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28 novembre 2024

Coïncidence 8/8 ( roman d'aventure )

mirages au dessus des nuages sages n 1
mirages au dessus des nuages sages n 2

161  Coïncidence
















      Caroline les sorts de cette pièce pour quelle puissent
 travers les places du  port . Elles arrivent temps bien que
mal dans une grande cour entourée de maisons. Des 
des sifflements instructif ,  les suivent, un  signe que tous 
n'est pas perdu . Caroline les emmène dans un couloir  
où des cries de joie d'enfants se fond entendre. la lumière
s'éteint. Elle tâte le mur pour trouver un interrupteur. La
lumière revient, elles se dirigent devant une porte d'où 
proviennent les rires d'enfants . Anne et Eva suivirent 
Caroline qui ne les fait entrer dans cette pièce un peu
triste mais accueillant avec les enfants qui regardent un
passage de cirque. Sur les murs, de la tapisserie déchiré 

162 

l'aise a désirer. Il y a une fenêtre sous laquelle se trouve 
un petit lits d'enfant, celui ci pleurs a la vie de Caroline.
L'enfant se débat pour quelle le prend dans se bras. 
Anne se dirige vers se lit et elle prit l'enfant dans ses 
bras. Cela le réconforte. Pendant ce temps, Caroline 
aménage une cachette situé sous le grand lit . Anne 
continue de porter l'enfant d'environ neuf mois tout 
en le berçant . A peine arrivé, que des frapes sur la 
porte résonnent.
-   Ouvrez la porte, c'est la police.
-    J'arrive, un petit moment.
  Caroline s'approche de la porte fermé a clé a deux tours.
-   Vous voyez monsieur l'agent, je vous présente ma belle 
     sœur 
-    Il est a qui ce bébé là.
-    Mais c'est le mien ça ne se voit pas, il me ressemble.
-    Il ressemble plus tôt a un chinois    
-    Je ne le crois pas car a cette époque je passais mes 

163

      nuits avec votre supérieur.
-    Tu en as de bonne toi
-    Il passe encore de temps a autre, je peux toujours lui 
      siffler un mot 
-    C'est bon , comme il n'y a personne d'autre, 
      on peu partir. 
   Avant de quitter les lieux il prête attention a une photo 
placé au mur, il n'y a pas de ressemblance avec les deux 
filles recherché !
  Il a fallut plus de vingt minutes pour que la police quitte 
l'endroit. La cachette d'Eva fut parfait, ils ne l'on trouvé 
elle ressenti des courbatures un peu partout.  
  Caroline leur propose de faire du thé, elles ne refusent 
pas. Une autre fillette se trouve avec eux, c'est la fille de 
la voisine un peut curieuse , elle les questionne , 
-   Quel est ton nom mademoiselle et quel âge as tu ?
Eva écrit sur un tableau,
-    Moi c'est Eva  et elle c'est Anne on a vingt trois ans
      chacune. 

164

  Caroline et cette fille lut ses écrits, puis demande,
-    Comment se fait il que vous venez de prendre contacte 
      avec les racoleurs ?  
Cette question fait hésiter Anne  qui mit quelques instant 
pour répondre par écrit, 
-     La police est a notre recherche ont c'est enfuit du 
       domaine des marguerite. Nous avions pris peur en
       voyant la police nous rechercher. Lorsque ces hommes
       nous ont proposer leur aide on les suivis.
  Caroline continu de la questionner par écrit,
-         Vous voyer ce que je suis devenu en acceptant leur 
       protection, je suis a la merci de leur besoin, sexuelle
       et financier. Vous me paraissez sympathique, c'est la 
      raison qui fait que je vous aide. Au cas ou j'apprend
      que  les recherches font suite a un crime, je n'hésite 
      pas a vous dénoncer a la police sans hésiter.  

165.

   Eva lit ces quelques mots et garde en elle une part  
de vérité .  
  Anne marque quelques mots sur le papier
-   Ma copine Eva est une victime de la police , il la
     recherche suite a l'agression d'une banque commis
     par d'autres personnes . Son mari travaille dans 
     cette banque où  il fut agressé . Ne pouvant 
     s'exprimer, pour justifier sa présence, Eva fut 
     diriger dans un hôpital pour dépressif. 
       Eva se trouve prêt du petit lit d'enfant qu'elle 
cajole jusqu'à ce que l'enfant s'endorme. Eva fait 
signe qu'elle aussi est fatigué. Caroline a renvoie 
la voisine .
   Lees rêves d' Eva naviguent dans son sommeille,  
un pré-sentiment de maternité font renaitre un 
chagrin qui remplis sa solitude. 

166

  Caroline, amadoué par Eva endormis prêt du bébé 
trouve dans cette séquence un sentiment attachant.  
  La poignée de la porte de cette chambre fut brutalement 
manipulé. Heureusement qu'elle était fermé a clé .
Caroline réveille Eva et leur fait signe de se cacher. 
D'un air étonné, elle dit,
-    Qui est là ?
-     C'est moi le Dénicheur ouvre.
Caroline s'assura que les filles se sont bien caché puis 
dit,
-     Je viens attend 
Le comportement de cette individu fut brutal il demanda,
-     Qu'as tu fais avec les filles ?
Caroline,
-      Elle se sont volatilisé car la police nous avaient suivi.
    Cet homme mérite une offense pour lui redonner son 
bon sens. Eva se trouva en première ligne sous le lit, elle 
remarque, entre les draps qui dépassent, le comportement 
agressif de l'individu qui bouscule brutalement Caroline.  
-   Pour quelle raison as tu laissé s’échapper ces filles ?

167

     Cette brute frappe a nouveau Caroline, son enfant 
se met a pleurer . 
Anne ne voyait rien mais entendit les agressions.
-       Alors Caroline qu'as tu fait avec les deux filles ?
Caroline,
-      J'ai suivi les consignes que les autres m'ont donné.        
D'autres frappes résonnent. 
-     Fait moi taire ce sale cosse, ici c'est moi qui donne
     des ordres 
    Caroline se rapproche de l'enfant qui continue de 
pleurer , elle l'entour de ses bras pour abaisser sa peur
sa douleur et ses pleurs.  
-   Pour quelle raison as tu fermé la porte a clé?
Caroline,
-   La police est passé ici pour recherche les filles. 
    J'avais des doutes sur leur départ et peur que la 
    police revient.
Caroline souffle un peut , et lui donne quelques 
indication,
-    Les filles mon demandé  la direction a  prendre 
      pour rejoindre le terrain vague en passant par  

168

      le port.
   le Dénicheur, sous l'empire de consommation de 
drogues, devient plus violant. Caroline ne souffle un
seul mot de dénonciation . Le petit enfant continue 
de pleurer. 
    Quelle pénibilité que de devoir passer une nuit 
sous un lit pour les deux filles. La peur les tient en
garde et en éveille. Il est qu'elle heure ? 
   Le Dénicheur se réveille, il regarde sur sa montre.
-    Dix heures du matin, alors Caroline, réveille toi.
   Il poussa de son pied Caroline pour qu'elle se 
réveille. Rien ni fait, Caroline ne ses réveille pas. 
Le Dénicheur se rase et fait un brin de toilette puis

169

se parfume. L'enfant se réveille en pleure se qui 
énerve le Dénicheur.
-   Sale cosse, tu reprend ton pleurnichement, tu es 
    bien une fille.
  Il s'approcha du petit lit et tente de lui donner sa tétine.  
-     Sale cosse tu prend cette tétine ?
  Rien ne servi, l'enfant continue de pleurer.
-      Tu m'énerves sale cosse t'a mère doit s'occuper de toi.
    Cette forme caoutchouteux ne remplace pas la faim . Il 
tire les cheveux de Caroline,
-    Mais tu te réveille bientôt ?
   Malgré cette brutalité il n'obtint de réponse. Il se 
rapproche d'elle et,
-    Merde, elle est morte, il ne manque plus que cela 

170

      maintenant .
    Sans tarder il lave tous ce qu'il a prit en main , remet 
ses chaussures, tourne l'enfant qui pleure, puis quitte la 
pièce au plus vite.  
  Un ouf pour les filles,  elles peuvent enfin sortir de 
leur cachette sous le lit. Anne, se rapproche du bébé qui 
pleures et Eva regarde sur le corps ensanglanté de 
Caroline. Son visage a d'horrible traces de coups de 
ceinture, les marques du drame de cette nuit .
   Anne s'occupa du Bébé avec peine car l'enfant 
n’arrête pas de pleurer Elle lui fait un biberon pour lui
donner. Anne fait signe a Eva de partir au plus vite, 
quant l'enfant sera langé Cette orpheline fait mal  
a Eva qui fit comprendre a Anne,

171

- nous prenons le Bébé avec nous. 
       IL faut reconnaître que Caroline les a protégé  
au détriment de sa vie, c'est au deux filles de venir en 
aide a ce bébé orphelin pour le protéger.
    La cloche de l’église tonne 12 heures.  








172


   Yves vient de se réveiller, dans la chambre de l'hôtel 
qu'il occupe. Le commissaire arrive de la chambre d'a
coté ; lui aussi a récupéré en sommeil mais aussi en 
informations . 
Yves un peu sonné demande,  
  - mais que c'est il passé ? 
Le commissaire, 
-   Monsieur Yves, comment allez vous ?
Yves,
-   Bonjour monsieur le commissaire, je vais bien 
     merci.
Le commissaire,
-   Nous suivons votre femme, qui se trouve en  
    ville, elle n'est pas seule,  je viens apprendre
     qu'elles sont deux a avoir fugué du domaine  
     des  marguerites .
Yves,
-   Je souhaite que rien ne lui est arrivé. 
  le commissaire n'a fermé l’œil de la nuit, qu'a   
moitié,  
-    Monsieur Yves j'ai une nouvelle a vous annoncer, 
       au sujet de votre femme Eva, nous avons déterminé
      que l'axe du tir venait de votre habitation . Nous 
      pensons que votre femme eut tiré sur les agresseurs. 

173

       Yves, 
-     Je suis de votre avis pour certaines remarques mais
       pour d'autres ? 
Le commissaire, 
-     Les quelles monsieur Yves ?
Yves,
-     Je doute que ma femme Eva eut tiré sur les agresseurs
Le commissaire,
-     Vous prenez la défense de votre femme,
Yves,
-     Je prend la défense de ma femme car j'ai confiance 
      en elle.
    Les trois filles rencontre sur leur parcoure une foule 
de personnes . Parfois c'est Eva qui porte le bébé. Les
filles sont devant un magasin de chaussures . Une 
patrouille de police arrive . Elles pénètrent dans le 
magasin pour se protéger. Il fut temps, car le bébé 
nécessite une toilette et le magasin reste ouvert durant
la pose de midi.
      Une patrouille de police arrive dans l'habitation de
Caroline car la petite voisine a remarqué le drame et
la disparition du bébé et la signalé a ses parents qui
avertisse la police. Pas  de doute, c'est un crime et un 
enlèvement d'enfant ? 

174

    Les inspecteurs spécialise arrivent aussi sur les 
lieux et concluent que l'acharnement sur la victime
avec une ceinture est l'arme du crime. La ceinture 
ensanglanté est emballé et placé comme objet du 
crime. De nombreuses empreintes sont relevés et
des photos de toute la pièce.
-   L'objet du crime, fut l'envoyer au labo.
Résume  l'inspecteur qui s'occupe de cette enquête.
 
  Les deux jeunes femmes et l'enfant ce trouve a cette 
instant là dans le magasin de chaussures. Elles 
attendent que la voie se libère.
   Les filles repartent, il ne reste plus que quelque 
pâtées de maisons pour atteindre leur but.
      Elles se trouvent devant l'entrée du bâtiment de 
appartement qu'Anne envisage de contacter . Anne 
appui sur la sonnette.
   A l'étage, une personne se penche par une fenêtre, 
puis elle déclenche l'ouverture de la porte d'entrée.  

175

C'est Eva qui porte l'enfant qui pleure a vive voie .
-    Anne quelle plaisir de te revoir .
    Elle répète ses paroles par gestes.      
    Anne souri et fit des signes de la main.
-    Viens voir Edoire, c'est notre chère Anne qui nous 
      rend visite.
Une puissante voix résonne.
-   Mais, ouvre lui la porte Édite au lieu de parler 
     depuis le couloir.  
     le loquet de sécurité de l'appartement est décroché,
la porte d'entré s'ouvre et Edite leur fait signe de la 
suive. Une tache humidité , que le bébé a fait, laisse
des traves sur le vêtements d Anne. La chaleur devient  
pénible je pour tous. 
   Édite vient a leur rencontre dans les escaliers.

176

-   Mais Anne que nous rapportes tu là ? 
  Anne vient de relayer Eva. Elle fait des signes de la tête 
pour 
-     Tu sais Anne nous venons de terminer notre repas, 
       mais nous allons vous recevoir temp bien que mal. 
       Il y a toujours une assiette pour les visiteurs. 
   Les filles arrivent devant la porte grande ouverte de la 
 salle a manger.  
Edoire,
-   Bonjour les filles, que nous rapportes tu de beau, 
     Anne ? 
    Eva reprend l'enfant dans ses bras, pour que Anne 
puisse faire la bise a son ongle. Puis Anne dialogue 
par  signe pour représenter le sexe de l'enfant.
Edoire, 
-  Donc c'est une fille, elle est mignonne, es tu devenue
   mère ?  J'en suis fière.
  L'ongle dirige les filles vers la cuisine, là c'est Edite 
qui fait de son mieux pour élaborer deux assiettes de 
crudités. Un autre homme se trouve dans la cuisine et

177


ses lèvres, deviennent expressif en saluant les jeunes
filles. 
-  Le bébé a certainement faim, et doit être langé.
Ce personnage prit sa pipe qu'il bourra par habitude 
puis,  
-  Edoire a raison, Edite donne leurs de quoi langer
   pour ce bébé .
Edite, 
-   Anne puis je m'en occuper personnellement?
Anne fit signe a Edite qu'elle peut s'occuper de l'enfant.
Eva accepte et lui tendit le bébé qui pleure encore. Le 
grand monsieur reste sur sa chaise et dit d'un air 
curieux,
-   Mais Anne quelle est la raison de ta visite,
  Anne demanda de quoi écrire . Elle prit place sur une 
chaise de cette large table en chêne, puis écrit, 
-     Hier soir nous avons quitté le domaine des 
      marguerites en stop. Nous somme arrivé la nuit. 

178 

     Les rue sont devenu dangereuse, de nombreux 
     anecdotes d'accrochage, nous ont contrains a nous 
     cacher. La maman de cet enfant  nous a hébergé a 
     ses risque et périls. Cette réaction ne lui porta 
     chance car son meneur la battu a mort pendant que
     nous étions caché sous le lit. De notre cachette ont fut 
      témoin de cette agression. Même l'enfant subit des 
      sévis. Il pleurait sans arrêt. Lorsque le meurtrier fut 
      partie on décida de l'emmener.
  Monsieur Edoire lit ces mots avec de l'attention. Il passe
le morceau de papier a sa femme qui par la suite le 
donne l'autre personne puis dit d'un air intéressé,
-   Mais pour quelle raison avez vous quitté le 
     domaine des Marguerites c'est un endroit sérieux ? 
     Anne ne tarde a rédiger une réponse. Pendant ce 
temps la dame Édite, leur prépare deux assiettes. Eva 
eut prit place a coté de ce robuste personnage, songeur 
et  sympathique a la fois et qui fume sa pipe bien bourré 
a grande boulées . Sur la feuille vierge Anne commence 
a rédiger, 
-     L'on a quitté le château pour pouvoir retrouver le 
    mari de ma copine Eva fut dérouté lorsqu'elle voulu   

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      suivre son mari blessé a l'hôpital dans l'ambulance . 
      Une  agression dans une banque en est la raison et
      son mari y travaillait . Comme Eva ne put donner 
     des explications un policier l'avait retenu, et elle la
     mordu pour qu'il la lâche..  A partir de là Eva fut 
     considéré comme agressive, ils eut droit a une 
     camisole et placé dans un asile de détraqué. Une 
     fiche suiveuse lui donna un faux nom car ils se sont
     basé sur une carte de banque qui se trouvait a terre a
     ses cotés. Grace a une médecin raisonnable, elle c'est  
     retrouver au Domaine des marguerites.   
  Monsieur Edoire prit cette feuille qu'il lut avec attention 
puis d'un air songeur répond,
-   Tu as toujours bon cœur Anne avec les autres mais te 
     rend tu conte de ce que vous venez de faire ?  l'enfant 
     ne vous appartient pas il faut absolument l’emmener 
     a la police.
    Edite appelle de la salle de bain.  Sont étonnement a
marqué profondément son visage. Elle porte l'enfant
pour le montrer aux hommes. 
-    Edoire et grand père venez  regarder pour quelle 
   raison cette enfant pleure, il a d’atroces blessures. 
     Tout le monde l'entour Edite ,  il ne reste plus de 
place dans la salle de bain , on a du mal a bouger. 

180

 Monsieur Edoire ,
-   Je suis d'avis a emmener cette enfant le plus rapidement
     à l'hôpital.
Edite,
-    Je suis te ton avis Edoire, mais laissons les terminer 
     leur repas le temps que je m occupe de l'enfant. Nous 
    allons appeler notre fille Sabine pour qu'elle vienne 
   nous aidez.
  Sabine a le même âge que Anne et la même corpulence,
ont dirait des jumelles.

  Trois heures de l'après midi, Yves a terminé son repas.
Ce fut la première fois qu'il le dévora aussi vite. Il a 
retrouver ses forces et est fin  prêt a affronter le pire.
   Le commissaire le retrouve et sa présence le rend
nerveux. 
-   Monsieur Yves je vous apporte des rapports de la police.
     Figurez vous que l'on a retrouvé des traces du passage
     de votre femme pas loin du port. La suite risque de 
     vous choquer.
  A ce moment là, Yves prend place sur le rebord de son lit
fait en tube blanc et écoute attentivement.
Le commissaire,
-      Mes collègues ont trouvé une jeune femme lâchement 
assassiné, se n'est pas de votre femme qu'il s'agit, rassurez 
vous.
  Yves transpire et ses pensées restent endormie. Les paroles
du commissaire le blessent profondément.
-       Cette jeune femme au nom de Caroline fut tué a coup 

181

      de ceinture, l'arme du crime est retrouvé sur les lieux. Le 
      rapport  dit que cette acte fut commit par un dément. Si
      je vous rapporte cette histoire c'est que votre femme 
     était dans la pièce au moment du crime ;  on a trouvé 
     ses empreintes sur les meubles,  mais pas sur la ceinture ?
Yves,
-     Monsieur le commissaire, je ne sais pas a quoi vous 
       voulez en venir ?
Le commissaire,
-     Votre femme, désirait elle un enfant  ?
Yves,
-     Non car Eva eut peur que l'enfant n' entendre pas et 
      ne parle pas comme elle.
Le commissaire,
-      Donc, elle a commis un rapt d'enfant cette nuit comme
        le suppose  mes collègues ?
Yves,
-     Un rapt d'enfant, mais de quel enfant ?
Le commissaire,
-      Mais du rap  qu'a commis votre femme cette nuit ?
Yves,
-      Ce n'est pas possible toute cette salade je n'en revient 
        pas.
Le commissaire, 
-       Cela est possible car après avoir séjourné dans une
        maison de fou, elle a disjoncté.
Yves,
-       Je peux certifier que ma femme ne fut jamais violente
       ni agressif.

182

Le commissaire,
-       Et le crime qu'elle eut commis en tirant de sang froid
        sur les agresseurs, expliquez moi cela. 
 La dureté d'un mensonge efface la réalité des accusations 
non justifier et sens preuve ne font qu’ intimider Yves. 
-    Mais je précise que votre femme ne fut pas seule car 
     d'autres traces d’empreintes furent prélevé. La 
      personne partie avec elle y était aussi. Mais la raison 
      de ce crime nous déstabilise, le pourquoi ?  
    Le commissaire quitte la pièce d'un air embarrassé, et 
fatigué. Yves fut bouleversé une nouvelle fois. Ses pensées
sont en ébullition, et des questions sont a se poser, sur ce 
qui peut être vrais ou faux. Ses suppositions étouffent l'air
de cette pièce. Yves ne tenait plus et décide de  se lever
et s'habiller. Il en a ras le bol de cette injustice, de cette 
hôpital qui devient prison.  
  3  jeunes femmes et un bébé  se présentent a la secrétaire  

183

médicale. Celle ci  leur demande, 
-    Qui est la maman de cette enfant ?
Les trois jeune femme se regardèrent, collé. Sabine dit,
-     Aucune de nous trois n'est la maman de ce bébé, 
-     Bon, je veux bien mais comment se fait il que vous
       avez cette enfant ? 
     Eva donne la photo qu'elle eut emporté de la 
chambre où elles s'étaient cacher, et pointa du doigt 
la photo de Caroline la maman. Sabine explique,
-     Un malheur est arrivé a sa mère suite a un accident, 
      c'est pour cette raison  que nous apportons l'enfant ?
La secrétaire,
-    Mais vous rendez vous compte que vous n'avez pas le
      droit de transporter une personne victime d'un 
      accident il fallait appeler les pompiers ?
Sabine,
-     Cette enfant ne fut pas accidenté mais maltraité par
       un inconnu.
Sabine ne sut rajouter d'autres explications.
-      Bon, prenez place dans la salle d'attente sur votre

184

       gauche, je fais mon possible pour que cette enfant
       sois soigné.
Cette personne de l’accueille téléphone a qui de droit. 
Depuis la salle d'attente on peut apercevoir les alentours
par la fenêtre ouverte. La chaleur règne dans cet hôpital.
    Yves passe par l'escalier de secoure pour que le 
personnel soignant le remarque.  
  Au poste de police les renseignements émit par l'hôtesse
d'accueil de l'hôpital correspondent a l' avis de recherche.
   La police se mit en marche pour interroger les trois 
jeunes femmes suspectes. Deux véhicules se déplacèrent.
    Yves arriva à la dernière marche de l'escalier de 
secoure. Il aperçut la venue des deux voitures de police.
Dans sa tête il n'y eut pas de doute, c'est pour lui que la 
police arrive. Il se baissa pour se confondre avec les 
marches métallique. Puis, il se dit, et si Eva venait a sa
rencontre dans la voiture de police ?   

185

Yves sort de l hôpital et contourne le bâtiment pour se 
observer la venue de la police.  Il fait un point d’arrêt
l'instinct le guide. Un pressentiment qu'Eva est là ?  
   Eva s'impatiente, se lève et s'approche de la fenêtre 
grande ouverte. Elle aperçois les deux voitures de 
police. Une sensation de renouveau la pourchasse.
  La police questionne l’hôtesse d'accueil . Cette 
présence d'uniforme la nargue, elle se rapproche de  
la fenêtre et observe les voiture de police.
  A cette instant, Yves se trouve prêt des voitures de 
police sous la fenêtre où Eva tente de se jeter dans le
vide ? Yves l'aperçoit, en équilibre sur le rebords.
    Entre les deux amoureux il ne reste que le vide.
Quelques étages, cela fut suffisant pour.
Yves,
-     Mais, non de Dieu, c'est Eva qui se trouve là,
       Eva, Eva,
Cria Yves de toute ses forces en courant sous l'axe de

186

l'éventuelle chute de la fenêtre.
-     Eva, Eva, c'est moi Yves.
  
La vie fait que certaines personnes entendent et d'autres
pas. Là Eva n'entendit rien, je crois, non attendez elle 
remarque les gestes d'Yves, 
( LA SUITE DÉPEND DE VOTRE IMAGINATION, A 
T ELLE SAUTE ?)
Le commissaire continua de faire son enquête et tomba
sur la photo qu’Éva eut donné a l'hôtesse d’accueil de 
l'hôpital. Il y eut Caroline, la femme tué, et a coté d'elle
sa sœur, Liliane tué elle aussi. Cette coïncidence fut 
suspect comme le passage qui le mena sur  le terrain 
vague où furent caché les agresseurs avec leur otage 
policier. Quant a l'argent certainement qu'il se trouve 
par ici allez savoir.


JJM
SVP ne modifier pas mes textes je ne gagne rien .


 Écrit par Jean Jacques Mutz écrivain amateur
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