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28 novembre 2024

Coïncidence 2/8 ( roman d'aventure )

mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2

suite roman d'aventure Coïncidence 2/8

    












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  Marc enregistra tous ce qui vint d'être dit même que,
- Sais tu Luc que tu as pris des risques de se faire repérer.
  Dix minutes passèrent, Marc resta allongé et gémit, son visage 
parait blanc.
   Les informations indicèrent la somme volé, et parlèrent de 
1 000 000 francs . L'état des victimes reste stable. L'inconnu tué
par balle, de petit calibre, n'a pas encore trouvé de famille. La 
personne répondant au prénom de Liliane reste hospitalisé dans
une clinique spécialisé, elle reste sous le choque .
   Marc gémie de plus belle, il divague et dit,
- Que fait Liliane Luc ?
- Elle se porte bien, il l'on emmené dans un hôpital spécialisé.
- Liliane sens sort bien, je suis content,  moi qui crut qu'elle
  fut morte lorsqu'elle tomba devant moi.
- Ne parle pas plus Marc, ça te fatigue.

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   L'otage remarqua la faiblesse de Marc. Il tente de persuader Luc,
-  Écoute mes conseilles Luc, ci Marc ne vas pas chez un médecin 
   il mourra.
              Bien plus têtu d'un troupeau d'ânes, nos deux copains 
n'approuvèrent cette solution. Luc ne fait confiance aux conseille
de l'otage.
   La santé de Marc se dégrade de plus en plus, il parle sens cesse,
des propos incohérent et parle souvent de Liliane,
- Luc tu crois que Liliane sens est sortie ? on a bien fait de 
   l'abandonner sur le trottoir.
- Oui Marc, on a bien fait.
- Tu sais que je l'aime bien Liliane, j'espère que plus tard on fera les
  quatre cents coups ensemble avec l'argent récolté.
- Bien sur Marc, elle sera rien que pour toi.
   Un sourire net sur les lèvres de Marc, il fut fière de sa copine et 
recompta toutes les possibilités qu'ils feront plus tard avec l'argent.
- J'ai froid Luc, je tremble de haut en bas, même mes doigts et mes  
orteil les tremblent , 
- C'est une réaction des grand blessé en danger de mort il faut le 
  conduire rapidement à l'hôpital Luc

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 L'otage tenta de nouveau de persuader Luc, mais rien ni fait.
- Je ne veux pas me laisser prendre maintenant que je suis riche,
  je suis persuadé qu'il sens sortira c'est un dure.
L'obstination de Luc résiste aux conseilles de l'otage. La chaleur
du soir aggrave la santé de Marc . Luc fut conscient que la santé
de Marc l'emportera vers un monde meilleur. 
     Enfin, une fraîcheur souffla entre les arbres. Cela devint 
supportable pour l'otage et Luc ,  pour Marc la santé l'abandonne.
    Le pire engendre la souffrance et ses yeux brins reluisirent des 
larmes de défaite.
     Minuit sonne, le moral d'acier de Luc fut d'une résistance hors 
du commun. Marc eut quitté ce monde et ne représentât plus qu'un
objet encombrant. Luc, décide de débarrasser de ce corps qui 
l'opportune plus que tout. Sans tarder, il  fait démarrer la voiture 
pour trouver un endroit où cacher le corps de Marc. Ils 
s'arrêtèrent prêt d'un parc et sur un banc place le corps de Marc.
Luc excité dis a l otage ,
-  Il faut quitter la ville, trouve une sortie au plus vite.
  De la musique sentimental passe sur le poste de radio, aux 
information, plus question du braquage qui eut lieux. La voie dut

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être libre, ce fut les propos de Luc qui obligea le conducteur de
suivre un chemin permettant de quitter la ville.
  Le responsable principal de la banque se trouve au chevait de 
Yves pour lui tenir compagnie. Plonge dans un comma Yves ne
répond pas. Cela est voulu par le service médical pour atténuer
ses douleurs. L'injection d'une autre piqûre calmante le garde
dans ce vide.
 A la radio il passe les informations suivante.
- La police de la ville vint , au cour d'une ronde, de trouver le 
   corps d'une victime tué par balle de petit calibre. La victime 
    porte sur elle un chéquier répondant au non du policier pris 
   en otage. Une forte prime est offerte a la personne qui eut 
   trouvé le corps. 
     L'otage sait a quoi sens tenir, il dit a Luc,
-  Tu sais Luc, je pense que tu as perdu, il vaut mieux que tu te rend,
     continuer de jouer a cache cache n'a plus de sens..
-   Ils ne nous ont pour l'instant pas trouver, et ne m'auront pas.

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- Réfléchit Luc, si tu te serait rendu, ton copain Marc aurait eut la
  chance d'être sauvé et ne serait pas mort.
 - C'il est mort, c est la faite a  celui qui nous a tiré comme des 
   lapins , c'est lui le responsable.
- Ci tu te rend, je te promet de te soutenir devant les juges.
   Cette phrase là ne l'inspira point car elle tomba dans le vide. Luc
n'eut qu'un objectif, se sortir de ce guêpier il reste le seul a profiter
de cette manne d'argent. La nuit protège sa cavale, la levée du jour 
se rapproche. Il faut changer de voiture. 
    Ils marchent en quette de trouver une voiture ouverte. La tentative 
de Luc attire l'attention d'une personne. Celle ci contacte le poste de 
police le plus proche.  Sens tarder, cet appel est prit en considération.
Une équipe de véhicules de police arrive sur les lieux.
  Les éclaires violacé tranchèrent le restant de la  nuit . Ils sont 
remarqué de loin.
     Luc remarque le danger,
- vite, nous devront partir d'ici. Il faut que nous sortions de la ville le
   plus rapidement possible.
  En se déplaçant tout en  tapotant les voitures pour réussir a en ouvrir
une. La nuit diminua pour s'aider la place au petit matin. Un nouveau
jour va naître. Luc se sentit impuissant devant l'impossibilité de trouver

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une voiture. Pas de doute, aucune petite lumière de fuite lui éclairer 
cette fatalité. Luc sent qu'il a perdu. L'otage se rendit compte de la 
situation,
- tu sais Luc, je pense que,
  Luc écouta , mais ne voulu rien comprendre ni entreprendre contre 
son plans d'action.
-  Alors Luc, tu as bien réfléchi a ma proposition, je suis toujours prêt 
   a te donner mon appui.
- Je ne sais que faire et je réfléchis.
   Des larmes de défaite humilièrent son visage de ce grand et robuste 
chef de quartier.
- Je peux compter sur ton appuis, c'est vrais ?
- Une parole donné a de la valeur, tu peux compter sur moi.
- Dans se cas, je me fis aux paroles et j'abandonne la course.
  De son plein grès Luc donne les deux pistolets a l'otage
- Ce ne sont que des armes a blanc, on n'a tué personne.
    Ils roulent vers le premier barrage de police, avec les deux armes 
placé sur le rebord du tableau de bord. A l'approche des barrages, de
nombreuses lumières violacés se repèrent au loin.  Le conducteur, 
Luc, fait des appelles de phare, puis diminua sa vitesse. Le grand 
projecteur éblouirent la voiture. Du coté d'où promenèrent cette 

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clarté, des policiers armé, les ont placé dans leur ligne de mire 
près a appuie sur la gâchette en cas de danger.
         La voiture continue son avancé en douceur. Il ne reste plus 
que quelques mètres a parcourir. La défaite est amère , Luc ressent
en lui l'épanouissement de son rêve. Dire que le plant manipulé 
avec Marc et Liliane durant un mois tombe a l'eau. Son meilleur 
copain l'eut quitté a jamais, et sa copine fut blessé !
  Bref, il a perdu son charme de chef de quartier, mais il lui 
reste l'argent caché dans un endroits du terrain vague, qu'il pourra
récupérer plus tard a sa sortie de prison. A ce moment cette idée lui
redonne confiance , la partie n'est point perdu.
   Luc attendit que la voiture fut le plus prêt possible du barrage de 
police, puis, il appuya sur l'accélérateur. Le moteur s'emballa en 
tournant a plein régime et les pneu crissèrent, en dérapant sur  
l'enrobe. Les policiers surpris par cette manœuvre soudaine se 
sentent menacé. Une pétarade coupe le silence de la nuit et des 
impactes touchèrent de plein grès le véhicule et ses occupants. 
  Le pare-brise vole en éclat ainsi que les vitres des portières. La 
voiture continue sa course vers un mur d'une habitation. Les 
visages de deux occupants, transformé en cible, sont défiguré
par le sang . 
    L'habitacle n'est plus qu'un cercueil roulant qui s'enchevêtre 
dans un mur.

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     Le véhicule prend feux et les occupants restent bloqué dans 
l'habitacle.
     La police a de la peine pour s'approcher de la voiture, la 
chaleur intense les en empêche. La police reste témoin de ce 
drame.










         
    Par l'apparition du soleil démarre cette nouvelle journée du mois
d'août. La vie humaine continue sa routine, les rues retrouvent leur
tintamarre habituelle et la pollution son acte de malveillance. Les 
banques rouvrent les portes comme a l'accoutume, la ville vient de
se éveiller. 
     Les journaux  frappent leur textes de la nuit et annoncèrent

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en première page, l'action menée par les malfaiteurs et l'état des 
victimes sur des lignes qui expriment ceci,
- Une personne employé de la banque fut agressé sauvagement. 
   Une cliente pris en otage fut tué par balle de petit calibre a la 
sortie de la banque. Les suppositions furent évoqué et l'on pense 
que l'otage devint un fardeau pour les braqueurs qui l'ont tué.
      La vie continua parmi les citadins, aussi que pour les malades 
dans les hôpitaux. L'utilité des soins y fut primordiale pour 
certains, mais pour d'autre, la structure est devenue une prison.    
       Eva se trouve bloqué dans cette carapace qui la maintenant 
comme un animal dans une cage improvisé. Elle n'a pas faim, 
et refuse la soupe matinal que la gardienne tente de lui donner. 
La camisole et la pièce capitonnées sont les facteurs pour tout
refuser, il y a encore l'impatience de ne pouvoir revoir Yves . 
    Les journaux eurent un retard sur les faits de la veille, le
journaliste questionne le directeur de la banque concerné et
Anne son employer. 
 - Monsieur le directeur, comment se porte la victimes, 
    monsieur Yves ? 
- Son état reste stable et sa volonté de rester en vie remarquable.
- A t'il prononcé un mot ?
- Pas une seul mot , monsieur le journaliste.

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- Et vous madame pouvez vous me donner plus de détaille ? 
-  Ou, monsieur le journaliste, je n'ai pas vue sa femme Eva 
   depuis le bagage de la banque.
-  Monsieur le directeur avez vous rencontré sa femme Eva 
    auprès de lui ?
- Non, je n'ai vue personne.
   Anne l'hôtesse de la banque lâche ceci,
- Aucune personne d'entre nous n'a  prévenu sa femme Eva ?.
  Cette dernière question bouleversa monsieur Pierre, le directeur
de la banque.
- Avec tous se tumulus, je vint d'oublier d'avertir la Femme d'Yves. 
  Il faut que je remédie a cela au plus vite.
  Cette oubli le bouleversa, bien entendu Yves ne travail que depuis 
quelques semaine a son nouveau poste, cette épeure le troubla il 
partit sans tarder trouver le logement d'Yves pour trouver sa femme
Eva. 
    En arrivant au troisième étage, il se trouva devant la porte de 
l'appartement entre ouverte. Il frappa une première fois, personne 
ne répondis. Il se dit , 
- mais oui sa femme est sourde et muette. 
    Il pousse la porte et trouva devant lui un remue ménage étonnant. 
Cette attention ne correspondit au comportement d'Yves et d Eva 
qui fut minutieux dans leur travail. 
    Un courant d'air fit claquer la porte d'entrée qui se ferme.
Il remarqua qu'une fenêtre donnant sur l'avenu reste grande ouverte.
IL la referma et découvris que tous les habits furent éparpillé dans
l'ensemble de l'appartement. Sa curiosité le mena dans la cuisine, là
aussi personne ne s'y trouva et dut éviter de marcher sur les ustensiles

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éparpillés. On cru qu'un ouragan dévastateur fut passé par là.
Cette réalité l'entraîna vers des doutes incompréhensible. Il décroche
le téléphone pour contacter la police. 
   Eva eut bien disparut avec tous ce qui eut de valeur. Les coupes en
firent partie, comme les deux fusils, et les munitions. Un doute 
prend naissance,  serais se le meneur de ce cambriolage où était ce  
Eva la manipulatrice ? 
     Le banquier a des doutes sur ses propres suppositions , il téléphone
 a l'hôpital de la ville pour savoir ci une admission au prénom d’Éva 
eut lieux et prit en même temps des nouvelles d'Yves. La réponse sur 
la santé Yves reste stable , pas de réveille. 
   La police releva toutes les indications dispensable pour suivre les
enquêtes. Monsieur Pierre quitta l’appartement et laissa libre cour 
aux policiers.
   Derrière son bureau monsieur Pierre chercha a comprendre la 
raison de cette mis en scène. Il relit les journaux pour tenter de 
connaître toutes les attentions sur le braquage de sa banque. Il 
regarde sur les photos des victimes et tente de comparer la photo
de la victime avec celle d’Éva grâce a la photo récupéré  dans
l'appartement. 
    Pas de doute, ce n'est pas Eva qui fut tué mais une 
inconnue ?  
   N'étant pas certain il appelle Anne,

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- Madame Anne que pensez vous de cette photo, ressemble telle a 
   la femme d'Yves ?
- Je ne l'ai vue qu'une seule fois mais je suis certaine que ce n'est
   Eva la femme d'Yves.
-  Mais ce visage, vous dit il quelque chose dans notre clientèle ?
- Je n'ai jamais rencontré cette personne là, ce fut bien la première
   fois. Il se peut que ce fut une clientes qui n'allait que chez 
    Monsieur Yves ? 
 Une autre employé fut questionné. Elle aussi n'eut vue la victime
auparavant mais elle ne connaissait pas Eva..
.   Je vous demande cette question car la femme de monsieur Yves
    a  disparut de leur habitation ? 
        Au centre de repos, Eva  accumule que des faiblesses, son 
obstination de faire la grève de la faim devint dangereux pour sa vie.
L'angoisse la martyrise, elle sut qu'elle eut commis une grave faute 
serais se pour cette raison qu'il fut enfermé de la sorte ? Elle tente
en vin de se faire comprendre, avec les bras bloqué pas question de
s'expliquer. Ses grimasse et bougèrent de la tête ne servie a rien au 
contraire, le personnelle lui donna des piqûres pour la faire dormir.
     A force de tenter de s'opposer a leur traitements elle changea de 

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stratégie et accepta de manger.
   Persuadé que Yves vie encore elle  laisse du mous dans ses 
réactions. La conscience a raison, mais , elle a du mal pour se
rétablir. Des traces de coups marquent son visage elles est tétanisé.
       Yves n'eut pas les pieds sur terre, il reste plongé dans son
comma. Un univers étrange où la lumière se confond avec les sons
et où le temps et la douleur ne fut plus présent. Il ne dépend que de
ces appareilles branchées a son corps  qui le maintenaient en vie. 
Yves sens sortira, mais peut être avec des séquelles ? 
     La police décide de lancer des recherches avec une photo d'Eva.
   Anne rend visite a Yves , elle reste bouleversé par ce qui vint  
d'arriver a Yves. Anne lui accorder toute sa confiance elle n'a pas
de doute sur lui , il n'y est pour rien.

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Anne  questionne l'infirmière de garde pour savoir où se trouve 
Yves.
- Il se trouve dans le couloir sur votre droite, mais, il est gardé par 
   la police.
- Pour quelle raison le garde t'il ainsi ont ils des doutes ?
- Je ne peux vous répondre, madame.
  Anne en fut étonné, mais que peut bien lui reprocher ?
- Sur l'état de sa santé, est il possible d'avoir une réponse ?
- Oui, il se rétablit, son état devient encourageant. Vous pouvez le 
   voir a travers la porte vitré sur votre droite.
  Anne s'aventura près de cette vitre. Les nombreux instruments qui
le maintenaient en vie l'impressionna. Son regard se place sur la
personne assise a coté d'Yves. Celle ci dort confortablement 
recoquillé sur la chaise.
    Elle observa Yves et n'arriva point a lui infliger une accusation 
aussi ingrate. Elle quitta ce lieu avec une nausée inexplicable.

    Nous voila dans l'hôpital de santé, ou les malades sont répartie
dans une longue pièces qui est un grand couloir . On y sers la 
( pâtée) des anormaux ceux qui sont attaché dans des chambres 
capitonnées. L'aide stagiaire arrive devant la porte de 
mademoiselle Liliane . Elle lut a haute voix la notice qui figure

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sous le non de Liliane,
- Mademoiselle Liliane se trouve dans la démence, elle est 
   dangereuse et ne veut pas manger, ne répond a aucune
   question et fait des grimasses 
  Cette nouvelle venu n'a pas connue  les réactions de (Liliane) , elle
fait sa formation de médecin psychiatre. Elle se méfia en ouvrant
la porte, et contraire a son imagination rencontra une jeune femme 
blotti  sur elle même dans un recoin. Cette attention lui donne un 
choque de pitié. Le silences qui les entour ne répond pas aux 
indications que l'on peut lire sur la pancarte accroché a la porte. La
stagiaire n'eut jamais rencontré cela. Elle reste méfiante sur le 
qui-vive car Liliane peut a tout moment faire basculer cette 
monotonie. 
    L'apprentie médecin s’avança avec prudence. Chaque pas, devint 
risqué.
   Liliane reste inerte sans la moindre réaction, serait elle morte ?
La boule de chair humaine garda sa position, la médecin se baisse pour
la regarder de plus prêt et remarqua des larmes couler le long de son 
visage. Ses yeux bleu furent limpide et brillant . Son regard se leva vers
la médecin, le flache d'une sympathie naisse entre elles. La médecin lui
parle avec douceur, 
- Liliane te sent tu bien ?

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  Aucune réponse, juste un hochement de tête.
- Liliane pour quelle raison est tu malheureuse?
- ;;;;;;;;;;;;;;
  Rien en somme, la tentative n'eut servi a rien . La médecin parle
avec elle en lui tenant la main. Une vibration réconfortante passe 
entre les deux personnes. Les yeux de la malade plonge dans ceux 
du médecin. Pas de doute  ils implorèrent une pitié. La sincérité 
de son comportement fut la réflexion sur son désistement agressif .
La malade a compris qu'une autre personne peut lui venir en 
aide. Là, elle vient de  trouvé son point de confiance.
   La médecin se senti gagnante, dire que la patiente lui a fait 
confiance ? Personne dans le centre spécialisé , dans leur rapports ,
ont réussi a l'amadouer.
- Pour quelle raison ne veut pas manger Liliane, tu risques de tomber
   gravement malade.
  Elle n'obtint pas de réponse et répétât sa phrase. Aucune réponse, 
- Tu t'appelle bien Liliane ? 
  Pas une mouvement de tête ne fut remarqué, seul ses yeux observèrent
la médecin.
- Pour quelle raison ne manges tu pas ? 
    Cette malade a quelque chose de particulier, sa réaction ne 
correspond a aucune des autres malades. La stagiaire médecin se 
déplace vers la  porte d'entrée et relie les remarques souligné de 
rouge.

A suivre au 3/8 page 48

JJM

Ne transformez pas mes écrits je ne gagne rien 
et l'écrit pour le partager. Merci.

Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur
A ce jour, 04 04 2019, 8 566 lecteurs.
A ce jour, 18 08 2019, 8 802 lecteurs.
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A ce jour, 28 11 2024, 20 255 lecteurs

Coïncidence 1/8 ( roman aventure )

mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2

1/8









SVP ne transformez pas mes écrits je suis obligé 

de le corriger. Je ne gagne rien je le partage 

gratuitement. Par contre ils sont protégé.


1

COÏNCIDENCE


   Quant un lecteur se laisse entraîner dans la lecture 
d'un roman, il épouse l'illusion de l'aventure qui le guide
a travers les lignes.
    Bonne lecture a tous les lecteurs et pour que l'aventure
devient entraînante je l'écrit au fur et a mesure du 
nombre de lecteurs.

Être pour paraître 

 Auteur . Jean Jacques Mutz

       La lune, ce jour là, refléta de toute sa grandeur 
sa lumière dans la nuit. Elle tente d'égaler les étoiles 
qui ne trahissent pas sa grandeur ou contraire, les 
étoiles respectent sa valeur. 

         Luc et Marc, deux copains de longue date, 
la contemplèrent a tel point que des suppositions 
les firent rêver.
     Luc eut la vingtaine et son imagination fascinante 
se base sur, 
- La vie est bien trots courte.
Nous fait il comprendre. Vivre dans le lux sera un 
but a atteindre.
 D'après lui, un manuel sera voué a être exploité  
ce n'est pas un cap de richesse. Cette imagination 
lui donne un plus dans son entourage. Par cette 
réflexion il deviendra  le meneur du quartier.
    Sa corpulence signe le comportement d'un chef 
de bande. 
    Le second copain , Marc, reflète la caractéristique
d'un gaillard de 18 ans, qui ébloui par Luc revendique 

ses exploits. Dans les compétitions, Marc laisse gagner  
Luc même ci celui ci  le dépasse dans les compétitions
   En levé de poids, Marc fut le plus fort aussi qu'au 
bras de fer, mais c'il devait affronter Luc , Marc lui 
cède la place du gagnant. 
    Ce soir là, il sortirent d'une séance de cinéma. Le 
film projeté a eut comme thème une banque, 
- un grenier a sous, 
Réplique Luc. 
    Les sectateurs furent enchanté par le déroulement
des actes , et le publique redonne vie a l'action par des
questions et des remarques devant la baraque a frite .
  Une dernière accolade a la fin des réflexions sur le 
film et la baraque a frite ferme ses volets.  

   Marc et Luc prennent place sur un banc du parc 
pour continuer de discuter, loin des autres copains
- Que penses tu Marc du film, la manière qu'ils ont 
    prit pour braquer la banque ?
   Marc fut encore sous le charme de l'action et dit,
- punaise, ce fut une aventure fascinante.
  Luc observa le ciel et dit a Marc,
- Compte moi le nombre d'étoiles dans le ciel.
  Marc contempla le ciel et commença par compter a haute 
voix mais remarqua vite que 
- Tu me demandes l’impossible Luc,
- Imagines toi ces petites lumière transformées en pièces 
   d'or qu'en ferait tu ?
- Je pourrais reprendre une bière et une portion de frites.
  Marc se remit a contempler le ciel, ses yeux s’instillèrent 
de rêves et d'envies. Luc insistât sur la question,
- Rien qu'une petite partie de cette constellation là qu'en 
   penses tu ?
  L'imagination a ces limites et Marc ne sut répondre. Luc
 plaine sur ses rêves.  

5

     Cette friterie les ramène a l'ordre, pas d'argent donc pas
de dépense.
     A la clarté des lampadaires de nombreux moustiques 
dansent en tourbillonnant. Luc dit,
-  Regarde Marc cette multitude de moustiques et leur 
     envole. Et ci ce nombre impressionnant serait de 
     l'argent ? Il suffit de le récolter dans une banque ?
    Luc évoqua le plan dans les détailles sans interrompre
 les papillons de nuit et les moustiques qui les survoltèrent 
en nué. Marc bailli, dit,
- oui  
   On retient la conclusion suivante, la solution la plus 
efficace doit être la rapidité sens être repéré . En plus 
il sera question de ne brutaliser personne . Pour cela,
des armes a feux factice seront utilisé. 
   Pendant deux heures leur plan prit forme.
   Nos deux compères se lancèrent dans une action 
nécessitant une petite préparation durant un mois . 
Ils observaient  le comportement de la clientèle 
et les ouvertures et fermeture de la banque . 

Le moindres détailles peut leur être fatal.
       La banque désigné se trouve dans un quartier 
neuf pas loin d'une école maternel. De nombreux
véhicules y circulent. Du parking il y a une 
distance de 100 m . Certaines personnes laissent
tourner leurs voitures le temps de déposer les 
enfants. 
    Il y a la un atout qui permettra a Marc et a Luc 
de choisir la voiture qui leur convient et de partir 
en trompe avec la recette de la banque. Tous ces 
détailles sont la clé de la réussite. L'heure a de 
l'importance et rentre dans leur plans.
    Pour se procurer des armes, ils attendent le 
salaire du mois et les achètent dans une armurerie 
venant d'un autre quartier . Plus un obstacle ne 
peut les en empêcher.
   En face de la banque se trouve un grand immeuble
 moderne, qui projette son ombre sur l'avenue. Des
 grandes fenêtres habillent les façades . Il y a  de 
nombreuses portes qui permettent l'accès aux 

7

étages où un nombres de cinq cents familles  y 
habitent.
     L’employé de la banque habite un logement au
 troisième étage depuis son mariage il y a deux mois. 
Le couple très sympathique , aux yeux de leur 
entourage, qui les apprécier. 
    La jeune femme, au prénom d'Eva, a des cheveux 
long de la couleur du blé mure qui harmonisait avec 
ses yeux bleu ciel. Mais le charme parfait, cache un
handicape,  elle ne parla pas et n'entend pas. 
( Dans une vie on dit qu'un bruit intense peut rendre 
fou, mais, ne rien entendre ca fait quoi ? )
  Le monde où elle se trouve ne put dialoguer que par 
geste et par transformation de son visage. Elle peut 
déformer son jolie visage en une tristesse ou en charme
subitement . Ses mains accompagnent ses données par 
des signes compréhensible. 

8.

  La voisine du pallier, l' invite pour une petite fête
du quartier . Eva accepte volontiers , refusé serait 
repousser son voisinage.
   La petite fête se déroule a l'école, les petits enfants
eurent préparé de nombreuses scènes a merveille. 
     Nous Arrivons a la moitié du spectacle, et des 
chants furent chanté accompagné de danses . 
     Le son de leur voix fut radieux,  la musique et les 
paroles aussi. Les applaudissements suivirent. 
    Eva sortie avant la fin elle ne participa pas aux 
distributions des remise de diplômes et de boissons. 
   Elle repris son travail de relieuse de livre ancien .
Son savoir faire de restauratrice a tous les mérites . 
Ce précoce départ fut que le choque de ne rien 
comprendre. Eva adore les enfants , elle redoute 
que son handicapes se répète sur sa progéniture .
        Son mari, Yves , la comprend a merveille. Ses 
sentiments pour elle sont le miroir qui chaque jour
jour éclos comme une nouvelle fleurs. 

   Yves  représente la sagesse, et un coefficient 
au-dessus de la moyenne. Grace a ses capacités 
intellectuelles il tient le poste a la banque qui se
trouve en face de leur habitation. Il a les cheveux 
châtain, coupé cour et soyeux. Ses yeux  claire
correspondirent a la couleur des ses cheveux. Ce 
qui a du plus,  car son entourage l'apprécie.   
  Dans son temps libre il pratiqua un sport de 
précision, le tir . Il eut participé a de nombreux 
concours de haut niveau. Justement, c'est la qu'il
rencontre Eva pour la première fois.
     A cette compétition, Eva se plaça en position 
couché avec une cible a 50 mètres. Les personnes 
présentent suivent les tires avec des protections sur
les oreilles contre le bruit des balles de fusilles. Eva
 termine son tir puis se relève la main droit vers le 
ciel. 
   Le regard de Yve se figé sur le comportement de 
cette jeune femme qui vient de terminer son tire 
couché sans protection sur les oreilles ? 

10

 
  Le regard d'Yves croise celui d'Eva , les deux restent
 figé comme par enchantement. Un sourire réveille un
autre sourire . Ce qui fut le partage d'une confession 
sentimentale. 
     D'abord, Yves eut pensé que les sourire d'Eva se  
 partagent avec une autre personne ? 
   Yves tente d'arrêter de sourire mais,  Eva n’arrêta pas 
de lui rendre la pareille.
    Yve le timide vint de faire un touche en plein mille 
avec une belle blonde ? Que vient il de m'arriver ? S
timidité a pris une autre route. Yve garde un certain 
respect pour lui parler. Il se rapprocha d’Éva pour la 
féliciter.  
    La premier des choses fut de montrer son pouce en 
guise de félicitation, puis la saluer de la tête. Yve eut 
peur de lui parler. 
    Eva lui fit un sourire prometteur. Yves restât muet 
devant Éva lui n adresse aucune parole. Puis il dit,

11

- Mademoiselle puis je vous inviter pour boire un 
   verre pour votre réussite ?
     Ce charmant visage ne souffla un mot mais hocha 
de la tête en guise de oui. 
      Yve comprit qu'elle fut muette pour être même 
sourde. Il ne repoussa chemin et s'exprime en 
manipulant ses lèvres et ses mains amplement.  Les 
règles de l'un peuvent entrainer les règles de l'autre ci
l'amour qui coordonne les règles. A partir de là, Eva 
et Yve fidélisèrent leur union jusqu'à cette petite 
anecdote le jour du mariage, quand le prêtre demande,
- Eva voulez vous prendre comme époux Yves ?
     Un silence se fit, Eva ne répondit pas ? Le prêtre 
redemanda,
-  Eva voulez vous prendre comme époux Yves ?
Espéra il un miracle ? Eva hocha de la tête pour faire 
comprendre que oui.
    Yves fut placé parmi les meilleur tireur de sa catégorie
 dans la région.  De nombreuses médailles et coupes de 
toute sorte orne la bibliothèque.  Il les eut placé sur un 
mur du salon.

12 

        L'amour n'a de frontière il  unie un couple pour la 
vie, a ce moment le plus beau sur terre est acquit.  
     La bibliothèque de la ville eut confier a Eva un livre 
d'une valeur importante. Un cuir centenaire le relie et 
nécessite une attention particulière pour la restauration. 
Seule une artiste de renom put revaloriser le manuscrit. 
   Eva a une réputation certaine et digne d'une 
considération.
     Dans les habitudes de ce jeune couple, certaines  
coutumes sont mis en place , même dans les prises de 
repas, les gestes prennent le chemin par des sourires
qui sont sentimentale.
    Quant Yve part a son travail ,  en bas de l'immeuble
il fait des signes de sa main droite . Il traverse la rue et 
entre dans la banque, la aussi il fait un signe de la 
main droite . Le bureau d'Yves se trouve en face, en
face de l'immeuble et Eva peut l'apercevoir .  Yve fait
de nouveau un geste sentimentale.











13


                      Le jour J fut là, l'impatience des deux
 copains les eut nargué. Tous les préparatifs mis en 
œuvre correspondirent a leur préparation. Rien ne 
peut les contrepercer,  fois de briquant. 
       Ce jour là, une maman change ses habitudes, 
et c'est une  R16TS rouge qui apporte son enfant .   
Cela change le programme des deux copains. Cela 
provenait du fait que le mari accompagne l'enfant  
et que ce dernier  fut un officier de policier de la 
ville ?   
       Yves eut salué une dernière fois Éva comme 
d’habitude avant de rentrer a son poste de travail.
L'ouverture de la banque se fait, aussi bien que 
l'ouverture de l'école.
    Tous se déroula habituellement. Yves eut pris 
place près de la fenêtre qui donne sur le logement. 
De temps a autre, lorsqu'il n'a pas de client,  il jeta 
un œil et observa la fenêtre d’Éva .

14

      Ce jour là, un nombre important de personnes sont
 dans la banque. ils sont  au nombre de 7 personnes .
   Pour cette heure ci se fut anormal. Une autre employé 
tenait la caisse principal. Son caractère de vieille dame 
attirant les personnes d'un certain âge. Une vieille 
clientes se place devant la caisse, elle ne veut pas attendre
son tour. Elle feuilleta son sac a main , elle eut peur 
qu'un oubli l'eut pénalisé. 
    Une grande plante verte dépasse la hauteur d'un 
homme, cette décoration se marie bien avec la 
pièce dans la banque.  
    Une jeune personne se trouve derrière la dame âgé 
et secoue sa tété du fait qu'elle la dépassé ?  Une 
cliente vint de terminer la transaction et s’apprête de 
quitter la banque. 
   En voulant ouvre la porte, deux jeunes garçons, 
Marc et Luc, rentrent en la bousculant.
    Marc se place a coté de  la caisse que tient la femme
quant a Luc il prend place devant la caisse d' Yves. 
Dans les pensées de  Marc un ressentie de peur fait
monter en flèche son adrénaline . 

15

    L’impatience le traque il ne cessa de regarder Luc 

comme pour le questionner. Le téléphone d'un portable

sonne.

     Luc est prêt de donner la charge, il n'y a plus de 
temps a perdre.  Les deux apprentis braqueur, sont sur 
le qui vive , ils ont peur que quelque chose  coupe le 
fluide des leurs intentions. Luc patiente et attend  
jusqu'à ce que la personne répond.  
    Luc fit un signe des yeux et de la tête a Marc pour
 qu'il patiente. Personne ne soupçonne leurs 
intentions. La jeune femme termine son coup de file
et raccroche.
   Yves continue de servir une cliente.
       A partir de là les 2 hommes suivent la même 
longueur d'onde et le braquage peut ?   
  Marc se retient,  le coup de craquer, déstabilise sa 
nervosité . 

16

   Luc reste dans la même fermeté qu'a son arrivé. Son 
sang froid se prête a réagir. Luc donne un hochement 
pour que l'action suivante se lance. A cet instant, la 
porte d'entré vitrée s'ouvre.  
   A la même minute le papa policier déposa son enfant
 a l'école.
   Yves vient de comprendre la situation, il tente de 
donner l'alerte en appuyant sur le boutons sous son 
bureau.
    La personne qui vint d'ouvrir la porte d'entre, et  
elle est prise en otage car une arme, contre sa tempe 
la menasse.
 Marc oblige tous le monde a se coucher a même
 le sol, sauf  la personne âgée qu'il fait asseoir sur 
le banc. Une peur générale se transmute. Les deux 
braqueurs sont deviennent maître des lieux. 
     Luc a remarqué le comportement d 'Yves, une

17 

 rage l’envoûte a t'elle point qu'il donne un violant 
 coup de grosse sur la tête. Yves reste conscient, mais
 tombe dans l'inconscience. Un large filet de sang 
coule sur sa chemise blanche 
   Luc oblige Marc a tirer le corps vers le centre de la
hole de la banque. Marc le fait a contre cœur car il 
pense que la victime fut morte. Son courage ne lui 
permis de tirer la victime que devant la grande porte 
vitrée , qui donne sur la grande avenue.
    Le responsable principale de la banque vint de 
sortir de son bureau retiré . Il reste planté la seul 
 debout.
Luc cri,
- Donnes les 3 sacs au responsable pour qu'ils les 
remplissent.
Marc s'exécute. Luc ordonne que tous l'argent de 
la banque soit misse dans les sacs .
  Dans la rue principal le policier a rejoint sa voiture.
  Au troisième étage de l'immeuble d'en face, Eva

18 

donne tous son savoir pour la restauration du livre. 
La fierté de pouvoir y placer sa griffe l’honore. Elle 
regarde sur la comtoise du mur et, se rendit compte 
que le signe qu'elle dut faire pour Yve a dépassé 
l'heure . L'horloge eut donné l'heure, mais Eva ne 
pouvait l’entendre . 
    Marc ne ressent plus cette peur qui le pourchasse, 
il est devenu un dure . 
    Luc ordonna par la puissance de sa voix, au 
responsable de se dépêcher de remplir les sacs en  
toile de chute.
  Yves reste étendu devant la porte vitrée de la 
banque. Une tache de sang a coulé sur sa chemise 
blanche
  Éva regarda sur l'heure et remarque qu'elle vint 
d'accumuler du retard . Elle se pince fortement les
lèvres jusqu'au ce que un peu de sang marque son 
oubli. 
     En cas d'oublie, il lui reste le téléphone où elle   
doit composer le numéro du poste d'Yves. 

19

    Le code consiste a compter jusqu'à trois. 
   La sonnerie retentit dans  la banque. Les deux 
braqueurs ordonnent d’accélérer . Des pulsions 
se ressentent . Luc dit a Marc
- Tu ne prend qu'un seul sac car l'autre c'est la 
   jeune femme otage qui doit le porter.  
  L'otage prit le sac et les 3 personnes se prêtent 
a sortir de la Banque.
   Éva eut compté correctement, elle ce plaça a la
 fenêtre, Yves ne se trouve pas a son poste ? 
   Eva eut bien attendu pour que la petite aiguille 
des secondes de la comtoise face la moitié de son 
parcoure, 30 secondes, puis reposa le téléphone. 
Son regard balaye les grandes baies vitrés , elle 
stoppe sur la porte d'entrée entrouverte, et  la 
présence d'un corps allongé sur le sol, la retient.
    Eva aperçois une silhouette connu et la chemise 
blanche nacré que porte Yves , elle se dit,
- est ce Yves qui est couché là ? 

20

    Une immanence peur crispa son visage, 
  Une personne sorte de la banque avec un sac. Une 
autre  fait de même mais avec  une arme a la main.
Pas de doute,  la banque vient d'être  braqué ?  
Eva a le téléphone mais que peut dire une sourde 
muette a la police ?
    L'imagination conjugua rapidement les faits, elle
se frappe le visage pour ce punir . Son cœur 
augmente son battement, elle est impuissante ?   
    Eva  remarqua un objet qui peut lui venir en aide, 
son fusil accroché a coté des coupes. Elle le décroche, 
prend des munitions rapidement. 
    Luc a ordonné a l'otage de sortir la première, puis 
Marc dut suivre . 
   L'otage fit les premiers pas sur l'avenue. Luc eut  

21

ordonné aux personnes
- tout le monde doit reste couché.
  Marc suit l'otage et Luc ferma la porte de la banque.
 La fuite peut continuer sur le trottoir. Ils parcourent 
10 mètres. 
   Éva épaule son fusil en  gardant son sang froid 
ainsi que sa respiration. Elle le pointe sur le premier
braqueur.
   Un bruit sec retenti, une des personnes s'effondre 
en lâchant son sac . Un bref instant freine les 2 
compères qui tente de réaliser ce qui vient d'arriver.
   Éva réarma son fusil, la cartouche vide tomba du
 troisième étage 
   Dans la chute de la victime le sac laissa échapper 
de nombreuses billets. Marc tente d'en ramasser , 
mais, le temps devient plus précieux , il doit renoncer 
et n'emporte que le sac de l'otage a demi plein. 
  La puissante voiture qu'ils eurent repéré se trouve à

22

 Un second coup de feux retentis . Les compères ne 
réalisent pas mais comprirent qu'il faut vite quitter le 
quartier.  Ils n'eurent pas le temps de réaliser et Marc
sent une chaleur lui bruler l'épaule gauche. 
    Éva réarme son fusil.    
   Un filet de sang suivi la chemise de Marc , sa 
robustesse lui permet d'avancer. 
  Luc plus rapide arriva près de la voiture qu'ils avaient
repéré.  Un homme se trouve a la place du conducteur.
Luc menace celui ci de son arme.
  Marc arriva en sueur charge de deux sacs, Luc
 prit la place du conducteur et dit a Marc,
- prend le conducteur en joue sur le siège arrière Marc
  c'est notre nouvelle otage.
   Le véhicule démarre en trompe.
- Comment vas tu Marc.

23

- Je tiens le coup tu peux continuer.
 Dans le voisinage, les voitures de police arrivèrent 
de toute part. Un  attroupement se forme autour de 
la banque.
   Eva descend rapidement , sans prêter gare a la 
fermeture de la porte de l'appartement. Elle veut 
retrouver Yves. La venue rapidité des curieux oblige
le service d'ordre de les écarter. 
   Les policiers demandèrent des témoins, et des 
justificatifs aux personnes qui se trouvaient dans la
banque. 
   Éva tenté de toutes ses forces d'accéder auprès de 
son mari, Yves. 

     Dans une voiture de police son occupant fait un 

24

rapport 
 -    Un braquage de banque vint d'avoir lieu sur 
      l'avenue par deux hommes qui viennent de toucher
      une otage avec un petit calibre de 5.6  en pleine
      tête. Elle est morte sur le coup. A l'intérieure de 
     la banque, une autre personne ,employé de 
     l'établissement, présente de nombreuses blessures a 
     la tête. Le comma l'a plongé dans un sommeil 
     profond. La dangerosité des individus n'a pas de
     toute, il faut placer des barrages en ville sur les axes. 
     La voiture dans laquelle ils se déplacent porte 
     immatriculation suivante( 11 E 95 ) .D'après les 
     témoins, le conducteur est prit en otage. 
    Éva insiste pour franchir le dernière obstacle, celui 
de plusieurs policiers, pour arriver auprès d'Yves
allongé sur une civière. Des soignants l'accompagne car
des appareilles sont branché. 
    Eva tente sens cesse de retrouver Yves, brusquement 
 un policier la repousse. Elle se débâtât tant bien que mal.

25

     Les ambulanciers transportèrent les victimes en 
direction de leurs véhicules. Un drap blanc recouvre l'une 
d'elle , qu'en a l'autre,  l'on apercevoir qu'une touffe de  
cheveux.
    L'encadrement du personnel médicale ne permit de 
connaître la victimes.
  Éva insista pour suivre la civière, elle réussi et par gestes 
et grimasses elle tente de se faire comprendre . De nouveau
ils la reposent. Elle se débat comme une détraqué allant 
jusqu'à mordre les bras du policier qui la reteint. Un tumulus
 transforme cette bousculade. Des volées de matraques se  
 perdent par là. Touché , Eva tombe et l'agent de police la 
 menottes . Ce sont 2 policiers qui furent nécessaire pour 
la maitriser.  
-    C'est une folle, elle m a mordu profondément, là, les

26

      traces de ces dents 
 Un autre dit,
-    Elle doit être dérangé, il faut appeler une  ambulance 
     pour ?
    Pendant ce temps les fuyards tentent de quitter la
 ville ; hélas , pas moyen des voitures de polices sont
partout. Cette de l' imprévues, il faut trouver une 
solution.
Marc dit,
-      On se cache dans le terrain vague, qu'en penses
        tu Luc.
-      C'est une bonne solution, puis on attend la nuit
       pour ce barrer.
  Ils prennent la direction du terrain vague, par des 
passages méconnue . 
     Les enquêteurs  viennent d'identifier le propriétaire 
de la voiture .
- c'est une personne de notre service. Ils ont pris 
   le propriétaire en otage.   

27

   La conclusion fait que les agresseurs  sont des criminels. 

   Une troisième ambulance arriva, elle provient d'une
maison de repos pour ceux qui sont démence ?
   les ambulanciers font une piqûre a Eva pour la calmer.
 Elle tombe dans les pomme, puis ils l'attache sur une 
civière pour la placer dans l'ambulance. 
  La curiosité des personnes, rapportent aux journalistes
que 3 blessés ou tué sont a déplorer.
   D'autres disent  que se sont les bandits qui furent blessés.
   Un véhicule de la morgue emporte la jeune femme tué .
chaque véhicule a son itinéraire différant de l'autres.
   Éva part dans une direction en dehors de la ville et fut 
admisse dans un centre spécialisé.

28

   Éva se réveilla emmitouflé,  dans une pièce quarré 
capitonne sans fenêtre. Ses membres sont paralyse par
les attaches . Elle observèrent cet endroit sans pouvoir 
se rendre conte du pourquoi elle se trouve là ?
    Mais, où peut elle bien se trouver ?
     Elle ne réalisa point car le calmant fait encore son 
effet .
   les infirmières de ce centre n'eurent pour indice une 
carte bancaire sur lequel ne figure que son nom son 
adresse et le compte en banque ; pas de photo d'elle,
elle a comme prénom , Liliane.
    La chaleur de cette journée d'été, fut sec,  et  la 
température au plus haut. Les braqueurs stationnèrent 
sous l'ombre dans leur cachette. Cette base température 
n'améliore pas la santé de Marc qui respire et  souffla 
anormalement. Vivement que la nuit arrive. 

29 

 Le visage de Marc devient bleime et refroidi. Luc lui 
fait son pansement temp bien que mal avec ce qu'il a 
a sa disposition.  
  L'otage remarqua cette décadence,
- Venez nous allons a l'hôpital ont peut sauver votre
   confrère.  
-  Il n'est pas question de retrouver l hôpital on risque
   de  se faire prendre. Mon compagnon est robuste il 
    sens sortira.
   Le temps passe trop lentement, et la nuit ne fait qu' 
aggraver la santé de Marc .
-     Ça vas Marc ? 
-     Oui tous vas bien.
  Les sang traversa le pansement, il faut de nouveau le
 changer. 
 
    Au poste de radio, on annonce que les individus sont 
classé comme  dangereux car ils sont armé et ont 
prit en otage un policier de leur section. La description 
de la voiture et son immatriculation est donné.
-     Luc, Luc, je ressent une brûlure a chaque battement
       de cœur, je n'arrive plus a bouger mon bras et j'ai
       froid.
  Luc n' a pas de calmant a lui donné, il regarde l'otage 

30

porte une veste 
-     Donnez lui votre veste, il a froid.
 L'otage s’exécute et Marc mis sa veste.
    Le poste de radio repasse les information, il est 
20 heures. Les données sont les suivante, 
-  Il y a une victime grièvement blessé il y eut une 
   autre victime répondant au prénom de Liliane qui 
   fut placé dans un hôpital psychiatrique.   
   Cette révélation donne a Luc une certaine fierté, quant
a Marc, il dit,
-     Que vont penser nos copains, ils auront de l'estime
       pour nous Marc.
-    Oui Luc j'en suis certain.
    La chaleur fut tenace et ne quitte pas  la région. Marc 
tremble de tous ses membres . 
- Il faut cacher nos sacs, quant pense tu Marc ?  
. Marc ni vit pas d’inconvénient .
-     Luc je suis très fatigué, fait vite pour les cacher.

31

-     Tu teindras en joue l'otage Marc pendant ce temps.
   Le soleil rougeâtre reste visible, et la chaleur domine. 
    Marc tient le pistolet en direction de l'otage. Luc fait
 des courses avec une liasse de billets .
-      Tu sais Marc je  prend des provisions pour tenir 
     quelques jours, de quoi boire et manger.

JJM

A suivre au 32  2/8

le roman est en cour de construction, certain faits peuvent 
apparaître puis disparaître car écrire c'est relire puis corriger.

 
  APRÈS UN COMMA DE 9 JOURS JE NE SUS
PLUS LIRE N'Y  ÉCRIRE. IL MA FALLU 14 ANNÉES POUR 
RÉUSSIR A RÉDIGER UNE HISTOIRE. 

Certaines personnes avaient volontairement fait des coupures et
des fautes sur mon histoire, SVP je ne gagne rien laissez mon
histoire comme je l'écrit. Merci les textes sont protégé.  

Pour les amateurs de roman une autre histoire  se trouve sur 
mirage au dessus des nuages sage n 1 sous le titre de 
( Prendre le droit de juger )
ce texte fut écrit le 14 août 2017 remis a jour le 28 02 2019
Auteur Jean Jacques Mutz écrivain amateur.
écrit le 14 08 2018 .
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