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28 novembre 2024

Coïncidence 5/8 ( roman d'aventure )

mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2
Coïncidence

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Dans la cabine du conducteur, un dialogue se poursuit,
-    Tu as eu peur que ce qui vient de se passer sera su par la direction ?
le chauffeur le regarda d'un air blizzard puis dit,
-    Cette fille-là n'est pas une salope comme tu me la fait croire elles est
      sérieuse.
-    Même si elle est sérieuse, elle ne parle pas, n(entend pas et puis pour 
     une fois, elle y aurait pris  plaisir.
-    Peut-être, mais c'est une lâcheté de notre part de vouloir abuser d'elle.
-    Je sais que tu as peur, qu'elle nous dénonce mais il est bien marqué 
      dans la lettre qu'elle est muette et sourde, il n'y a pas eut de risque.
-     On reprend la route.

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  Dans la cabine arrière, Liliane (Eva) tremble durant dix minutes de route,
elle ne fut pas rassurée suite à cette tentative. Le véhicule se mit de nouveau
à l'arrêt. Serais se une nouvelle tentative de viol ? 
   La porte s'ouvre et la clarté extérieure éblouit un cour instant Liliane 
(Eva) qui restait recoquillé dans son coin.
   Les deux odieux personnages se trouvent de nouveau devant la porte du 
fourgon .  Ils ne pénètrent pas dans la cabine. 
   Un moment passe , personne ne rentre. Liliane (Eva) jeta son regard sur 
l'extérieur pour tenter de découvrir l'entourage. Elle laisse s'échapper
des larmes qu'elle essui temps bien que mal. 
    Elle remarque que le véhicule se trouve dans une cour pavées. Chaque 
détaille peut lui servir de basse pour une éventuelle fuite. Une troisième 
personne vient a la porte du fourgon. C'est une femme élégante, d'une
trentaine d'année en blouse blanche a moitié fermé, une partie de sa robe 
bleutée pouvait se voyait.
   Liliane(Eva) reste terrée dans son coin, recoquillé. Cette hôtesse 
d'accueil lui inspira peu de confiance, tout l'entourage parut hostile.
-     Mademoiselle Liliane, venez me rejoindre.
   L'onde du son de cette voix résonne aimablement dans le fourgon. 
Liliane ( Eva ) ne bouge pas.  L'hôtesse eut lu  l'entête de la lettre qui 
accompagne Liliane ( Eva ) et qui indiqua les références, et demande 
aux convoyeurs,
-     C'est bien comme cela qu'elle s'appelle ?

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-      Oui madame la directrice, lissez la lettre complètement et vous verrez
        que l'la maison de repos d'où elle vient n'a rien de gracieux.
  Ce fut le chauffeur du fourgon qui vint de prononcer cette phrase, son 
compagnon rajouta,
-      Comme elle est sourde et muette nous ne pouvons lui demander 
     grand - chose.
         La directrice lit son dossier et ses coordonnées. Puis elle monta 
dans le fourgon pour prendre place en face de Liliane (Eva). Elle tente
de lui donner sa main, le refus fut catégorique. La directrice bougea 
ses mains d'une certaine manière qui veulent dire,
-    La maison d'où tu viens ne t'a pas arrangé, pauvre petite.
     En s'exprimant que Liliane (Eva) réussi à comprendre ses gestes.
    La voie du dialogue s'ouvre ce qui fait naitre une confiance . Les 
présentations sont faite et Liliane(Eva) suivi la directrice de cette 
établissement. Elles parcoururent la cour pavée où la propreté fut 
maîtresse des lieux. Au-delà sur la droite , l'ombre d une montagne
prend place sur l'étendu du champs de blée.
 
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        Liliane(Eva) retrouve cette ardeur d'être et la vie reprit 
son charme. Bien entendu, cet endroit fur un nouveau point de 
départ, pour mettre en action un plans d'évasion . La vue des 
champs de blés l'inspire plus que tout. Elle observe le grand 
bâtiment qui se trouve derrière elle, un ancien château semble
t'il, plus que centenaire. Les hautes fenêtres laissent entrevoir 
des plafonds ornée de moulures doré. De nombreux objets 
sculptés décorent l'entourage. Tout y est d'une remarquable 
beauté comme si l'on se trouve dans un conte de fée. Sa 
propreté réveilla la qualité de l'établissement
   Les deux femmes s'approchèrent d'un homme jardinier 
courbé dans une allé de fleurs. Celui-ci se relève  à leur 
présence et dit,
-    Madame la directrice, les lys a longue tiges ont terminé 
    leur floraison je coupe le dernier bouquet.
-    Ils sont d'une beauté remarquable cette année monsieur 
    Charles.
-     Je place ce bouquet dans la salle à manger ?
-     Oui monsieur Charles, c'est une bonne chose. Je vous 
    présente une  nouvelle venu, elle nous arrive du centre 
    psychiatrique, la malheureuse. 
  Le regard de Charles croise celui de Liliane (Eva) qui en 
fut bouleversé. Les personnes masculin ne lui donnent 
peut de confiance. Pour elle,  ils représente le mal.

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    La main du jardinier lève le chapeau de paille en guise de 
politesse. Même ce geste ne la fit sourire mais elle répondit 
par un hochement de la tête.
  Elles avancent vers le château, et montent plusieurs marches 
pour aboutir a la grande entée grande ouverte. Les personnes 
que l'on croisent sont d'une politesse accueillantes. Le respect 
et la gentillesse sont de rigueur car chaque personnes leurs 
attribuent des salutations respectueux. 
   Elles pénétrèrent dans une immense salle entouré de portes 
et au centre, un large escalier en bois de chêne et hêtre. Elles
continuent leur découverte en se dirigeant vers cet escalier qui 
les mène à l'étage. Liliane (Eva) suit cette femme qui lui fait 
découvrir le château comme une guide.
   Au bout de cette ascension, le pallié de l'étage donne 
l'impression que nos chaussures s'enfoncent dans l'épais tapis 
de soie qui l'orne . 
    Elles aboutent dans un croisement de long couloirs, elles 
prennent la direction d'une porte sur laquelle est ciselé 
un numéraux dans un morceau de bois carré placé au-dessus 
du linteau. D'autres jeunes femmes y séjournent dans cette 
immense pièce où 10 lits sont superposés. 
    La curiosité des filles les attire toutes vers la porte d'entrée. 
Liliane (Eva) fut surprise de se devenir importante à leur yeux.

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   Son accompagnatrice donne des signes compréhensibles et
 cette attroupement se place en rang . Liliane (Eva) observa les 
réactions de celles qui l'entourent et se rendit compte qu'elle 
est entouré de personnes répondant aux même handicaps.   
   Cette découverte lui redonne du courage, enfin elle put 
s'exprimer et dénoncer la faute sur son nom, mais, il faut 
patienter, la pleine confiance n'est pas pour ce jour.
    Elles sont nombreuses dans cette pièce et Liliane (Eva) a du 
mal à repérer une attache sur qui elle put reposer sa confiance.
Cette masse silencieuse mérite un peu de temps pour pouvoir
les  connaîtrais toutes.
    Sur un geste de la responsable de l'établissement, le groupe se
disperse chacune dans une direction différente. Aucun personnel
d'encadrement n'entoure les occupantes, l'ordre, le respect et le 
savoir vivre  compta pour toutes. Liliane (Eva) put avec la 
directrice découvrir les détails de l'endroit où elle passe ses 
nuits. Le lit, qu'elle lui proposa, se trouvait en dessous d'un autre
sur la droite de l'entrée pas loin d'une grande fenêtre. Cette 
proposition ne trouve de refus de sa part. Liliane (Eva) dispose
d'une armoire en bois, qui comporte deux portes.

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L'armoire permît de départager les lits.
    Une de ces portes lui fut attribuée, mais, elle n'avait rien à y 
placer. La responsable ouvrit l'autre porte pour que Liliane 
(Eva) puisse voir le rangement de sa voisine. Cette découverte la 
chagrine, à la vue des beaux vêtements de qualité et le rangement
parfait de sa voisine. 
   Cette concentration d'observation multiplie ses intentions de 
retrouver Yves et le bien être de son passé. Rien n'est à critiquer 
pas même le parfum qu'émettent les vêtements dans cette armoire. 
La couleur bleu ciel des murs lui rappelle la mer et le ciel , ce
qu'elle observe la rassure. 
    Liliane ( Eva ) place son regard en direction des grandes 
fenêtre du château . De là , sur sont tracé, elle peut apercevoir 
une cour qui passe a l'arrière du château. Là aussi la propreté et 
l'ordre vont de paire ce qui est remarquable. 
     Dans ses découvertes, Liliane ( Eva )  remarque des vases, placé
sur les tableaux ,  remplit de bouquets de fleurs saisonnier. Une 
odeur de lavande embellit son entourage. Tous fut merveille , sauf 
que Liliane (Eva) ne se trouve pas auprès de son mari Yves ce
qui la chagrinait plus que tout.
   Le déséquilibre de  ses pensées, la font trembler car  la peur 
qu'un éventuel acte de haine, puisse retomber sur elle.
  Sur la porte de son armoire et du lit un nom fut placé, Liliane.

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   Autour d'elle 16 personnes sont présente, chacune porte des 
vêtements différents de qualité ainsi des coiffures parfaites .
Il y a des jeunes femmes d'âge différent mais qui variait entre
vingt et trente ans. Chacune vient se présenter avec politesse en 
montrant sur un morceau de papier le nom, le prénom et leur
âge même que le temps qu'elles ont passé dans cette école.
   Liliane (Eva) reçu un morceau de papier pour y marquer ses 
références. Cette demande lui pose du soucie, elle hésita de
marquer son vrais nom et prénom car au fond elle se sentit 
coupable d'avoir tiré sur les personnes sortant de la banque.
Elle eut peur qu'elle dut retourner a l'asile et marqua sur le 
papier, Liliane 26 ans. Sur une pancarte est marqué,
- Il faut aller manger.
    L'ensemble propose par gestes à Liliane (Eva) qu'elle doit
les suivre. Toutes descendent dans cette vaste et belle salle 
où le soupé fut servie. Une bonne centaine de personnes s'y
sont attablé. Liliane (Eva) reste debout par respect,  telle une 
spectatrice sans savoir où se placer ?
  Le repas fut sur le point d'être servie, Liliane (Eva) reste  
debout, comme délaissé. La jeune femme qui occupe la 

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même armoire qu'elle, remarque sa position et vient la trouver.
Elle lui tend la main pour que Liliane ( Eva ) la suive à la table 
qui lui est réservé. Autour de cette table six personnes ont prit 
leur place.
    Chaque femme se présente avec des mouvements de mains 
et de mimes que Liliane (Eva) déchiffre. Cette correspondance 
fait partie du programme d'apprentissage qui met en confiance 
les occupantes. Enfin, c'est au tour de Liliane (Eva ) de se 
présenter en dialoguant avec gestes et mimes. Sur le moment, 
Liliane (Eva ) elle ne voulu donner le moindre détails car ci
elle dévoile sa vrai identité, les personnes présente risque de
ne plus lui faire confiance, et son plans d'évasion pourrai 
 flancher .
     La douleur de ses bras persiste , elle à du mal pour couper 
le morceau de viande dans son assiette. Sa voisine remarque 
sa faiblesse et lui propose de la couper. Cette personne possède
tous les atouts pour que Liliane (Eva) lui accorde sa confiance.
    Le soupé terminé, la salle se vide rapidement. Liliane (Eva)
ne se laisse entraîner par cette foule et attendit que la salle 
fut vide. Puis, Liliane ( Eva ) parcoure seule le château, sa 
curiosité se conjugue a la mise en place d'une éventuelle 
évasion. 
  Une grande bais vitrée l'attire , elle égare son regard vers 

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l'extérieure, celui de la liberté. Elle poursuit sa visite vers la 
porte de sortie . Elle descend les marches, du château , avec 
rejoindre une petite cour pavée.  De magnifique rosier rouge 
vif la bordent. La régularité de leur hauteur se signe par la 
référence d'un jardinier parfait. Une fontaine se trouve au 
centre de cette courette. Du débit coule une source d'eau 
transparente et fine qui retombe dans des bassins à 
plusieurs niveaux. Son rayon de trois mètre donne l'exemple
qu'une parfaite harmonie. La comparaison avec le précédant
établissement , d'où elle vient n'a pas de comparaison. Ici les 
personnes se déplacèrent librement. A partir de là ses doutes 
de réussir ses intentions l'incitent de partir au plus vite avant 
que la vérité vient occuper son dossier.
  Par la droite, aucune possibilité car un ruisseau de 2 mètres
de large coupa la possibilité. Par la gauche, oui, mais il faut
trouver le moment idéal pour s'y engager. Un chemin conduit
à travers champs vers cette liberté tant recherché. De l'espoir
transforme son comportement, elle devient forte et motivé. La 
fascination de la verdure et d'autres couleurs du paysage 
augmentèrent se désir.
  Sur un banc de pierre, elle y égare quelques minutes de 

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réflexions tout en gardant le regard figé vers la porte de son 
évasion qui devra la guider vers Yves.
  Liliane ( Eva ) sursaute, une main vient de la toucher. Ce 
poids spontanée, provoque une crainte qui la fait trembler.
Elle n'a le courage de se retourner et laisse échapper ses ides
d'évasion. La personne qui vint de la touché se place devant 
elle.  Elle découvre celle qui lui eut coupé la viande dans 
son assiette durant le repas. Sa peur s'éclipse et Liliane
(Eva) retrouve le réconfort de cette jeune femme qui lui souri.
Une réaction analogue marqua le visage de Liliane (Eva).
   La méfiance est une réaction digne d'une personne déchu,
Liliane (Eva)  pour cette raison elle n'inspire de confiance à 
qui que ce soit.
        La rancune signe l'égoïsme parfait d'une personne sans 
pardon, cette lacune n'a pas  sa raison d'être chez Liliane (Eva)
qui n'abandonne pas, elle suit le dialogue et répond par 
mimes sourient que cette jeune femme est la bienvenu. 
    Celle-ci sortit de sa poche un morceau de papier et un 
craillon , elle y marqua,
-    Je m'appelle Anne, je ne peux pas parler mais je capte tous 

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     les bruits et comprend toutes les paroles. J'ai 23 ans et je ne
     suis pas marié.
   Liliane (Eva) lut cette ligne, son cœur se rassure sans tarder, 
elle gribouilla une réponse,
-     Je ne suis pas Liliane, comme ils m'appellent, mon vrai 
      prénom est Eva. Toute cette parodie est dut a une erreur 
      d'admission du a l'interprétation de la police qui m'ont 
      incarner dans un hôpital psychiatrique car je ne sus
      m'exprimer. Par la suite l'on ma pas donné la possibilité 
      de pouvoir m'exprimer car mes mains étaient liée dans 
      une camisole durant les jours et les nuits. Mon entourage
      m'eut maltraité à plusieurs reprises et tout cela parce que 
      j'avais tenté d'accompagner mon mari a l'hôpital car les 
      malfaiteurs l'avaient agressé et blessé .
           Eva évite de préciser qu'elle fit feux par deux fois sur 
les malfaiteurs en blessant grièvement deux personnes. Cette 
pensée laisse s'échapper quelque larmes qui tombe sur la 
papier. Eva garde au fond d'elle-même ces détailles-là, qui 
sais, elle risqua de retourner dans l'asile ?
Pouvoir enfin s'exprimer avec une personne la soulage.
Qui sait, il se peut que cette personne pourrait lui venir

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en aide ?
  Anne lut attentivement les lignes d'Éva , elle est consciente 
de l'injustice qu' Eva a subit et de l'aide qu' elle peut lui 
donner.
-     Tu sais Eva, ton malheur me touche profondément, la 
       tristesse suit ma sagesse. Je suis prête à t'aider s'il le 
       faut, je possède une faculté que tu n'as pas, je parle pas 
       mais j'écouterais a t'a place. Je traduirais ce que les 
       autres parlent entre eux. Notre amitié nous donnera une
       force que seule une union parfaite peut concevoir.

   ( Quant une personne est atteinte d'une maladie ou d'une 
incapacité physique elle prête attention à d'autres qui ont 
plus d'invalidité, par tous les moyens elle tente de l'aider.
Pour une personne normale, très peut ont le courage de 
leur donner de l'importance en les aidant.)

     Voilà ce qu'Anne ressentit et ce qu'elle a envie de partager
le malheur et bonheur à la fois. Elle vint de conclure un pacte
d'amitié qui circule sous forme de lignes de signes et de gestes.
Les deux jeunes femmes reprirent la direction de leur chambre.
Eva fit le signe de demander où se trouvèrent les douches. Anne
lui répondit en signes,
-    Avant que tu prennes une douche, il faut que tu changes tes

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     habilles pour cela on prend la direction de mon armoire tu
     choisiras ce que bon te semble, comme on a la même taille
     il n'y a pas de problème.
      Eva eut pris ce qui lui plus et les mis, pour cela elle enlève 
ses vêtements , les partie dénudé laissent apparaître des  
blessures , ce qui choque Anne . Cette attention prouve que les
écrits correspondent. L'injustice et les actes de barbaries sont
le fruit d'un désordre parfait envers les imparfaits. Les bras 
d'Éva eurent du mal pour se rhabiller, Anne l'aide puis 
 l'accompagne dans les douches pour qu'elle puisse se laver.
La robe violette, parsemé de brindilles dorées, qu'Éva eut 
choisies, lui vas a  merveilleusement. Elle ressembla de nouveau
à une femme coquette. 
  Anne lui proposa de faire une promenade dans un des parcs
du château. La coquetterie possède ses valeurs, le montrer 
charme les admiratrices et admirateurs. Eva ne refuse point, 
cela lui permit de visiter dans les détailles les failles pour son
évasion. Les deux amies circulèrent entre les allées de rosiers
et les chemins qui contournèrent les autres fleurs du jardin. La
roseraie dégage autant de parfums que de sortes de rosiers.

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Pas de doute, la main d'un jardinier de renom y eut plantée sa 
griffe. Eva se laissa attirer par ces senteurs qu'elle hume avec
bonheur. Les chemins sillonnèrent entre les haies pour aboutir
 devant une porte faite en lattes de toit qu'il suffit de pousser
pour  aboutir dans les champs de blés. 
   La chaleur de la journée s'échappa pour céder la place à la
fraîcheur du soir. Anne fit signe a Eva de la suivre sur un 
chemin en plein dans les champs pour découvrir la route 
départementale qui permettra de s'enfuir. Puis elle lui fit signe
que le soleil fut très bas et qu'ils durent rentrer. La nuit se 
présenta et la fatigue se ressentit chez Eva. Cette nuit fut la 
première depuis longtemps où Eva  peut dormir avec le cœur 
plein d'espérance  et un moral prêt à affronter le futur.
     Dans l'Hôpital d'Yves, les gardes occupèrent leur poste, l'un
dans sa chambre et l'autre devant la porte. Yves s'inquiétât de cette
présence, et surtout la raison ? Quelle peut être le facteur de cette
garde à vue ? Il eut beau s'imaginer des raisons aucune ne lui 
donna une bonne réponse.
   Au petit matin, à peine eut 'il avalé sa tasse de café et son morceau
de pain, le commissaire se trouva prêt de son lit. Il lui posa la

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question suivante,
-     Votre femme  Eva a-t-elle des amies ou amis en ville ?
-     Non, ma femme Eva n'a pas d'amies ni amis dans cette ville.
-     Fit-elle partie d'une association ?
-      Oui, elle est inscrite dans la même société de tir au fusil que
        moi.
-       Vient elle souvent vous rentre visite dans la banque ?
-       Elle vient rarement dans la banque.
  Yves, surpris par ce questionnaire a répétition se demanda que
cache cette phrase ? Où se trouve sa femme Eva ? 
  Un moment de silence naquit dans cette pièce. Les deux personnes
réfléchir. Yves fut poussé à prononcer en premier une question,
-        Pourrez vous me dire où se trouve ma femme Eva ?
Le commissaire lui annonça,
-        Votre femme Eva fut victime des agresseurs, la mort eut raison
          d'elle.
    Cette réponse transforme les réactions d'Yves, l'émotions provoqua
une forte douleur dans son cœur. Des larmes humidifièrent son visage
et ses yeux reflétèrent la lumière de cette vie injuste et cruelle. Des 
doutes persévèrent il demanda,

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-        Vos me dite commissaire qu'elle est morte, moi, je ne le crois
          pas.
  Dans les pensées du commissaire il n'y eut pas de surnaturelle, la 
morte est bien là.
-        Monsieur Yves, vous sentez vous capable de supporter de voir
          le corps de votre femme Eva ?
      Cette question bouleversa Yves, il réalise que les mots du 
commissaire pourraient être juste . Sur le coup, Yves hésite mais, 
il est certitude que le commissaire eut dort . La vérité peut diminuer
sa douleur ou l'augmenter ci c'est bien Eva qui est morte ?
    L'importance de revoir Eva est primordiale , même si c'est la 
victime . 

-        Mes souvenirs me rappelle bien qu'elle ne fut présente le jour du
          braquage de la banque.
-         Je veux bien vous croire, alors si le corps a la morgue n'est pas 
           celui de votre femme, elle portera la responsabilité de beaucoup
           d'autres suppositions. En premier, elle eut emporté le précieux
           livre que la ville fui eut confié ainsi que la disparition de vos biens
           monsieur Yves.
-          Ces présomptions en forme d'accusations, ne sont que des
            suppositions, tous ce que vous venez de me dire ne sont que des
            illusions.

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-           Je peux vous affirmer monsieur Yves que votre appartement est 
            vide et qu'il ne reste plus d'objets aillant de la valeur. Votre 
            femme eut mimé un cambriolage pour effacer la disparition de
            plusieurs ouvrages de valeurs.
-           Cette accusation me lacère le cœur, elle est une femme honnête. et
             je la défend. Elle ne parle pas, n'entend pas comment aurait 'elle
             manigancé une mise en scène de la sorte et de cette ampleur 
             monsieur le commissaire ?
-            Il se peut qu'un meneur eut programmé toute cette mise en scène.
Yves garda la défense de sa femme Eva, toute accusation provoqué par 
le commissaire fut détournée. A partir de cet instant-là, une haine naquit
envers cette accusateur. Ce qu'il dit sont des leurres destinés pour que 
l'accusé perde le nord et se laisse intimidé pour le conduire à l'erreur.
On dit que prêcher le faux permet de récolter la vérité. Une lumière 
éclaira les pensées d'Yves, voilà la raison de la présence du service 
d'ordre, car ils le soupçonnent lui et Eva comme activiste dans cette 
histoire. La méfiance accumulé reflua chaque question posées qui ne
sont que des accusations injuste.
-         Monsieur la commissaire, je suis apte pour vous suivre, je veux
           avoir la certitude qu'Éva n'est pas morte.
-          Comme vous le voulez, je vous accompagne à la morgue pour 
           que vous l'identifier.

JJM


A suivre au 6/8 96


Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
Le roman est en cour de construction des changements peuvent suivre.
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A ce jour, 29 10 2019, 9 031 lecteurs.
A ce jour, 30 07 2020, 9 595 lecteurs.
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Coïncidence 4/8 ( roman d'aventure )

mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2
SVP ne changer pas le texte, je ne gagne rien et il est 
protégé.
Coïncidence 4/8

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       Pour Yves, l'espoir donne un  signe de victoire car, quelques mots 
sortirent de sa bouche. Ils donnent des certitudes sur la sortie de son 
comma. Le monde médicale le suivi avec encouragement et écoutèrent 
les paroles suivante,
-       Eva, où est Eva ?
-       Où est Eva ?
   IL prononce ses mots sans arrêt. Ce réveille attire un grand nombre 
de médecins et du personnelle soignant. Le commissaire fut aussi là, il 
ne voulut perdre un moment pour son enquête. Petit à petit, les mots 
devinent compréhensibles et constructif, le mot Eva suivit chaque 
mot et phrase. L’impatience du commissaire n’hésite pas pour le 
questionner.
-     Monsieur Yves, où se trouve Eva ?
  Pas de réponse, a part la question suivante,
-       Où est ma femme Eva ?
-       Monsieur Yves, vous souvenez vous du braquage de la banque ?
-       Non pas exactement, où se trouve Eva ?
-       Monsieur Yves, qui vous a frappé ?
-       Une personne inconnu de la banque, mais où est Eva ?

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  l'un des médecins dit au commissaire,
-         Il faut le laisser récupérer, monsieur le commissaire laissez le 
           passer une nuit cela lui permettra de retrouver ses forces  
           physique et psychologique. Votre questionnaire le fatigue de 
           trop.
-          C'est bon docteur, je reviens demain matin.
  le lendemain matin , le commissaire est prêt du malade Yves. La nuit 
a porté ses fruits, car Yves a récupéré une bonne partie de ses facultés .
Yves a retrouvé ses réactions. Sans tarder le commissaire le questionne,
-        Votre femme Eva, fut elle présente le jour du braquage de la 
          banque ?
-         De quel braquage, de quelle banque ? je ne me souviens de rien.
-         La blessure qui vous a plongé dans le coma, qui vous a agressé ?
-         Vaguement, mais que n'est il arrivé au juste ?
-          D'après les témoignages de vos collègues, vous avez reçu un 
           coup de crosse de l'un de vos agresseurs.
-         je me rappelle de rien.
-         Votre femme Eva, a t elle des amies au amis en ville ?
Ce questionnaire bouleversa profondément Yves qui répondit fermement,
-        Mais, ma femme où se trouve t elle ? elle n'a pas d'amies ou 

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         amis en ville, a pars la voisine ?
  Son regarde étonné observa le commissaire, comme pour tenter de 
découvrir les prochaines questions déprimantes qu'il alla lui poser.
-       Justement monsieur Yves, elle a disparu avec pas mal de bien 
        de votre habitation et surtout avec le livre ancien qu'elle dut 
        relier.
  Ces questions réveillèrent par petite touche le trou noir dans lequel
Yves fut plongé. Le médecin dit au commissaire,
-       Revenez plus tard, monsieur le commissaire, nous devons 
        poursuivre les soins.
         Dans la maison spécialisée, le repas fut servi. Pour ce fait,
toutes les femmes de la chambre où se trouva Liliane (Eva) se 
préparèrent pour rejoindre la salle à manger. Liliane (Eva) dut 
carder son embarrassante camisole. Elle suivit les autres femmes
au réfectoire une honte gorgé de mépris. Personne ne remarque 
son habille, elle passa inaperçu comme si rien ne fut. 
   Liliane (Eva) poursuit sa marche vers une table de quatre place 
où sont marqué ,à l'aide d'une peinture d'huile, les numéros que 
chacune porte sur un écriteau accroché autour du cou . 
   Liliane (Eva) porte le 4,  elle s'y place , en dernière, sur la 
chaise figure son nom. Elle observe son entourage avec curiosité 
et remarque que les couverts sont en matière plastique rose. 
Les couteaux n'ont pas de tranchant et sont arrondie. Pas 

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de pointe pour les fourchettes. Mais, comment peut elle manger
avec les mains bloqués ?
      Le repas est servi par des personnes qui  poussent des 
chariots remplit de crudités, de cruches en plastique d'eau, et des 
plats dans des récipients de bois. L'odeur de leur contenu parvint 
aux narines de Liliane (Eva) qui analysa que c'est du rôti de veau,
des pommes de terre purée, de la salade verte qui leur sera servi.
    Le personnel de service se rapproche de Liliane (Eva) et la 
regarde d'un air étonné, puis se retourne en direction de ses 
supérieurs en manifestant son mécontentement en gesticulant 
leurs mains.
   Liliane (Eva) suivit la direction où sont réceptionné les signes.
De là arrivèrent deux surveillants qui réveillèrent son attention.
 Elle se souvint des coups que l'un des individus lui infligea dans 
la pièce capitonné.
   Le plus grand d'entre eux lui fait le plus peur, elle en trembla car
c'est bien celui là qui se donna a cœur joie pour la maltraiter. Il se 
mit a rire la bouche grande ouverte avec une méprise sans 
scrupule. Cette odieux personnage la hait ,pourquoi ? Il se 
dirigea vers une autre table pour récupérer une chaise resté libre.

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Les trois compagnes de Liliane en furent étonnées comme si une
vilaine bête vint les surveiller. Aucun pensionnaire n'évoque un 
sourire d'encouragement toutes furent soucieuses.
   Notre personnage prit place à coté de Liliane (Eva). Il remplit 
la cuiller en plastique d'une bonne couche de purée de pomme 
de terre qu'il souleva pour la placer dans la bouche de Liliane
(Eva). Avec la main gauche il lui empoigna ses long cheveux 
blonds miel. Au moment où la bouche s'ouvrit il poussa la tête
vers la cuiller pour que celle ci touche le fond de la gorge. La 
brutalité de cet individu est exagérée. Liliane (Eva) tente de 
reculer mais cette brute sans scrupule la maintenait tout en 
riant à forte voix la bouche grande ouverte. Liliane (Eva) lui
cracha tous ce qu'il voulut lui gaver, en pleine figure. Une 
bonne partie atteint son but,  en plein centre de sa bouche 
quant au reste, il s'éparpilla sur le visage et ses habilles. 
l'homme se relève brusquement de sa chaise. 
    Cette réaction provoque un enchaînement de claques qu'il 
attribua à Liliane (Eva). Il n'interrompe cette action et frappe
sens compter.
     Soudain, une main de femme l'en empêche. Ce freinage
n'est pas bien venu car avec l'autre main, il tenta de répliquer.

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A la vue du médecin Lucie, il se rétracta. Toute la salle évoque
un soulagement de victoire en frappant des mains.
    Liliane (Eva) fut toute rouge de peur mais aussi des marques
du aux nombreuses claques. Elle tremble comme une feuille mais
ressenti une victoire. Ses larmes collèrent sur ses joues jusqu'à
 tacher sa robe rayée de rouge et de blanc. Lucie essuya cette 
tache puis, elle continua de lui donner a manger.
           Depuis que Yves retrouva sa raison d'être, il ne dormait 
plus et la nuits devint interminable, Eva lui manqua plus que tout.
l'amour est le fruit d'une récolte, un besoin d'attache qui comble 
le trou noir de l'incertitude du lendemain. Dans cet engrenage les
deux amoureux suivirent la même onde de retrouvailles. 
  Eva réfléchit sur une éventuelle évasion de cet hôpital spécialisé 
qui abaisse les personnes au plus bas niveau. Pour elle l'ensemble 
du personnelle a les mêmes valeur sur leur comportement. Même 
Lucie, qui ne réussi a la libérer Eva de cette camisole . 
    Chaque moment devient souffrance et une aberration qui la
couvre d'actes d'incohérence. Il y a beau implorer un Dieu 
quelconque aucun ne lui vint en aide.

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  Cette nouvelle nuit s'écoula avec lenteur. Une nouvelle épreuve
attendit les deux amoureux, Yves sut qu'au premier levé du jour le
commissaire viendra le questionner. Le médecin accepta qu'Yves
fut questionné un peut plus longtemps car la nuit lui eut porté une
augmentation de ces capacités intellectuelles.
  Le commissaire n'eut pas perdu son temps a la première occasion 
du matin, il questionna de nouveau Yves.
-       Votre femme a t elle des amies ou amis dans la ville?
-       Non pas que je sache.
-       Fréquente t elle une association quelconque ?
-       Oui, dans une association de tir de compétition dans laquelle
         je suis aussi inscrit.
  Yves trouve cette question un beau blizzard ?
-       Votre femme fut elle présente le jour du braquage de la banque ?
-       Elle n'y fut pas, regardez sur les caméras.
  Les pensées d'Yves se préoccupèrent de cette question il pensa mais
que reproche le commissaire a Eva ?
-       Connaissez vous vos agresseurs ?
-       Je ne les ai jamais rencontrés.
  Yves leva son bras pour lui montrer la blessure qu'il eut acquit. Il

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se mit a son tour a questionner le commissaire,
-      Monsieur qu'elle est le motif de tout ce questionnaire et où se
       trouve ma femme Eva ?
  le commissaire pris au dépourvu ne sut que répondre,
-     Monsieur Yves votre femme se trouve certainement dans un 
      hôpital elle eut subit un choque.
-     Puis je la voir ?
-     Justement nous ne savons pas ci c'est bien elle ?
  Ce fut une manière de laissé en veille la vérité, celle de lui dire
que sa femme fut introuvable. Le médecin vint dire,
-      Monsieur le commissaire, nous devons donner des soins a notre
       patient, revenez demain.
-      Je reviendrais demain docteur. Bon rétablissement monsieur 
       Yves.
   Dans le centre où se trouve Liliane( Eva ) des discutions entre 
médecins reprennent.  La stagiaire Lucie, la défend tant bien que
mal devant les autres qui ne lui prêtèrent la moindre attention.
Pour eux, ce ne fut qu'une poupée démunie de ses bras et qui 
n'émet le moindre bruit. Bref, une statue vivante couché là.
    Lucie, la médecin, vint retrouver Liliane ( Eva ) accompagné 
d'une autre personne du personnelle . Ils discutèrent entre elle
tout en s'approchant de sa table.
Les autres femmes la suivirent pas a pas. L'une d'elle dit

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-      Docteur Lucie, elle n'est pas méchante du tout Liliane (Eva)
-      Oui je le sais Maryse mais il faut l'autorisation du directeur
       pour lui redonner la liberté de ses mains.
  Lucie s'adressa e son accompagnateur ,
-      Ce qui vint d'arriver, au repas, est une preuve que l'on ne 
        tient pas compte du comportement de l'handicape de Liliane 
       (Eva) mais bien de la personne de service qui est agressif . 
        Liliane ( Eva ) ne médite pas d'être traitée de la sorte cette
        endroit ne correspond a son cas.
-       Bon, je reconnais qu'elle doit retrouver la liberté de ses bras, 
        allons dans mon bureau pour signer la décharge.
   Dans les pensées de Liliane (Eva) une espérance nait, elle 
arriva par déchiffrer quelques signes sur les lèvres du docteur Lucie.
La liberté de ses mains lui permettra de d'écrire la vérité sur une 
feuille de papier. Le plus important fut de donner son véritable nom
et de retrouver son mari Yves victime du braquage de sa banque. Des
larmes d'espoir humaient son visage.
   Une des femmes, Maryse, lui parle,
-     Pauvre petite fille il ne faut pas pleurer .
  Une autre lui caressa ses cheveux en lui parlant doucement pour
la soulager. Mais, que se passe t il donc, tout le monde devient 

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sympathique avec elle pense Liliane (Eva) ?
-     Tu sais petit enfant, tes cheveux sont bien trop longs, si tu veux
       je te les coupe il suffit de me dire non et je les laisse comme il
       sont. Tu ne dis rien alors tu es d'accord. On n'a pas de ciseaux ni
       de couteau mais je suis capable de te faire la même coupe que 
       moi avec un morceau de verre que j'ai caché sous mon lit. Je 
       l'avais récupère un jour où une vitre fut cassée.
  Les caresses soulagèrent le chagrin de Liliane (Eva), mais que lui
réserve cette coiffeuse détraquée?
-     Lorsque je t'aurais fait belle, tu n'auras plus de larmes. Comme
       il est prévue que tu vas bientôt nous quitter pour un autre centre
       tu dois être belle.
  Maryse part chercher son morceau de vitre après avoir essuyer les 
grosses larmes de Liliane (Eva). Une des femmes présente dans la 
pièce eut suivi avec attention les intentions de Maryse et attendit 
impatiente que celle ci sortie le morceau de vitre de sa cachette.
    Rapidement, elle se précipite sur Maryse la coiffeuse pour lui 
voler son bien coupant. Liliane ( Eva ) a suivi leur démarche sans 
comprendre que leur intentions agressive.
   A ce moment là, les deux femmes se chamaillèrent comme des 
chacals avec une proie. Une vraie débandade se produisit, des 

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objets volèrent de part et d'autre. Se vacarme eut déclenché la 
venu des responsables du service d'ordre de l'établissement. 
Liliane (Eva) se mit en boule en se cachant a coté de son lit. 
Maryse perdit son précieux morceaux de verre. L'autre patiente
surnomme suicide , s'en saisi puis s'ouvrit les veines de son 
bras droit. Du sang jaillit. La bagarre continue de plus belle et 
les traces de sang sont éparpillé un peu partout. Le service 
d'ordre arrive, parmi eux se trouve celui qui méprise Liliane 
(Eva). Il tiens dans sa main une matraque en caoutchouc qu'il 
manipule avec souplesse et précision. La troisième femme vient 
se réfugier prêt de Liliane (Eva). Le matraqueur sens donne à 
cœur joie sur le comportement des deux excités pour les séparer. 
   Le calme revint.  Maryse eut une camisole et la suicidaire
fut conduite au urgence. Le matraqueur aperçu les deux femmes
allongés le long du lit cote à cote pour se protéger. Cette vue 
ne lui convenait point, il entra dans une rage indomptable et cria,
-     Sale petite pute, vous coucher ensemble ?
   Il s'approcha d'eux et les frappa de toutes ses forces en faisant
glisser la matraque sur leur dos pour quelle laissa des traces.
Liliane (Eva) se recoquilla sur elle même tout en mordant 

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fortement sur ses propres dents. L'autre femme cria de douleur
son agonie parvint jusqu'au bureau du responsable principal.
Docteur Lucie arriva avec le responsable du centre qui 
interrompit les frappes. Lucie interpella le matraqueur et demanda,
-     Que se passe il, qu'elle fut la raison de ce traitement ?
-     Docteur, ces deux femmes font l'amour à coté du lit.
La troisième femme répondit,
-      Ce n'est pas vrai docteur, on c'est misse a l’abri pour ce 
       protéger des objets qui volèrent dans la pièce.
Ce fut la bonne réponse mais, croire une folle c'est tourner le 
monde en l'envers. La seule personne qui put justifier le 
déroulement des incidents ne savait pas écrire mais dessina sur
un morceau de papier les faits qui vinrent de ce déroulé. Ce ne
furent pas des lettres mais belle et bien des croquis sur les 
événements passé. 
   Docteur Lucie prit un morceau de papier où elle y marqua 
l'endroit où Liliane (Eva) ira prochainement, elle lui montra le
château où elle sera accepté demain  après le repas de midi. 
Il faudra quelle sois patiente, pour cela Liliane ( Eva ) devra 

76
prendre un bain car elle fut souillé de toute part. 
    le sommeil quête la nuit pour une suite de découverte 
réconfortante et surtout d'ambitions.      
       Le repas du midi est distribué, la table n 4 qui ne possède
 plus que deux couverts il y avait deux manquantes . Docteur
Lucie vient prendre place avec Liliane (Eva) et lui donne a 
manger. La commission a décidé de lui enlevé la camisole, cette
liberté,  quelle aubaine de ce sentir libre de ses mouvements. 
Oui mais, les bras sont tétanisé, Liliane ( Eva ) a du mal pour 
se déshabiller et se laver. Les remettre en fonction demande une 
petite rééducation. Docteur Lucie vint a son aide et remarque 
que de nombreuses marques de coups ornèrent son dos. Le 
matraqueur ne l'a pas gracié.
   Cela intrigue Lucie car en plaçant Liliane (Eva) dans le centre
spécialisé ils remarqueront qu'elle fut maltraitée. Cette 
supposition la fait réfléchir sur ce qu'elle dut mentionner dans
 la feuille de soins qui accompagne Liliane (Eva ). Elle conclure
que de toute façon Liliane (Eva) ne dira rien de ce qui vient de ce 
dérouler et elle sera bien mieux autre part que dans cette 
maison de détraqués.

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    Lorsque l'on enleva a Liliane(Eva) sa camisole, une odeur de 
fauve y eut trouvé refuge .  Elle se place dans la baignoire, les 
traces des coups de matraques la brule, cela la fait souffrir.    
   Avec douceur Lucie lui lave le dos en lui appliquant quelques 
massages qui peuvent la soulager . Mais il reste les souffrance 
intérieures, ceux là, personne ne peut les entendre.
  Lucie lui donna une belle robe blanche crème car Liliane (Eva)
n'a plus rien a se mettre, tous fut déchiré.
    Le lendemain, Liliane(Eva) arrive a son ambulance , elle n'a 
comme bagage que sa beauté et une lettre dans laquelle un 
papier signé du docteur Lucie qui résume la suite a prendre.
Liliane(Eva) remit la lettre au conducteur.
   Ce véhicule comporta un habitacle placé a l'arrière de la cabine
avec deux bancs face a face et peut emporter 6 personnes. La 
docteur Lucie l'accompagna à l'arrière et attendit que Liliane 
(Eva) prenne place sur une des banquettes. Lucie fut un signe au 
convoyeur pour que la porte soit fermée. Un vacarme de tôle suivi
la fermeture. Un plafonnier illumine l'habitacle pas plus grand 

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que 1,80 m de large et 2 m de long, une hauteur d'1.60 m  ne 
permet de se mettre debout. Il n'a pas fallu beaucoup de temps 
pour qu'une chaleur s'y engouffre . Le souffle de l'aérateur
ne permit a l'air intérieure de rafraîchir l'habitacle. 
     la certitude de retrouver une autre sorte de prison envoûte
 Liliane (Eva); elle pense a l'acte qu'elle eut commit en tirant 
sur deux personnes et les blessant, serais se pour cette raison 
que la société la change d'endroit ? 
    Liliane ( Eva ) n'a qu'un objectif, retrouver sa liberté d'une
manière ou d'une autre avec comme ambition, retrouver Yves.
  Le véhicule démarre, une intuition d’angoisse la suivit. 
   Le temps passe péniblement , ce fut 20 minutes que le 
véhicule poursuit sa route. Le docteur Lucie a demandé que
le chauffeur la dépose a un endroit donné. Liliane ( Eva ) est
seule sur son banc
   Dans l'habitacle du conducteur, l'infirmier lit le rapport du
médecin Lucie au conducteur a haute voix.
-  Liliane ( Eva ) est une personne sourde et muette.
 Puis il rajoute,
-      Pour cette fois, voilà une personne normale et attirante que
l'on transporte, elle ne parle pas et n'entend pas. En plus de cela,
les hématomes qui la marques sont dut a une querelle de famille.
Ce qui me plaît, dans cette histoire-là c'est qu'elle n'est pas 
vilaine. Je précise même qu'elle m'épate pour une fois nous ne 
risquons rien, elle ne parle pas et ne dénoncera pas nos actes.

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  Le chauffeur écoute son discours d'un air questionneur, il 
répondit,
-    Mais quelles intentions as tu ?
-     On se la paye, qu'en penses tu ?
-     Je ne sais pas et puis,
-     Et puis quoi, arrête -toi dans la forêt, personne ne nous 
       dérangera.
     D'un air autoritaire le convoyeur infirmier insista de plus 
belle. L'ambulance continue sa route jusqu'à la forêt indiquée. 
Liliane (Eva) ne se doute de rien et pensa être arrivé. Les 
deux personnages sortent du véhicule, puis après avoir uriné 
contre un arbre, s'avancèrent vers l'arrière porte du fourgon. 
Ils ouvrent la porte, cette entré d'air atténua la chaleur 
existante, puis ils prennent place sur la banquette opposé à 
Liliane (Eva). Cette arrêt est bien venu mais, inquiète la  
passagère. Liliane (Eva ) a comme intuition les mêmes 
sentiments qu'avec le matraqueur. Son regarde croise celui
de l'infirmier avec son air méprisant, elle se rappelle des 
coups. 
  La psychologie sur le comportement d'une personne met en

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éveille des sens pour que les non entendant ont . Liliane (Eva) 
a banalisé les intentions de ces deux énergumènes et reste au
aguets. 
    Le convoyeurs regarda Liliane (Eva) dans les yeux avec un 
sourire impropre à l'admiration. Il hocha ensuite les épaules
puis secouât la tête. Il se lève et s'approcha puis se courbe 
vers elle. Son battement de cœur augmente , une peur 
l'envahit de fond en comble par un tremblement . Elle 
ressentit la venu d'une appréhension peu banale, comme 
une impuissance envers un danger qui la menace. Elle se 
blottit sur la banquette dans le fond du .fourgon. 
    Les gestes de ce personnage ainsi que les rides sur son 
visage dénonce ses intentions . Il lui caresse ses cheveux et son 
visage. Liliane (Eva) garde sa position. 
    Le chauffeur n' apprécie pas le geste de son collègue , qui a
saisit ses cheveux pour tirer Liliane ( Eva ) vers le centre du 
fourgon. Lorsqu'il tente de lui enlever sa robe blanche craie, 
Liliane (Eva) étire ses pieds avec une rapidité et une force 
dédoublé sans pareille vers l'entrejambe du convoyeur. 
Celui-ci , hurle de douleur puis se prépare pour infliger 
des coups de pieds . le chauffeur l'en dissuade de ses 
intentions. Il aide Liliane (Eva) pour se relever. 
        Cette  réaction départage le comportement des  
accompagnateurs qui  quittent le fourgon dans une colère 
digne de perdant, le chauffeur claque fortement la porte du 
fourgon et le véhicule reprit sa destination. 


suite au 81      5/8


JJM

Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
Des changements peuvent suivre .
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