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28 novembre 2024

Coïncidence 6/8 ( roman d'aventure )

mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2

SUITE coïncidence

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   Pour le commissaire Yves n'est qu'un suspect, rien de plus. 
Durant le voyage, personne ne souffla un mot dans la 404 
Peugeot blanche de l'inspecteur. Tout parait étrange et des 
suppositions de doutes, plane dans l'habitacle. Il n'y a pas
de musique a bord, seul le ronronnement du moteur reste 
maitre du véhicule .  

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    La Peugeot 404 stationne devant cet endroit lugubre et sinistre 
de la morgue de la ville. Le véhicule se trouve sous l'ombre du 
feuillage des branches d'arbres centenaire. Les oiseaux sifflèrent 
sans repris comme ci c'est une journée normal. 
   Yves sort de la voiture avec peine , ses chaussures touchent le 
sol . Il a l'impression de s'enfoncer sur un sol incertain. A mis 
chemin, une faiblesse envahis le corps et le plonge dans une  
onde de déséquilibre . Yves a de la peine a garder son équilibre.
    Enfin, les deux hommes se trouvent devant la grande porte en 
chêne foncé, ou une poignez en bronze permet d'annoncer qu'une
visite vient  d'arriver. Par une petite lucarne , entre deux barreaux
un timide visage apparait. Une timide voix dit,
-      Bonjour monsieur le commissaire, je vous ouvre 
       la porte ?

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   Le responsable de ces lieux parle lentement et silencieusement.  
De ce lucarne de cette grande porte, sort un fraicheur et une 
odeur inconnue. A ce moment là, une nausée profonde envahis
la réaction d'Yves. Le commissaire lui tapote le dos,
- Ca vas monsieur Yves ? 
-  Oui monsieur le commissaire.
   La grande porte de chêne grince en s'ouvrant.
-  Venez messieurs, suivez moi.
Ils pénétraient dans ce long couloir et se dirigèrent vers le fond. 
-       C'est bien pour cette affaire de jeune femme sans nom ?
          
 -       Oui, la jeune femme nom identifié du braquage de banque.
-       Il est temps qu'elle porte un nom, les places se fond rare par 
         cette chaleur .
    En entendant l'interprétation de leur langage, Yves ne réalise
 pas de ce qui se passe et est persuadé que le corps qui lui sera 
présenté n'est pas sa femme Eva. Puis, d'un coup, il se ressaisi et 
pense une autre supposition. 
-     Mais, c'est bien de ma femme Eva qu'ils parlèrent en plus 
       ils disent qu'elle a braqué une banque ?
       

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   Une  nausée le transforme,  il s'effondre sur lui-même.
-      Vite Charles aide moi pour le relever,
-       On me les apporte vivant maintenant monsieur le 
         commissaire ?
-       Il vient de sortir de l'hôpital, il est là pour 
        reconnaître sa femme.
   Dans le couloir de nombreux bancs occupèrent le 
centre . Ils placent Yves sur l'un deux.
     Quelques minutes plus tard,  
-       Monsieur Yves, vous sentez vous apte pour 
         affronter la suite ?
-        Oui, je crois que j'eus retrouvé mes forces.
-        Dans ce cas, suivez moi.
   La cloche de l'entrée retenti, elle résonna en 
traversant le couloir.
-        Ce bruis-là réveillerait un mort.
    Soupira Charles le responsable de la gestion des 
victimes.

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-        Je vais ouvrir la porte d'entrée.
    Le corps couverts d'un drap blanc a été ramené sur une 
civière , il n'a pas plus que la grandeur d'un enfant de 12 
12 ans. Ses cheveux roue dépasse du draps.
-        Vous voyez monsieur le commissaire, je n'arrête 
         pas d'en enregistrer ? 
   Yves regarde passer cette jeune victime, qu'elle réaction 
vat avoir sa mère ? 
    Yves voie un homme qui soutient cette maman . Ce 
malheur redouble la force d'Yves, il se sent prêt a affronter 
le pire, et dit,
-        Monsieur le commissaire, je suis prêt pour 
          reconnaître la victime
-        Bien monsieur Yves, on attendra que monsieur 
         Charles revient.
Au bout de quelques minutes notre serviteur Charles 

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continue ses obligations.
-         Encore un crime de la circulation, cela n'arrête 
          pas de nos jours.
-        Charles, peut-on voir la victime, l'inconnu donc 
          je t'ai parlé ?
-        Bien sur monsieur le commissaire, suivez-moi.
Yves et son encadrement prirent la direction d'une 
salle placé en face . Le cou d'Yves est placé. Un fluide 
d'émotion traverse  ses pensées.
   La porte de la pièce s'ouvre, Yves souhaita que sa 
femme ne se trouve pas la , comme pour prier Dieu
qu'il fait un miracle.  Yves regarde ce corp allongé 
sur une civière. Où Eva peur elle  se trouver ?
   Devant lui, de nombreuses portières métalliques 
numérotées sont repartie par étage . Son cœur 
bât vite . Une autre portes métallique grince en
s'ouvrant, et une civière arrive. Un linceul blanc
recouvre un corps.

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-      Monsieur le commissaire voici la victime.
Il la place au centre de la pièce.
-       C'est bien le numéro six Charles, pas que tu 
        m'apportes une autre ? 
-  Ne vous en faite pas monsieur le commissaire je
   reconnais mes mortes  . 
      Yves ne souffla le moindre mot, il avala sa salive 
plus d'une fois . La civière se rapproche et, la forme 
du corps de la femme, laisse dépasser des touffes de 
cheveux . Les réactions d'Yves se transformèrent et
est persuadé que,
-       Monsieur le commissaire je reconnais cette 
         femme, ce fut l'otage, 
Un soulagement le laissa méfient car il se dit,
-       Et si ce fut le mauvais tiroir ?
Le commissaire lui dit d'un air accusateur.
-       Donc votre femme Eva a disparu avec le livre 
         précieux et le restant de vos biens ? 

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     Cette une accusation, qui ne plait a Yves. Par contre
pour Eva ca le rassurer, elle est vivante. Toutes les 
accusations passé sur elle ne coupera  pas leur amour
qui se conjugue avec une sincérité indéformable. 
     Ils sortirent de cette endroit lugubre avec sur les 
bras un autre mystère. Vers où le commissaire peut il se 
diriger pour retrouver Eva et la famille de cette victime ?
 Yves se manifesta avec ardeur pour dire,
-      Monsieur le commissaire, vos accusations sur 
        ma femme sont impossible, En plus l'on accuse
        une personne absente ?
-       Monsieur Yves je tiens a vous dire que vous aussi
         vous restez comme un suspect comme votre femme
         Eva. Si mes suppositions ne sont pas à votre gout, 
         sur votre femme. Donnez moi des preuves ? 
-        Mais quelle preuve au juste, je me trouvais dans
         le comma durant le braquage ? 
-       Prouvez-moi que votre femme ne fut de mèche 

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         avec cette affaire-là.
    Les pensées d'Yves se bousculent et sont trouble .  
    De retour dans sa chambre d'hôpital, Yves a 
l'impression  de se trouver dans véritable prison . 
Il est comme un condamné. Seul l'amour envers sa
bien aimé le guidera inlassablement.

















     La sympathie entre Anna et Eva attire les autres 
occupantes de la chambre. Un attroupement se fait. 
La présence de cette nouvelle venue , dans le château 
et son aventure, devient un facteur d'échange de 
gestes et de mines. 
La journée se termine et chacune fait des signes de ,
- bonne nuit  

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    Au petit déjeuner, Liliane(Eva) retrouve sa voisine et 
les autres copines autour de la table . Toutes les patientes
ont contribuer a préparer ce qu'elles aurons besoin pour 
la fuite. Le petit déjeuné fut copieux et consommé, elles 
sortir pour inspecter les alentours. 
Une radieuse journée les attendent. La rosée du matin  
provoqué par cette humidité sur les pétales de rosiers
les valorisait plus que tout. Une bonne odeur de fleurs les 
embaument.  
 
    Dans l'hôpital où se trouve Yves, le commissaire fut 
matinal.
- Me  rapporterait il une surprise ?
 S'imagine Yves.  
Le commissaire ne manque d'audaces pour le questionner.
-      Monsieur Yves, plusieurs explications reste insondable, 
    où peut se trouver votre femme Eva ?  Je pensais d'abord
    que ce fut elle la victime non identifier. Vous ne l'avez 

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      reconnue comme l'oncle d’Éva que j'avais emmené. 
     Je suis persuadé que vous la retrouverez sous un 
     autre nom dans un pays bercé par le soleil pour le 
     restant de vos jours avec l'argent de la vente du livre.
    Le commissaire exprime ses doutes par une forme de 
jalousie sur ce bien injustement acquit. La gorge du 
commissaire est asséché, il but dans un verre une gorgé 
d'eau. Yves l'observe en tentent de trouver une réponse  
pour  le commissaire.
-       Monsieur le commissaire comment pouvez vous 
         nous accuser de la sorte, vos propos ne sont que des
         stupidités, pour moi vos suppositions n'on aucun
          sens pour des faits non justifiable. Vous n'avez pas
          le droit de ,
-        Monsieur Yves, comment se fait il que deux 
         personnes furent blessé avec une arme de petit calibre
         correspondant à une arme de précision et 
         certainement de compétition ?

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-        J'ai deux armes de compétition, des fusils, qui 
          sont accroché au mur avec les coupes qu'on 
          l'ont a gagner Eva et moi. 
-         Le mur est vide, tous a disparu, il ne reste plus 
           que le râtelier.
-         Mais, ce n'est pas possible ?
-         Aussi possible que la disparition de votre femme.
-         Je ne peux croire vos suppositions, c'est 
           inadmissible.
-          Monsieur Yves, une douille vide fut trouvé dans 
            les buissons sous votre immeuble. Je pense que
            votre femme eut tiré sur la jeune femme pris en 
            otage en premier, puis elle a suivi les agresseurs 
            dans une R16TS rouge dans laquelle un autre 
            otage fut contraint de les suivre. L'un des 
            complices, grièvement blessé  abandonné sur un 
            banc .
             

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   Yves ne crut une seule accusation. Le commissaire
rajoute,
 -       Dans la voiture volé, aucune trace d'argent ni de
         de fusils ainsi que, 
   Le ton durci, la voix du commissaire aussi, il mit son 
autorité en action,
-         Vous n'avez pas de photos d'elle ?
-         Je ne possède pas de photo d'elle,  normalement 
          on dut recevoir les photos de mariage d'ici peu.
-         Donnez moi l'adresse d'où vous avez fait votre 
           album pour que je puisse les chercher.
  Yves n'arrive pas à imaginer qu'une telle accusation 
puis être une réalité.    
    Dans la matinée Yves reçu la visite de sa collègue de 
travail, Sophie. 
-       Bonjour Yves, comment vas-tu ?

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-       Je ne peux pas dire que je me porte bien, avec 
         tous ce que le commissaire me met sur le dos ?
Sophie,
-        Pour quelle raison te veut-il du mal, je ne 
          comprends pas bien ses accusations ? Tu as
          assez souffert jusqu'à présent ?
Yves
-        L'humanité est cruelle Sophie, surtout lorsqu'on 
         accuse des innocents er que l'on se base sur des .
         suppositions perverses.
Sophie,
-         Dit moi Yves, de quel acte peut-il prouver que 
          cela vient de vous deux ? ou sa stratégie serait
          de prêcher le faux pour connaître la vérité ?
Yves
-         Justement le fait que l'on ne retrouve plus de 
           trace d’Éva est selon le commissaire un signe
           de participation a l'agression ? 
Sophie,  
-         N'ont ils pas fait de recherche à son sujet, ils 
          en ont certainement fait sur celle qui fut prise 
          en otage ?
Yves,
-  Je suis passé a la morgue pour reconnaitre la victime
     avec le commissaire et ce n'est pas Eva. par la suite
     j'ai appris que notre appartement fut pillé et vidé de 
    tout objet de valeur.
Sophie ,
-         Yves connaissais tu cette personne prise en otage ?

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 Yves
-         Je n'eus jamais rencontré cette personne, peut 
           être que ce fut une nouvelle cliente ? 
Sophie,
-          Elle ne s'est jamais présenté à mon guichet, 
           un peu louche cette histoire ? Le directeur de 
           la banque a voulu avertir ta femme en lui rendant
           visite et la il découvrit le remue -ménage dans 
           l'appartement. Il le signala a la police.
Yves,
-           Sophie, après mon agression que s'est-il passé 
             au juste ?
Sophie,
-           Le responsable de la banque dut remplir trois 
             sacs en toile de chut avec l'argent qui se trouvait
             dans le coffre. Ensuite il dut le remettre aux deux 
            intrus qui tenaient en otage une jeune femme 
            blonde qu' ils ont prit en otage. Toutes les personnes 
            présente dans la banque étaient couché sur le sol .
            La jeune femme otage dut porter un sac dans leur 
            fuite, elle du sortir en premier et était tenue en joue
            par une arme tenue sur sa tété , Je crois que c'était
            un revolver. L'lorsque la porte de la banque s'ouvrit

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            un coup de feu sec retenti , et l'otage s'effondra. Un 
            autre coup de feu retenti un peut plus tard . le second 
            quitte la banque en dernier. Je pense que la police a  
            prit en cible les bandits? J'appris d'apprêt les journaux 
            qu'un franc tireur placé à l'extérieure , dans les 
            buissons, sous ton appartement, aurait pris en cible les 
            braqueurs car la police a trouvé dans les buissons des 
            douilles de fusilles de petit calibre.
       Un long silence naissait, cet acte de temps mort nécessaire 
pour comprendre,
Yves, 
-           D'après mes intuitions Sophie, je pense qu’Éva
             voulu me venir en aide et de notre pièce a touché les 
             personnes qui sortaient de la banque ?  Je commence
             par comprendre. Le commissaire m'eut dit que le fusil
             eut servi une seconde fois dans la voiture R16TS rouge
             et là, Eva ne s'y trouvait pas ? La preuve, au moment
             de l'agression elle eut fait  le numéraux de la banque 
              pour le faire suivre d'un signe de la main comme de 
              coutume ?

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        De nouveau un silence prit possession de la chambre 
d'hôpital. Yves et Sophie trouve bizarre que les policiers 
n'ont trouvé qu'une seule douille vide ? où peut bien se 
trouver la seconde ?
Sophie,
-          Ce que tu viens de me dire peut correspondre 
           Yves, mais quelque chose cloche, pour quelle
           raison a-t-elle disparu ?
A ce moment-là la porte s'ouvre le représentent de la 
police interrompu leur discutions.
-      Monsieur Yves, je n'ai pas le droit de vous laisser
     plus longtemps ensemble, en plus le blessé doit se
     reposer. Revenez demain Madame.
   Sophie coupa sa discutions ,  
-         Repose-toi bien Yves, je tenterais d'avoir plus 
          de renseignement.
Yves,
-         Au revoir Sophie, j'ai bien apprécié ta visite, a 

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          demain.
      La lumière se fit sur cette enchevêtrement de 
circonstances ,  pas mal d'hymnes reste a découvrir.
  Durant toute la journée, Yves eut un pressentiment 
sur l'innocente du braquage de la banque. Qui 
d'autre aurait pris la responsabilité des tires ? Et ci
 les bandits avaient un complice a l'extérieur ? Ce
même complice a  caché l'argent dans un endroit 
secret ? 
Yves, parle pour lui,
-   Je vais dire cela au  commissaire ;  un doute reste
     pour quelle raison  fut elle prise en otage ?
 Il préféra renoncer et abandonna ses suppositions.
    Cette fin de journée prit une importance primordiale
pour Eva  ; le projet d'évasion peut se mettre en route.
 
114

    Le commissaire vient retrouver Yves, et croise Sophie 
dans le couloir..
-          Bonjour mademoiselle Sophie, qu'elle est 
           l'honneur de votre présence ?
Sophie,
-          J'ai de nouveaux arguments sur l'innocence de 
           la femme d'Yves .                 
    Un sourire marque le visage du commissaire, il 
ressemble à celui qui récolte des aveux.  
-        bon dans ce cas, il est préférable de rentrer 
         dans la chambre de monsieur Yves.
   Le garde, debout devant la porte, le salua de la main.
   Le commissaire dit,  
-         Je veux notre tranquillité, que personne nous 
          dérange.
   La porte s'ouvrit, devant eux,  Yves est assis sur le lit 
d'hôpital .
-         Bonjour monsieur Yves, vous avez bien réfléchit 

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           sur ce que je vous eu rapporté hier, vous avouez
            enfin ?
Yves,
-         Un bonjour avec une claque n'est pas le bien venu, 
           je n'avoue rien . Je vous propose d'écoutez notre
           dénoyage sur les faits qui se sont déroulé le jour 
           du braquage de la banque.
le commissaire,
-          Donc vous venez de trouver une manière de 
           pouvoir controverser mes propos pour défendre 
           vos intérêts.
Yves,
-          Bien entendu que j'ai des intérêts dans cette 
            maudite histoire dite moi ou se trouve ma femme
            Eva monsieur le commissaire ?
       Le ton monta d'un grand et la discutions pris une 
tournure embarrassé,
Sophie,
-          Monsieur le commissaire, ce n'est pas possible 
            que vous puissiez accuser les deux jeune mariés 
            qui ne sont pour rien dans ce braquage ?
   Yves a un appui, ce qui lui redonna confiance il insistât,

116 

-          Oui Sophie, explique lui de quelle manière cela 
            se déroula après que j'ai perdu connaissance.
    Le commissaire eut déjà entendu la version de Sophie, 
mais, réentendre c'est se rendre compte ci le même ordre 
coordonne les faits.
-          Donc mademoiselle Sophie, vous avez de nouveaux
            éléments pour votre témoignage  ? 
Sophie, 
-          Oui, j'ai omis de vous dire qu'un coup de téléphone 
            provoqua un comportement agressif par les bandits.
           A cette instant-là ils décident de quitter au plus vite 
           la banque. Le coup de téléphone donna le point de 
          départ pour la fuite ? Certainement qu'une autre 
          personne donna l'ordre de ?  
Yves en mordillant les lèvres , 
-          Celui-ci me fut destiné, monsieur le commissaire 
           car toujours à 9 heures du matin Eva fait sonner 
           le téléphone monsieur le commissaire.
Le commissaire,
-          Vous me racontez n'importe quoi, en premier 

117

            votre femme est sourde et muette et second elle  
            donne un coup de téléphone ? Vous tentez de me 
            déstabiliser avec vos supercheries ?
Yves
-           Ce ne sont pas des supercheries mais bien une 
            façon de nous contacter par mon numéraux du 
            téléphone. Quant celui ci a sonné je me plaçai a 
            la fenêtre pour lui faire un signe de la main pour
            la saluer. Eva a certainement aperçu que je  fus 
            blessé par les malfaiteurs ? 
Le commissaire,
-           C'est bien ce que vous insinuez, mais qu'a-t-elle
             fait ensuite ?
Yves,
-      Elle cru a un drame et prit en joue les agresseurs.
  le commissaire, 
 -     Je n'arrive  pas a comprendre sa réaction, elle tire
        sur l'otage et la blesse gravement.
Yves
-       Monsieur le commissaire, elle ne pouvait pas savoir
         qui fait ceci et qui fait cela ?

118      

Le commissaire

-    Tous cela me parait louche monsieur Yves, je n'arrive 

a coordonner cette prise en otage dans la banque et celui

du conducteurs de la R16TS rouge un policier de chez 

nous ? 
             
         Le ton se tu, une minute de silence permis de garder 
en éveille certains doutes ? Sophie se place sur le lit du 
même côté d'Yves. Le commissaire regarda sa montre puis, 
Sophie ,
-             Monsieur le commissaire je me souviens de l'arrivé 
            d'une troisième personnes , une femme blonde ?
Le commissaire,  
              . Et si cette victime-là fut la femme d'Yves ?

119

   Le commissaire restât songeur, un petit moment, puis
 il sortit de la pièce 
-           Monsieur l'agent de police, étiez-vous de 
            service le jour du braquage de la banque ?
-          Oui monsieur le commissaire.
-          Avez vous fait un rapport sur les nombres 
           d'ambulance ce jour là ?
-          Bien entendu.
-           Avez vous mentionné le nombre de victimes ?
-           Le nombreux de deux victimes dut au drame 
            fut mentionné dans le rapport. 
-          Et le nombre d'ambulance aussi ?
-          Oui, ils étaient deux.
-         Mademoiselle Sophie prêtant qu'ils étaient trois ?
-          Oui il furent trois véhicules donc un fourgon 
          qui emmena une personne qui a fait une grise 
          de nerfs. C'était une spectatrice qui n'avait pas 
          de papier juste une carte de la banque au prénom
          de Liliane que l'on a trouvé au sol, a coté d'elle.
   Yves senti bouillonner en lui une victoire, il fut certain 

120

de tirer la bonne réplique,
Yves,
-           Bien entendu monsieur le commissaire a cette 
            possibilité vous n'avez pas pensé ? 
Le commissaire,
-           Je veux bien vous croire, je prend les 
           dispositions pour consulter les interventions
           et admission  ce jour là.
Yves,
-          J'approuve votre objectif et j'en suis flatté 
           monsieur le commissaire.
      le commissaire quitta la pièce pour engager par 
téléphone  les recherches. Yves dit a Sophie,
-          Tu sais Sophie, heureusement que tu t'es 
           souvenu de ce qui c'est passé, je suis persuadé 
           qu’Éva fut emmené dans un hôpital approprié
           a son handicape mais sous le nom de Liliane ?           
        le commissaire mit du temps pour revenir, il est 11 
heures du matin quant ,
Le commissaire,
-            Les données correspondent effectivement, une 
             femme au nom de Liliane fut transporté dans 

121

            un hôpital psychiatrique suite a son comportement
            dépressif. Comme j'ai une photo de mariage, j'irais 
            moi-même la retrouver.
Yves,
-          Monsieur le commissaire pourra je vous accompagner ?
Le commissaire,
-           Monsieur Yves, vous n'étiez pas en bonne 
           santé, à la morgue la dernière fois, je réfléchi et 
            vous le dirais plus tard après le repas.
    Yves se retrouve seul, car Sophie a quitte la salle. 
Le repas de midi se sert, il est composé de sautée de 
port, de carottes émincé de pomme de terre et  d'un
morceau de fromage, avec un morceau de pain blanc. 
    Ses pensées d'Yves naviguèrent sur une autre planète .

       Au même moment, dans le château où se trouve 
Liliane(Eva) le repas de midi vient d'être servie. Les 
douleurs musculaires de Liliane ( Eva ) ont disparu, elle 
réussit à manipuler les couverts seule. 

122 

Liliane ( Eva ) mange le maximum qu'elle peut. Il faut 
des calories pour son départ qui se rapproche.
 
le commissaire retrouve Yves,
- Vous avez bien manger monsieur Yves ? 
Yves,
-  Oui monsieur le commissaire je suis en forme pour
    vous accompagner.
le commissaire,
-        Nous avons trouvé une personne répondant 
    au prénom de Liliane qui a été admis dans un autre
    Hôpital de la ville le jour ou la banque fut braqué. 
 Yves,
-      Donc, je n'ai pas tort, ma femme Eva fut 
     admisse dans un autre hôpital sous un autre
     nom ? 
Le commissaire,
-       Je ne suis pas de votre avis, il doit y avoir une
     erreur d'interprétation sur le nom de la personne  
     et qui a nécessité  la venue d'une autre véhicule. 
     le rapport de police ne précise pas d'où vint cette 
     troisième ambulance ?
      Yves est sur le point de monter le ton, sa persuasion 
que cette erreur tient la clé de l'innocence d'Eva .
Yves, 
-      Ne pouvons nous pas demander plus de détails à 
        l'agent de police 

123

Le commissaire,
-      Je prend votre remarque au sérieux et redemande 
        à mon collègue c'il ne sait pas où fut admis la 
       victime dépressive.
Yves,
-      Merci monsieur le commissaire.
  Yves transpire énormément, une soif eut asséché sa 
gorge et sa voix devint roc. Il se lève de son  lit pour 
avancer vers la carafe qui se trouve sur le rebord de 
la fenêtre. Ses mains transpirèrent et tremblent. Il 
voulut toucher le verre pour le remplir d'eau, celui 
ci glisse des mains sur  le carrelage. Yves continu de  
trembler. Une infirmière arrive et conseille a Yves de 
retourner dans son lit.
L infirmière, 
-           Ne vous faite pas tant de souci monsieur Yves, 
            les recherches sont en bonne voie.
Yves, 
-           merci 
     l'Infirmière lui  administre une piqûre pour qu'il 
retrouve des forces et déconseille Yves d'accompagner
le commissaire.
      Le commissaire revint une bonne heure plus tard 
avec comme nouvelles, 

124

-       Monsieur Yves, j'ai une bonne nouvelle pour 
         vous, effectivement une patiente a été transporté
        dans un fourgon le jour du braquage de la banque
        Elle fut envoyé dans une maison spécialisé pour 
        personne agressif, mais, dans une autre ville. Elle 
       eut mordu un policier en étant agiter. Des papiers de
        la banque  au nom de Liliane furent trouvé sur les
        lieux . Comme j'avais récupéré les photos de votre
         mariage je leur ait présenté et effectivement c'était
         votre femme Eva qu'il avait admis .
        Yves se releva rapidement de son lit, tente de trouver 
ses habites pour 
-        Je suis prêt monsieur le commissaire,
Le commissaire,
-        Pas si vite monsieur Yves, je n'ai pas finie, pour la
         retrouver j'ai besoins de l'accord de votre docteur.
   Il est 17 heures et le départ vers cette maison spécialisé 
peut être pris avec l'accord du médecin d'Yves. 

125

    La 404 Peugeot blanche du commissaire roula bon 
train, pour y parvenir car l'heure tourne et la journée
touche a sa fin. Dans l'habitacle, le silence fut de mise. 
Les retrouvailles donnent un ton encourageant.
  Enfin, ils arrivèrent devant ce grand bâtiment en 
pierres de tailles et aux vitres protégés par du grillages.
Cette  aperçu  ne rassure Yves , il est 19 heures.  
   Un grand portail en fer martelé et forgé, démontre 
qu'ils se trouvent devant une sorte de prison ?
    Une femme à l'âge avancé, se promène derrière ce
portail avec un bouquet de fleurs fanées. 
Le commissaire tire sur la corde relier a une cloche
car cette personne évite de leur parler.  Il actionne a
nouveau la cloche. Enfin , une bonne sœur arrive.  
-        Bonsoir monsieur, qu'est le sujet de votre visite ?
Le commissaire,
-        C'est la police, ma sœur, votre responsable fut 
          contacté.
Bonne sœur, 
-        Je ne possède pas de clé, je vais trouver la 
         responsable concernée.
    Elle repartie retrouver la responsable des lieux, a 
peine fut elle partie, que la personne âgé arrive avec  

126

son bouquet de fleurs fanée. 
-       Vous voulez des fleurs, elles ne sont pas chères,
-       Merci madame, nous ne voulons pas de fleurs, on 
         attend la responsable.
La personne âgé, 
-       Vous ne voulez pas les fleurs ?
  Le commissaire rougit, il dit d'un air embarrassé,
-        Ils valent combien les fleurs ?
La dame âgé
-        Pas chère monsieur vous me donnez ce que 
         vous voulez.
Le commissaire,
-        Mais où sont les fleurs qu'on nous propose ?
La dame âgé,
-        Elles sont dans le bureau de la responsable de 
          la maison.
  Le commissaire regard d'Yves d'un air étonné, puis 
 dit a la personne âgé,
-        Et bien madame, savez vous ce qu'il faut faire en
         cherchant le  bouquet,
la dame âgé,,  
-        Non, je fais ce qu'on me dit de faire monsieur.
Le commissaire,
-       Lorsque vous arrivez  dans le bureau de votre  
      responsable, vous lui demandez que des personnes
      veulent acheter le bouquet de fleurs et qu'il attendent
      derrière le portail de la porte d'entrée.

127

La dame âgés,
-        Mais monsieur, si je la demande, elle va croire 
      que j'ai faim ?
  Une autre femme arrive,
-    Ne l'écoutez pas, personne la croix moi j'ai 28 ans 
   je n'ai pas besoin de demander aux passant de leur
   vendre des fleurs. Je vais trouver la responsable.          
  Cette jeune femme partie, ouf, ils purent souffler un 
peu, mais le temps passe. Et dire qu’Éva se trouve dans
ce centre ? Une jeune personne arrive, 
-        Bonsoir monsieur, c'est bien vous qui venez de 
         la police ?
   Le commissaire présentât son papier officiel.
La responsable,
-        Je suis contente que vous venez monsieur le 
          commissaire, je suis rassuré que avez trouvé 
          le nom de la personne qui  répond au prénom 
         de Liliane mais qui est en réalité, Éva. 
Le commissaire, 
-         Madame, j'ai en ma possession une photo d'elle.
       Une seconde jeune femme qui l'accompagne leur   

128

demande,
-   puis je voir la photo.
   Elle la regarde et confirme,
-         Je reconnais cette personne, elle s'appelle 
          Liliane 
Cette réponse remplit le cœur d'Yves de bonheur, enfin, 
-         Vous voyez monsieur le commissaire, j'eus raison, 
          Eva est vivante.
   Enfin, Yves va pouvoir la revoir, la chérir, l'embrasser, 
l'aimer . La porte du lieux reste fermé . La responsable 
du lieux l'ouvre,
-         Messieurs, lorsque j'eus remarqué que cette jeune 
           femme ne sus s'exprimer on a décidez la résolution 
           suivante de la faire suivre par une institue qui 
           s'occupe de personnes muettes et malentendant. 
           Nous avions fait suivre son dossier au prénom de
           Liliane.
       Le récit de cette personne rendit Yves nerveux, cela le 
fatigua.
-          Mais chère madame, où se trouve cette institue ,
-           Elle est à une quarantaine de km d'ici.
  Le cœur d'Yves bâtait bien vite, dire qu'il se trouva a 
deux doigt de la revoir ?  
-           Nous allons la retrouver madame, pouvez-vous 
            nous donnez le numéraux du téléphone à l'institut 
             merci ? 
        Elle marque l'adresse sur du papier. Le commissaire
demande de pouvoir appeler son poste. Puis la 404 blanche
du commissaire partie en trompe.

JJM

suite au 7/8 

129

Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
Le roman est en cour de montage des changements 
peuvent suivre.
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Coïncidence 5/8 ( roman d'aventure )

mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2
Coïncidence

78














Dans la cabine du conducteur, un dialogue se poursuit,
-    Tu as eu peur que ce qui vient de se passer sera su par la direction ?
le chauffeur le regarda d'un air blizzard puis dit,
-    Cette fille-là n'est pas une salope comme tu me la fait croire elles est
      sérieuse.
-    Même si elle est sérieuse, elle ne parle pas, n(entend pas et puis pour 
     une fois, elle y aurait pris  plaisir.
-    Peut-être, mais c'est une lâcheté de notre part de vouloir abuser d'elle.
-    Je sais que tu as peur, qu'elle nous dénonce mais il est bien marqué 
      dans la lettre qu'elle est muette et sourde, il n'y a pas eut de risque.
-     On reprend la route.

79


  Dans la cabine arrière, Liliane (Eva) tremble durant dix minutes de route,
elle ne fut pas rassurée suite à cette tentative. Le véhicule se mit de nouveau
à l'arrêt. Serais se une nouvelle tentative de viol ? 
   La porte s'ouvre et la clarté extérieure éblouit un cour instant Liliane 
(Eva) qui restait recoquillé dans son coin.
   Les deux odieux personnages se trouvent de nouveau devant la porte du 
fourgon .  Ils ne pénètrent pas dans la cabine. 
   Un moment passe , personne ne rentre. Liliane (Eva) jeta son regard sur 
l'extérieur pour tenter de découvrir l'entourage. Elle laisse s'échapper
des larmes qu'elle essui temps bien que mal. 
    Elle remarque que le véhicule se trouve dans une cour pavées. Chaque 
détaille peut lui servir de basse pour une éventuelle fuite. Une troisième 
personne vient a la porte du fourgon. C'est une femme élégante, d'une
trentaine d'année en blouse blanche a moitié fermé, une partie de sa robe 
bleutée pouvait se voyait.
   Liliane(Eva) reste terrée dans son coin, recoquillé. Cette hôtesse 
d'accueil lui inspira peu de confiance, tout l'entourage parut hostile.
-     Mademoiselle Liliane, venez me rejoindre.
   L'onde du son de cette voix résonne aimablement dans le fourgon. 
Liliane ( Eva ) ne bouge pas.  L'hôtesse eut lu  l'entête de la lettre qui 
accompagne Liliane ( Eva ) et qui indiqua les références, et demande 
aux convoyeurs,
-     C'est bien comme cela qu'elle s'appelle ?

80

-      Oui madame la directrice, lissez la lettre complètement et vous verrez
        que l'la maison de repos d'où elle vient n'a rien de gracieux.
  Ce fut le chauffeur du fourgon qui vint de prononcer cette phrase, son 
compagnon rajouta,
-      Comme elle est sourde et muette nous ne pouvons lui demander 
     grand - chose.
         La directrice lit son dossier et ses coordonnées. Puis elle monta 
dans le fourgon pour prendre place en face de Liliane (Eva). Elle tente
de lui donner sa main, le refus fut catégorique. La directrice bougea 
ses mains d'une certaine manière qui veulent dire,
-    La maison d'où tu viens ne t'a pas arrangé, pauvre petite.
     En s'exprimant que Liliane (Eva) réussi à comprendre ses gestes.
    La voie du dialogue s'ouvre ce qui fait naitre une confiance . Les 
présentations sont faite et Liliane(Eva) suivi la directrice de cette 
établissement. Elles parcoururent la cour pavée où la propreté fut 
maîtresse des lieux. Au-delà sur la droite , l'ombre d une montagne
prend place sur l'étendu du champs de blée.
 
 81

        Liliane(Eva) retrouve cette ardeur d'être et la vie reprit 
son charme. Bien entendu, cet endroit fur un nouveau point de 
départ, pour mettre en action un plans d'évasion . La vue des 
champs de blés l'inspire plus que tout. Elle observe le grand 
bâtiment qui se trouve derrière elle, un ancien château semble
t'il, plus que centenaire. Les hautes fenêtres laissent entrevoir 
des plafonds ornée de moulures doré. De nombreux objets 
sculptés décorent l'entourage. Tout y est d'une remarquable 
beauté comme si l'on se trouve dans un conte de fée. Sa 
propreté réveilla la qualité de l'établissement
   Les deux femmes s'approchèrent d'un homme jardinier 
courbé dans une allé de fleurs. Celui-ci se relève  à leur 
présence et dit,
-    Madame la directrice, les lys a longue tiges ont terminé 
    leur floraison je coupe le dernier bouquet.
-    Ils sont d'une beauté remarquable cette année monsieur 
    Charles.
-     Je place ce bouquet dans la salle à manger ?
-     Oui monsieur Charles, c'est une bonne chose. Je vous 
    présente une  nouvelle venu, elle nous arrive du centre 
    psychiatrique, la malheureuse. 
  Le regard de Charles croise celui de Liliane (Eva) qui en 
fut bouleversé. Les personnes masculin ne lui donnent 
peut de confiance. Pour elle,  ils représente le mal.

82

    La main du jardinier lève le chapeau de paille en guise de 
politesse. Même ce geste ne la fit sourire mais elle répondit 
par un hochement de la tête.
  Elles avancent vers le château, et montent plusieurs marches 
pour aboutir a la grande entée grande ouverte. Les personnes 
que l'on croisent sont d'une politesse accueillantes. Le respect 
et la gentillesse sont de rigueur car chaque personnes leurs 
attribuent des salutations respectueux. 
   Elles pénétrèrent dans une immense salle entouré de portes 
et au centre, un large escalier en bois de chêne et hêtre. Elles
continuent leur découverte en se dirigeant vers cet escalier qui 
les mène à l'étage. Liliane (Eva) suit cette femme qui lui fait 
découvrir le château comme une guide.
   Au bout de cette ascension, le pallié de l'étage donne 
l'impression que nos chaussures s'enfoncent dans l'épais tapis 
de soie qui l'orne . 
    Elles aboutent dans un croisement de long couloirs, elles 
prennent la direction d'une porte sur laquelle est ciselé 
un numéraux dans un morceau de bois carré placé au-dessus 
du linteau. D'autres jeunes femmes y séjournent dans cette 
immense pièce où 10 lits sont superposés. 
    La curiosité des filles les attire toutes vers la porte d'entrée. 
Liliane (Eva) fut surprise de se devenir importante à leur yeux.

83

   Son accompagnatrice donne des signes compréhensibles et
 cette attroupement se place en rang . Liliane (Eva) observa les 
réactions de celles qui l'entourent et se rendit compte qu'elle 
est entouré de personnes répondant aux même handicaps.   
   Cette découverte lui redonne du courage, enfin elle put 
s'exprimer et dénoncer la faute sur son nom, mais, il faut 
patienter, la pleine confiance n'est pas pour ce jour.
    Elles sont nombreuses dans cette pièce et Liliane (Eva) a du 
mal à repérer une attache sur qui elle put reposer sa confiance.
Cette masse silencieuse mérite un peu de temps pour pouvoir
les  connaîtrais toutes.
    Sur un geste de la responsable de l'établissement, le groupe se
disperse chacune dans une direction différente. Aucun personnel
d'encadrement n'entoure les occupantes, l'ordre, le respect et le 
savoir vivre  compta pour toutes. Liliane (Eva) put avec la 
directrice découvrir les détails de l'endroit où elle passe ses 
nuits. Le lit, qu'elle lui proposa, se trouvait en dessous d'un autre
sur la droite de l'entrée pas loin d'une grande fenêtre. Cette 
proposition ne trouve de refus de sa part. Liliane (Eva) dispose
d'une armoire en bois, qui comporte deux portes.

84

L'armoire permît de départager les lits.
    Une de ces portes lui fut attribuée, mais, elle n'avait rien à y 
placer. La responsable ouvrit l'autre porte pour que Liliane 
(Eva) puisse voir le rangement de sa voisine. Cette découverte la 
chagrine, à la vue des beaux vêtements de qualité et le rangement
parfait de sa voisine. 
   Cette concentration d'observation multiplie ses intentions de 
retrouver Yves et le bien être de son passé. Rien n'est à critiquer 
pas même le parfum qu'émettent les vêtements dans cette armoire. 
La couleur bleu ciel des murs lui rappelle la mer et le ciel , ce
qu'elle observe la rassure. 
    Liliane ( Eva ) place son regard en direction des grandes 
fenêtre du château . De là , sur sont tracé, elle peut apercevoir 
une cour qui passe a l'arrière du château. Là aussi la propreté et 
l'ordre vont de paire ce qui est remarquable. 
     Dans ses découvertes, Liliane ( Eva )  remarque des vases, placé
sur les tableaux ,  remplit de bouquets de fleurs saisonnier. Une 
odeur de lavande embellit son entourage. Tous fut merveille , sauf 
que Liliane (Eva) ne se trouve pas auprès de son mari Yves ce
qui la chagrinait plus que tout.
   Le déséquilibre de  ses pensées, la font trembler car  la peur 
qu'un éventuel acte de haine, puisse retomber sur elle.
  Sur la porte de son armoire et du lit un nom fut placé, Liliane.

85

   Autour d'elle 16 personnes sont présente, chacune porte des 
vêtements différents de qualité ainsi des coiffures parfaites .
Il y a des jeunes femmes d'âge différent mais qui variait entre
vingt et trente ans. Chacune vient se présenter avec politesse en 
montrant sur un morceau de papier le nom, le prénom et leur
âge même que le temps qu'elles ont passé dans cette école.
   Liliane (Eva) reçu un morceau de papier pour y marquer ses 
références. Cette demande lui pose du soucie, elle hésita de
marquer son vrais nom et prénom car au fond elle se sentit 
coupable d'avoir tiré sur les personnes sortant de la banque.
Elle eut peur qu'elle dut retourner a l'asile et marqua sur le 
papier, Liliane 26 ans. Sur une pancarte est marqué,
- Il faut aller manger.
    L'ensemble propose par gestes à Liliane (Eva) qu'elle doit
les suivre. Toutes descendent dans cette vaste et belle salle 
où le soupé fut servie. Une bonne centaine de personnes s'y
sont attablé. Liliane (Eva) reste debout par respect,  telle une 
spectatrice sans savoir où se placer ?
  Le repas fut sur le point d'être servie, Liliane (Eva) reste  
debout, comme délaissé. La jeune femme qui occupe la 

86

même armoire qu'elle, remarque sa position et vient la trouver.
Elle lui tend la main pour que Liliane ( Eva ) la suive à la table 
qui lui est réservé. Autour de cette table six personnes ont prit 
leur place.
    Chaque femme se présente avec des mouvements de mains 
et de mimes que Liliane (Eva) déchiffre. Cette correspondance 
fait partie du programme d'apprentissage qui met en confiance 
les occupantes. Enfin, c'est au tour de Liliane (Eva ) de se 
présenter en dialoguant avec gestes et mimes. Sur le moment, 
Liliane (Eva ) elle ne voulu donner le moindre détails car ci
elle dévoile sa vrai identité, les personnes présente risque de
ne plus lui faire confiance, et son plans d'évasion pourrai 
 flancher .
     La douleur de ses bras persiste , elle à du mal pour couper 
le morceau de viande dans son assiette. Sa voisine remarque 
sa faiblesse et lui propose de la couper. Cette personne possède
tous les atouts pour que Liliane (Eva) lui accorde sa confiance.
    Le soupé terminé, la salle se vide rapidement. Liliane (Eva)
ne se laisse entraîner par cette foule et attendit que la salle 
fut vide. Puis, Liliane ( Eva ) parcoure seule le château, sa 
curiosité se conjugue a la mise en place d'une éventuelle 
évasion. 
  Une grande bais vitrée l'attire , elle égare son regard vers 

87

l'extérieure, celui de la liberté. Elle poursuit sa visite vers la 
porte de sortie . Elle descend les marches, du château , avec 
rejoindre une petite cour pavée.  De magnifique rosier rouge 
vif la bordent. La régularité de leur hauteur se signe par la 
référence d'un jardinier parfait. Une fontaine se trouve au 
centre de cette courette. Du débit coule une source d'eau 
transparente et fine qui retombe dans des bassins à 
plusieurs niveaux. Son rayon de trois mètre donne l'exemple
qu'une parfaite harmonie. La comparaison avec le précédant
établissement , d'où elle vient n'a pas de comparaison. Ici les 
personnes se déplacèrent librement. A partir de là ses doutes 
de réussir ses intentions l'incitent de partir au plus vite avant 
que la vérité vient occuper son dossier.
  Par la droite, aucune possibilité car un ruisseau de 2 mètres
de large coupa la possibilité. Par la gauche, oui, mais il faut
trouver le moment idéal pour s'y engager. Un chemin conduit
à travers champs vers cette liberté tant recherché. De l'espoir
transforme son comportement, elle devient forte et motivé. La 
fascination de la verdure et d'autres couleurs du paysage 
augmentèrent se désir.
  Sur un banc de pierre, elle y égare quelques minutes de 

88

réflexions tout en gardant le regard figé vers la porte de son 
évasion qui devra la guider vers Yves.
  Liliane ( Eva ) sursaute, une main vient de la toucher. Ce 
poids spontanée, provoque une crainte qui la fait trembler.
Elle n'a le courage de se retourner et laisse échapper ses ides
d'évasion. La personne qui vint de la touché se place devant 
elle.  Elle découvre celle qui lui eut coupé la viande dans 
son assiette durant le repas. Sa peur s'éclipse et Liliane
(Eva) retrouve le réconfort de cette jeune femme qui lui souri.
Une réaction analogue marqua le visage de Liliane (Eva).
   La méfiance est une réaction digne d'une personne déchu,
Liliane (Eva)  pour cette raison elle n'inspire de confiance à 
qui que ce soit.
        La rancune signe l'égoïsme parfait d'une personne sans 
pardon, cette lacune n'a pas  sa raison d'être chez Liliane (Eva)
qui n'abandonne pas, elle suit le dialogue et répond par 
mimes sourient que cette jeune femme est la bienvenu. 
    Celle-ci sortit de sa poche un morceau de papier et un 
craillon , elle y marqua,
-    Je m'appelle Anne, je ne peux pas parler mais je capte tous 

89

     les bruits et comprend toutes les paroles. J'ai 23 ans et je ne
     suis pas marié.
   Liliane (Eva) lut cette ligne, son cœur se rassure sans tarder, 
elle gribouilla une réponse,
-     Je ne suis pas Liliane, comme ils m'appellent, mon vrai 
      prénom est Eva. Toute cette parodie est dut a une erreur 
      d'admission du a l'interprétation de la police qui m'ont 
      incarner dans un hôpital psychiatrique car je ne sus
      m'exprimer. Par la suite l'on ma pas donné la possibilité 
      de pouvoir m'exprimer car mes mains étaient liée dans 
      une camisole durant les jours et les nuits. Mon entourage
      m'eut maltraité à plusieurs reprises et tout cela parce que 
      j'avais tenté d'accompagner mon mari a l'hôpital car les 
      malfaiteurs l'avaient agressé et blessé .
           Eva évite de préciser qu'elle fit feux par deux fois sur 
les malfaiteurs en blessant grièvement deux personnes. Cette 
pensée laisse s'échapper quelque larmes qui tombe sur la 
papier. Eva garde au fond d'elle-même ces détailles-là, qui 
sais, elle risqua de retourner dans l'asile ?
Pouvoir enfin s'exprimer avec une personne la soulage.
Qui sait, il se peut que cette personne pourrait lui venir

90

en aide ?
  Anne lut attentivement les lignes d'Éva , elle est consciente 
de l'injustice qu' Eva a subit et de l'aide qu' elle peut lui 
donner.
-     Tu sais Eva, ton malheur me touche profondément, la 
       tristesse suit ma sagesse. Je suis prête à t'aider s'il le 
       faut, je possède une faculté que tu n'as pas, je parle pas 
       mais j'écouterais a t'a place. Je traduirais ce que les 
       autres parlent entre eux. Notre amitié nous donnera une
       force que seule une union parfaite peut concevoir.

   ( Quant une personne est atteinte d'une maladie ou d'une 
incapacité physique elle prête attention à d'autres qui ont 
plus d'invalidité, par tous les moyens elle tente de l'aider.
Pour une personne normale, très peut ont le courage de 
leur donner de l'importance en les aidant.)

     Voilà ce qu'Anne ressentit et ce qu'elle a envie de partager
le malheur et bonheur à la fois. Elle vint de conclure un pacte
d'amitié qui circule sous forme de lignes de signes et de gestes.
Les deux jeunes femmes reprirent la direction de leur chambre.
Eva fit le signe de demander où se trouvèrent les douches. Anne
lui répondit en signes,
-    Avant que tu prennes une douche, il faut que tu changes tes

91

     habilles pour cela on prend la direction de mon armoire tu
     choisiras ce que bon te semble, comme on a la même taille
     il n'y a pas de problème.
      Eva eut pris ce qui lui plus et les mis, pour cela elle enlève 
ses vêtements , les partie dénudé laissent apparaître des  
blessures , ce qui choque Anne . Cette attention prouve que les
écrits correspondent. L'injustice et les actes de barbaries sont
le fruit d'un désordre parfait envers les imparfaits. Les bras 
d'Éva eurent du mal pour se rhabiller, Anne l'aide puis 
 l'accompagne dans les douches pour qu'elle puisse se laver.
La robe violette, parsemé de brindilles dorées, qu'Éva eut 
choisies, lui vas a  merveilleusement. Elle ressembla de nouveau
à une femme coquette. 
  Anne lui proposa de faire une promenade dans un des parcs
du château. La coquetterie possède ses valeurs, le montrer 
charme les admiratrices et admirateurs. Eva ne refuse point, 
cela lui permit de visiter dans les détailles les failles pour son
évasion. Les deux amies circulèrent entre les allées de rosiers
et les chemins qui contournèrent les autres fleurs du jardin. La
roseraie dégage autant de parfums que de sortes de rosiers.

92

Pas de doute, la main d'un jardinier de renom y eut plantée sa 
griffe. Eva se laissa attirer par ces senteurs qu'elle hume avec
bonheur. Les chemins sillonnèrent entre les haies pour aboutir
 devant une porte faite en lattes de toit qu'il suffit de pousser
pour  aboutir dans les champs de blés. 
   La chaleur de la journée s'échappa pour céder la place à la
fraîcheur du soir. Anne fit signe a Eva de la suivre sur un 
chemin en plein dans les champs pour découvrir la route 
départementale qui permettra de s'enfuir. Puis elle lui fit signe
que le soleil fut très bas et qu'ils durent rentrer. La nuit se 
présenta et la fatigue se ressentit chez Eva. Cette nuit fut la 
première depuis longtemps où Eva  peut dormir avec le cœur 
plein d'espérance  et un moral prêt à affronter le futur.
     Dans l'Hôpital d'Yves, les gardes occupèrent leur poste, l'un
dans sa chambre et l'autre devant la porte. Yves s'inquiétât de cette
présence, et surtout la raison ? Quelle peut être le facteur de cette
garde à vue ? Il eut beau s'imaginer des raisons aucune ne lui 
donna une bonne réponse.
   Au petit matin, à peine eut 'il avalé sa tasse de café et son morceau
de pain, le commissaire se trouva prêt de son lit. Il lui posa la

93

question suivante,
-     Votre femme  Eva a-t-elle des amies ou amis en ville ?
-     Non, ma femme Eva n'a pas d'amies ni amis dans cette ville.
-     Fit-elle partie d'une association ?
-      Oui, elle est inscrite dans la même société de tir au fusil que
        moi.
-       Vient elle souvent vous rentre visite dans la banque ?
-       Elle vient rarement dans la banque.
  Yves, surpris par ce questionnaire a répétition se demanda que
cache cette phrase ? Où se trouve sa femme Eva ? 
  Un moment de silence naquit dans cette pièce. Les deux personnes
réfléchir. Yves fut poussé à prononcer en premier une question,
-        Pourrez vous me dire où se trouve ma femme Eva ?
Le commissaire lui annonça,
-        Votre femme Eva fut victime des agresseurs, la mort eut raison
          d'elle.
    Cette réponse transforme les réactions d'Yves, l'émotions provoqua
une forte douleur dans son cœur. Des larmes humidifièrent son visage
et ses yeux reflétèrent la lumière de cette vie injuste et cruelle. Des 
doutes persévèrent il demanda,

94

-        Vos me dite commissaire qu'elle est morte, moi, je ne le crois
          pas.
  Dans les pensées du commissaire il n'y eut pas de surnaturelle, la 
morte est bien là.
-        Monsieur Yves, vous sentez vous capable de supporter de voir
          le corps de votre femme Eva ?
      Cette question bouleversa Yves, il réalise que les mots du 
commissaire pourraient être juste . Sur le coup, Yves hésite mais, 
il est certitude que le commissaire eut dort . La vérité peut diminuer
sa douleur ou l'augmenter ci c'est bien Eva qui est morte ?
    L'importance de revoir Eva est primordiale , même si c'est la 
victime . 

-        Mes souvenirs me rappelle bien qu'elle ne fut présente le jour du
          braquage de la banque.
-         Je veux bien vous croire, alors si le corps a la morgue n'est pas 
           celui de votre femme, elle portera la responsabilité de beaucoup
           d'autres suppositions. En premier, elle eut emporté le précieux
           livre que la ville fui eut confié ainsi que la disparition de vos biens
           monsieur Yves.
-          Ces présomptions en forme d'accusations, ne sont que des
            suppositions, tous ce que vous venez de me dire ne sont que des
            illusions.

95

-           Je peux vous affirmer monsieur Yves que votre appartement est 
            vide et qu'il ne reste plus d'objets aillant de la valeur. Votre 
            femme eut mimé un cambriolage pour effacer la disparition de
            plusieurs ouvrages de valeurs.
-           Cette accusation me lacère le cœur, elle est une femme honnête. et
             je la défend. Elle ne parle pas, n'entend pas comment aurait 'elle
             manigancé une mise en scène de la sorte et de cette ampleur 
             monsieur le commissaire ?
-            Il se peut qu'un meneur eut programmé toute cette mise en scène.
Yves garda la défense de sa femme Eva, toute accusation provoqué par 
le commissaire fut détournée. A partir de cet instant-là, une haine naquit
envers cette accusateur. Ce qu'il dit sont des leurres destinés pour que 
l'accusé perde le nord et se laisse intimidé pour le conduire à l'erreur.
On dit que prêcher le faux permet de récolter la vérité. Une lumière 
éclaira les pensées d'Yves, voilà la raison de la présence du service 
d'ordre, car ils le soupçonnent lui et Eva comme activiste dans cette 
histoire. La méfiance accumulé reflua chaque question posées qui ne
sont que des accusations injuste.
-         Monsieur la commissaire, je suis apte pour vous suivre, je veux
           avoir la certitude qu'Éva n'est pas morte.
-          Comme vous le voulez, je vous accompagne à la morgue pour 
           que vous l'identifier.

JJM


A suivre au 6/8 96


Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
Le roman est en cour de construction des changements peuvent suivre.
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