en parler. Les 
vantards du groupe, lui devront le respect.
   Ce soir là, Doublemètres a du pain sur la planche a 
raconter.  

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-   Salut les routiers, la route a été bonne aujourd'hui ?
-   Oui Double mètres et chez toi aussi ?
    Lui répondit Lalatte un homme aussi maigre que 
l'épaisseur d'une latte a toit.
-   J'ai eus de la chance cette après midi,
D'un air ironique Lalatte lui dit,
-   Pourquoi tu as failli benner ?
-   Non pas du tout, j'avais dans ma cabine deux auto 
     stoppeuses, l'une plus belle que l autre.
   L'air vantard de Lalatte ne changea rien dans son 
comportement , il nargue Doublemètres,
-   Tu as transporté deux grand-mères ?
L'ensemble du groupe s'éclata de rire.
-   Mais non, deux jeunes et belles femmes.
-   Et quant as tu fait d'elles ?
La serveuse du bar vient questionner les routiers,
-   Que prenez vous tous?
-   Un café bien tassé, pour se tenir éveillé a toute 
     l'équipe.
-  C'est ma tournée, 
dit Doublemètres d'un air enchanté. 

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    Le partage de Doublemètres n'enchante pas Lalatte
pour lui la bonté n'a de valeur, il faut profiter et la 
simplicité de ce routier. 
-   Alors les routiers, que prenez vous ? un café c'est rien,
     un liquide avec un liquide bien corsé c'est mieux. 
   Doublemètres réfléchi un petit moment et se dit qu'il 
devra piocher dans la partie faite pour les trajets de  
l'autoroute payante . Il fait le compte, il y a six personnes 
autour de cette table plus la serveuse. Cela me servira de 
leçon pour la prochaine tournée ? i
-   Alors messieurs les routiers que prenez vous ?
-   Du jaune pour tous, parbleu, pas de café.
Cria Lalatte.
-   Tu as du gagner le gros lot Doublemètres ?
  Dans le grand local du restaurant, des jeux 
électroniques émettent des sons chaque fois 
qu'une bille touche un obstacle. Un compteur
a plusieurs chiffres affiche les points. Dans un
opposé, un jus boxe passe un disque a la mode. 

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   Doublemètres donne fièrement des explications 
sur la descriptions des jeunes filles .
-     En les apercevant de loin, leur belle silhouette 
       marque leur beauté. Elle me firent pitié surtout 
       quant elles me demandèrent de les déposer dans 
      la grande ville. Je ne sus leur refuser et les fis 
      monter a bord. La plus belle des deux se plaça 
      a coté de moi, très proche du levier de vitesse. 
      Il m'arriva de la toucher durant le trajet et nos
      regards se croisaient sentimentalement. J'aurai
      voulu faire une pose a laurés d'un bois, mais ,
   Un routier interrompe la conversation pour 
questionner  l'attroupement .
-    Y aurait il l'un d'entre vous qui eut embarqué 
     deux jeunes femmes handicapé et qui ne parle
     pas ? 
  Plus personne ne prêta attention au récit de 

148

Doublemètres. Quelques instant plus tard les 
discutions reprennent. Doublemètres ne voulait 
plus continuer son récit. Se qu'il vient 
d'apprendre le déstabilise et le bouleverse. 
  Les bruits des jeux électroniques reprennent a
un  rythme irrégulier, la musique change de 
temps a autre de style et redevient maître des 
lieux.
   Au bout de dix minutes, la police fait une  visite
dans le café routier et leur apparition transforme
l'ambiance,
-    Bonsoir mesdames et messieurs, on vient vous 
      importuner car nous recherchons deux jeunes
      femmes qui furent prise en auto stop a la 
     hauteur du domaine des Marguerite. Les jeunes
     femmes ont une particularisée, elles sont muette.
     Leur disparition remonte a environ 19 heures.
     Il est urgent de les retrouver, si l'un d'entre vous 
     peut nous informer il nous rendra un grand 
     service. Elles sont vulnérable avec leur handicap

149

     cela peut leur être fatale. Merci a tous.
  La question que vient de poser la police met 
en éveille l'attitude de Doublemètres qui 
disparu de la grande table. Il sait que ces jeunes 
femmes, sont monté dans la cabine du semis, 
que la police les recherche et les pourchassent
ce fait de lui un indicateur , mentir c'est voler 
la vérité et son honnêteté a du mérite. Il se 
dirige vers le véhicule des policiers. Son 
comportement reflète celui d'un personnage qui 
conjugue une culpabilité , pourtant il n'a pas commis 
de faute ? Doublemètres fait  un signe aux policiers.
-    Messieurs, je ne savais pas que ces deux jeunes 
      femmes sont recherché, je voulais leur rendre 
      service en les emmenant dans mon semis sur leur
     demande. Elles m'ont juste dit de les déposer a 
     l'entrée de la ville ?
-     Merci monsieur pour votre participation, ces 
    jeunes femmes ne sont pas en fuite pour une faute

150

      grave, elle sont en danger en retrouvant seule 
      dans la nuit.
  Ces indications mette la police sur une piste, sans 
tarder les policiers se dirigent a l'endroit où 
Doublemètres les a déposé.
 
   Sur le trottoir, une jeune femme resta allongé, 
son visage rougie par le contenue de la bouteille.  
  Eva regarde ce corps, et reste bouche bée. La 
bande de copains se rapprochent d'elles. Eva est
émue par la perte de sa camarade. Elle se penche 
sur la victime pour tenter de connaitre la raison 
de ses blessures. Une pitié l'enlace , et dénonce 
de grosse larmes envahissante, qui coule sur le
visage d'Anne.

151

   A peine eut elle soulevé la tête que la figure 
d'Anne lui souris. Anne se relève rapidement et
la fuite reprend. Pas de doute, il faut éviter les 
barrages de la police.  
  La fuite prit de la vitesse et Anne l'entraîne a travers
un labyrinthe de ruelles pavées . Leurs pas résonnent 
entre les murs de pierre de taille.  
Enfin, elles parviennent sur une place où une fontaine 
permet de se laver.  
  Anne plonge ses mains dans ce liquide puis asperge sa 
figure pour enlever cette épaisse pâte rouge tomate .
Dans la nuit et peut de lumière,  les couleurs deviennent
contradictoire, on aurait crue du sang ? 
    Eva aide Anne dans sa toilette comme un raton 
laveur. L'illusion sur l'état de la victime abaisse la peur
qu’Éva eut accumulé. Très collante, cette couleur rouge
a du mal a sortie du tissus des vêtements.

152

  Les voilà reparti, elles disparaissent dans ce 
labyrinthe de ruelles en direction du centre de la 
ville. Des voitures de police sont un peut partout
mais l'avancé de la nuit rend les rues déserte et 
Anne fait signe a Eva qu'elles sont presque arrivé. 
La rue longe une large cour , les voila dans le 
quartier des filles de joies qui s'exposent derrière 
des devantures a demis nue. 
    Anne, connait l'endroit, et a  l'habitude d'y 
passer mais pour Eva c'est une découverte. Une 
voiture se rapproche d'elles pour les frôler  et les
intimider en leurs faisant de propositions. L'un 
dit a son collègue,
-    Alors la fouine tu n'as pas remarqué ses jolies blonde 
     qui 

153

-    Non, où ça ?
-    Elles travaillent pour qui ces deux là ?
-    Je ne les connais pas, certainement qu'elles viennent 
     d'un autre quartier ? 
-     Je ne pense pas, je vais appeler Jojo lui doit être au
      courant ?
  Il décroche le téléphone d'une cabine, appuis sur une 
touche et fait tournée le cadrant.  
-      Allô Jojo tu m'entend ?
-      Oui, le Dénicheur, que me proposes tu , y a il du 
       grabuge?
-      Non la soirée est calme, mais regarde voir sur ta 
       gauche, tu les connais ?
   Jojo s'empare d'une paire de jumelle infrarouge et 
observe les jeunes femmes.
-     Allô le Dénicheur, je n'ai jamais vu ses deux nanas
      je suis certain que Maxime n'a pas de nouvelles venu, 
      le rajoute .

154

-      Merci Jojo c'est tout ce que je voulais savoir, donc 
        elles nous marchent sur nos plates bandes.
-      Ça je ne sais pas mais une chose que je peux rajouter
       tu n'as pas ton surnom pour rien. 
-      Alors la Fouine on tente de les embobiner ? 
-      D'accord ont leur raconte les mêmes anecdotes que la 
        dernière fois avec les vietnamiennes ?
-       Je pense pas que cela marchera avec elles, je les 
        embobine d'une autre façon.
  Anne et Eva se déplacèrent a une vitesse raisonnable, et
 longèrent une rangé de maisons vétuste aux briques 
apparente. Elles viennent de dépasser la voiture de Jojo 
qui communique a la Fouine placé cent mètres plus loin.
-  Es tu prêt la Fouine, je les suis maintenant.
-  Oui fais comme il est prévu.
  Jojo sort de la cabine téléphonique pour suivre les deux  
femmes se tenant par la main.
-  Alors les filles ont cherche  du travail ?

155

  Pas de réponse, elles poursuivirent leur intentions.
-  Ils vous faut une protection les filles ont est là pour ça.
La fouine se rapproche d'elles pour dire,
-   Elles n'ont pas l'intention de répondre je pense pas 
     que tu les intéresses.
  Jojo aime taquiner c'est dans sa nature mais la réponse 
qu'il vient d'obtenir de la part de la Fouine est comme
un avertissement pas bien venu il dis,
-   Alors les filles une protection de la part de nous autres
     qu'en dite vous ?
  Les deux jeunes femmes , bloqué, les regardent d'un air
étonné. La présence ce cette attroupement de quatre 
individus intrigue les jeunes femmes.
-   Alors comme cela vous ne travailler qu'en couple ?
-    Ça n'est pas mal la Fouine, d'une pierre tu fais deux
     coups .
  C'est le dénicheuse qui eut dit cela. Jojo caresse une 
 

156

jeunes femmes pour les retenir . Les droits larbins les 
entours pour les bloquer. Elles tentent de fuir, mais
ces trois brutes ne leur laissèrent aucune chance 
d'évasion. Elles sont retenus contre leur gré. 
-    Qu'en penses tu la Fouine, ont les entraîne dans 
      l'ancienne écurie ?  
-     A cinq se sera une partie correcte.
-    Pas mal cette idée, mais il faut que l'un d'entre nous 
     monte la garde a tour de rôles. 
      Anne réagi sur ce qui vint d'être dit mais elle hésite 
sur la réaction a entreprendre, elle sert fortement la 
main d Eva et guette l'inattentions des provocateurs.
-   Alors les amoureuses, vous ne vous quitter pas .
Dit Jojo avec un rire ironique.
-   Maraudent ces deux bout de femmes, elles n'ont pas

157

    l'air de nous exprimer leur refus.
Le dénicheur,
-    Mais il me vient une idée j'ai entendu que deux filles
     sont recherché par la police dans le poste de radio.
Jojo,
-     Alors tu déniches des stars ma parole, tu ne portes 
      pas ton nom pour un rien.
Lalatte,
-    Ou seraient elles recherché pour meurtre par hasard ?
La fouine 
-      Mais ne vous en faite pas, la police ne vient pas ici ? 
  A ce moment là des gyrophares flanchent les alentours
de plusieurs rues.
-  Je vous l'avais bien fait comprendre, que ces deux là 
   sont recherché par la police, je ne connais pas la 
   raison, attention,
-   Toi tu as peur, de toute façon elle savent qu'elles sont
     recherché, raison de plus de la cacher.
Dit la Fouine d'un air enchanté. Jojo ravis, rajoute.
-     Ne perdons pas de temps et emmenons les dans la

158

      chambre de Lili.
La Fouine est de son avis.
-     D'accord, emmenons les la bas, après le contrôle de
      papier je revient, c'est juste pour que la police me 
      donne les raisons sur ces filles.
     Anne comprit le danger qui les entoure, d'un coté la
police et de l'autre les macros. Eva sait qu'elle a commit
des actes de tueuse, elle est une meurtrière recherché. Il
ne faut pas se laisser prendre.
   les deux jeunes femmes acceptèrent de suivre le fameux
Jojo sur le quais du port pour monter sur une péniche. Il
fait si sombre qu'ils se déplacèrent sans lumière a tâtons. 
la lampe de poche, éclaire mal, elle est presque vide 
  Enfin, ils arrivèrent dans cette fameuse chambre de Lili.
Les hublots laissaient apercevoir les policiers qui se 
déplacent. Jojo appuya sur un interrupteur qui donna
une faible lumière jaune tamisé. Sur le plafond arrondi 
cette lueur se dispatche sur des miroites qui se reflètent 
dans la cabine. 
-   Alors mes mignonnes, que pensez vous de cette cabine ?

159

La main de Jojo tente de caresser la poitrine d'Anne, elle 
le  repousse.
-   Tu ne vas pas me refuser cela, on vient de vous sauver
     du méchant loup.
     Une autre lumière puissante venant de l'extérieur les 
éclaire. La police les a mis en fonction et balaie les 
alentour. Une radio actionné par la police émet ceci ,
-   Nous recherchons deux jeunes femmes muette,
    il est conseillé de nous faire savoir où elles se trouvent.  
    Nous savons qu'elles circulent par ici.
Le dénicheur dit a Jojo
-   Fait attention Jojo le quartier est encerclé par la
     police, ce n'est pas un contrôle de routine.
-   Mais que leur reproche ton pour qu'un régiment 
    les recherche ?
Jojo ne se laisse pas intimidé et dit ,
-   Alors ses deux là son muette donc, elles ne diront pas
     un mot 
    Anne remarque sur les lèvres leur conversation, elle 
sentit plus de danger dans cette cabine qu'auprès de la 
police. Elle transmet son message a Eva par la main.

160

   Le dénicheur trouve les intentions de Jojo absurde et
 sentit qu'un danger les guettait.
-  Je pense qu'il vaut mieux les relâcher.
A cette instant, une personne frappe a la porte de la cabine.
Jojo, surprit réagit;
-  qui est là ?
Les quatre hommes regardent vers cette porte. Une voix
de femme répond,
-   C'est moi Caroline.
D'une voix enroué Jojo criât.
- Mais rentre donc.
  La porte laisse apparaître une jeune femme légèrement
habillé. Anne et Eva la remargent dans le miroir. 
Caroline vint les avertir.
-   La police fouille toutes les péniches, faite attention.
  Les trois protecteurs se regarde d'un air ahuri. La fouine
a une solution,
-  Fais les passer par l'autre ruelle Caroline pour les 
    éloigner d'ici.

A suivre au 8/8  161
auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
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